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  • 3 weeks later...

@Hugh un retour des Cent jours ?

 

Chez nous, il a tout foiré, déjà remercié plusieurs membres du gouvernement, léché la patte à des régimes autoritaires, souhaité la commémoration d'un régime dictatorial, désigné responsable de plusieurs homicides, a chuté dans les sondages comme personne auparavant, etc.. (bon, je troll, j'ai principalement lu que L'imMonde). Du coup, ça dit quoi au pays ?

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Il y a 7 heures, Restless a dit :

@Hugh un retour des Cent jours ?

 

Chez nous, il a tout foiré, déjà remercié plusieurs membres du gouvernement, léché la patte à des régimes autoritaires, souhaité la commémoration d'un régime dictatorial, désigné responsable de plusieurs homicides, a chuté dans les sondages comme personne auparavant, etc.. (bon, je troll, j'ai principalement lu que L'imMonde). Du coup, ça dit quoi au pays ?

 

Presque rien. 

 

Le popularité a baissée (n'est pas parce que il y a mesures impopulaires, mas parce que il ne fait rien, seule écrit dans le twitter), 1 ministre a été démis (l'éducation),  la réforme des retraites marche très lentement.

sur l'armes: presque rien

privatisation: rien

Ouverture commerciale: rien

Moins d'impôts: rien

 

Il a dit que  veux mesures pour diminuir la bureaucratie.

 

Mais aujourd'hui, il a dit que le gouvernement doit intervenir dans la Petrobras (société pétrolière de l'État), dans le prix du diesel.

 

Maintenant il y a qui apelle il de "Dilmo" (reférence a Dilma).

 

 

Il y a 6 heures, Carl Barks a dit :

Non, mais en fait, c'est un gentil.

 

C'est vrai.

 

 

 

Mais, bientôt, les 200 jours....

 

 

 

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Le président Bolsonaro a perfectionné l'art de se mettre les pieds dans les plats. Ça vient de RT France mais le NY Times et le Jérusalem Post ont aussi mentionné cette nouvelle.

https://francais.rt.com/international/60987-bresil-jair-bolsonaro-estime-on-peut-pardonner-holocauste-mais-pas-oublier


 

Citation

 

Le président brésilien, Jair Bolsonaro, a déclaré que les crimes de l’Holocauste pouvaient être pardonnés, mais qu’il ne fallait pas les oublier. Des propos qui n'ont pas manqué de créer la polémique.

 

Le président brésilien, Jair Bolsonaro, a estimé le 11 avril que les crimes de l’Holocauste pouvaient être pardonnés, mais qu’il ne fallait pas les oublier. Le dirigeant a fait ces commentaires lors d'une réunion avec des pasteurs évangéliques à Rio de Janeiro et a été applaudi par l'assistance. «Nous pouvons pardonner, mais nous ne pouvons pas oublier. [...] Ceux qui oublient leur passé sont condamnés à ne pas avoir d’avenir», a-t-il expliqué, ajoutant que des actions étaient nécessaires afin que l’Holocauste ne se reproduise plus. Le chef d'Etat israélien, Reuven Rivlin, a vivement réagi à cette déclaration : «Nous ne pardonnerons jamais et n'oublierons jamais», a-t-il notamment écrit sur son compte Twitter.

 

 

 

 

https://twitter.com/PresidentRuvi/status/1117128531375546368

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Il y a 16 heures, Stephdumas a dit :

Le président Bolsonaro a perfectionné l'art de se mettre les pieds dans les plats. Ça vient de RT France mais le NY Times et le Jérusalem Post ont aussi mentionné cette nouvelle.

https://francais.rt.com/international/60987-bresil-jair-bolsonaro-estime-on-peut-pardonner-holocauste-mais-pas-oublier


 

https://twitter.com/PresidentRuvi/status/1117128531375546368

 

Il a pas d'autres choses à foutre que de dire des conneries ? Je sais pas moi, un pays à redresser peut être ?

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6 minutes ago, Moustachu said:

 

Il a pas d'autres choses à foutre que de dire des conneries ? Je sais pas moi, un pays à redresser peut être ?

Non.

Flatter sa base pour pouvoir être réélu est l'occupation principale d'un politicien.

 

Et je dis ça très sérieusement.

Frêche l'expliquait très bien. Il ne médiatisait pas son travail de fond car il disait que cela ne servait en rien sa réélection. Il le faisait car il estimait cela utile tout court, mais inutile pour convaincre les électeurs.

Par contre aller flatter du clampin de base, tu ne le faisais qu'avec des journalistes autour de toi.

  • Love 1
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  • 2 weeks later...
il y a 6 minutes, Philiber Té a dit :

D'après Twitter, les libéraux sont les alliés de l'extrême droite et des fascistes car ils sont de tout coeur derrière les récentes décisions de Bolsonaro. Yay...

Je crois que ça s'ecrit "Jair".

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Concernant les décisions, il s'agit notamment de supprimer les fonds alloués à la philosophie et à la sociologie des universités pour selon ses dires, se concentrer "sur les domaines qui génèrent un rendement immédiat pour le contribuable, tels que : vétérinaire, ingénierie et médecine."

 

 

 

Par ailleurs, il se trouve ces derniers jours dans une petite polémique, puis qu'il a fait supprimé une publicité "mettant en valeur la diversité raciale et sexuelle" . Selon ce qui est dit, il aurait appelé directement le président de la banque publique du Brésil, qui diffusait ce spot, pour le faire cesser. Par ailleurs, le directeur marketing aurait été limogé directement par la suite.

 

JAIR BOLSONARO FAIT RETIRER UN SPOT PUBLICITAIRE METTANT EN SCÈNE DES NOIRS ET UNE TRANSSEXUELLE

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Il y a 3 heures, Philiber Té a dit :

D'après Twitter, les libéraux sont les alliés de l'extrême droite et des fascistes car ils sont de tout coeur derrière les récentes décisions de Bolsonaro. Yay...

 

 De tout coeur, c'est un peu exagéré. Mais disons qu'on trouve pas ça gênant. 

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37 minutes ago, Nigel said:

 

 De tout coeur, c'est un peu exagéré. Mais disons qu'on trouve pas ça gênant. 

Que certains ne trouvent pas cela gênant.

 

Perso, il y a pas mal de choses que je trouve gênant (mais bon, je pourrais en dire autant chez l'immense majorité des dirigeants actuels).

  • Yea 2
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Le 28/04/2019 à 21:59, Nigel a dit :

 

 De tout coeur, c'est un peu exagéré. Mais disons qu'on trouve pas ça gênant. 

 

Les justifications de certains libéraux sont quand même assez étranges. Et AMHA, ça joue sur l'idée "libéralisme = droite /extrême-droite".

 

On se félicite quand un politicien veut couper les subventions à un organisme ou à une institution (hormis des exceptions, blabla régalien). Les politiciens adorent subventionner leurs copains... et priver de fonds leurs ennemis. On a eu plusieurs exemples chez des dirigeants de droite ou d'extrême-droite, qui affichent ça comme une lutte éminemment politique contre la gauche / l'extrême-gauche et la diffusion de leurs idées (récemment Bolsonaro mais même en France, on retrouve ça chez certains maires RN, Républicains, etc.).

Par conséquent, l'aspect "réduction de l'emprise de l'État" ou "assainissement des finances publiques" passe toujours au second plan, d'autant que l'argent est souvent réaffecté ailleurs (pas d'économie, juste du bidouillage clientéliste). Alors, quand en plus de ça on vient justifier ça par une couche d'utilitarisme ou de lutte contre le gauchisme, il n'y a plus grand chose qui sépare le soutient libéral du partisan droitard*.

 

La mode est désormais de chercher chez les auteurs libéraux, les petites marques de complaisance ou de sympathie à l'égard des dictateurs et des fascistes (Hayek, Von Mises, etc.). "La liberté, seulement pour ceux qui pensent comme nous" avec en plus l'actualité sur les gilets jaunes, etc., on n'est franchement pas aidé. :icon_neutral:

 

* Même si j'ai découvert que sur Twitter, il n'y a pas que ça qui nourrit la confusion : des gens avec une étiquette libérale, on en trouve plein finalement !

 

 

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Les universités de sociologie privées sont bien implantés au Brésil. Aucun risque que la discipline disparaisse. 

 

Qui plus est à l'heure d'internet, l'accès à des études écrites en portugais ne me semblent pas compliquées. 

 

 Après oui, on pourrait préférer moins dépenses plutôt qu'une redirection. 

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Il y a 2 heures, Philiber Té a dit :

 

La mode est désormais de chercher chez les auteurs libéraux, les petites marques de complaisance ou de sympathie à l'égard des dictateurs et des fascistes (Hayek, Von Mises, etc.). "La liberté, seulement pour ceux qui pensent comme nous" avec en plus l'actualité sur les gilets jaunes, etc., on n'est franchement pas aidé. :icon_neutral:

 

 

 

 

Je présume que le dictateur qui revient tout le temps est Pinochet.

Je n'ai jamais compris pourquoi les libéraux ont du mal à répondre à cette attaque: le nombre de morts lié au régime de Pinochet (3000) est largement inférieur à n'importe quel régime communiste (sans parler de la comparaison l'Etat du Chili post Pinochet vs Venezuela post Chavez). Du coup, les communistes et socialistes n'ont aucune leçon à donner (surtout actuellement avec le Venezuela).

Et si les critiques de libéraux Pinochet viennent d'un social-démocrate, il suffit de leur rappeler la complaisance (et même l'admiration) des démocrates américains face à Mussolini.

 

De manière général, la complaisance des auteurs libéraux envers les régimes d'extrème droite était dans des cas où le choix était les communistes ou l’extrême droite. 

  • Nay 2
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Il y a 3 heures, Philiber Té a dit :

Même si j'ai découvert que sur Twitter, il n'y a pas que ça qui nourrit la confusion : des gens avec une étiquette libérale, on en trouve plein finalement

Ce qui n'aide pas forcément à s'y retrouver quand on s'y connaît peu vu que pour la plupart "la liberté oui, mais.." 

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il y a une heure, Zagor a dit :

Je présume que le dictateur qui revient tout le temps est Pinochet.

Je n'ai jamais compris pourquoi les libéraux ont du mal à répondre à cette attaque: le nombre de morts lié au régime de Pinochet (3000) est largement inférieur à n'importe quel régime communiste (sans parler de la comparaison l'Etat du Chili post Pinochet vs Venezuela post Chavez). Du coup, les communistes et socialistes n'ont aucune leçon à donner (surtout actuellement avec le Venezuela).

 

Défense (utilitariste qui plus est) de Pinochet qui est complètement superflue. Il n'était pas libéral, il a appliqué des réformes économiques à tendance libérale. On a pas à défendre Pinochet, Friedman par contre oui. Si c'est le cas, tu peux dire que Milton considérait que son aide était un cheval de Troie pour plus de liberté, moins de violences, la fin de la dictature, etc.

  • Yea 2
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Il y a 12 heures, Zagor a dit :

 

Je présume que le dictateur qui revient tout le temps est Pinochet.

Je n'ai jamais compris pourquoi les libéraux ont du mal à répondre à cette attaque: le nombre de morts lié au régime de Pinochet (3000) est largement inférieur à n'importe quel régime communiste (sans parler de la comparaison l'Etat du Chili post Pinochet vs Venezuela post Chavez). Du coup, les communistes et socialistes n'ont aucune leçon à donner (surtout actuellement avec le Venezuela).

Et si les critiques de libéraux Pinochet viennent d'un social-démocrate, il suffit de leur rappeler la complaisance (et même l'admiration) des démocrates américains face à Mussolini.

 

De manière général, la complaisance des auteurs libéraux envers les régimes d'extrème droite était dans des cas où le choix était les communistes ou l’extrême droite. 

Ne fais jamais de politique.

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Il y a 12 heures, Tramp a dit :

Friedman n’a aidé Pinochet à rien. 

Le plan de Cauas / Les Chicago Boys / el ladrillo / La lettre de Friedman a Pinochet / le libéralisme économique.

C'est utile de se remettre dans le contexte de l'échange parfois.

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il y a 8 minutes, Wayto a dit :

Le plan de Cauas / Les Chicago Boys / el ladrillo / La lettre de Friedman a Pinochet / le libéralisme économique.

C'est utile de se remettre dans le contexte de l'échange parfois.

 

Ça confirme ce que je dis.

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Il y a 19 heures, Nigel a dit :

Les universités de sociologie privées sont bien implantés au Brésil. Aucun risque que la discipline disparaisse. 

 

Qui plus est à l'heure d'internet, l'accès à des études écrites en portugais ne me semblent pas compliquées. 

 

 Après oui, on pourrait préférer moins dépenses plutôt qu'une redirection. 

 

Oui, on n'en est pas à l'interdiction de la sociologie ou de la philosophie au Brésil.

Mais j'ai l'impression que si des libéraux se réjouissent de cette décision, c'est tout simplement parce que ça emmerde les gauchistes (et que potentiellement ça ralentirait la diffusion de leurs idées). D'où la conclusion : "les libéraux soutiennent les gouvernements de droite / d'extrême-droite, car ils ont des affinités politiques" et "les libéraux tolèrent l'intervention de l'État quand il s'agit d'embêter ceux qui ne pensent pas comme eux / quand ça n'atteint pas les libéraux".

Le peuple de droite, pragmatique, dira que l'on n'a pas besoin de plaire aux gauchistes, donc on s'en fout de ce qu'ils pensent. :icon_wink:

 

Il y a 18 heures, Zagor a dit :

 

Je présume que le dictateur qui revient tout le temps est Pinochet.

Je n'ai jamais compris pourquoi les libéraux ont du mal à répondre à cette attaque: le nombre de morts lié au régime de Pinochet (3000) est largement inférieur à n'importe quel régime communiste (sans parler de la comparaison l'Etat du Chili post Pinochet vs Venezuela post Chavez). Du coup, les communistes et socialistes n'ont aucune leçon à donner (surtout actuellement avec le Venezuela).

Et si les critiques de libéraux Pinochet viennent d'un social-démocrate, il suffit de leur rappeler la complaisance (et même l'admiration) des démocrates américains face à Mussolini.

 

De manière général, la complaisance des auteurs libéraux envers les régimes d'extrème droite était dans des cas où le choix était les communistes ou l’extrême droite. 

 

Hayek et Friedman concernant Pinochet, Von Mises pour Mussolini, Rothbard pour les droits civiques, etc.

 

Je pense que la critique principale tourne autour du discours de certains libéraux :

- "X n'est pas libéral, car voilà ce qu'est le vrai libéralisme [citations de penseurs de référence du libéralisme]"

- chez ces penseurs ont trouve des exceptions ou des écarts à la ligne du "vrai libéralisme"

- si ces gens sont des références du "vrai libéralisme", pourquoi X n'en serait pas finalement ?

Ça fait évidemment échos au débat sur le communisme qui a été un jour appliqué ou non : l'URSS ? Cuba ? la Corée du Nord ? les Khmers Rouges ? les Nazis ?

 

Pour schématiser très grossièrement les choses : pourquoi l'affirmation "le fascisme est l'ennemi naturel du communisme" serait fausse et pas la suivante "le fascisme est l'antithèse du libéralisme" ?

Certains à gauche admettent très bien que les exemples cités précédemment ont une parenté avec les idées qu'ils défendent, et que justement, ils construisent leur pensée en opposition avec ces "lignes" (entre l'auto-critique, la déconstruction et la bataille des chapelles classiques à gauche et à l'extrême gauche). Cette logique serait absente chez les libéraux, car ils ne reconnaissent aucun rapprochement possible entre le libéralisme et ce qui s'est passé ailleurs ou même actuellement. Le "vrai libéralisme" serait une idéologie hors-sol puisqu'il n'en existe aucun exemple concret dans le monde : si on trouve une similarité quelque part, les libéraux pointent directement les divergences pour s'épargner le constat, qu'au fond, leur "libéralisme" ne fonctionne pas ou mène à des catastrophes.

Comme ces communistes qui expliquent que Staline ne peut pas être un communiste pour X raisons, donc qu'on ne peut pas prendre l'exemple de l'URSS comme une critique de leurs idées (ou les tenir responsable).

 

Et on peut effectivement rajouter le "Quitte à choisir entre la peste et le choléra, mieux vaut l'extrême-droite à l'extrême gauche" (qui contribue peut-être au phénomène de l’appât "anti-communiste" que j'ai évoqué ailleurs).

Après, je ne suis pas sûr que ce soit le bon endroit pour discuter de ça (il doit déjà y avoir des topics sur ces sujets d'ailleurs, je me souviens de quelque chose sur les Chicago Boys et Pinochet...). Mais disons juste que l'exemple avec Jair Bolsonaro viendrait renforcer cette interprétation.

 

Il y a 17 heures, Restless a dit :

Ce qui n'aide pas forcément à s'y retrouver quand on s'y connaît peu vu que pour la plupart "la liberté oui, mais.." 

 

Oui, je suis paumé personnellement. Entre les droitards paladins de la liberté (mais ça dépend pour qui) et les anciens de l'UMP / Les Républicains, ceux qui affichent la liberté comme un étendard mais qui ne savent visiblement pas ce que ce mot veut dire (exemple : TV liberté)... C'est peut-être moins pire que sur Facebook ceci-dit, parce qu'ils ne sont pas regroupés sur des pages qui s'appellent "libér****" quelque chose. :jesaispo:

  • Yea 1
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  • 2 weeks later...
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