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Images pas cool, justice sociale & steaks saignants


Lancelot

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`non non au contraire c'est tres bien; ca prouve que n'importe quelle raison peut etre affectee a la conduite du terroriste,  alors qu'en fait il etait juste dingue.La critique de l'Islam est sur le meme plan.Au final n'import qui peut trouver une raison valable pour justifier les evenements plutot que d'accepter que c'etait un dingue.

En meme temps il faut avouer que l'Islam est tres populaire chez les arabes dingues.

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http://www.slate.fr/story/119775/photo-jean-mal-taille-facebook-critique-culte-minceur

 

Putain de bordel de merde. On atteint un niveau de connerie et de fragilité alarmant. Tout est sujet à se plaindre et à l'oppression. Moi-même je ne suis pas grand,1M72, et une bonne partie des jeans cheap ne me vont car la longueur n'est pas adapté à mes jambes. Je vais aller chialer auprès des grandes marques car ce sont des oppresseurs face aux petits.

 

Ah mais non, je suis un homme. Je n'avais qu'à être plus grand.

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Sauf que, au lieu de se sentir mal dans sa peau et d’avoir honte de se regarder dans le miroir, la jeune femme remet en question la chaîne de magasins de vêtements.

Wow, quel courage ! C'est incroyable.

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http://www.slate.fr/story/119775/photo-jean-mal-taille-facebook-critique-culte-minceur

 

Putain de bordel de merde. On atteint un niveau de connerie et de fragilité alarmant. Tout est sujet à se plaindre et à l'oppression. Moi-même je ne suis pas grand,1M72, et une bonne partie des jeans cheap ne me vont car la longueur n'est pas adapté à mes jambes. Je vais aller chialer auprès des grandes marques car ce sont des oppresseurs face aux petits.

 

Ah mais non, je suis un homme. Je n'avais qu'à être plus grand.

 

J'adore :D

 

Difficile donc de se vêtir quand on ne rentre pas dans la norme, qui plus est si les tailles changent non seulement selon le type de vêtements, comme l’a spécifié H&M dans son post d’excuses à la jeune femme, les marques (le fameux «Vous taillez petit ou grand?») et les années. Sans compter que le phénomène inverse, le fait qu’une taille donnée, au fil des années, corresponde à des vêtements de plus en plus larges, existe... et est aussi néfaste, relève Attn: c’est ce qu’on appelle le «vanity sizing», pratique des magasins de vêtements qui consiste à faire diminuer la taille affichée du vêtement dans l’optique de faire croître l’ego des femmes (et les faire acheter). Ce qui participe à l’injonction de la minceur: vous n’êtes belle que si vous rentrez dans du S.

Pile : je râle, face : je chouine.

 

Quoi qu’il en soit, Ruth Clemens et tous ceux qui ont liké ou partagé sa photo refusent que le chiffre ou la lettre sur l’étiquette de leurs habits les définissent: «[Les vêtements mal taillés] propagent l’idée fausse que les gens qui sont grands, petits, gros ou “bizarres” ne devraient pas porter des vêtements à la mode. Ce qui est ridicule, souligne-t-elle auprès de Buzzfeed UK. [...] S’ils pensent que je suis trop grosse pour porter leurs vêtements, ce sont eux qui doivent changer.»

Ce n'est même pas de la fragilité. C'est juste du narcissime médiocrement camouflé derrière un discours égalitariste.

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Tu es façonnier de vêtements. Si tu conçois selon une taille plus petite que l'idée que s'en fait ta cliente, elle se plaint ("incitation à la maigreur '"). Si tu conçois selon une taille plus grande que l'idée que s'en fait ta cliente, elle se plaint aussi ("incitation à la maigreur"). Sachant que toutes tes clientes s'en font des idées différentes.

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http://www.tandfonline.com/doi/abs/10.1080/14766825.2011.653359

 

Diaries, dicks, and desire: how the leaky traveler troubles dominant discourse in the eroticized Caribbean

This article employs ‘unconventional linguistic self-designation’ in an attempt to move beyond the abstract signifying logics commonly used to theorize First-World/Third-World sex tourism in a language of knowledge, power, and resistance. I look specifically at the sexual liaisons between Western tourists, including myself, and men from the Dominican Republic. In my efforts to move away from representational logics, I mobilize an apparatus utilizing feminist and queer affect theory, notions of embodiment, and a phenomenological language of ‘orientation’. I analyze the journal accounts of my own erotic encounters with Dominican men to stimulate a certain type of layered thinking capable of accessing affective dispositions and challenging the notion of an oriented, stable, composed subject. Neither tourist nor local Dominican men fit this unitary description. Instead, I rely on metaphors of disorientation, rupture, and leakage to arrive at indeterminate, fleeting, fugitive experiences, defying common touristic tropes. I conclude that although Western white men (and women) are bound by authoritative modes of knowing – individually exempt, perhaps, but structurally bound – possibility exists to ‘write back’ or successfully transgress boundaries in the (non)representation of self and the other in a process of mutual recognition.

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Ou comment faire passer ses expériences gay en vacances pour de la sociologie.

Tu l'imagines sur l'oreiller, après, à déclamer "nan mais tu ne trouves pas que ma présence ici est une métaphore de la transgression moderne des schémas contraceptifs et familaux de l'Occident ?"... Rasoir.

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C'est une vraie revue à comité de lecture ?

Oui (même si niveau impact factor ça ne casse pas des briques) :

Journal of Tourism and Cultural Change

2015 Impact Factor: 0.474 Ranking: 39/44 (Hospitality, Leisure, Sport & Tourism)

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Ce magazine féminin à tendance SJW est distribué dans le métro parisien en ce moment : http://www.stylist.fr/flipbook/f139

On y trouve des articles du genre  :

 

 

Kim Kardashian vient de voler mille ans d'histoire.

L'époque où les artistes blancs pouvaient impunément piller les autres cultures est terminée.

 

http://www.stylist.fr/flipbook/f139/#p=52

 

On a aussi droit à un passage sur les privilèges de l'homme blanc au début du magazine. 

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