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Café des (vrais) sports


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Perso suis plus Riner car le mec c'est juste un monstre sacré dans sa discipline. Personne n'a jamais dominé la catégorie Reine comme lui.

Mais son défaut c'est de l'être dans un sport confidentiel en dehors de la France alors que Parker est internationalement connut sur un sport plus populaire.

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Le judo c'est ennuyeux...ça n'a plus grand-chose d'un sport de combat, et l'arbitrage est trop important...

 

Pour Froome je suis mitigé, bien ce sur la chute est aberrante, mais la décision revient à neutraliser a posteriori le dernier km d'une montée, en retouchant les temps réels... ce n'est pas trop dans l'esprit du cyclisme dont l'histoire est pleine de faits de course injustes, et là Froome n'avait pas perdu le Tour, juste 1min30.

Le deuxième problème est evidemment la proximité de la Sky avec l'uci, si ça n'avait pas été Froome y aurait-il eu reclassement?

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Le mec se fait rouler dessus par les motos, on est loin de l'accident ou du simple fait de course.

Je suis pas du tout pro Froome mais décision ok selon moi

 

Tiens, normalement Gilbert chez les bretons de Fortuneo.

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 mais ça l'est encore plus avec Riner car il est tout simplement trop fort et que tous ses opposants n'attendent qu'une petite erreur de sa part quitte à perdre par shido.

Oui c'est le défaut.

 

Comme ils savent que Riner est un monstre, ils n'osent plus attaquer car ils savent que cela équivaut à se faire contrer et de prendre un ippon dans la foulée.

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Il est peut-être temps, déjà que l'année passée ...

 

Movistar a un plan

 

L'équipe espagnole envisage une action d'envergure d'ici à samedi pour mener Nairo Quintana vers la victoire.

 

S'APPUYER SUR VALVERDE

Depuis le départ du Tour, Nairo Quintana (4e au général à 2'59'') n'a jamais été en mesure d'inquiéter Chris Froome. Le Britannique a toujours su se montrer le plus fort physiquement et tactiquement. Loin de tirer un constat d'échec définitif, l'équipe Movistar du Colombien a profité du jour de repos, hier, pour se remobiliser et se montrer... offensive. Au moins dans le discours. «Nous avons mis en place un plan d'attaque, qui va porter sur les trois étapes de montagne (en ligne), a ainsi martelé Alejandro Valverde. Bien sûr, je ne vais rien vous révéler, mais vous aurez l'occasion de vérifier.»

 

Le champion espagnol apparaît comme l'homme clé de ce plan de bataille. «Mon rôle sera très important et c'est à partir de demain...

 

 

 

http://www.lequipe.fr/Cyclisme-sur-route/Article/Movistar-a-un-plan/708189

 

Pareil chez Porte et van Garderen.

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Romain Bardet (AG2R) a profité d'une journée chaotique à l'occasion de la 19e étape du Tour de France (Albertville - Saint-Gervais Mont Blanc) pour remporter la première victoire française de cette édition 2016. Ce flamboyant succès l'installe à la deuxième place du classement général.

 

Il aura donc fallu 19 étapes pour voir une première victoire française sur le Tour de France 2016. Mais quel succès ! Au terme d'une journée chaotique, marquée par la pluie et de nombreuses chutes, dont celle de Christopher Froome (Sky), Romain Bardet (AG2R) a su profiter de la fébrilité du peloton sur une chaussée trempée pour s'envoler seul vers la gagne à Saint-Gervais Mont Blanc. À cet exploit s'est ajoutée l'immense satisfaction de reprendre suffisamment de temps à ses rivaux pour s'installer à la deuxième place du classement général, à deux jours de l'arrivée à Paris.

 

 

À 25 ans, Romain Bardet remporte ainsi la deuxième victoire de sa carrière sur le Tour de France, après celle de 2015 glanée à Saint-Jean-de-Maurienne. Vendredi, tout s'est joué dans la descente qui a suivi la montée de Bisanne, où le changement des conditions climatiques a précipité le peloton dans un chaos total. Dans le sillage d'un Mickaël Chérel exemplaire, Romain Bardet n'a plus regardé en arrière, revenant dans un premier temps sur Rui Costa (Lampre), seul en tête, pour ensuite le lâcher à trois kilomètres de la ligne.

 

Chutes en séries, Froome limite la casse

Le dernier tiers de cette 19e étape, animée par une échappée de 20 coureurs qui n'a jamais eu l'opportunité de jouer la victoire, a offert un lot impressionnant de chutes, qui ont piégé de nombreux leaders du classement général sur une piste mouillée par un orage. Après les abandons de Tom Dumoulin (Giant-Alpecin) et Daniel Navarro (Cofidis), c'est Christopher Froome qui est parti au sol, dans un virage.

 

Amoché sur le flanc droit, le maillot jaune n'a pas eu la possibilité d'attendre sa voiture, compte tenu de la nervosité qui animait tout le peloton. Dépanné par Geraint Thomas, il a longtemps galéré sur un vélo étranger. Le Britannique s'est bien accroché, finissant à seulement 10 secondes de Nairo Quintana (Movistar) et 8 de Fabio Aru (Astana). Presque inespéré dans ce contexte difficile.

Pour le podium, ça se précise

Dans le groupe des favoris, l'équipe Astana a mené la chasse pendant la majeure partie de la journée, gardant l'échappée en point de mire. Un travail de sape qui n'a pas payé puisque Fabio Aru a terminé sixième de l'étape, sans vraiment se rapprocher du podium.

 

La lutte pour terminer dans les trois premiers à Paris fera encore rage samedi, entre Megève et Morzine (146,5 km), puisqu'il n'y a que 1'06" d'écart entre la cinquième place, occupée par Richie Porte (BMC, +5'17"), et la deuxième de Romain Bardet (+4'11"). Nairo Quintana (3e à 4'27) et Adam Yates (4e à 4'36") sont intercalés et en mesure d'attaquer avant l'arrivée à Paris. Voilà qui promet un nouveau grand frisson pour la 20e étape. L'attente a été longue mais elle en valait le coup.

 

 

http://www.lequipe.fr/Cyclisme-sur-route/Actualites/Romain-bardet-ag2r-remporte-la-premiere-victoire-francaise-sur-le-tour-2016/708977

 

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Voilà

 

Troisième sacre pour Froome, André Greipel vainqueur sur les Champs

 

Christopher Froome (Sky) a remporté son troisième Tour de France, dimanche, à Paris. Le Britannique devance sur le podium Romain Bardet (AG2R) et Nairo Quintana (Movistar). André Greipel (Lotto Soudal) s'est offert le bouquet du dernier sprint disputé sur les Champs-Élysées.

 

C'est tout sourire, alternant en début d'après-midi bière et champagne, que Christopher Froome (Sky) a franchi la ligne d'arrivée à Paris, dimanche soir. Le Britannique a remporté son troisième Tour de France, devant le Français Romain Bardet (AG2R) et Nairo Quintana (Movistar). Serein tout au long d'une journée où il n'a jamais été inquiété, Froome a ainsi pu célébrer sa victoire avec son équipe, qu'il a retrouvé dans le dernier kilomètre de course, passant la ligne plus d'une minute après le vainqueur du jour.

 

Christopher Froome rejoint Greg LeMond (1986, 1989, 1990), Louison Bobet (1953, 1954, 1955) et Philippe Thys (1913,1914, 1920) au palmarès des coureurs ayant remporté trois fois le Tour de France. Derrière Miguel Indurain, Jacques Anquetil, Bernard Hinault et Eddy Merckx, tous vainqueurs 5 fois, aucun cycliste n'a réussi à monter quatre fois sur la plus haute marche du podium à Paris.

 

 

Greipel, encore lui

 

L'ultime étape, réglée depuis 1975 sur la magnifique avenue des Champs-Élysées, a été remportée par André Greipel (Lotto Soudal), vainqueur au sprint devant Peter Sagan (Tinkoff). L'Allemand a profité des mésaventures de Marcel Kittel (Etixx-Quick-Step) et de Bryan Coquard (Direct Énergie) pour faire la différence dans les 200 derniers mètres. Pour Kittel, la victoire d'étape s'est échappée en même temps que l'incident mécanique qui l'a poussé à combler une minute de retard, sans équipier pour l'y aider.

 

Côté Français, on avait tout misé sur les jambes de Bryan Coquard, qui a fait rouler son équipe derrière les deux tentatives d'échappée. En forme, «le Coq» a crevé dans les deux derniers kilomètres, anéantissant ses espoirs de victoire sur les Champs alors qu'il avait fini deuxième l'année dernière. Délesté de ses deux adversaires principaux, André Greipel a attendu un maximum pour régler d'abord Alexander Kristoff (Katusha), 3e, sans laisser revenir Peter Sagan. Le «Gorille de Rostock» remporte ainsi un deuxième bouquet consécutif sur les Champs-Élysées, sa seule victoire sur ce Tour de France.

Bardet, l'embellie tricolore

 

De ce Tour de France 2016, on retiendra également la superbe deuxième place de Romain Bardet (AG2R), obtenue deux jours plus tôt à Saint-Gervais Mont Blanc. Le Français a lui aussi passé une journée sans soubresaut, pour profiter de son premier podium sur un Grand Tour. L'ont précédé lors de la cérémonie protocolaire Peter Sagan, qui a écrasé le classement du maillot, et récompensé du statut du super-combatif, ainsi que son coéquipier Rafal Majka (Tinkoff), meilleur grimpeur, et Adam Yates (Orica-BikeExchange), meilleur jeune.

À défaut d'avoir assisté au duel très attendu entre Christopher Froome et Nairo Quintana, l'équipe Movistar a dominé le classement par équipe, deuxième récompense après la victoire d'Ion Izagirre remportée samedi. Le rendez-vous pour 2017 est déjà donné à la majorité du peloton, qui aura forcément pour mission de barrer la route à Froome, favori à sa propre succession.

 

 

http://www.lequipe.fr/Cyclisme-sur-route/Actualites/Troisieme-sacre-pour-froome-andre-greipel-vainqueur-sur-les-champs/709675

 

 

 

je mange plus de pain depuis un bon moment :(, je bois du pinard très rarement, et je n'ai pas de moustache ; mais quand on vois ton avatar, on comprend ton amour pour le vélo

 

Pas grave, tu réagissais comme une franchouille  :devil:

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Oui c'est le défaut.

 

Comme ils savent que Riner est un monstre, ils n'osent plus attaquer car ils savent que cela équivaut à se faire contrer et de prendre un ippon dans la foulée.

 

la vrai force technique de rinner est...son placement de mains sur le kimono.

chaque position de doigt est extremement pertinent.

 

vous rajouté des qualités d'executions et physique hors norme pour un lourd...

 

rinner est tout simplement le plus grand judoka de tous les temps.

 

oui...c'est un fait...le combat des lourds sont peu telegenique.

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Quand j'étais gosse le sport espagnol en général, en raison du régime franquiste, était trés très mal vu par une presse sportive française biberonnée aux subventions et acoquinée au syndicat CGT du Livre.

De grands sportifs espagnols comme le tennisman Santana (vainqueur à Roland-Garros) ,les cyclistes comme Bahamontès (vainqueur du Tour) ou Jimenez, le pistard Timoner et les grands clubs de foot Real Madrid et FC Barcelone ont subi, sous le franquisme, un quasi boycott des journaux français.

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Le Barca n'était pas très ami avec caudillo pourtant, je croyais.

Sans être des franquistes, ils ne pouvaient pas ouvertement être des opposants à Franco.

De toute manière, la presse française ne faisait pas de détail et mettait tous les Espagnols qui vivaient sur le territoire espagnol dans le même sac.

Seuls les Espagnols éxilés en France étaient bien vus.

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