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Macron : ministre, candidat, président... puis oMicron


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Moi ils viennent toujours à l’intérieur. On fait semblant de causer quand le voisin sort les poubelles. On choisit parmi plusieurs propositions. Et on se dit à bientôt. Toujours que des gens très sympas et une fois, une meuf, l’ultime camouflage. 

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Le BDE dashboarde les KPI de réforme.

 

https://www.lemonde.fr/politique/article/2020/12/21/avant-2022-emmanuel-macron-veut-valoriser-son-bilan_6064129_823448.html?utm_medium=Social&utm_source=Twitter#Echobox=1608569038

 

Le 6 janvier 2021, la ministre de la transformation et de la fonction publiques, Amélie de Montchalin, doit présenter en conseil des ministres un baromètre pour évaluer, dans chaque secteur, la mise en œuvre des réformes enclenchées depuis l’arrivée de M. Macron à l’Elysée.

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C'est assez cocasse qu'après tous les grabataires qui ont tenté voir eu le rôle de président, on parle de prendre de prendre l'intérim du largement plus jeune pour problème de santé :D

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Citation

Mais dans l'intimité, l'époux de Brigitte Macron tombe la veste, comme le révélent les journalistes Ava Djamshidi et Nathalie Schuck dans l'ouvrage Madame la présidente.

"En très petit comité, le locataire de l'Élysée déploie un vocabulaire très sexué, pour ne pas dire scabreux", notent-elles, précisant que "maints conseillers ont sursauté en l'entendant tonitruer, au sortir d'une victoire sur des adversaires politiques : 'Je les ai bien baisés ! Je leur ai mis profond !'" Un champ lexical fortement connoté qui étonne tant l'ex-énarque nous a habitué à des mots compliqués.

Mais à en croire son entourage, en privé, Emmanuel Macron, loin de l'image de Jupiter qui lui colle à la peau, pourrait se montrer très décontracté, voire cru. "Ce n'est pas le gendre idéal, loin de là. C'est un mauvais garçon", confiait un élu de premier ordre dans les colonnes du Parisien. "Il a un vocabulaire sexuel, très vert", confirmait par ailleurs un conseiller. Et un proche de s'amuser : "Il parle tout le temps comme ça, quand on dîne avec lui, dans l'intimité (…) On le dit méprisant, arrogant, hautain, mais ce n'est pas lui. Là, c'est l'Emmanuel que je connais".

https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/je-les-ai-bien-baises-emmanuel-macron-et-ses-ecarts-de-langage-qui-surprennent-dans-lintimite_460600

 

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il y a 10 minutes, Marlenus a dit :

Me fait penser à mon ex chef (une femme) qui disait:

 

C'est celui qui bande le premier qui baise l'autre!!!

 

 

Pour expliquer qu'il fallait agir avant la concurrence.

 

Elle est pas mal celle là, je la ressortirai le jour où je voudrais foutre un gros blanc en réunion.

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cette allocution de Macron j'en suis resté sur le cul :

 

""Notre pays est l'un de ceux qui est le plus intervenu, ce "quoi qu'il en coûte" je l'assume car il a permis de protéger des vies et des emplois"

 

le mec est complètement perché 

 

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il y a 17 minutes, biwi a dit :

le mec est complètement perché

C'est toute la haute-administration fr qui est complètement perchée.

Comme 100% de ce qu'il fait et piaille vient de là, rien de surprenant.

 

Je pense même que la haute-admin fr est nettement plus perchée et idéologisée que la bureaucratie soviétique en 1989.

 

La population fr n'a pas fini de dérouiller.

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j'entendais un mec  ce matin qui disait que c'était pas grave d'avoir loupé son discours parce que Macron avait complètement loupé celui ci ^^.

 

c'est tellement affligeant, il a parlé de son bilan catastrophique en le disant très bon et en parlant d'écologie à gogo..complètement déconnecté de la réalité quoi.

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  • 2 weeks later...

 

 

Produire soja en Europe? Mais le soja a besoin de chaleur, non? Entre 20°C et 30°C, moins de 18°C n'est pas approprié. Peut-être avec des technologies/techniques d'aujourd'hui, mais et le coût?

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Ah c'est de nouveau le moment de citer Apocalypse Never.

Spoiler

Insensitivity to Brazil’s need for economic development led environmental groups, including Greenpeace, to advocate policies that contributed to the fragmentation of the rainforest and the unnecessary expansion of cattle ranching and farming. Environmental policies should have resulted in “intensification,” growing more food on less land. Instead, they resulted in extensification and a political and grassroots backlash by farmers that resulted in rising deforestation.

[...]
Nepstad said the stricter Forest Code cost farmers $10 billion in forgone profits and forest restoration. “There was an Amazon Fund set up in 2010 with $1 billion from Norwegian and German governments but none of it ever made its way to the large and medium-sized farmers,” says Nepstad.
“Agribusiness is 25 percent of Brazil’s GDP and it’s what got the country through the recession,” said Nepstad. “When soy farming comes into a landscape, the number of fires goes down. Little towns get money for schools, GDP rises, and inequality declines. This is not a sector to beat up on, it’s one to find common ground with.”

Greenpeace sought stricter restrictions on farming in the savannah forest, known as the Cerrado, where much of the soy in Brazil is grown. “Farmers got nervous that there was going to be another moratorium by governments on Brazilian soy imports,” explains Nepstad. “The Cerrado is 60 percent of the nation’s soy crop. The Amazon is 10 percent. And so this was a much more serious matter.”
Greenpeace’s campaign led journalists, policymakers, and the public to conflate the Cerrado savanna with the Amazon rainforest, and thus believe that the expansion of soy farming in the Cerrado was the same as logging the rainforest.

But there is far more economic and ecological justification for deforestation in the Cerrado, which is less biologically diverse and has soils more suited to soy farming, than in the rainforest. By conflating the two regions, Greenpeace and journalists exaggerated the problem and created the wrong impression that both places are of equal ecological and economic value.

[...]

Much of the motivation to stop farming and ranching is ideological, Nepstad said. “It’s really antidevelopment, you know, anti-capitalism. There’s a lot of hatred of agribusiness. Or at least hatred of agribusiness in Brazil. The same standard doesn’t seem to apply to agribusiness in France and Germany.”
The increase in deforestation in 2019 is to some extent Bolsonaro fulfilling a campaign promise to farmers who were “fatigued with violence, the recession, and this environmental agenda,” Nepstad said. “They were all saying, ‘You know, it’s this forest agenda that will get this guy [Bolsonaro] elected. We’re all going to vote for him.’ And farmers voted for him in droves. I see what’s happening now, and the election of Bolsonaro, as a reflection of major mistakes in [environmentalist] strategy.”
I asked Nepstad how much of the backlash was due to the government’s enforcement of environmental laws and how much was due to NGOs like Greenpeace. “I think most of it was NGO dogmatism,” he said. “We were in a really interesting space in 2012, ’13, ’14 because the farmers felt satisfied with the article of the Forest Code dedicated to compensating farmers, but it never happened.”

[...]

Greenpeace’s agenda fit neatly into the agenda of European farmers to exclude low-cost Brazilian food from the European Union. The two European nations that were the most critical of deforestation and fires in the Amazon also happened to be the two countries whose farmers most resisted the Mercosur free trade agreement with Brazil: France and Ireland.
“Brazilian farmers want to extend [the free trade agreement] EU-Mercosur,” noted Nepstad, “but [French president Emmanuel] Macron is inclined to shut it down because the French farm sector doesn’t want more Brazilian food products coming into the country.”
Indeed, it was President Macron who started the global news media fervor about Amazon deforestation just a few days before France hosted the G7 meeting. Macron said France would not ratify a major trade deal between Europe and Brazil so long as Brazil’s president did nothing to reduce deforestation.
In Brussels, the capital of the European Commission, the attacks on Brazil by France and Ireland “raised eyebrows,” noted Forbes business reporter Dave Keating. “These also happen to be the two countries who have been most vocally opposed to the Mercosur deal on protectionist grounds.”
According to Keating, “They are worried that their farmers will be overwhelmed by competition from South American beef, sugar, ethanol, and chicken. Beef, a staple of Argentinian and Brazilian agricultural exports, has been the most sensitive issue in these trade negotiations. Irish farmers in particular are expected to have a tough time competing with the influx.”
“I don’t doubt the sincerity of Macron’s wish to protect the Paris Agreement,” a EU trade expert told Keating, “but it strikes me as suspicious that it’s these two countries raising the objection. It makes you wonder whether the Amazon fires are being used as a smokescreen for protectionism.”

 

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"L'appareil d'État est délabré" : la réforme de l'État, mère des réformes ?

 

Citation

En échangeant avec certains ministres, il faut résister à l’envie de se pincer pour vérifier que ce que l’on entend est bien réel. "Vous appuyez sur des boutons, mais il ne se passe rien derrière", décrit l’un d’eux. Un autre : "C'est comme si on avait un tableau de bord, mais que les fils étaient déconnectés." "Et c'est pareil à l'Elysée", confesse même un ancien du Palais.

 

"L’appareil d'État est délabré", constate un membre du gouvernement, qui raconte avoir dû batailler un an contre son administration pour valider une nomination qui est normalement du seul ressort du politique. Trois ministères échappent à cette grille de lecture : l’Intérieur, l’Armée et Bercy, le super ministère de l’Economie.

 

À l’inverse, le bonnet d’âne est décerné à la Santé, perçue au cœur du pouvoir comme "un Etat dans l'Etat". Un ministre raconte comment le président "a dû botter le train des agences régionales de santé et des directeurs d’Ehpad qui, sur la vaccination, disaient ne rien pouvoir enclencher avant le 11 janvier". "Olivier Véran est le jouet de son administration", tranche dans Le Point l’un des détracteurs du ministre de la Santé. La charge est sévère…

 

[...]

 

"Le premier qui arrive à 'détechnocratiser', je lui tire mon chapeau", ironise même un directeur de cabinet ministériel. "Pour ce quinquennat, c’est mort, analyse un président de région, mais Macron peut rebondir là-dessus lors de la campagne présidentielle."

À droite on y croit peu car, me dit-on, "Macron est l’incarnation même de cet État. Un énarque entouré d’énarques". Référence au Premier ministre Jean Castex, à son directeur de cabinet Nicolas Revel, et au secrétaire général de l’Elysée Alexis Kohler. Tous issus de l’Ecole Nationale d'Administration.

 

La droite qui a crée les ARS ...

 

Mais 'détechnocratiser' peut être un thème fort de campagne.

 

A saisir !

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