Aller au contenu

After Obama, a new hope?


Messages recommandés

Contrairement aux hommes politiques, je n'ai pas besoin des autres pour exister. Se sentir original, c'est se comparer aux autres et j'essaye de me suffire à moi même

Ah quel dommage, ça avait pourtant (très, très) bien commencé. On ne se suffit pas à soi-même, et surtout pas dans le domaine culturel, où, si l'on veut aller un peu plus loin que le bout de son nez, il faut bien se jucher sur les épaules des générations de génies qui nous ont précédés.
Lien vers le commentaire

Pendant ce temps, Poutine trolle à donf. Epic.

 

 Epic, c'est le mot :D

 

Vladimir Poutine : « Donald trump est une personne brillante et talentueuse, ça ne fait aucun doute, mais ce n’est pas notre rôle de parler de ses qualités, c’est aux électeurs américains de le faire. Il est le leader absolu du débat présidentiel ».
Lien vers le commentaire

 

Donald Trump, en tête de la course à l'investiture républicaine pour l'élection présidentielle de 2016, se démarque non seulement par ses propos outranciers mais aussi par un vocabulaire particulièrement pauvre, qu'un enfant de 10 ans pourrait comprendre.

Si l'on applique le test Flesch-Kincaid aux discours d'introduction et de conclusion tenus par les neuf candidats lors du débat républicain qui s'est déroulé mardi soir à Las Vegas (ouest), il en ressort que c'est Donald Trump qui a le langage le plus pauvre. Cette méthode développée pour la marine de guerre américaine permet de déterminer la complexité d'un texte écrit en anglais, en fonction de la longueur de ses phrases et du nombre de syllabes dans les mots utilisés.

Le magnat de l'immobilier a tenu un discours que des enfants de 9-10 ans auraient pu comprendre, selon les calculs de la méthode du linguiste Rudolf Flesch et du scientifique J. Peter Kincaid. En 1 minute 30 de discours d'introduction et de conclusion, le moment où les candidats doivent résumer le plus efficacement possible leur message, il n'a utilisé que 7% de mots de plus de trois syllabes. Le milliardaire a pour habitude d'user et d'abuser de mots courts et simples, comme "good", "bad" et "great" ("bons", "méchants", et "génial" en français), pour étayer ses arguments lors de ses discours.

Donald Trump a d'ailleurs conclu son intervention à Las Vegas en promettant: "Si je suis élu président, nous allons nous remettre à gagner. Nous allons beaucoup gagner. Et nous allons avoir un pays génial, vraiment génial, encore plus génial qu'auparavant". Il a à l'inverse qualifié pendant la soirée le président syrien Bachar al-Assad de "mec méchant, très méchant" ("bad guy, very bad guy" en version originale).

Rassurer l'auditoire

"Donald Trump tente de rassurer son auditoire, en touchant nos instincts politiques primaires. Il répète des mots simples", explique à l'AFP Peter Lawler, professeur de sciences politiques à l'université Berry College, et auteur d'un livre sur la rhétorique politique américaine. "Une certaine frange d'Américains associent la simplicité à l'honnêteté. Ils ne croient plus aux discours trop élaborés, ils les jugent trompeurs", ajoute Matthew Baum, professeur de communication à l'école d'administration Harvard Kennedy School.

L'homme d'affaires de 69 ans utilise également souvent le mot "bête", pour qualifier ses adversaires ou le gouvernement au pouvoir. "Nous sommes dirigés par des personnes bêtes. Auparavant je disais 'incompétent' mais 'bête', c'est vraiment le niveau supérieur", proclamait-il lors d'un meeting début décembre. L'âge estimé nécessaire pour comprendre les déclarations des autres candidats lors du débat oscille entre 11 ans pour le sénateur libertarien Rand Paul, et 15 ans pour Ted Cruz ou le neurochirurgien à la retraite Ben Carson.

http://www.7sur7.be/7s7/fr/14716/Presidentielles-USA/article/detail/2562193/2015/12/19/Donald-Trump-utilise-le-vocabulaire-d-un-enfant-de-10-ans.dhtml

 

Lien vers le commentaire

Si on me donne le choix entre Hillary et Trump ,je vote sans hésitation pour hillary.

+1

Ça doit être la seule parmi les gros candidats à ne pas avoir proclamé vouloir fermer les frontières (ou alors je l'ai raté).

De toute façon, Trump contre Hillary, ça reste un choix entre deux démocrates.

Lien vers le commentaire

Plus qu'une question de méfiance, c'est davantage que les Anglo-Saxons (enfin je connais surtout US/UK) ne croient pas au père Noël à l'homme providentiel.

Cela dit, quand je vois le culte de la personnalité autour de Bernie chez les progs (et dans une moindre mesure Ron Paul chez les libertariens), ça commence à venir.

Lien vers le commentaire
Invité
Ce sujet ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.
×
×
  • Créer...