Aller au contenu

Front National désormais Rassemblement national bientôt néant ?


Messages recommandés

Les gens aiment Hollande ?

La droite s'est durci, donc ils font pas voter Juppé, Fillon ou Lemaire. Donc victoire de Sarko par défaut.

Ensuite, les gens veulent virer Hollande, ne pas mettre Lepen ou Mélenchon au pouvoir, donc re-Sarko par défaut.

Les gens préfèrent Hollande à Sarkozy. Tout sauf Sarkozy, ça n'a pas changé. Au contraire.

Je ne connais personne qui a envie de virer Hollande si l'alternative est Sarkozy, à part les vieux de l'UMP.

Lien vers le commentaire

Les gens préfèrent Hollande à Sarkozy. Tout sauf Sarkozy, ça n'a pas changé. Au contraire.

Je ne connais personne qui a envie de virer Hollande si l'alternative est Sarkozy, à part les vieux de l'UMP.

Oui si l'élection était à 3.

 

Sauf qu'hollande sera pas au second tour à cause de la gauche divisée.

  • Yea 1
Lien vers le commentaire

Oui si l'élection était à 3.

 

Sauf qu'hollande sera pas au second tour à cause de la gauche divisée.

 

Divisé entre quoi et quoi ? Même dans l'hypothèse où les frondeurs de PS faisant bande a part, le PS est moins fragmenté que la plupart des dernières élèctions présidentielles. Les verts ne sont nul part, le PC et Mélanchon survivent à la marge, j'ai du mal à voir Hollande perdre au premier tour.

Lien vers le commentaire

Le PS a perdu la moitié de ses militants et toutes les élections intermédiaires depuis 2012. Il y a des signes qui ne trompent pas.

Et Jospin va gagner. Et Balladur etc.

Lien vers le commentaire

Sauf qu'hollande sera pas au second tour à cause de la gauche divisée.

Ca, Hollande le sait trèèès bien et fera donc tout pour l'éviter. Et il a largement les moyens de claquer le beignet de ceux qui tenteraient des trucs rigolos. La seule qui doit l'emmerder, c'est la Taub.

Maintenant... D'ici mai 2017, il y a aussi des contextes qui peuvent largement fusiller Bouffy.

Lien vers le commentaire

 

JUSTICE - Alors que de nombreux membres de son entourage sont mis en examen dans l'enquête sur le financement du FN, Marine Le Pen joue la montre. La présidente du Front national, qui n'est pas encore directement inquiétée par les investigations de la justice, a refusé de se rendre à une convocation des juges d'instruction en début de semaine, a appris l'AFP ce mercredi 14 octobre.

Selon une source proche du dossier, les juges Renaud van Ruymbeke et Aude Buresi avaient convoqué la présidente du FN pour l'entendre mardi comme témoin assisté, un statut intermédiaire entre celui de témoin simple et de mis en examen. Dans un message écrit, Marine Le Pen a confirmé à l'AFP ne pas s'être rendue à cette convocation, faisant valoir qu'une requête en suspicion légitime contre les magistrats avait été déposée quelques jours plus tôt par le FN dans ce dossier.

Une requête en suspicion légitime? Il s'agit d'une procédure visant à contester l'impartialité d'un ou plusieurs magistrats en charge d'une affaire. Si elle est validée par la chambre criminelle de la Cour de cassation, la juridiction visée est dessaisie de l'affaire et renvoyée à une autre qui reprend alors l'enquête à zéro.

Voilà plusieurs mois que Marine Le Pen se défend dans cette affaire de financement illicite présumé en dénonçant une cabale politique. "Quand, dans une telle instruction, un juge comme Mme Buresi, considère plusieurs fois qu'il est tout à fait normal, selon elle, d'instruire à charge, cela indique qu'il y a une volonté claire d'essayer d'atteindre mon nom et notre image pour des raisons purement politiques", dénonçait-elle en mai dernier.

C'est cet "acharnement" à lui nuire que la future candidate à l'élection présidentielle veut mettre en avant dans l'espoir que ses juges soient dessaisis de leur enquête.

Convocation reportée à une date indéterminée

Le dépôt d'un recours en suspicion légitime n'est pas automatiquement suspensif mais le plaignant peut en faire la demande. En attendant, il est censé devoir se plier aux convocations des juges. Selon une source proche du dossier, la convocation de Marine Le Pen, qui a l'ambition de remporter la région Nord-Pas-de-Calais-Picardie en décembre, a été toutefois reportée.

Le Front national, qui dénonce un complot politique, a été mis en examen le 9 septembre pour recel d'abus de biens sociaux et complicité d'escroquerie dans cette enquête qui porte notamment sur le financement des législatives de 2012. Les magistrats ont mis en examen sept autres personnes, dont le trésorier du parti d'extrême droite Wallerand de Saint-Just et l'un de ses vice-présidents Jean-François Jalkh.

Les juges soupçonnent le FN, le microparti Jeanne géré par des proches de Marine Le Pen et l'imprimeur du parti, Riwal, d'avoir mis en place un système d'enrichissement frauduleux avec de l'argent public.

Selon le scenario des enquêteurs, Riwal, dirigé par Frédéric Chatillon, un proche de Marine Le Pen, aurait notamment surfacturé les prix de kits de campagne (tracts, affiches) vendus aux candidats, dont les dépenses ont été ensuite remboursées par l'État comme le prévoit la loi pour les partis qui obtiennent plus de 5% des suffrages exprimés. Cette thèse est fermement réfutée par le FN, qui a déjà utilisé d'autres voies de recours, avec notamment une requête en nullité de sa mise en examen.

De son côté, Wallerand de Saint-Just a assigné l'État en justice pour faute.

http://www.huffingtonpost.fr/2015/10/14/financement-fn-marine-le-pen-juges-partialite_n_8291780.html?utm_hp_ref=france

 

Une éventuelle mise à examen avant les régionales ?

 

 

Jean-Marie Le Pen a assigné mercredi 14 octobre le Front national devant le tribunal de grande instance de Nanterre pour demander sa réintégration au sein du parti dont il a été exclu après un long bras-de-fer avec sa fille Marine, a-t-on appris de son avocat, Frédéric Joachim.

Selon cette assignation, dont le journal L'Opinion publie des extraits, le cofondateur du parti réclame 2 millions d'euros de dommages et intérêts, en réparation notamment du préjudice porté "à sa dignité, à son honneur, à sa notoriété et à son action politique". Il souhaite par ailleurs sa "réintégration parmi les membres" du parti.

 

Lien vers le commentaire

 

A quoi ressemblerait l’arrivée du Front national au pouvoir ? A la combinaison du choc fiscal de 2012, de la relance par la consommation de 1981 et de l’effondrement monétaire argentin. Ce diagnostic –bien sombre - est signé par la fondation Concorde, un think-tank proche de la droite modérée et composé d’universitaires et de chefs d’entreprise, qui entend par là dénoncer le "discours démagogique" du parti de Marine Le Pen.

Dans un rapport sobrement intitulé "le projet économique du Front national ou comment accélérer l’effondrement de l’économie française", le laboratoire d’idées estime que le FN a beau promettre de "renverser la table", il ne fait que proposer "de poursuivre en pire la politique économique menée ces 30 dernières années". Et d’égrener : "les dépenses excessives de la sphère publique, les taxations supplémentaires pour les acteurs privés ou le déni de la compétition économique mondiale dans laquelle la France évolue".

Exemple le plus récent, l’arrivée du Front national au pouvoir pourrait bien ressembler au "choc fiscal" intervenu après l’élection de François Hollande en 2012. Mais en pire. En proposant d’intégrer la taxe d’habitation à l’impôt sur le revenu, le FN concentrerait "encore d’avantage" l’impôt sur un petit nombre de contribuables estiment les auteurs du rapport, qui rappellent qu’avec la suppression de la première tranche d’impôt sur le revenu seuls 46% des ménages paieront l’impôt sur le revenu en 2016.

La politique de relance de F. Mitterrand

Pour les entreprises, la politique du Front national pourrait conduire à une "taxation accrue" des fleurons de l’industrie française et à "l’étranglement" des PME par les charges. "Le Front national fonde (encore) sa politique sur l’idée que les grandes entreprises paieraient peu d’impôts", constate le rapport, qui avertit du risque que les grands groupes délocalisent leurs activités à l’étranger.

Toujours selon la Fondation Concorde, le programme du FN présenterait aussi certains traits communs avec celui de… François Mitterrand. Et notamment la relance par la consommation décidée par le socialiste lors de son arrivée au pouvoir en 1981. Le programme du Front national propose notamment de "moduler l’impôt sur les sociétés pour inciter les entreprises à adopter une politique salariale plus généreuse et distribuer davantage de profits à leurs salariés" et de "financer une augmentation de 200 euros nets des  rémunérations des salaires jusqu’à 1,4 fois le SMIC" (programme de 2012, ndlr) par une taxe sur les biens importés.

Ces propositions traduisent une "ignorance de la crise de compétitivité que traverse notre économie", critiquent les auteurs du rapport de la fondation Concorde qui notent au passage que la proposition de taxer les produits importés "ne pourra pas être mise en place", sauf à sortir du cadre européen. Les propositions du FN ne feront que "renforcer encore davantage la rigidité du marché du travail" et "accéléreront la perte de compétitivité de notre économie", avertit d’ailleurs la Fondation, qui voit déjà les entreprises françaises perdre des parts de marché à l’international et le chômage s’envoler.

"L'échec cuisant" du modèle argentin

De manière générale, penser protéger notre industrie par des droits de douanes est une "illusion" estime la fondation Concorde. "Ces droits de douanes seraient rejetés par l’OMC et l’Union Européenne et amèneraient des mesures de rétorsion qui réduiraient nos exportations", prédit le think-tank. Emergerait alors un double problème: les entreprises combineraient difficultés d'approvisionnement et raréfaction de leurs débouchés. Et les auteurs du rapport de citer l’"appauvrissement dramatique" connu par les modèles économiques "autarciques": Cuba, Corée du Nord, Iran ou Argentine.

L’Argentine, justement, est le dernier exemple cité dans le rapport. Il s'agit, pour la fondation Concorde, d'avertir des risques d'une sortie de l'Euro, "un des thèmes forts du Front national". Rappelant "l’échec cuisant" de l’expérience argentine - une forte dévaluation conjuguée à la mise en place de mesures de protectionnisme économique, le think-tank estime que l'abandon de la monnaie unique conduirait tour à tour à l’effondrement de la monnaie nationale, l’explosion des prix à la consommation, l’augmentation du prix des matières premières, l’accroissement du déficit et de la dette, l’augmentation du chômage et in fine le recul du PIB français.

http://www.challenges.fr/politique/20151015.CHA0547/ce-rapport-qui-demonte-le-programme-economique-du-fn.html

 

Lien vers le commentaire

 

« Je ne me rendrai pas ce soir à cette mascarade. » La présidente du Front national (FN), Marine Le Pen, a confirmé qu’elle ne participerait pas à l’émission « Des paroles et des actes », jeudi 22 octobre sur France 2, après l’invitation faite à la dernière minute de deux de ses concurrents aux élections régionales, Xavier Bertrand (Les Républicains) et Pierre de Saintignon (Parti socialiste) pour un débat en deuxième partie d’émission. En conséquence, France Télévision a décidé d’annuler l’émission.

Soumise à la critique d’accorder trop de visibilité à la candidate du FN aux élections régionales de décembre en Nord-Pas-de-Calais-Picardie, France Télévisions avait décidé dans la nuit de mercredi à jeudi d’ouvrir « une séquence de 30 à 40 minutes consacrée au scrutin régional dans le Nord-Pas-de-Calais-Picardie », « dans un souci d’apaisement avec les uns et les autres ». MM. Bertrand et de Saintignon ont accepté d’y participer.

Mais aux yeux de la présidente du FN, la direction de France 2, et David Pujadas en particulier, se sont « soumis aux exigences posées hier par MM. Cambadélis et Sarkozy », qui avaient menacé de saisir le CSA. D’abord en « rallongeant l’émission (déjà très longue) d’un débat sur les régionales », et en « excluant d’ailleurs sans raison les autres candidats à cette élection ».

Reste que Marine Le Pen est la personnalité la plus invitée lors des 26 émissions de « Des Paroles et des actes », qui ont été diffusées depuis juin 2011, date de sa création.« Confrontée à cette méthode cavalière et méprisante, j’ai dans un esprit de conciliation proposé alors que ce débat régional se substitue au débat politique (...) Avec une arrogance inouïe, M. Pujadas a cru pouvoir, pour la deuxième fois, me mettre devant le fait accompli, ce qu’il a admis lui-même ne jamais faire pour les autres responsables politiques. »

La présidente du FN, personnalité la plus invitée
La liste des invités des 26 émissions de « Des paroles et des actes » hors spéciale élections ou primaire.

 

Un axe Cambadélis-Sarkozy

Au fil de la journée de mercredi, la pression sur France Télévisions n’avait cessé de croître. Le premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, avait ainsi envoyé une lettre au président du parti Les Républicains, Nicolas Sarkozy, pour lui proposer de saisir conjointement le CSA sur le sujet.

« II n’est pas admissible que le service public fasse plus de deux heures de publicité pour Mme Le Pen au détriment des partis républicains représentés à l’Assemblée nationale, a écrit M. Cambadélis. Je crois qu’il faut porter un coup d’arrêt à la fascination, à la promotion morbide de l’extrême droite dans le pays. » Et de proposer une « démarche commune » à M. Sarkozy, qui pourrait par exemple passer par l’intermédiaire des têtes de liste des deux partis aux élections régionales des 6 et 13 décembre.

M. Sarkozy a saisi la main tendue de M. Cambadélis. Le président des Républicains, qui a toujours refusé de débattre avec le premier secrétaire du PS ou même de lui parler au téléphone au moment de l’organisation de la marche républicaine du 11 janvier, a appelé M. Cambadélis pour lui dire qu’il « partageait son analyse » et qu’il y avait « une violation manifeste des règles républicaines en matière de temps de parole ». « Il doit y avoir dans ce contexte une solidarité des partis républicains », explique-t-on dans le camp Sarkozy.

Saisine séparée

L’initiative d’une lettre au CSA devait se faire par contre de façon séparée. Frédéric Péchenard, directeur général des Républicains, a préparé un courrier qu’il doit envoyer à la présidente de France Télévisions, Delphine Ernotte, et au président du CSA, Olivier Schrameck. « Il n’est pas question de vouloir débattre ou non avec Mme Le Pen. Nous ne nous sommes jamais dérobés. Il est question, à deux jours de la campagne officielle, d’exiger une stricte égalité de traitement entre les candidats », explique M. Péchenard dans cette lettre, où il demande que Xavier Bertrand soit le contradicteur de la présidente du FN.

Mercredi, le CSA s’était également exprimé. Dans un communiqué publié peu après l’initiative de Jean-Christophe Cambadélis, le régulateur avait dit que « dès à présent, avant même l’entrée en vigueur de sa recommandation [liée à la période de campagne officielle], quand des personnalités fortement impliquées dans la compétition électorale sont invitées à prendre la parole sur les antennes, faisant valoir directement ou indirectement une candidature, la possibilité d’une expression contradictoire devrait être rapidement offerte aux concurrents ». En clair, selon l’institution, MM. Bertrand et de Saintignon devaient se voir proposer un temps de parole sur France Télévisions comparable à celui de Mme Le Pen.

http://www.lemonde.fr/politique/article/2015/10/21/marine-le-pen-sur-france-2-nicolas-sarkozy-et-jean-christophe-cambadelis-d-accord-pour-saisir-le-csa_4794204_823448.html#1QEFTZVTfvJyFU13.99

 

Ce pays :facepalm:

Lien vers le commentaire

 

Manuel Valls, qui avait récemment théorisé son réformisme social, entend en faire une arme politique face au thème de la rupture qu’il juge dangereux : « Si le Nord-Pas-de-CalaisPicardie passe au Front national, c’est la fin d’un modèle, la fin d’une certaine vision de la France », dit-il en pointant aussi la menace qui pèserait sur des milliers d’emplois du fait de la fin des subventions européennes.

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/politique/article/2015/10/23/manuel-valls-juge-la-depense-publique-trop-importante_4795614_823448.html#8SGtbhgKowlTxqck.99

 

J'ai lu ça dans l'immonde.

C'est quoi cette histoire de "fin des subventions européennes"? L'UE ne finance que les régions qui ont la bonne couleur politique? Je ne suis pas un fan du FN, mais ce chantage aux subventions et à l'emploi est assez révulsant. Que ce soit vrai ou faux, la démarche suffit à montrer le danger de dépendre des subsides versés par des crapules dénuées de morale.

Lien vers le commentaire

J'ai lu ça dans l'immonde.

C'est quoi cette histoire de "fin des subventions européennes"? L'UE ne finance que les régions qui ont la bonne couleur politique? Je ne suis pas un fan du FN, mais ce chantage aux subventions et à l'emploi est assez révulsant. Que ce soit vrai ou faux, la démarche suffit à montrer le danger de dépendre des subsides versés par des crapules dénuées de morale.

 

Les subventions UE, c'est une petite partie des milliards que la France envoie à Bruxelles qui revient. Le chantage à bien voter repose en plus sur une escroquerie intellectuelle.

Lien vers le commentaire

J'ai lu ça dans l'immonde.

C'est quoi cette histoire de "fin des subventions européennes"? L'UE ne finance que les régions qui ont la bonne couleur politique? Je ne suis pas un fan du FN, mais ce chantage aux subventions et à l'emploi est assez révulsant. Que ce soit vrai ou faux, la démarche suffit à montrer le danger de dépendre des subsides versés par des crapules dénuées de morale.

 

Tu as bien résumé la situation. C'est ce qui s'est passé pour la communauté d'agglomération Hénin-Carvin quand Hénin-Beaumont est tombé aux mains du FN. Voulant sanctionner des électeurs qui ont "mal voté", la communauté a réduit son engagement financier sur Hénin-Beaumont. Cela ne m'étonnerait pas davantage que le projet RER Lille-Hénin prévu de longue date ne se réalise pas comme convenu, de peur qu'une ville FN ne profite des retombées. Je ne parle même pas de la répartition de la réserve parlementaire, qui est un exemple encore plus flagrant.

Lien vers le commentaire

c'est marrant, souvenez vous Segolene avait fait la meme, elle nous avait promis des emeutes qui n'ont pas eu lieu.

Mon probleme avec le vote FN, c'est que s'il passe, deja premiere surprise ca ne va pas etre la revolution, donc le FN va rester, et apres seconde surprise il faudra se coltiner son programme, et a mon avis ca sera le pire du PS+le pire de l'UMP rassembles

Lien vers le commentaire

 Si marine passe, référendum sur la sortir de l'UE, les français disent non, elle démissionne. Point.

 

 Après, elle reviendra peut-être à la charge... Ca serait horrible qu'elle revienne comme l'Homme providentiel...

Lien vers le commentaire

c'est marrant, souvenez vous Segolene avait fait la meme, elle nous avait promis des emeutes qui n'ont pas eu lieu.

Mon probleme avec le vote FN, c'est que s'il passe, deja premiere surprise ca ne va pas etre la revolution, donc le FN va rester, et apres seconde surprise il faudra se coltiner son programme, et a mon avis ca sera le pire du PS+le pire de l'UMP rassembles

 

 

Ce serait bien les premiers hommes politiques à tenir leurs promesses.

 

En pratique, il y aura soit une cohabitation, soit un blocage du pays, les administrations ne voulant pas bouger sous les ordres de Marine. Bref, le pays sera à l'arrêt.

 

Passée la stupeur, les résistants bobos de la première heure devront bouffer et tout le monde va rentrer dans le rang : Marine oubliera ses plus grandes promesses, fera des bidules à la marge, les administrations essaieront de transiger, et puis tout le monde trouvera que finalement, c'est pas si mal. Bilan : sociale démocratie molle, décrépitude continue.

 

:cpef:

  • Yea 1
Lien vers le commentaire

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
×
×
  • Créer...