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Réduit en pièces ! Émission d'économie pour YouTube


Nigel

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Ben vivre de la façon qu'il considère fit avec ca et éduquer ses enfants dans le même esprit. Aider à la préservation du patrimoine toussa.

et concrètement toussa, ça donne quoi toussa ?

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S'impliquer dans des asso qui préservent le patrimoine, éduquer ses enfants ca me semble deja concret, si tu défends le christianisme, aller à la messe, marquer les traditions (au lieu de pleurer parce qu'il y a un sapin dans une école) etc.

Je ne me considère pas conservateur et les traditions ne m'intéressent pas trop en dehors des cadeaux et des repas, je manque un peu d'imagination sur le sujet donc.

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S'impliquer dans des asso qui préservent le patrimoine, éduquer ses enfants ca me semble deja concret, si tu défends le christianisme, aller à la messe, marquer les traditions (au lieu de pleurer parce qu'il y a un sapin dans une école) etc.

C'est nettement plus concret que ta tirade précédente.
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Les pragmatiques se désignent eux-meme comme telles.

Sinon je suis d'accord avec ce que tu écris. Mais il y quand même une propension (pas que chez les conservateurs d'ailleurs) à etre "libéral sauf pour X, là ça ne marche pas."

 

Je suis d'accord sur le fait que ce genre de propension est néfaste. Mais il y a une autre propension qui l'est tout autant chez les libéraux, celle de faire croire que parce qu'un homme défend un héritage il veut systématiquement l'imposer par la force et contraindre la liberté individuelle, comme si la raison des individus ne pouvait pas les pousser à adhérer à ce principe. Que ces gens-là fassent le même procès à Edmund Burke et à Tocqueville alors. Parce que dans ce cas tout principe quel qu'il soit, dès qu'il est mis en avant par quelqu'un, cacherait une volonté de contrainte, y compris les principes comme la liberté individuelle et la liberté économique ou toute défense de principes moraux. Mais dès que cela concerne un fond culturel commun, contrairement à la défense de tous les autres principes énumérés, tout d'un coup c'est alerte rouge.  :icon_police: 

 

Tu ne veux pas être associé aux étatistes, aux liberticides... Soit.

Explicite-nous alors comme, très concrètement, en pratique, dans le monde réel, dans la vie politique, etc. tu conçois "le fait de vouloir conserver un certain héritage" ?

 

M'associer aux étatistes serait curieux, vu ce que j'ai par exemple écrit sur l'assurance-chômage et le salaire minimum juste avant, passons...

 

Très concrètement cet héritage se perpétue par les individus concernés et il faut être complètement aveugle pour ne pas le voir. Les Français s'inscrivent dans un modèle familial monogamique hérité de notre culture chrétienne, ils se marient selon les codes hérités des Romains et de la chrétienté, ils perpétuent leur langue, ils aiment aller dans les musées, ils sont fiers de leurs grands auteurs, de leurs philosophes, de leurs intellectuels (peu importe les tendances philosophiques ou politiques), de leurs grands artistes en général, ils aiment leur patrimoine (culinaire, architectural, etc.). La liste serait encore très longue à dresser et la majorité de ces gens-là compte aussi transmettre cet héritage et le fait tous les jours très concrètement.

 

Encore une fois, lorsque vous défendez un principe moral vous ne voulez pas l'imposer par la force aux autres, alors pourquoi faire ce procès sur d'autres principes. L'héritage dont je parle n'est qu'une épargne matérielle et immatérielle.

 

Je vous file la définition de Jacques Bainville de la civilisation très intéressante à ce sujet :

 

"C'est à Charles Maurras que l'on doit la définition la plus profonde et la plus étendue du mot que les dictionnaires renoncent à expliquer. La civilisation, a-t-il dit, c'est l'état social dans lequel l'individu qui vient au monde trouve incomparablement plus qu'il n'apporte. En d'autres termes, la civilisation est d'abord un capital. Elle est ensuite un capital transmis. Car les connaissances, les idées, les perfectionnements techniques, la moralité se capitalisent comme autre chose. Capitalisation et tradition, - tradition c'est transmission, - voilà deux termes inséparables de l'idée de civilisation. Que l'un ou l'autre vienne à manquer, et la civilisation est compromise. Toute grande destruction, toute sédition de l'individu, toute rupture brutale avec le passé sont également funestes pour la civilisation.

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Les Français s'inscrivent dans un modèle familial monogamique hérité de notre culture chrétienne, ils se marient selon les codes hérités des Romains et de la chrétienté, ils perpétuent leur langue, ils aiment aller dans les musées, ils sont fiers de leurs grands auteurs, de leurs philosophes, de leurs intellectuels (peu importe les tendances philosophiques ou politiques), de leurs grands artistes en général, ils aiment leur patrimoine (culinaire, architectural, etc.).

 

C'est gentil ce blabla, mais prenons le mariage. Ben non, les Français ne s'inscrivent pas tous dans le modèle familial monogamique hérité de notre culture chrétienne (chose totalement fausse au passage). Certains ne se marient pas, d'autres épousent un conjoint du même sexe, d'autres se marient sous les auspices d'une autres religion. Et non, les Français n'aiment pas le cinéma français. Etc. Alors quoi ? On laisse faire, à la manière libérale ? Ou ?

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C'est gentil ce blabla, mais prenons le mariage. Ben non, les Français ne s'inscrivent pas tous dans le modèle familial monogamique hérité de notre culture chrétienne (chose totalement fausse au passage). Certains ne se marient pas, d'autres épousent un conjoint du même sexe, d'autres se marient sous les auspices d'une autres religion. Et non, les Français n'aiment pas le cinéma français. Etc. Alors quoi ? On laisse faire, à la manière libérale ? Ou ?

 

Oui, la famille nucléaire nous vient des Romains et a été perpétuée ensuite par la chrétienté (même si l’Église a ensuite interdit le divorce d'ailleurs), j'ai fait une petite erreur de formulation. Famille qui repose sur la monogamie.

 

Les Français aiment le cinéma français de qualité. Parlez-leur de la grande époque, de Louis de Funès, d'Alain Delon, de Lino Ventura. Ils regrettent surement ce qu'a été le cinéma français c'est probable.

 

Certains ne se marient pas ce n'est pas la question, je ne parle pas de tout uniformiser, du fait que chaque personne soit pareille.

 

Je me répète pour la dernière fois, je ne fais que m'adresser à la raison des individus, rien d'autre. Défendre un principe ce n'est pas vouloir l'imposer par la force, c'est quand même la base.

 

Au passage, je vous renvoie vers une autre argumentation qui ne mène nulle part : la méthode hypercritique. Faites attention c'est la méthode préférée du complotisme, de toutes les théories farfelues sur le 11 septembre auxquelles même des architectes succombent, et parmi le pire des négationnistes. Je ne vous accuse bien sûr pas de faire partie de toutes ces mouvances, je suis convaincu du contraire, mais ça fait partie des argumentations fallacieuses.

 

Sinon, cette discussion ne mène nulle part, nous pouvons la clore.

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Merci de me donner la citation où je dis des résultats pour avant-hier sinon la conversation est faussée. J'attends. Je lui ai dit qu'il y arrivera en bossant dur. 

arrête tes giotises <3

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Coucou Nigel :)

 

J'ai écouté quelques vidéos, juste le début ; je ne me permettrai pas de juger le fond, je suis pas au niveau. En revanche, tu parles beaucoup trop vite et tu n'articules pas assez ; très important, la diction, primordial même.

Essaie aussi de placer ta voix davantage vers les graves...

En tout cas, bravo pour l'initiative

 

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C'est pas en te brossant dans le sens du poil que tu avanceras, jeune homme ! Prends des cours de chant, accessoirement ça doit aider pour bien placer sa voix, respirer et tout le tremblement ; et en prime, tu pourrais rencontrer de la jolie chanteuse :)

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  • 3 weeks later...

 Bon comme le proposa NoName. Je vais partager ici le squelette de ma prochaine vidéo, pour que vous puissiez me conseiller :P

 

 Je précise tout de suite qu'il s'agit d'un brouillon. Donc oubliez les fautes et le côté abrupte du texte, merci. 

 

 

 

Hitler, ce socialiste ?

 

«  Nous sommes socialistes. Nous sommes les ennemis du système économique capitaliste actuel, avec son exploitation des économiquement faibles, avec ses salaires injustes, avec son évaluation indécente de l'homme selon la richesse et la propriété plutôt que selon la responsabilité et la performance, et nous sommes déterminés à détruire ce système à n'importe quels conditions ! ».

 

Qui est donc l'auteur de ces mots ? Sans doute Marx, Lénine, Mélenchon ou tout autres socialistes célèbres pensez-vous ? Et bien non, figurez-vous que ce discours fut prononcé en 1927 par :

Adolf Hitler. (Surprise mother fucker)

 

Voilà qui a de quoi laisser perplexe. L'école ne nous a-t-elle pas pourtant appris qu'Hitler était un type d'extrême-droite, donc à l'opposé de la gauche socialiste. Qu'il était même, le défenseur du capitalisme face à la menace communiste ?

 

Mais alors ? Pourquoi ce discours ? Et de manière générale, pourquoi le parti d'Hitler s'appelait-il National-socialiste ? Son ancien nom n'était-il pas d'ailleurs le parti ouvrier allemand ? Pourquoi Eichmann déclarait que sa sensibilité politique était de gauche ? Pourquoi Goebbels se proclamait socialiste et admirait Lénine comme un « héros de légende » ?

 

Tant de questions troublantes qui ne peuvent trouver qu'une solution : Hitler et les nazis étaient bien animés par le socialisme.

Mais comment ! « On exige des preuves ! » me répondra-t-on ! Et bien soit, je m'en vais le prouver dans cette vidéo. Alors accrochez-vous camarades !

 

I L'économie selon Hitler : « Déboruillez-vous ! »

 

Cette chaîne s'intéressant à l'économie, quelle était donc la vision d'Hitler sur cette discipline ? Et bien fort mauvaise... A tel point qu'Hitler proposa même qu'on supprime toutes les chaires d'économie politique dans les universités. Ambiance...

Pourtant, un économiste trouvé bien grâce à ces yeux. Pas Marx bien sûr, celui-ci étant un esprit juif ayant perverti le vrai socialisme par l'internationalisme selon Hitler. Non, non.

Cet économiste, star des nazis, il s'agissait de : Johann Gottlied Fichte. ( et cela tombe bien, ce dernier était un antisémite assumé ).

Fichte n'était pas un socialisme à proprement parlé, mais des socialistes comme Jaurès ou Ferdinand Lassale l'admiraient bel et bien. Keynes aussi.

Fichte avait particulièrement un grand projet : « l'autarcie ». Selon lui, un pays doit à tout prix visait l'autarcie, pour ne pas dépendre d'un pays étranger. Et si jamais un pays ne possède pas les ressources naturelles pour cela, il ne doit pas hésiter à utiliser la force, la guerre pour obtenir les territoires nécessaires à cela. Une idée qu'Hitler avait bien noté...

 

Mais hormis l'autarcie de Fichte, quelle était concrètement le projet économique d'Hitler ? Sa vision personnelle du socialisme ? :

 

«  Pour le dire clairement, nous avons bel et ben un programme économique. Le point n°13 de ce programme exige la nationalisation de toutes les entreprises d'utilité publique, ou en d'autres termes, la socialisation, ou ce que nous appelons ici le socialisme. Le principe fondamental du programme économique de notre parti doit être précisé clairement et celui-ci est le principe d'autorité. Le bien-être de la communauté doit passer avant le bien-être de l'individu. L'Etat doit garder le contrôle. Chaque propriétaire doit se sentir comme un agent de l'Etat ; il est de son devoir de ne pas utiliser sa propriété au détriment de l'Etat ou de l'intérêt de ses compatriotes ».

 

Est-ce Lénine qui parle ? Non, toujours Hitler...

 

Hitler était bien un étatiste forcené. Souhaitant le contrôle de toute l'économie du pays par le pouvoir central. Certes Hitler n'a pas aboli la propriété privée, de fait, on pourrait dire qu'il ne fut jamais vraiment un socialiste à cause de cela. Mais Hitler avait une réponse à ça :

 

« Quelle est l'importance de cela, si je range fermement les hommes à l'intérieur d'un système disciplinaire duquel ils ne peuvent sortir ? Laissons-les posséder des terres ou des usines autant qu'ils voudront. Le facteur décisif est que l'Etat, le Parti, soit leur maître suprême, sans considération pour le fait qu'ils soient des propriétaires ou des travailleurs. Tout cela n'est pas essentiel ; notre socialisme est bien plus profond. Il établit une relation entre l'individu et l'Etat, la communauté nationale. Pourquoi s'embêter à socialiser les banques et les entreprises ? Nous socialisons les êtres humains. »

Ou comme Hitler le dira autrement «  Les enfants appartiennent tout aussi bien à moi qu'à leur mère ». Sombre projet...

 

Et face aux craintes et aux critiques légitimes qu'émettaient les autres membres du parti et membre du gouvernement, sur les conséquences néfastes de ces politiques et sur l'impossibilité de les pratiquer sans ruiner le pays, il répondait : « Débrouillez-vous » ! Bah voyons...

 

Hitler était donc, un piètre économiste. Car il était avant tout, un idéologue...

 

II : Les nazis au pouvoir : Des ultra-keynésiens plus que des socialistes ?

 

Une fois la théorie connue. Qu'elle fut donc, dans la pratique, l'hitlérisme ?

 

Et bien tout d'abord, il faut admettre que la pratique fut différente de la théorie. Pourquoi ? Car le programme d'Hitler était bien trop radical pour accéder au pouvoir par les urnes. Pour séduire une plus large part de l'électorat, il lui fallait un socialisme plus soft... : le keynésianisme...

 

Cela déplut fortement à Goebbels au passage, qui se plaignait du « pauvre socialisme » abandonné ainsi. Mais Hitler avait choisi la voie du keynésianisme extrême pour gagner le pouvoir, et cette stratégie s'avéra payante.

 

On me répondra alors que, après le socialisme, c'est Keynes maintenant – économiste vu comme de gauche et partisan d'un socialisme libéral selon ses dires – qui ne possède aucun lien avec l'économie nazie. Et bien si.

 

Par exemple, Keynes était prêt à tout pour résoudre le chômage et relancer l'économie, comme payer les gens à creuser et reboucher les mêmes trous. Ce qu'Hitler n'hésita pas à faire, réellement.

 

Les politique économiques des nazis ressemblaient bien à des politiques keynésiennes. Arrêt de l’étalon-or – cette « relique barbare » -, lancement de programmes de travaux publics énormes comme les autoroutes, protection des industries de la concurrence étrangère, élargissement du crédit, institution des programmes d’emploi, intimidation du secteur privé quant aux prix et aux décisions de production, élargissement considérablement des contrôles forcés de capitaux, création d'une agence nationale de santé et d’assurance chômage et bien sûr augmentation considérables des impôts – l'impôt sur le revenu fut majoré de 50% et l'impôt sur les sociétés fut doublé – et de l'endettement pour financer tout ça - dès les premières années de régimes, les dépenses furent quatre fois supérieures aux recettes, augmentant ainsi la dette publique...

 

Mais cet endettement devait se trouver combler à terme par la relance selon les théories keynésiennes. Ce ne fut pas le cas.

 

Mais plutôt que de faire des comparaisons discutables pour beaucoup, entre les théories de Keynes et la pratique économique d'Hitler ; mieux vaut, pour convaincre les plus sceptiques, laissons parler Keynes lui-même après tout :

Qu'est-ce que Keynes écrit dans la préface à l’édition allemande de la Théorie générale :

« La théorie de la production dans son ensemble, que le livre suivant est tâché de fournir, est beaucoup plus facile à adapter aux conditions d’un État
totalitaire
, que la théorie de la production et de la distribution dans les conditions d’une libre concurrence et d’une large dose de laissez-faire. »

 

Le commentaire peut choquer, mais il est bien ici écrit noir sur blanc. Et ceci en 1936, donc sous le régime nazi. On ne peut y voir là un hasard...

D'autres keynésiens célèbres écrivirent des choses similaires :

 

Joan Robinson : « Hitler avait trouvé un remède contre le chômage avant que Keynes ne termine de l’expliquer. »

Paul Samuelson : « L’histoire nous rappelle que même dans les pires jours de la grande dépression il n’y avait jamais eu de pénurie d’experts pour mettre en garde contre toutes les actions curatives de l’État. Si ce conseil avait prévalu dans notre pays, comme ce fut le cas dans l’Allemagne pré-hitlérienne, l’existence de notre forme de gouvernement aurait pu être remise en cause. Aucun gouvernement moderne ne refera la même erreur. »

 

Curieux n'est-ce pas ?

 

Le lien entre les nazis et les keynésiens me semblent donc perceptible. Bien sûr, Hitler détestait Keynes l'homosexuel bourgeois internationaliste ; et Keynes détestait Hitler le raciste réactionnaire populiste. Mais sur le plan économique, il y a bien eu rapprochement...

 

Bon et alors ? Une fois ce fait admis. On serait tenté de me répondre : « Si on met de côté les politiques racistes et impériales d'Hitler, n'a-t-il pas relever son pays ? N'est-ce pas la preuve de la supériorité des théories anti-libérales qu'est-ce qu'elles soient ? »

Nous allons voir ça.

 

III : Bilan des politiques nazies : miracle ou fiasco ?

 

Quand on parle des politiques économiques nazis, on parle toujours du chômage qui aurait disparu sous Hitler.

Pour les adversaires du nazisme, la réponse est simple : Hitler aurait réglé le problème du chômage principalement par le recrutement militaire.

Or entre 1936 et 1939, les dépenses publiques du Reich furent multipliés par deux, mais on aurait tort de considérer que cette augmentation fur principalement causée par les dépenses militaires : même en 1938 celles-ci ne représentaient que 10% du budget annuel allemand.

Donc cette théorie ne tient pas.

 

Alors comment Hitler a-t-il diminué le chômage et assuré la reprise ? Et bien déjà, les chiffres du chômage d'Hitler étaient truqués ; les juifs, les femmes et aussi les chômeurs qui refusaient les jobs qu'on leur proposait, étaient tout simplement virer des listes – voire envoyer en « camps pour les fainéants ». Voilà qui est pratique et courant comme technique. Mais pas très honnête.

Autre exemple d'honnêteté, Hitler arrêta la publication des chiffes du budget de l'Etat en 1935. Qu'avait-il donc à cacher ?

 

Mais au delà de la question du chômage, car au fond, c'est facile de résorber le chômage. L'Etat n'a qu'à engager tous les chômeurs et la question est réglée.

Le problème tient plutôt à la viabilité, à l'efficacité et à la morale du système économique en place.

 

De ce point de vue, il serait faux de croire en la réussite des politiques économiques nazies. Le succès tient surtout au contexte. Plusieurs années s'étaient écoulées depuis la Grande Crise et le cycle économique reprenait son cours. La reprise revient toujours après la crise. Coup de chance pour Hitler.

Ensuite, l'étalement des paiements des réparations par le traité de Versailles, oxygéna grandement l'économie allemande.

Au final, ce n'est pas la relance qui provoqua la reprise économique. Mais par contre, cela provoqua une forte dette publique... Que Hitler négocia tant bien que mal...

Le souci, c'est que les politiques de relance ont alimenté les bulles et les dettes plutôt que la reprise... foutant l'Allemagne dans une telle mauvaise passe, qu'il ne restait plus qu'une seule solution logique, celle de Fitche :

 

« Lorsque le territoire du Reich contiendra tous les Allemands, écrivait Hitler, s'il s'avère inapte à les nourrir, de la nécessité de ce peuple naîtra son droit moral d'acquérir des terres étrangères. La charrue fera alors place place à l'épée, et les larmes de la guerre prépareront les moissons du monde futur. » 

 

En d'autres mots, avant la ruine, place à la guerre...

 

 Bien sûr, devant la longueur du texte. J'envisage des coupes, voire de segmenter la vidéo en plusieurs parties... Vos avis ? Ah et il faut que j'écrive une conclusion aussi. 

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 ...

 Bien sûr, devant la longueur du texte. J'envisage des coupes, voire de segmenter la vidéo en plusieurs parties... Vos avis ? Ah et il faut que j'écrive une conclusion aussi. 

Ça c'est une très bonne idée.

 

Tu es sur la bonne voie, il faudrait viser des vidéos de 1 minute. Avec ça, tu pourrais arriver à en avoir qui tourneraient fort.  

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 1 min c'est court.

 

 Faudrait que je fasse une première vidéo teasing :" 5 citations/faits qui prouvent qu'Hitler et les nazis étaient socialistes !" Puis je finis par : "Sceptique ? Et bien je vous prouverai le contraire dans mes prochaines vidéos !"

 

 Deuxième vidéo : La vision économico-politique d'Hitler 

 

 Troisième : Les nazis au pouvoir 

 

 Quatrième : Les conséquences désastreuses

 

 Cinquième : Conclusion et parallèle.

 

 Non ?

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 1 min c'est court.

 

 Faudrait que je fasse une première vidéo teasing :" 5 citations/faits qui prouvent qu'Hitler et les nazis étaient socialistes !" Puis je finis par : "Sceptique ? Et bien je vous prouverai le contraire dans mes prochaines vidéos !"

 

 Deuxième vidéo : La vision économico-politique d'Hitler 

 

 Troisième : Les nazis au pouvoir 

 

 Quatrième : Les conséquences désastreuses

 

 Cinquième : Conclusion et parallèle.

 

 Non ?

 

Je trouve aussi qu'une minute c'est court, mais ça peut être pas mal le format en plusieurs vidéos.

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  • 3 weeks later...

Bon finalement, j'ai dû me résoudre à faire 5 min... En 1 min, j'ai vraiment rien à dire... Alors je sais que le French libertarien fait des trucs en 1 min, mais justement, je trouve ça ultra vide et assez pauvre... Alors que j'aime bien le gars en théorie. 

 

 Tant pis. Ragez :P 

 

  • Yea 2
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Vidéo fort intéressante!

 

Cela étant, je vais me faire l'avocat du diable sur un point: si Hitler était si socialiste, comment se fait-il qu'il ait pu nouer une telle relation d'amitié avec Henry Ford? Lequel était certes fortement antisémite mais aussi un des symboles du capitaliste américain triomphant. Il est étonnant qu'un socialiste pur jus ait pu l'apprécier...

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