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Un site pour relations extraconjugales hacké aux Etats-Unis


Lameador

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l'accusation de manque d'experience of course n'etait pas pour toi, d'ailleurs ton post etait moins enervant que ceux des autres a cause que y a plus de mots n'dedans.

 

en revanche

 

Il ne s'agit en aucun cas de criminaliser les actions des "victimes", juste de dire que ça n'a rien de choquant qu'elles doivent assumer leurs conneries en public, il ne s'agit pas de dire "ceux qui n'ont rien à cacher n'ont rien à craindre", mais de dire "ceux qui assument leurs actes n'ont rien à craindre", ce n'est pas la mème chose, si le risque est la perte de "statut social" parce que les mensonges s'envolent, il ne s'agit que d'une correction d'une évaluation invalide de la societé.

 

 

je ne suis pas d'accord.Je pense que c'est un probleme tres grave de la societe qui s'en vient et que tu l'ecartes avec legerete.

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je ne suis pas d'accord.Je pense que c'est un probleme tres grave de la societe qui s'en vient et que tu l'ecartes avec legerete.

 

C'est indubitablement un problème très grave de la societé actuelle, et du futur proche, le relatif anonymat qui à émergé de la vie hyper-citadine dans la modernité est en train de rompre par les mèmes forces technologiques qui ont permi son émergence, mais sa disparition n'est un problème que si on pense que le produit de la modernité anonyme est bon à prendre.

 

Pour ma part, j'observe qu'avec l'abandon de l'individualité "responsable" du monde moderne, et la possibilité offerte d'etre à la marge des conventions sans en payer le prix, la difficulté réelle d'etre différent à disparu, je suis le premier à en profiter (du point de vue des normes sociétales, je suis bien plus marginal que le type qui trompe sa femme de façon débile sur le ternet, il est dans la moyenne lui...), mais je suis également très bien placé pour me rendre compte qu'en l'absence d'obstacles sociaux significatifs, la marginalité n'est plus autant récompensée par le génie, le talent est trop facile à exercer, la vie trop "facile" quand on est un marginal, and punk died from fucking welfare and apathy.

 

Les obstacles, la réalité tangible de la pression sociale qui oblige à payer toute fracture de la façade, c'est ce qui donne de la valeur à l'individu, la liberté sociale n'est pas l'absence d'obstacles, mais la possibilité de les dépasser avec une volonté d'acier (ce qui implique de ne pas se faire buter, parce que les morts ont une volonté faiblasse, y'a rien de plus conformiste qu'un cadavre), l'anonymat de la nuée est confortable, mais c'est le confort de l'anesthesie. Les violations de normes sont enveloppées dans une grosse mousse de "not my problem" qui à de plus comme effet de renforcer bien au delà du raisonnable les interdits qui arrivent à dépasser, ce qui crée une societé de "tout passe, tout est mou, mais si tu passe la limite loin là bas ou personne ne va jamais, on va te lapider direct parce que tu ne sera pas humain de toute façon, si tu était humain, tu serait resté dans le choix gigantesque de perversions tolerées !"

 

Je prèfère une societé de coupables qui oblige à la pratique de la magnanimité au quotidien, qui oblige l'homme à etre confronté à la difficulté du jugement moral et de toutes les putains de nuences de gris crade de la réalité, qu'une societé "d'innocents" parce que rien n'est coupable, ou il n'y à rien à pardonner, aucune fortitude morale à avoir, je rapelle que seul la possibilité de discriminer donne de la valeur à l'acceptation et à l'ouverture, l'ouverture parce qu'on n'a pas trouvé la poignée pour fermer la porte, ce n'est pas de l'ouverture !

 

 

  • Yea 1
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Addendum: La disparition des contraintes sociétales réelles et solides à une deuxième conséquence (ou une cause, osef, la causalité c’est pour les faibles…), si tout ce qui n’est pas interdit est hors du champ du jugement, ça conduit naturellement à la confusion entre vices et crimes, confusion qu’on voit içi communément où les gens confondent tout autant condamnation morale et condamnation pénale que les étatistes, la seule différence étant que là où les étatistes disent « c’est moralement condamnable, donc zonzon », les libéraux disent « cette personne n’a pas à aller en zonzon, donc ce n’est pas moralement condamnable », le problème c’est que ça à les exactes mêmes conséquences en terme civilisationnel, la frontière entre les deux est moins épaisse qu’on ne veut bien le croire (violer un contrat dont on n’est pas partie prenante est immoral, donc doit forcément être illégal…)

 

Du coup, il devient impossible de fait d’être à la fois antisocial (tu perds ton sang-froid) et de ne pas être un criminel, on est soit conformiste dans une des multitudes de marginalités acceptées et respectées, soit un hors la loi qui ne mérite rien d’autre que d’etre pendu en place publique, ça pose des petits problèmes de survie pour ceux qui n’ont pas du tout l’intention de rentrer dans une case capitonnée, et ce quel que soit le choix gigantesque dans la couleur de la peinture de la case bien capitonnée.

 

On le voit avec la prolifération des « débats de société » à la con, ou sous prétexte que la réalité est complexe, que des situations considérées comme immorales selon les conventions sociales peuvent être un moindre mal, voir des bonnes situations, on DOIT changer les règles plutôt que d’admettre que duh, les règles sont à chier dans les détails, mais valides dans le cas général, et que c’est à ça que ça sers d’être souple sur l’application des règles.

 

Plutôt que de rechercher la souplesse dans l’application des contraintes, on va tout droit dans le piège de

 

« il faut respecter les contraintes à la lettre » =>  « ça marche pas, y’a des drames » =>  « changeons les règles, mais pas la méthode surtout ! »

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Le christ face à la femme adultère n'a pas dit "yo, continue ma poule c'est glop et ça me regarde pas de toute façon", il à dit "cocotte, c'est crado ton truc, tu veux bien arreter de suite plz, je retiens les cons avec des cailloux le temps que tu te taille discretos".

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Un contrat c'est une convention par laquelle plusieurs personnes s'obligent à quelque chose. Le mariage rentre dans cette définition.

N'importe qui ne peut pas se marier et il y a des tas de règles qui n'existent pas dans le cas d'un contrat. Il faut des témoins, une personne qui prononce le mariage et le contenu est globalement fixé d'avance. Comme loi des parties, on fait mieux

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La disparition des contraintes sociétales réelles et solides à une deuxième conséquence (ou une cause, osef, la causalité c’est pour les faibles…), si tout ce qui n’est pas interdit est hors du champ du jugement, ça conduit naturellement à la confusion entre vices et crimes, confusion qu’on voit içi communément où les gens confondent tout autant condamnation morale et condamnation pénale que les étatistes, la seule différence étant que là où les étatistes disent « c’est moralement condamnable, donc zonzon », les libéraux disent « cette personne n’a pas à aller en zonzon, donc ce n’est pas moralement condamnable », le problème c’est que ça à les exactes mêmes conséquences en terme civilisationnel, la frontière entre les deux est moins épaisse qu’on ne veut bien le croire (violer un contrat dont on n’est pas partie prenante est immoral, donc doit forcément être illégal…)

En même temps, Jim, moi et les autres, on n'a pas dit "ce qu'ils ont fait n'est pas moralement condamnable", mais "c'est un peu triste pour eux quand même, et celui qui divulgue leur nom de cette manière-là fait quelque chose de dégueulasse (et pas que parce que c'est un vol de données)".

Tu me vois vraiment aller t'expliquer que l'adultère prémédité n'est pas "moralement condamnable"???

C'est une chose de dire "ils devaient s'attendre à des conséquences", c'en est une autre de dire "ces conséquences-là précisément ne sont que justice" ET "je ne pleurerai pas pour eux".

Personnellement, à partir du moment où un couple est marié, je trouve que toute rupture brutale et sans possibilité de rédemption mérite une petite larme. Donc je ne peux pas être de ceux qui se félicitent de quelque chose qui risque d'aggraver la situation et les chances de survie du mariage. "There is no plan B." Il y a juste un plan A bien pourri, certes de l'intérieur par la bêtise et le manque de moralité, mais aussi de l'extérieur par un gus dont ce n'était pas les affaires.

  • Yea 1
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N'importe qui ne peut pas se marier et il y a des tas de règles qui n'existent pas dans le cas d'un contrat. Il faut des témoins, une personne qui prononce le mariage et le contenu est globalement fixé d'avance. Comme loi des parties, on fait mieux

si tu veux dire que le contrat de mariage a été entièrement réglementé par l'Etat donc ce n'est pas un contrat, alors c'est le cas de tous les contrats (immo, assurances, création de société etc...). On n'est pas sorti de l'auberge dans ces cas-là
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Personnellement, à partir du moment où un couple est marié, je trouve que toute rupture brutale et sans possibilité de rédemption mérite une petite larme.

Evidemment, mais le responsable n'est de la rupture est toujours à l'intérieur du couple, ce n'est ni le site pourri, ni le hacker, mais la relation qui est en cause, la tromperie d'un coté, l'absence de pardon de l'autre.

Un tiers qui apporte de l'information connu d'une des deux parties ne fait que réduire l'asymétrie d'information, il ne cause pas la séparation, ce qui cause la séparation, c'est la décision de se séparer, pas les causes plus ou moins premières de la décision (donc ni l'adultère, ni sa révélation), la responsabilité, ça marche pour tout le monde.

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si tu veux dire que le contrat de mariage a été entièrement réglementé par l'Etat donc ce n'est pas un contrat, alors c'est le cas de tous les contrats (immo, assurances, création de société etc...). On n'est pas sorti de l'auberge dans ces cas-là

Je suis sur qu'en droit cannon ça n'est pas non plus un contrat.

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C'est une chose de dire "ils devaient s'attendre à des conséquences", c'en est une autre de dire "ces conséquences-là précisément ne sont que justice" ET "je ne pleurerai pas pour eux".

La conséquence, c'est d'etre obligé d'assumer sa faute, pas la séparation hypothétique, personne d'extérieur ne PEUT en etre responsable (dans le cas présent bien entendu, quand on sépare de force les femmes et les maris "parce que les douches ne sont pas mixtes", et que les dites douches sont à sens unique, il y à bien un tiers responsable...)

Ce qui est "bien fait" c'est que la vérité rattrape le menteur, rien de plus, rien de moins.

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Le christ face à la femme adultère n'a pas dit "yo, continue ma poule c'est glop et ça me regarde pas de toute façon", il à dit "cocotte, c'est crado ton truc, tu veux bien arreter de suite plz, je retiens les cons avec des cailloux le temps que tu te taille discretos".

 

Le Christ devrait arrêter de se mêler de ce qui ne le regarde pas.

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pourquoi?

 

Ce message s'adressait au mien ou à un précédent ? Et si au mien, à quelle partie s'adressait-il ? :)

 

 

En même temps, Jim, moi et les autres, on n'a pas dit "ce qu'ils ont fait n'est pas moralement condamnable", mais "c'est un peu triste pour eux quand même, et celui qui divulgue leur nom de cette manière-là fait quelque chose de dégueulasse (et pas que parce que c'est un vol de données)".

 

Pas grand monde n'a remis une médaille d'honneur au hacker non plus si tu vas par là.

 

 

 

 

C'est une chose de dire "ils devaient s'attendre à des conséquences", c'en est une autre de dire "ces conséquences-là précisément ne sont que justice" ET c'en est encore une autre de dire "je ne pleurerai pas pour eux". 

 

 

Moi personnellement, je ne pleure pas pour eux. Après ce n'est pas à moi de dire qu'ils ont eu justice parce que ça dépend de leurs couples.

 

Sur le plan personnel / familial : Je ne pleurerai pas pour eux quoi qu'il advienne. A savoir, que leur couple tienne ou ne tienne pas. A un moment il faut assumer les conséquences de ses actes. Tu trompes ton partenaire en jouant les mecs discret et tu te fais jarter quand ça se découvre ? Dommage pour toi, mais mes glandes lacrymo s'exerceront pour des personnes pour qui ça vaudra vraiment le coup.

 

Sur le plan social / sociétal : T'as une entreprise qui te vire là-dessus ? Exactement la même chose qu'une entreprise qui te virerait pour ton orientation sexuelle / tes idéaux politiques affichés => Entreprise à la con, valait mieux partir vu la mentalité.

Pour le reste de l'acceptation par la société : honnêtement, c'est le même problème dont je discutais avec des amis. Le petit ami d'une d'entre elle veut redéménager en solo dans un appartement tout seul après avoir vécu 3 ans dans le même appart avec elle. Il est toujours amoureux et ne veut pas arrêter la relation mais il veut juste reprendre de l'espace. Outre l'inquiétude vis à vis de sa relation, elle s'inquiète aussi sur l'image que ça peut dégager de son couple. Ce que je lui ai dit et qui je pense est important est : Tu vis ton couple pour toi ou pour les autres et la norme sociale que les autres y voient ? 

 

Vis à vis du regard des autres, on devrait s'en foutre un peu. D'autant plus que si ce genre de sites apparaissent, c'est bien parce qu'il y a une demande énorme. I.E., ce n'est plus regardé comme socialement hyper condamnable avec bucher et piloris de tromper son partenaire et d'aller voir ailleurs de temps en temps. Il n'y a qu'à voir le nombre de post ici qui (à raison), indiquent que ça ne regarde personne. 

Un peu la même chose que le divorce, c'était condamnable à une époque, vs aujourd'hui c'est normée et ça rentre bien dans un cadre sociétal.

 

Après que Mme Michu en allant chercher sa baguette fasse sa petite réflexion, elle fera exactement la même, la semaine suivante sur le nouveau piercing de la "petite Lucie, vous savez, la fille de ce jeune couple si charmant, quel dommage que leur fille tourne aussi mal, vous imaginez, un piercing sur la langue...."

 

 

 

Personnellement, à partir du moment où un couple est marié, je trouve que toute rupture brutale et sans possibilité de rédemption mérite une petite larme. Donc je ne peux pas être de ceux qui se félicitent de quelque chose qui risque d'aggraver la situation et les chances de survie du mariage. "There is no plan B." Il y a juste un plan A bien pourri, certes de l'intérieur par la bêtise et le manque de moralité, mais aussi de l'extérieur par un gus dont ce n'était pas les affaires.

 

Y'a des gens qui félicitent. Y'a des gens qui verse leurs larmes. Y'a des gens qui disent : Bon bah, X a menti à son partenaire, ça s'est su d'une façon ou d'une autre (hackage de site, voisine qui a surpris le couple d'amants, rouge à lèvre mal planqué sur la chemise...), bah X aura ce qu'il mérite. Et ce qu'il mérite, c'est son partenaire qui le décide. Pas moi, ni personne d'autres. Mais mes larmes, je les réserve pour des couples qui se séparent pour une broutille. Ou parce que l'amour s'éteint vraiment. Ou parce qu'ils ne trouvent pas un accord vis à vis de deux cultures, deux familles opposés, les Roméo et Juliette, les couples de culture religieuse différentes, etc.

Mais pas pour ça.

 

Mais c'est une considération personnelle et c'est très honorable d'estimer qu'un couple qui se brise, ça reste triste. En ça, je suis d'accord.

 

De là à dire que ceux qui ne pleurent pas sont à mettre sur le même rang de ceux qui félicitent, y'a un monde quand même.

 

Evidemment, mais le responsable n'est de la rupture est toujours à l'intérieur du couple, ce n'est ni le site pourri, ni le hacker, mais la relation qui est en cause, la tromperie d'un coté, l'absence de pardon de l'autre.

Un tiers qui apporte de l'information connu d'une des deux parties ne fait que réduire l'asymétrie d'information, il ne cause pas la séparation, ce qui cause la séparation, c'est la décision de se séparer, pas les causes plus ou moins premières de la décision (donc ni l'adultère, ni sa révélation), la responsabilité, ça marche pour tout le monde.

 

Voilà

 

Edit : soyons clair, les mecs qui se sont inscrits dessus pour voir ou le fun, oui ça craint. Mais on en a parlé hier Miss_Lib, je suis en accord avec toi sur pas mal de points et tu m'as donné des arguments très viables sur ta vision des choses. 

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La conséquence, c'est d'etre obligé d'assumer sa faute, pas la séparation hypothétique, personne d'extérieur ne PEUT en etre responsable (dans le cas présent bien entendu, quand on sépare de force les femmes et les maris "parce que les douches ne sont pas mixtes", et que les dites douches sont à sens unique, il y à bien un tiers responsable...)

Ce qui est "bien fait" c'est que la vérité rattrape le menteur, rien de plus, rien de moins.

Sauf que le mode de révélation de cette vérité change tout, et que donc ton raisonnement sur l'information neutre et le tiers non responsable tombe à l'eau.

Le mode de révélation provoque d'autres conséquences que juste une séparation à cause de cette vérité. Ça me semble évident qu'exposer d'un coup une infidélité à l'opinion publique, avec les preuves sordides comme les photos de cul de l'adultère, et donc exposer le couple à un déferlement de commentaires mesquins et de conseils mal avisés de la part de leur entourage et de leurs familles, plus exposer les enfants éventuels aux moqueries ou à la pitié à la limite de l'insulte... ça n'a pas les mêmes conséquences que simplement "révéler la vérité" au conjoint trompé. Ça me paraît tellement évident que je ne sais même pas comment l'expliquer : tu comprends tout de même que le dialogue entre les époux ne peut pas se faire de la même manière, aussi calmement, en l'absence de perturbations extérieures qui n'ont pas toujours leurs intérêts à coeur, et que l'impact sur l'amour propre n'est pas le même?

Même ce qu'il y a à pardonner n'est plus la même chose en fonction du mode de révélation : on ne pardonne pas de la même façon une tromperie d'une fois qui ne se reproduira plus, et une tromperie qui mène à une humiliation publique, avec le risque de lire dans les yeux de semi-inconnus qu'ils sont au courant et les silences lourds de sous-entendus à la table familiale? Il faut être un saint pour pardonner dans ces conditions!

  • Yea 1
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Soyons bien clairs : il est possible de provoquer toutes ces conséquences merdiques (humiliation publique etc.) par sa seule bêtise et manque de discrétion. Et s'il n'y avait pas eu adultère et photo au départ, il n'y aurait pas de base pour cette humiliation. Ce que je dis, c'est que dans le cas qui nous intéresse, le hacker change la situation, puisqu'il donne l'occasion de l'humiliation, qui n'aurait peut-être jamais eu lieu.

Donc bien entendu que celui qui a créé la situation et la faille dans le couple, c'est l'infidèle. Mais c'est faux de dire que le hacker joue un rôle neutre. Complètement faux et illogique.

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Le Christ devrait arrêter de se mêler de ce qui ne le regarde pas.

 

C'est à peu près ce qu'il dit "Que celui d'entre vous qui n'a jamais pêché lui jette la première pierre"

Le hacker et ceux qui le soutiennent ne se comportent pas autrement que des pharisiens des temps modernes où internet a remplacé les pierres.

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Par chez moi on appelle ces gars là des sans couilles.

Chez toi, on est comme chez moi : parfois un peu arriérés. Le mec qui a les plus grosses, c'est celui aui arrive à pardonner par amour et qui est prêt à affronter les quolibets et les humiliations. Bon, pardonner un seul écart, pas des tromperies à répétitions et postérieures au pardon.

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Chez toi, on est comme chez moi : parfois un peu arriérés. Le mec qui a les plus grosses, c'est celui aui arrive à pardonner par amour et qui est prêt à affronter les quolibets et les humiliations. Bon, pardonner un seul écart, pas des tromperies à répétitions et postérieures au pardon.

Ce que toi tu appelles amour, c'est très souvent de la dépendance affective.

 

Le cocu par toute la ville mais qui n'arrive pas à quitter sa femme, je n'appelle pas ça de l'amour mais de la dépendance.

 

Des personnes qui devraient quitter leur conjoint pour tout un tas de raison mais qui n'y arrive pas car "la peur de se retrouver seul(e)", "la peur de pas y arriver financièrement", "Tu comprends il y a les enfants", etc. il y en a beaucoup plus que de personnes qui ont trouvé l'amour, qui a fauté et à qui on a pardonné.

Alors certes ces derniers existent.

Mais dans ce genre de cas, ils donnent rarement prise à une accusation de sans couilles. Car l'amour réel qu'is portent à leur compagne et réciproquement, se voit.

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