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Café des (vrais) sports


Messages recommandés

La NBA repart ! Oui, bon, ce n'est que la pré-saison, mais ça me manquait, donc j'ai regardé le Spurs vs Kings.

 

Pas trop représentatif vu que ça manquait de cadres du côté des Spurs. Ça fait bizarre de voir Belinelli chez les Kings (surtout qu'il leur file la victoire). Le géant serbe a l'air pas mal, mais un peu trop tendre. Pendant un temps mort, un mec des Kings passe à côté de lui en lui mettant un coup d'épaule au passage. Le regard incrédule de Marjanovic valait de l'or :D

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Quelle belle équipe. Waouw. 

 

Je serais deçu s'ils n'arrivent pas à faire douter un des 3 gros du Sud. 

 

D'abord l'Argentine, évidemment, qui ne va pas se laisser faire.

 

Quant à nous, maintenant. c'est sortir la tête haute et ne pas se prendre une risible patée contre les blacks. 

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Trop d'erreurs dans les phases d'attaque, des pertes de balles stupides, des phases de jeu désorganisées où les mecs se rentrent dedans, des en avant etc, surtout en deuxième mi-temps. Les irlandais derrière déroulaient, attaquaient au rouleau compresseur, alors la défense française fut parfaite pendant une heure mais après fini.

Évidemment je le sens pas, mais comme d'hab ils peuvent sortir un match de tarés face aux blacks puis s'écrouler après. J'ai l'impression que l'équipe de France de rugby est un éternel recommencement

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PSA j'ai l'impression qu'il est au bord des larmes a chaque fois qu'il parle. C'est moi ou bien? Tu parles d'un meneur d'hommes.

 

Les conférences sont difficiles pour lui.

 

 

Raphaël saint-andré - Entraîneur de Dax. Philippe était dyslexique et avait du mal dans l’expression orale

Philippe Saint-André l’avait révélé dans sa biographie « Saint-André, l’inédit », parue en 1999 : « Ma mère m’a donné, gamin, des cours d’orthophonie. » Aujourd’hui entraîneur à Dax, son petit frère Raphaël révèle qu’il a souffert de dyslexie dans sa tendre enfance. « Philippe était un élève moyen, confie Raphaël. Le système scolaire n’était pas fait pour lui. Il était dyslexique et avait du mal dans l’expression orale. Il n’était pas doué en Français ou dans les langues, comme la plupart des dyslexiques. »

Raphaël Saint-André trouve encore aujourd’hui son frère mal à l’aise dans l’exercice médiatique. « Cette difficulté à s’exprimer se retrouve parfois dans les conférences de presse au cours desquelles il a tendance à chercher ses mots. Ce n’est pas un exercice naturel pour lui. Je le sens crispé, stressé. Alors qu’il est jovial et enjoué dans la vie, il a tendance à refermer sa carapace face aux médias. C’est sans doute la pression du poste qui veut ça », explique-t-il.

Féru de sport, Philippe Saint-André s’est même enfermé dans sa bulle ces derniers mois. « Il ne lit plus la presse et ne va pas sur les réseaux sociaux. Il essaie de se protéger afin de conserver son indépendance d’esprit et de ne pas se polluer la tête avec les critiques qui s’abattent sur lui », précise Raphaël.

http://www.leprogres.fr/actualite/2015/09/13/philippe-etait-dyslexique-et-avait-du-mal-dans-l-expression-orale

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Le CIO votera pour l'introduction de nouveaux sports aux Jeux en septembre 2017. Si la Confédération échoue, elle pourrait proposer les boules comme «sport de démonstration» aux Jeux de 2024, si Paris ou Rome est choisi pour les organiser.

 

La boule lyonnaise au JO ?

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L'équipe de rugby de Lille finira bien par avoir des sponsors suffisants pour passer pro.

 

Tu portes la poisse  :icon_sad:

 

 A 41 ans, Hugo Maurel, gérant de société, assure être en mesure de reprendre le club. Appuyé par des investisseurs issus du monde du BTP, des médias et de la finance, cet ancien rugbyman amateur affirme être prêt à injecter immédiatement 600.000 euros dans les caisses du club. « On veut réaliser un projet à forte identité régionale. Lille ne doit pas être le club de la métropole mais celui de la région. Mais apporter 600.000 euros ne sera qu’un pansement pour la saison. Il y a surtout un gros travail à faire pour structurer le club », explique Hugo Maurel.

 

 

 

 

Et un peu de sérieux:

 

Omnium, keirin, madison... parlez-vous vélo sur piste?

 

Les championnats d’Europe démarrent mercredi soir à Granges (SO) avec leur petit lexique barbare. L’occasion de décrypter quelques-uns de ces termes.

 

L’époque où le cyclisme sur piste était un sport en vue dans nos contrées, où les Six jours de Zurich étaient un événement attendu par des dizaines de milliers de spectateurs, est révolue. Mais loin de disparaître complètement en Suisse, ce sport retrouve un peu de son lustre d’antan, grâce notamment au travail du coach national Daniel Gisiger depuis 2007 – début de sa reconstruction – et à une génération très prometteuse de cyclistes (Stefan Küng, Silvan Dillier, Frank Pasche, Théry Schir, Olivier Beer, pour ne citer qu’eux).

 

En juin 2013, l’ouverture à Granges du Vélodrome Suisse a contribué à solidifier les fondations de ce renouveau, dont le premier grand aboutissement sera, si tout va bien, les Jeux olympiques de Rio l’été prochain. Et voilà que Granges accueille cette semaine (mercredi à dimanche) les championnats d’Europe de cyclisme sur piste, 32 ans après la dernière épreuve du genre, les Mondiaux de Zurich, sur sol helvétique. Forcément, quand on n’a pas l’habitude, il s’agit de se mettre à la page. Voilà pourquoi nous vous proposons ce survol des différentes disciplines qui se disputeront sur l’anneau national:

 

Vitesse (ou sprint, en anglais)

 

Il s’agit d’une épreuve où l’explosivité des coureurs et leur puissance développée sur une distance relativement courte sont les clés du succès, tout comme pour les sprinters dans les courses sur route. Pour se qualifier, il faut d’abord bien performer individuellement sur un tour lancé chronométré de 200m, qui déterminera ensuite l’ordre des séries éliminatoires. Celles-ci se disputent en trois manches sous la forme d’un duel couru sur trois tours de piste (celle de Granges mesure 250m de long). Les concurrents partent du même côté. Un tirage au sort désigne le coureur qui partira au bas de la piste. C’est là qu’un sens tactique aigu est nécessaire, puisque celui ou celle qui se retrouvera trop vite en tête offrira à son poursuivant plus de chance d’être aspiré et de dépasser juste avant la ligne d’arrivée. Voilà pourquoi, les concurrents s’observent et se mesurent dans des duels de «sur place», cherchant à forcer l’adversaire à attaquer le premier. Champion d’Europe et champion du monde l’an dernier, le colosse français Grégory Baugé ne sera pas à Granges pour défendre son titre. La Russe Anastasiia Voinova avait été couronnée en 2014 dans l’épreuve féminine.

 

Vitesse (ou sprint) par équipe

 

Aussi appelée vitesse olympique, cette discipline oppose trois coureurs par nation chez les messieurs, deux chez les dames. Un départ arrêté, avec les deux équipes partant sur des lignes diamétralement opposées sur la piste, lance les hostilités. Chaque coéquipier réalise un tour de piste en tête, avant de la quitter pour ouvrir la voie à son successeur. Cela donne des courses chargées d’adrénaline, qui sont le plus souvent décidées au millième de seconde. Après les manches qualificatives, les deux meilleures formations s’opposent en finale. Les vainqueurs d’une petite finale entre le 3e et le 4e temps décrocheront quant à eux la médaille de bronze. La Grande-Bretagne est tenante du titre et sera encore favorite à sa succession. Chez les dames, c’est la Russie qui tient ce rôle.

 

Keirin

 

Parmi les épreuves de sprint, cet ovni suscite le plus souvent l’étonnement des néophytes. Rien que par son nom, tiré d’un mot japonais qui signifie «lutte». Mais surtout parce qu’il s’agit d’une épreuve impliquant un bicycle motorisé sur la piste. La course se dispute avec un groupe de six coureurs emmenés dans la roue d’un lièvre à vélomoteur, appelé «derny» ou «burdin». A chaque tour, ce dernier accélère un peu (de 30 à 50km/h chez les hommes et de 25 à 45km/h chez les femmes) pour augmenter l’allure du peloton et chacun lutte pour tenir la meilleure position possible dans son sillage. A deux tours du but, le pilote et on engin s’écartent pour laisser les cyclistes se battre dans un sprint final endiablé, qui donne souvent lieu à des contacts et même des chutes. L’Allemand Joachim Eilers défendra son titre acquis l’an dernier en France. Chez les dames, une autre Allemande, Kristina Vogel, cherchera à en faire autant.

 

Kilomètre (ou 500m chez les dames)

 

Il s’agit d’une épreuve d’effort pur. En quelque sorte, c’est l’équivalent du contre-la-montre sur route. Le départ s’effectue arrêté et il s’agit de rouler le plus vite possible sur un kilomètre (ou la moitié de cette distance pour la version au féminin). Le meilleur temps est déclaré vainqueur. Le record du monde du kilomètre est actuellement détenu par le Français François Pervis, qui a établi en 2013 un «chrono» de 56’’303. Callum Skinner, de Grande-Bretagne, est champion d’Europe en titre. Malade, il sera toutefois absent de Granges. La Russe Anastasiia Voinova est quant à elle la reine continentale du 500m.

 

Poursuite individuelle

 

Désormais bien connue sous nos latitudes grâce aux exceptionnelles performances de Stefan Küng, la poursuite est cette semaine la meilleure chance de médaille pour la Suisse, justement grâce au rouleur thurgovien de la BMC. Sur des lignes de départ opposées, deux concurrents se «poursuivent» en partant simultanément (départ arrêté) sur 4km (3km chez les dames). Celui ou celle qui dépasse son adversaire ou qui fait le meilleur temps s’impose. Les deux meilleurs athlètes au terme de l’épreuve se disputent l’or. Une petite finale décerne la médaille de bronze. L’affiche finale rêvée de tous opposerait «King Küng» à Sir Bradley Wiggins, trois fois champion du monde (2003, 2007 et 2008) et deux fois champion olympique (2004 et 2008) de la spécialité. Le tenant du titre européen est un compatriote de Wiggins, Andrew Tennant, qui fera aussi partie des favoris à Granges. Anastasiia Voinova, encore elle, l’avait emporté l’an dernier en France chez les dames. Doris Schweizer représentera aussi la Suisse dans l’épreuve féminine.

 

Poursuite par équipe

 

Le principe est le même que pour la version individuelle, mais cette fois avec un groupe de quatre. Cette fois, messieurs et dames parcourent la même distance: 4km. L’évolution en file indienne augmente la difficulté et requiert une précision et une coordination exemplaires, puisque les coéquipiers se relaient en roulant roue dans roue. Le cycliste menant le train à l’avant du groupe s’écarte après avoir dicté la cadence, s’écarte vers le haut de piste, avant de replonger en queue de train. Les relais se passent tous les demi-tours ou tous les tours de piste. A l’arrivée, c’est le temps du troisième coureur à franchir la ligne qui fait foi. Selon un ordre établi par des qualifications chronométrées (mercredi soir), les 8 meilleurs nations s’affrontent lors d’un premier tour à élimination. Le 1er affronte le 4e, le 2e défie le 3e, le 5e s’oppose au 8e et le 6e au 7e. Les deux vainqueurs des matches 1er-4e et 2e-3e se retrouvent en finale. Les six autres disputent des petites finales de classement en fonction de leur temps au 1er tour. Contrairement à la poursuite individuelle, la poursuite par équipe est une discipline olympique. Les Suisses en ont fait leur spécialité et y briguent un ticket pour Rio. Derrière la Grande-Bretagne et l’Allemagne, grandes favorites et médaillées dans cet ordre l’an dernier, le quatuor helvétique peut espérer atteindre le podium, mais la lutte sera serrée. Chez les dames, le titre européen appartient aussi aux Britanniques.

 

Course aux points

 

Probablement l’épreuve la plus exigeante physiquement. Il s’agit d’une vraie épreuve d’endurance, mais la vitesse, la technique et la tactique sont également essentielles. Le départ se fait en peloton. Sur une distance de 40km (25km pour les dames), les coureurs doivent cumuler des points qu’ils obtiennent pour chaque tour bouclé dans les 4 premières positions (5, 3, 2 et 1 point respectivement) et lors de sprints intermédiaires, qui ont lieu tous les 10 tours de piste sur les anneaux de 250m. Un concurrent qui arrivera à prendre un tour au peloton se verra même gratifier de 20 points supplémentaires. A l’inverse, celui qui perd un tour sur le peloton se verra retirer 20 points et pourra même être exclu de la course en cas de retard trop important. Celui ou celle qui en a obtenu le plus au bout de la distance totale remporte l’épreuve. Claudio Imhof portera les couleurs suisses dans cette épreuve et peut espérer un top 5. Chez les dames, Doris Schweizer portera encore le maillot à croix blanche. Le Français Benjamin Thomas et la Polonaise Eugenia Bujak avaient été titrés l’an dernier.

 

Scratch

 

Cette course est l’équivalent d’une course en ligne sur route. Au bout 15km (10km pour les dames), le premier arrivé est déclaré vainqueur. Un important sens tactique est nécessaire pour se maintenir dans le coup au fil des tours. La course peut être très nerveuse et les attaques nombreuses et irrégulières. Tristan Marguet sera sur le pont pour la Suisse. Si la course ne part pas trop vite, il est capable de tirer son épingle du jeu avec un top 5, voire un podium. Déjà présente en poursuite individuelle et dans la course aux points, Doris Schweizer disputera aussi cette épreuve chez les dames. Les titres continentaux 2014 appartiennent au Belge Otto Vergaerde et la Russe Evgenia Romanyuta.

 

Course à l’élimination

 

On pourrait aussi l’appeler la «selle musicale» et c’est la première fois qu’elle est inscrite au programme des championnats d’Europe. Tous les deux tours, le dernier concurrent à franchir la ligne est éliminé de l’épreuve. Contrairement à ce qui se fait habituellement, c’est la roue arrière qui sert à déterminer la position des coureurs sur la ligne. Lorsqu’il ne reste plus que deux coureurs en piste, ils se disputent la médaille d’or dans un sprint final, qui est lui jugé par rapport à la roue avant des concurrents. Il s’agit donc de bien gérer son effort tout au long de l’épreuve. Et rien ne sert de prendre un tour d’avance sur le peloton. Il ne comptera pas. Loïc Perizzolo ne manquera pas de s’en souvenir, lui qui espère également un top 5.

 

Madison

 

On la connaît aussi sous le nom d’«américaine». Cette épreuve se court par équipes de deux. Les membres d’un duo peuvent se relayer à tout moment sur une distance de 50km. Les moments des relais constituent d’ailleurs le sel de la discipline, puisque l’équipier terminant passant la main à son camarade lui agrippe justement la main afin de le propulser vers l’avant pour lui offrir un départ lancé. Une manœuvre qui requiert une très bonne technique et où les chutes sont un peu plus fréquentes que dans d’autres épreuves. Pendant qu’un équipier est dans la course, son partenaire récupère en roulant à allure réduite sur la partie supérieure de la piste. Le classement est d’abord établi en fonction de la distance parcourue (nombre de tours bouclés), puis en fonction des points remportés dans les sprints intermédiaires, qui ont lieu tous les 20 tours (5, 3, 2, et 1 point respectivement). Le nom de Madison est tiré du Madison Square Garden, à New York, où cette course est née pour contourner une loi américaine de 1898 interdisant à un coureur de rouler pendant plus de 12 heures, lors des épreuves de six jours, et de risquer de mourir d’épuisement. Ca ne devrait pas être le cas de la paire suisse formée par Stefan Küng et Théry Schir, qui se mêlera à la lutte avec les meilleurs. Les champions européens en titre sont les Autrichiens Andreas Graf et Andreas Müller. Les femmes ne disputent quant à elles pas le madison.

 

Omnium

 

C’est la discipline qui consacre les coureurs les plus complets, puisqu’elle rassemble 6 épreuves différentes. Chez les messieurs, celles-ci sont: le scratch (15km), la poursuite individuelle (4km), l’élimination, le kilomètre, le tour lancé sur 200m et la course aux points (40km). Et chez les dames, la poursuite est abaissé à 3km, le kilomètre réduit de moitié et la course aux points ne se dispute que sur 25km. Les concurrents sont classés selon leur rang dans chacune de ces manches et obtiennent des points selon le barème suivant: 1re place: 40 points, 2e place: 38 points, 3e place: 36 points et ainsi de suite jusqu’à la 21e place. Au-delà de ce rang, chaque coureur obtient 1 point. La dernière discipline, la course aux points, est souvent décisive car les points obtenus ou perdus par les coureurs sont directement additionnés à leur total, chamboulant parfois le classement. Evidemment, c’est le cycliste qui détient plus grand total de points qui remporte l’omnium. Dans le camp helvétique, c’est Olivier Beer qui se frottera à l’élite, en visant un classement dans le top 8, ce qui offrira en outre des points pour la qualification olympique, seule autre épreuve briguée par la Suisse à Rio. Virginie Pointet défendra quant à elle les couleurs helvétiques dans l’omnium féminin. L’Italien Elia Viviani tentera de défendre son titre continental de l’an dernier, tout comme la Britannique Laura Trott.

 

 

 

 

 

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En lisant un article dans le Monde sur le basket Français qui est à des niveaux sous-marins, je suis tombé sur un passage qui m'a bien fait rire.

 

De toute façon, on ne peut pas prendre d’entraîneur étranger car les Français sont protégés par les diplômes d’Etat. Un entraîneur étranger doit passer des équivalences et ce sont des dossiers complexes. Un joueur me disait récemment : « C’est marrant, les coachs français veulent des joueurs étrangers, mais les joueurs français aimeraient bien aussi avoir des étrangers pour les coacher. »

 

 

http://www.lemonde.fr/basket/article/2015/10/15/euroligue-de-basket-que-les-clubs-francais-arretent-de-faire-du-guy-roux_4790516_1616663.htm

 

 

Sachant que par exemple le Panathinaikos a eu sa periode dorée et gagné 5 de ses 6 titres grace à Obradovic, bien évidement étrangé, on se dit que les équipes françaises sont pas prêtes de s'améliorer.

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En lisant un article dans le Monde sur le basket Français qui est à des niveaux sous-marins, je suis tombé sur un passage qui m'a bien fait rire.

:lol: on perd français nous môôssieur.

Et un peu de sérieux:

Hé mais c'est juste à côté de chez moi ça, j'avais pas fait le rapprochement entre ton post et les news régional à ce sujet.

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