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Syriza au dépouvoir en Grèce


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parce que le président grec n'a aucun pouvoir politique. il est purement représentatif décoratif.

 

Corrigé.

 

Bon j'ai lu les news, apparemment Syriza a explosé en plein vol, à cause de son aile-gauche dissidente. Je n'arrive pas à décider si c'est une bonne ou une mauvaise chose.

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il semble d'ailleurs que l'aile gauche n'est pas que dissidente: création d'un nouveau parti d'extrême gauche (ça c'est une marotte du gauchiste de base), et création d'un groupe parlementaire à l'assemblée.

c'est pas trop le genre à faciliter un gouvernement qui avait la majorité absolue juste avant...

 

de toute façon, en grèce actuellement c'est soit l'extrême gauche, soit les corrompus habituels, donc difficile de dire si c'est une bonne chose ou pas.

  • Yea 2
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Avec le troisième plan d'aide validé (85 Md€), les grecs sont tranquilles pour quelques mois (années ?) niveau finance.

Je comprends que tout ce beau monde est donc de nouveau prêt à foutre le bordel pour s'arroger un peu de pouvoir et cramer le fric de l'UE.

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Les prochaines tranches de versement peuvent-elles être remises en cause ?

 

la majeure partie des fonds est placée sur des comptes séquestres. pas question pour le gouvernement grec d'en disposer à leur convenance sans l'accord des gestionnaires de l'UE...

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 Que je suis déçu que ce pays ne soit pas sorti de l'Euro pour appliquer leur programme... On aurait eu un nouvel parfait exemple de l'échec du socialisme mais plus moderne...

 

 PS : Bien sûr, l'idéal serait que tout s'arrange pour tout le monde hein, je ne suis pas sans coeur. 

  • Yea 1
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 Que je suis déçu que ce pays ne soit pas sorti de l'Euro pour appliquer leur programme... On aurait eu un nouvel parfait exemple de l'échec du socialisme mais plus moderne...

 

 PS : Bien sûr, l'idéal serait que tout s'arrange pour tout le monde hein, je ne suis pas sans coeur. 

 

ne soit pas déçu, attend le 20 septembre prochain après les élections législatives grecques.

ça va bien se passer...

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de mémoire, sur les 28 Mds d'€ "versés" par l'EU, 3 sont allés dans le paiement de l'EU et 7 sont allés dans le remboursement de je ne sais plus qui. et 14 sont séquestrés.

 

restent donc 4 Mds pour faire la teuf.

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+ la vente des aeroports

 

ben non: pour le moment, la vente des 14 aéroports a été dégelée. la vente effective aura lieu en 2016 au plus tôt.

et puis 900 malheureux millions d'€, que veux-tu faire avec si peu ?

 

De plus le produit de la vente est géré par une équipe en charge des privatisations, dont les membres ne sont pas de grecs...

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La fin de l’idylle entre Tsípras et Mélenchon ? Depuis la signature de l’accord pour un troisième plan d’aide – et les mesures d’austérité qui vont avec – le chef de file du Parti de gauche prend ses distances avec le Premier ministre grec. Ce lundi après-midi, le député européen, en compagnie des deux coordinateurs politiques du PG (Eric Coquerel et Danielle Simonnet), tient une visio-conférence avec Panayótis Lafazánis, responsable du tout nouveau parti grec Unité Populaire, composé de vingt-cinq anciens députés de l’aile gauche de Syriza qui ont fait scission.

Issus de treize organisations de la gauche radicale grecque, ils sont opposés au troisième plan de renflouement financier de la Grèce approuvé par la Vouli (le Parlement grec), le 14 août dernier. Leur responsable, Panayótis Lafazánis, a accusé Aléxis Tsípras d’avoir décidé «l’organisation d’élections anticipées, ce qui est antidémocratique» et d’avoir flanché devant la pression des créanciers. «Qui gouverne la Grèce, [Jean-Claude] Juncker [président de la Commission européenne, ndlr] ou [Angela] Merkel [la chancelière allemande] ?», a-t-il lancé lors d'une conférence de presse le 21 août.

«Indépendantisme français»

Dans une interview à Sud-Ouest, parue vendredi, Jean-Luc Mélenchon reproche à Tsípras d’avoir cédé face aux créanciers : «On vote, c’est bien. La voix du peuple est toujours la solution aux problèmes d’un pays. Mais encore faut-il respecter ses décisions. Les Grecs ont voté non au plan européen, et Tsipras l’a pourtant signé.» Parlant désormais ouvertement de «souveraineté nationale» ou «d’indépendantisme français» face à l’euro, Jean-Luc Mélenchon a également rencontré dimanche, la nouvelle idole de la gauche contestataire, Yánis Varoufákis. Avant que ce dernier ne rejoigne Arnaud Montebourg pour la Fête de la rose à Frangy, ils ont évoqué la tenue d’une conférence européenne du «Plan B», c’est-à-dire une sortie de l’euro en cas d’échec des négociations pour changer la politique européenne.

Le ministre grec démissionnaire critique désormais ouvertement Aléxis Tsípras. Mais dimanche, lors de la Fête de la rose, Yánis Varoufákis a déclaré qu’il ne rejoindrait pas le parti Unité populaire pour les élections législatives prévues le 20 septembre : «Nous partageons de nombreuses similitudes et sympathies. Je les apprécie et je pense qu’ils me veulent avec eux. Mais sur le plan politique, nous sommes éloignés. Ce ne serait pas une combinaison judicieuse.»

 

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  • 4 weeks later...

Reportage hier sur le contrôle des capitaux en Grèce. Impossible pour les particuliers d'acheter à l'étranger.. Dans une entreprise pour commander des pièces en France il faut remplir 10 pages de documents administratifs et le délai de réponse est de l'ordre de 3 semaines ....

 

Le scrutin de demain semble serré entre la droite et Syriza mais ce dernier est légèrement en avance dans les sondages..

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