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Gaspard Koenig


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L'homme est libre et n'a pas besoin de l'état pour exister. Par contre l'état a besoin de contrainte pour exister, et les hommes d'état (de pouvoir) préfèrent des sujets non libres pour assouvir leur volonté de pouvoir.

Robinson est libre, par contre Vendredi ne l'est pas.

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il y a une heure, Lameador a dit :

Son idée, c'est que la liberté ne peut exister qu'à condition d'être défendue par une volonté politique. Ca n'a rien de stupide.

C'est juste antithétique.

L'Etat est défini comme l'organisation qui revendique avec succès le monopole de la violence physique légitime sur un territoire donné (ou un truc du genre, chuis nul en allemand, (c) Weber). Par là, l'Etat, peu importe son incarnation, est le seul obstacle à la liberté (tel que définie par les libéraux). Donc toute volonté politique (i.e. toute action de l'Etat) est un obstacle à la liberté.

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7 minutes ago, Neomatix said:

Par là, l'Etat, peu importe son incarnation, est le seul obstacle à la liberté (tel que définie par les libéraux anarcaps).
 

 

L'Afghanistan, cette zone de liberté. Curieusement, aucune alternative au  "Free State Project" ne s'y est précipitée.

 

Quote

Donc toute volonté politique (i.e. toute action de l'Etat) est un obstacle à la liberté.

 

 

C'est un point de vue très théorique qui me semble élaboré depuis le haut d'une tour d'ivoire.

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il y a 7 minutes, Lameador a dit :

L'Afghanistan, cette zone de liberté. Curieusement, aucune alternative au  "Free State Project" ne s'y est précipitée.

Cette objection de socialiste.

Par cette définition de l'État, l'Afghanistan n'est pas une zone dans laquelle l'Etat n'existe pas. Au contraire, c'est une zone dans laquelle deux Etats (la RIA et les talibans) contrôlent chacun environ la moitié du territoire.

il y a 7 minutes, Lameador a dit :

C'est un point de vue très théorique qui me semble élaboré depuis le haut d'une tour d'ivoire.

Ça dépend ce que tu entends par "volonté politique", j'imagine. Si ça se traduit par une réduction du périmètre de l'État de l'intérieur alors je suis d'accord, sinon le propos de GK est nawak.

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Il y a 2 heures, Lameador a dit :

J'ai bien aimé cet article court, dense et pertinent.

 

Moi aussi.

J'ai été intéressé par l'idée que les réseaux sociaux fonctionnent comme des aéroports. Les chemins sont prédéfinis, l'individu est guidé par ses désirs, le libre arbitre s'applique mal et est très affaibli.

 

J'ajoute une citation :

 

Citation

Se contenter d’accuser l’État et ses régulations me semble trop réducteur. Il existe aujourd’hui un complexe économico-administratif, regroupant les grandes entreprises et la technocratie, qui est obsédé par l’élimination du risque.

 

C'est aussi mon avis. L'élimination du risque était d'ailleurs précisément le sujet d'un ancien billet auquel je pense un peu trop souvent depuis mars dernier.

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il y a 53 minutes, Mathieu_D a dit :

A moins avis on peut séparer Droit et État. On a besoin du droit, on a besoin d'un garant du droit.

Un État peut réussir à garantir le droit mais ce n'est pas la seule possibilité.

On voit des ressemblances avec le système bancaire.

On a besoin d'un système bancaire viable.

Des banques (tiers) peuvent garantir le système bancaire,

mais ce n'est pas (plus) la seule possibilité.

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La politique et le Droit font partie de la nature humaine et seront nécessairement présents partout où les humains vivent sauf situations exceptionnelles et non pérennes comme les robinsonnades (qui ont vocation à se résoudre à moyen terme, ne serait-ce que par la mort de Robinson). La perspective contractualiste peut avoir une pertinence non pas quand il s'agit de sortir d'un mythique état de nature, mais quand il s'agit de choisir entre différentes sociétés, ce qui peut se traduire par la participation à la vie politique ou le fait de voter avec ses pieds. La liberté est entièrement une autre question qui concerne les choix politiques que l'on décide de poursuivre. Dire que la société aurait une tâche en dehors de sa propre survie, et que cette tâche serait de rendre les gens libres, ça relève du slogan sans substance.

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1 hour ago, Neomatix said:

Cette objection de socialiste.

Par cette définition de l'État, l'Afghanistan n'est pas une zone dans laquelle l'Etat n'existe pas. Au contraire, c'est une zone dans laquelle deux Etats (la RIA et les talibans) contrôlent chacun environ la moitié du territoire.

Après si on appelle État la moindre bande de brigands qui exerce pouvoir et autorité sur une zone on va rapidement avoir un problème de définition.

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C'est quand même bien curieux de voir les aéroports comme des lieux de spoliation pour, quelques lignes plus tard, défendre le revenu universel et une "école publique, gratuite et obligatoire".

 

D'ailleurs, il était pas en plus pour l'interdiction de l'enseignement privé ? (à moins qu'il ait changé d'avis depuis)

 

Bref, j'ai du mal à voir en notre camarade jacobin un grand défenseur de la liberté.

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Mais non enfin, il est mauvais cet article.

 

Citation

Un aéroport est une sorte de monopole naturel : difficile de choisir son aéroport quand on veut prendre l’avion.

Je ne suis pas @Tramp mais ça me semble difficile à défendre: un monopole, c'est pas un truc qui permet de pratiquer des prix très élevés? Alors pourquoi le prix du transport aérien est-il devenu si cheap? (Et si c'est compatible avec un monopole, alors qu'est-ce qu'on s'en fout qu'il y ait un monopole franchement.) Je ne connais pas les aéroports français mais vaguement les US, et si on remplace les AIP programs (subventions aux aéroports pour leurs infrastructures) par exemple par des PFCs, si on supprime les régulations (qui vont avec l'AIP), on verra si c'est encore un monopole. Comme le dit @ttoinou il n'y a que les socialistes pour parler de monopoles naturels.

Citation

Les aéroports sont conçus pour orienter les passagers, comme des rats de laboratoire, à travers les espaces commerciaux.

Cette analogie n'a aucune espère de pertinence, c'est juste de la polémique.

Citation

En achetant son billet, nous avons donc aussi vendu une partie de notre temps de cerveau à des publicitaires.

Ça n'a aucun sens: on ne vend pas du temps. Pardon mais on dirait Marx avec son histoire d'acheter le temps de travail de l'ouvrier et pas sa production pour l'enculer en douce avec de la plus-value. Par ailleurs, ça ne veut rien dire du "temps de cerveau". By the same token, les gens d'Amnesty International qui m'abordent dans la rue me volent du temps de cerveau en proposant de me parler des enfants affamés en Bouriatie russe => je devrais pouvoir les poursuivre pour violation du NAP sur mon tandecervo.

Citation

Des alternatives existent bien sûr, de DuckDuckGo à Tor en passant par les VPN. Mais leur utilisation est parfois complexe et ferme de nombreuses portes. Faudra-t-il demain scanner un Health Pass pour entrer dans un bar, comme en Chine ?

That escalated quickly. La Chine est un bon exemple de pays où l'Etat intervient très peu d'ailleurs, spot on mec.

Citation

Allons-nous après-demain installer des caméras de reconnaissance faciale sur les arbres des forêts pour vérifier les autorisations de promenade ? Cette perspective ne vous fait-elle pas frémir ?

Ce qui ne me fait pas frémir, c'est la privatisation des espaces naturels pour leur préservation. Voilà par exemple un article vraiment intéressant sur le sujet https://www.tandfonline.com/doi/full/10.1080/21550085.2019.1652313

Citation

Le secteur privé est tout autant producteur de normes.

L'anarchie != l'anomie. C'est bien on découvre l'eau chaude.

(Donc après il met ces âneries sur la liberté rousseauiste qui a inspiré Hayek.)

 

Citation

J’ai rencontré à Los Angeles des entrepreneurs issus des neurosciences qui vendent aux apps des techniques pour « rendre les utilisateurs addict ».

Les réseaux sociaux en font un usage gourmand, enfermant les citoyens dans des bulles cognitives qui expliquent largement la polarisation et la radicalisation du débat politique. Chacun est dirigé par des notifications bien choisies à travers les couloirs de l’aéroport.

Ok donc ça n'a rien à voir. On n'est pas plus conditionnés dans un aéroport que dans un centre commercial. Les réseaux sociaux produisent un biais de confirmation (mais pas que les réseaux sociaux: youtube, amazon ne sont pas des réseaux sociaux). Les techniques pour rendre les utilisateurs addicts on n'a pas attendu les neurosciences pour ça, il suffit de s'intéresser à la fabrication des cigarettes. Ce qui apparaît et qui est vraiment intéressant, mais dont GK ne parle justement pas, c'est le nudge ou paternalisme libertarien, sur lequel je n'ai pas encore d'avis tranché.

L'argument sur la polarisation du débat politique est du pur intuitionnisme. Au doigt mouillé/sens commun, on peut penser qu'il a raison, mais il y a plein d'autres explications sociologiques, historiques économiques etc dont ça fait l'économie. Internet donne accès à une quantité infinie d'information, et les gens ont un biais de confirmation, et c'est plus facile de construire un narratif avec peu d'information qu'avec beaucoup, donc ça crée des bulles autonomes, qui créent une contre-réaction (les fact checkers, zététiciens, et maintenant fb qui facte-checke les infos pour toi), qui créent des contre-réactions (des nouveaux réseaux sociaux alternatifs comme parler, thinkspot et un autre dont j'ai oublié le nom qui est une sorte de reddit de droite). On a vu ça assez spectaculairement à l'oeuvre récemment avec l'engouement aussi soudain qu'absurde pour Signal après le changement des conditions d'utilisation de WhatsApp.

Mon propos n'est pas de dire que les plateformes comme fb nous veulent du bien et que les Etats nous veulent du mal, mais que le problème est plus compliqué, que je commence à peine à le comprendre, que le réseau social est un phénomène qui peut tirer dans toutes les directions et que le réduire à un facteur de polarisation et d'isolement ou je ne sais quoi c'est du niveau Le Monde. On va prendre un exemple parlant: je préfère 100x lib.org à mes conversations politiques irl et j'y ai sans doute lu des opinions bien plus diversifiées que irl justement. Parce que la presse nationale/la tv nationale, ça n'est pas non plus comme si c'était une énorme diversité de vues intellectuelles (normal, une partie est subventionnée). Ça par contre, GK, ça lui en touche une sans faire bouger l'autre.

On top of all that, l'argument classique de la complexité hayékienne (things are complicated and you need to be like a golden tool to fix them... and you're not!) marche bien contre les solutions qu'il propose, au-delà de son constat partiel et biaisé.

(+1 au message de @Lancelot, j'ajouterais qu'il confond la société et l'Etat, ce qui est un peu flippant quand on y pense, mais c'est probablement juste pour que son constructivisme se voie pas trop.)

 

Citation

Une instruction que l’on pourra souhaiter plus décentralisée qu’aujourd’hui, mais qui n’en relève pas moins d’une école publique, gratuite et obligatoire.

Voilà bien un truc que je reprocherais à cet article: GK propose un truc qui, on the face of it, est quand même bien incohérent, mais après je suis de bonne composition, je veux bien qu'on m'explique le raisonnement derrière, sauf qu'il ne le fait pas.

il y a 1 minute, Extremo a dit :

Bref, j'ai du mal à voir en notre camarade jacobin un grand défenseur de la liberté.

Je veux bien que GK soit libéral, mais il est libéral de la frange Open Society et du piecemeal social engineering.

 

il y a 10 minutes, Lancelot a dit :

La perspective contractualiste peut avoir une pertinence non pas quand il s'agit de sortir d'un mythique état de nature

mais dans le cas d'un véritable contrat :mrgreen:

Cf cet article excellent

il y a 4 minutes, Mathieu_D a dit :

Après si on appelle État la moindre bande de brigands qui exerce pouvoir et autorité sur une zone on va rapidement avoir un problème de définition.

Càd que c'est difficile de dire que l'Etat américain n'est pas un Etat.

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il y a 8 minutes, Mathieu_D a dit :

Après si on appelle État la moindre bande de brigands qui exerce pouvoir et autorité sur une zone on va rapidement avoir un problème de définition.

a partir du moment ou c'est devenu un symbole d'intellectualisme de dire "l'état est un brigand stationnaire", n'importe quel brigand devient l'état.

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il y a 7 minutes, Vilfredo Pareto a dit :

Je ne suis pas @Tramp mais ça me semble difficile à défendre: un monopole, c'est pas un truc qui permet de pratiquer des prix très élevés?

 

Pas nécessairement : un monopole naturel (non protégé par l'État d'une manière ou d'une autre) n'empêche pas l'apparition d'un concurrent, surtout si la manne semble substantielle -> une entreprise en situation de monopole a donc intérêt à ne pas trop monter ses prix sous peine de voir débarquer des concurrents qui proposeront des prix plus faibles -> perte des parts de marché pour l'intéressé (il me semble que dans un de ses vieux articles, @h16 avait partagé des études qui allaient dans ce sens. Sinon D. Friedman en parle, de mémoire, dans Vers une société sans État).

 

il y a 7 minutes, Vilfredo Pareto a dit :

Alors pourquoi le prix du transport aérien est-il devenu si cheap?

 

Pour le coup, transport aérien ≠ aéroport ? (Comprendre : cette histoire de monopole qui concerne les aéroports n'a rien à voir avec les entreprises aériennes qui sont, elles, en concurrence). Ca n'enlève rien à mon point précédent ceci-dit.

 

il y a 7 minutes, Vilfredo Pareto a dit :

(Et si c'est compatible avec un monopole, alors qu'est-ce qu'on s'en fout qu'il y ait un monopole franchement.)

 

Si le monopole est naturel (i.e. si telle entreprise a obtenu un monopole sur tel marché sans intervention de l'État i.e. en étant meilleur que ses concurrents qui ont coulé ou se sont reconvertis dans un autre domaine), il n'y a rien à en foutre en effet.

 

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Je veux bien qu'il y ait un problème avec l'application nanarcap de la phrase d'Augustin, au sens où l'Etat n'est pas un simple pourvoyeur du service de la sécurité, mais où il légitime cette position, ce que la mafia ne fait pas. Mais la rationalisation a posteriori de son monopole ne le rend pas légitime. Dans la mesure où c'est l'Etat qui est producteur de la légitimité de son monopole (légitimité qui repose sur des règles transcendantes ou des élections, en gros, et où c'est encore l'Etat qui décide qui vote, à partir de quand et ce qui compte comme majorité -- relative, absolue, qualifiée -- ou même si on va choisir la majorité ou l'unanimité ou le tirage au sort), le moins qu'on puisse dire c'est que l'argument se mord la queue, et que les libertariens sont plus réalistes que les libéraux tout court sur cette question. Si on regarde ce que Locke a à dire sur cette question par exemple, tout ce qu'il trouve c'est qu'il faut suivre la position de la majorité parce que le corps politique, comme un corps physique, est orienté dans la direction où le plus de force est appliqué. C'est moyen comme justification.

Ce qui définit vraiment l'Etat, c'est la souveraineté. Là encore, on va tomber dans des querelles de définition, mais globalement, on peut s'accorder sur la version "casser et faire les lois" et "décider (en situation exceptionnelle)". Les anarcaps réinterprètent la souveraineté en un monopole de production de la loi, qui peut être aussi produite de façon privée (Benson, Friedman).

Il y a plusieurs compréhensions de la légitimité en concurrence: légitimité comme conforme aux préférences individuelles (unanimité ou pareto-optimalité), légitimité comme conforme au DN, ou légitimité au sens de conforme au droit positif. Malheureusement, pour s'en tenir au 2e type de légitimité sans passer au 3e, il faudrait pouvoir "arrêter l'Etat", ce qui est doutablement possible (et oui je pique les analyses de Jasay sans vergogne, je suis en train de lire ses livres donc c'est normal).

 

Le 23/02/2021 à 15:17, Ultimex a dit :

Pas nécessairement : un monopole naturel (non protégé par l'État d'une manière ou d'une autre) n'empêche pas l'apparition d'un concurrent, surtout si la manne semble substantielle -> une entreprise en situation de monopole a donc intérêt à ne pas trop monter ses prix sous peine de voir débarquer des concurrents qui proposeront des prix plus faibles -> perte des parts de marché pour l'intéressé (il me semble que dans un de ses vieux articles, @h16 avait partagé des études qui allaient dans ce sens. Sinon D. Friedman en parle, de mémoire, dans Vers une société sans État).

Ah oui c'est vrai, j'avais vu ça en théorie des jeux (dans l'explication que donne Kreps du duopole de von Stackelberg dans Théorie des jeux et modélisation économique). Merci de corriger.

Le 23/02/2021 à 15:17, Ultimex a dit :

Pour le coup, transport aérien ≠ aéroport ? (Comprendre : cette histoire de monopole qui concerne les aéroports n'a rien à voir avec les entreprises aériennes qui sont, elles, en concurrence). Ca n'enlève rien à mon point précédent ceci-dit.

Oui. Du coup on comprend encore moins pourquoi il en a après les aéroports.

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il y a 42 minutes, Extremo a dit :

C'est quand même bien curieux de voir les aéroports comme des lieux de spoliation pour, quelques lignes plus tard, défendre le revenu universel et une "école publique, gratuite et obligatoire".

 

C'est vrai que Gaspard Koenig fait ici un joli saut lacantique.

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il y a 34 minutes, Vilfredo Pareto a dit :

Du coup on comprend encore moins pourquoi il en a après les aéroports.

Parce qu'il y passe beaucoup plus de temps que la plupart des gens ?

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Le problème posé par Koenig me parait réel, la manière de le poser bancale et les solutions désastreuses.

 

En fait, il utilise une critique conservatrice du libéralisme (ou une question posée par le conservatisme au libéralisme) pour faire avancer son agenda progressiste.

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5 hours ago, F. mas said:

Ah tous ces gens qui font rien qu'à critiquer et qui pourraient proposer des articles pour CP... (musique triste jouée avec un Harmonica naze)

 

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Si tu tiens absolument à booster l'audience de contrepoints , mettre des chats mignons à la place des articles de Patrick Aulnas serait une piste fertile :) . Plus sérieusement , je trouve dommage que GK se fasse étriller dans les commentaires alors qu'il essaie de porter une vision d'inspiration libérale tout en postulant à un ministère.

 

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il y a 5 minutes, Lameador a dit :

 

Si tu tiens absolument à booster l'audience de contrepoints , mettre des chats mignons à la place des articles de Patrick Aulnas serait une piste fertile :) . Plus sérieusement , je trouve dommage que GK se fasse étriller dans les commentaires alors qu'il essaie de porter une vision d'inspiration libérale tout en postulant à un ministère.

 

Déjà, qu'il ne mette pas un chapeau de l'article; "Je ne suis pas anti-libéral".

Se défendre de ne pas être anti-libéral est déjà une mauvaise entame. GK n'est pas anti libéral, certes, mais c'est le minimum qu'on exige.

 

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Il y a 6 heures, F. mas a dit :

Ah tous ces gens qui font rien qu'à critiquer et qui pourraient proposer des articles pour CP... (musique triste jouée avec un Harmonica naze)

 

Modère les incitations. Après, on va se trouver avec Contrepoints Philosophie, le supplément du week-end qui prend six mois pour être lu.

 

Il y a 5 heures, Rincevent a dit :

Parce qu'il y passe beaucoup plus de temps que la plupart des gens ?

 

C'était il y a deux ans qu'on parlait de libéraux-eurostar, non ? ^^

Enfin, je me demande toujours comment on peut considérer l'aéroport comme un bon exemple. Les dix minutes passées à traverser un duty-free, qui n'est que la décoration agréable d'un long couloir nécessaire, me paraissent le paradis face aux contrôles anti-terroriste sans fin.

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il y a 6 minutes, Bézoukhov a dit :

C'était il y a deux ans qu'on parlait de libéraux-eurostar, non ? ^^

J'avais oublié cette expression, mais bon, un anywhere entre plus souvent dans un aéroport que chez son voisin, je suppose.

 

il y a 8 minutes, Bézoukhov a dit :

Enfin, je me demande toujours comment on peut considérer l'aéroport comme un bon exemple. Les dix minutes passées à traverser un duty-free, qui n'est que la décoration agréable d'un long couloir nécessaire, me paraissent le paradis face aux contrôles anti-terroriste sans fin.

Ah m'en parle pas, bordel. L'humiliation rituelle des voyageurs est la principale raison pour laquelle je n'ai quasiment jamais pris l'avion depuis que je suis dans le coin, alors que l'aéroport est très bien desservi en transports en commun.

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il y a 2 minutes, Rincevent a dit :

 

 

Ah m'en parle pas, bordel. L'humiliation rituelle des voyageurs est la principale raison pour laquelle je n'ai quasiment jamais pris l'avion depuis que je suis dans le coin, alors que l'aéroport est très bien desservi en transports en commun.

 

Les aeroports suisses sont nickel pourtant.

Pareil pour celui de Bruxelles.

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il y a 3 minutes, Largo Winch a dit :

Pour moi, l'aéroport de Genève est catastrophique...

Parce qu'ils te forcent à le quitter par le corridor à Frouzes ? Côté canton, il m'avait paru acceptable (et comme il est plus petit que Roissy ou Orly, ça m'a semblé beaucoup plus pratique). Ou bien tu veux développer ?

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Ouais, c'est un aéroport international à l'échelle d'un canton de 500 000 habitants (et cette petitesse me plait, le chemin est plutôt direct depuis la gare jusqu'à l'embarquement). Je reconnais n'avoir jamais eu de bagages qui ne tenaient pas en cabine, donc je n'ai pas eu à souffrir de leur enregistrement et récupération (merci du tuyau, d'ailleurs). Pour l'aérogare, il n'y a à peu près rien, en effet, mais comme je ne suis pas vraiment du genre accro au duty-free ça m'a assez peu dérangé (c'est embêtant en cas de retard, c'est vrai).

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