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La Dictature Des Actionnaires


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C'est une idée fixe chez les gauchistes :

Les actionnaires ne pensent qu'à s'enrichir et poussent les patrons à licencier leurs personnels. Au final, on aboutirait à une situation où une majorité de pauvres est acculée à la misère pour qu'une poignée de milliardaires continue de s'enrichir.

Connaissez-vous des liens ou des références pour casser ce mythe ?

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C'est une idée fixe chez les gauchistes :

Les actionnaires ne pensent qu'à s'enrichir et poussent les patrons à licencier leurs personnels. Au final, on aboutirait à une situation où une majorité de pauvres est acculée à la misère pour qu'une poignée de milliardaires continue de s'enrichir.

Connaissez-vous des liens ou des références pour casser ce mythe ?

C'est un peu vrai! Surtout avec les fonds de pension americains.

ex: En 1997 l'action Renault gagne 13% a l'annonce de la fermeture de son usine de Vilvoorde.

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C'est une idée fixe chez les gauchistes :

Les actionnaires ne pensent qu'à s'enrichir et poussent les patrons à licencier leurs personnels.

Une seule solution : arrêter d'être salarié, et devenir actionnaire (ou patron).

Par exemple en créant sa boîte (en France, si on est maso).

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Connaissez-vous des liens ou des références pour casser ce mythe ?

Un ouvrage de Pierre Yves Gomez, La république des actionnaires, qui traite de la massification de l'actionnariat. En gros : il n'y plus seulement une petite poignée qui participe à la prise de décision importante dans une entreprise, mais de plus en plus de petits propriétaires et particuliers s'investissent de ce rôle, jusqu'aux travailleurs de l'entreprise eux-mêmes. P.Y. Gomez souligne bien les limites de cette tendance et n'hésite pas à rappeler comment les plus gros conservent leur pouvoir écrasant de décision. Mais il montre aussi quel potentiel et quels sont moyens pour l'actionnariat, de par sa massification/diversification au travers de toujours plus de petits porteurs et leur regroupement en fonds de pension -qui ne se contentent pas d'investir mais aussi de porter certaines valeurs-, d'adopter un comportement responsable et éthique (et le développement des ethical funds est significatif à cet égard) qui ne vise pas à privilégier nécessairement le profit immédiat. Même si l'ouvrage est plutôt faiblard, il constitue une bonne première base de classification des différents types d'actionnaires et pratiques Si je retrouve le bouquin je t'en reproduirai un petit schéma intéressant -qui montre quelles tendances profitables à l'actionnaire mènent toutefois à l'équilibre et au profit de tous.

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Une seule solution : arrêter d'être salarié, et devenir actionnaire (ou patron).

Par exemple en créant sa boîte (en France, si on est maso).

Oui, effectivement cela me semble etre le choix le plus judicieux!

C'est vrai. Mais la difficulté est que ce sont surtout les riches qui ont le privilège de pouvoir vivre de leurs actions. Point de salut donc pour le pauvre ouvrier qui va se retrouver au chomage.

Si l'actionnariat de masse a des conséquences aussi néfastes que le disent les gauchistes, alors nous ne les convaincrons jamais.

@Valentin : merci pour la référence, je ferai une recherche google dessus.

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C'est vrai. Mais la difficulté est que ce sont surtout les riches qui ont le privilège de pouvoir vivre de leurs actions. Point de salut donc pour le pauvre ouvrier qui va se retrouver au chomage.

Si l'actionnariat de masse a des conséquences aussi néfastes que le disent les gauchistes, alors nous ne les convaincrons jamais.

@Valentin : merci pour la référence, je ferai une recherche google dessus.

Il faudrait aussi rappeler à vos contradicteurs que n'importe qui qui a un plan de pension privé ou une pension complémentaire via l'assurance-groupe de sa boîte est lui-même actionnaire.

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Une seule solution : arrêter d'être salarié, et devenir actionnaire (ou patron).

Par exemple en créant sa boîte (en France, si on est maso).

C'est ce que n'arrête pas de me répéter un ami entrepreneur quand il entend des syndicaliste réclamer "plus d'emplois" au patronnat.

S'ils veulent des emplois, qu'ils arrêtent de beugler et de demander à quelqu'un d'autre d'en créer pour eux. Qu'ils les créent, leurs entreprises, leurs coopératives auto-gérées, qu'ils le fassent, leur grand soir, et qu'ils arrêtent de faire ch… le monde !
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C'est vrai. Mais la difficulté est que ce sont surtout les riches qui ont le privilège de pouvoir vivre de leurs actions. Point de salut donc pour le pauvre ouvrier qui va se retrouver au chomage.

Si l'actionnariat de masse a des conséquences aussi néfastes que le disent les gauchistes, alors nous ne les convaincrons jamais.

Les "riches qui vivent de leurs actions", c'est un mythe. Les actionnaires les plus gros sont tout d'abord les fonds de pensions et surtout d'autres entreprises.

Les premiers cherchent à faire fructifier le portefeuille de leurs clients et les seconds ont des visées plus stratégiques mais dans les deux cas, le but est le profit.

Le but des gauchistes étant d'amener peu à peu ou le plus possible l'économie vers un système planifié de type communiste, ils martèlent l'idée que l'entreprise est là pour employer des salariés, que le profit est nuisible et ils refusent d'envisager l'évolution, l'innovation et l'adaptation de l'entreprise au marché.

Par exemple, une entreprise peut très bien faire un bénéfice énorme une année et se retrouver avec des salariés en trop à la suite d'une réorganisation ou d'un progrès technique. Garder des gens à ne rien faire ou pérenniser une mauvaise organisation et conserver des techniques obsolètes est suicidaire car la concurrence ne s'embarrassera pas de tels scrupules.

Ce sont par ailleurs les raisons pour lesquelles le progrès et l'innovation dans les pays communistes étaient inexistants: si on doit conserver des mines de charbon ouvertes pour sauvegarder des emplois, on doit conserver la technologie qui fonctionne au charbon.

C'est pourquoi il faut accepter de changer de job de temps en temps afin d'améliorer sans cesse les conditions de vie que l'on offre à sa famille et pour cela il faut savoir anticiper et gérer les périodes de vaches maigres, inévitables.

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Les "riches qui vivent de leurs actions", c'est un mythe. Les actionnaires les plus gros sont tout d'abord les fonds de pensions et surtout d'autres entreprises.

Les premiers cherchent à faire fructifier le portefeuille de leurs clients et les seconds ont des visées plus stratégiques mais dans les deux cas, le but est le profit.

Effectivement.

D'ailleurs il n'y a pas que les fonds de pension. Les entreprises d'assurance en général placent leurs différentes provisions sur les marchés. Donc n'importe qui qui a une assurance auto est indirectement actionnaire.

Par ailleurs on constate que l'influence de ces fonds est stabilisatrice car leur gestion est orientée sur le long terme.

Le but des gauchistes étant d'amener peu à peu ou le plus possible l'économie vers un système planifié de type communiste, ils martèlent l'idée que l'entreprise est là pour employer des salariés, que le profit est nuisible et ils refusent d'envisager l'évolution, l'innovation et l'adaptation de l'entreprise au marché.

Par exemple, une entreprise peut très bien faire un bénéfice énorme une année et se retrouver avec des salariés en trop à la suite d'une réorganisation ou d'un progrès technique. Garder des gens à ne rien faire ou pérenniser une mauvaise organisation et conserver des techniques obsolètes est suicidaire car la concurrence ne s'embarrassera pas de tels scrupules.

De fait. Dans le cas de Renault, tout le monde sait depuis cinq ans que l'industrie automobile est en surcapacité.

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Les entreprises d'assurance en général placent leurs différentes provisions sur les marchés. Donc n'importe qui qui a une assurance auto est indirectement actionnaire.

Pas vraiment: le fait que ton fournisseur de services possède des actions ne fait pas de toi un actionnaire même indirectement.

Par contre quiconque posséde des parts d'une sicav qui détient elle même des actions est indirectement propriétaire des acitons détenues par la sicav.

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Je procéderai autrement pour résoudre le probleme:

1 - Quelle est la différence entre une société par actions, une coopérative? Et entre deux sociétés par action, quelle différence entre les SA à CA (exemple:Vivendi), et les SA à commandite (ex: Lagardère et Michelin) Une question clé: quelle est la différence entre Leclec, Auchan, et Carrefour (structure de propriété fondamentalement différente).

2 - Quand on parle d'actionnaires, on se réfère à des sociétés cotées ou non cotées sur un marché public (la bourse) ? (cela influe sur le comportement, cf les "licenciements boursiers")

3 - Qu'est-ce qu'un actionnaire? Parle-t-on par exemple de la petite imprimerie en SARL près de chez moi, avec un ou deux actionnaires (le tenancier de la boutique)? Ou parle-t-on des propriétaires institutionnels d'entreprises du CAC40?

On en arrive en fait, avec ses questions, à ce dont parle le gauchiste: l'entreprise cotée en Bourse, et dont les actionnaires sont de grandes banques et de grands fonds de pensions américains, car en gros, il ya trois types d'actionnaires:

- les zinzins (investisseurs institutionnels: assurances, banques, etc…)

- les particuliers

- les industriels (exemple, Renault est actionnaire de Nissan, l'alliance capitalistique prolonge dans ce cas l'alliance industrielle et commerciale).

Or, le nombre de sociétés que cela concerne est très très très faible, c'est en fait toutes celles qui sont cotées en Bourse à Paris, par exemple. Je n'ai pas de chiffres, mais en gros, comme 50% des français bossent dans des entreprises de moins de 500 pertsonnes, je pense que les très grosses entreprises ne représentent que quelques %.

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Les "riches qui vivent de leurs actions", c'est un mythe.

Effectivement, c'est un mythe. Thomas Piketty l'a très bien démontré à travers une étude sur la période 1901-1998. Si les "hauts revenus" étaient des rentiers au début du siècle, ils sont des cadres supérieurs aujourd'hui, c'est-à-dire des salariés.

Le "licenciement boursier" est également un mythe. On appelle généralement ainsi les plans sociaux réalisés par une entreprise qui fait par ailleurs des bénéfices. En général, les gens ne comprennent pas qu'une entreprise qui fait des bénéfice puisse licencier. L'explication est toute trouvée : si les managers licencient, c'est pour faire monter le cours de l'action. Mais ça n'a aucun sens.

Le "gauchiste" dira : "C'est scandaleux qu'une entreprise puisse licencier alors qu'elle fait des bénéfices, tout ça pour enrichir les actionnaires ! Ce devrait être interdit !"

En fait, il y a plusieurs erreurs d'appréciation :

- Beaucoup confondent cours de l'action et revenu de l'action. Quand le cours augmente, les détenteurs d'action ne s'enrichissent pas (ce n'est qu'un enrichissement potentiel, virtuel, s'ils vendent leur titre). Donc pour les managers de l'entreprise, il ne s'agit pas de faire monter artificiellement le cours d'un titre, mais de donner les garanties d'une saine gestion.

- Quand les managers décident de faire un plan social, c'est en fonction d'une stratégie, c'est-à-dire en fonction de projets d'avenir. Le bénéfice, lui, traduit le résultat de l'activité passée. Une entreprise peut avoir fait des bénéfices dans le passé, mais les choix stratégiques qu'elle réalise pour l'avenir, dans une perspective de croissance, peuvent néanmoins nécessiter une restructuration, et donc des licenciements (désengagement de certaines activités, compression de coûts compte tenue de l'arrivée de nouveaux concurrents, etc.) Sur les marchés financiers, c'est la stratégie d'ensemble qui attirera les actionnaires et fera monter le cours, l'annonce de plan social n'étant qu'un signal (un indicateur) observé ou repéré par les spéculateurs.

- Les managers d'une entreprise qui fait des bénéfices ne vont pas s'amuser à licencier uniquement pour faire plaisir aux actionnaires, si cela risque d'avoir des conséquences fâcheuses pour les affaires !

- De plus, une entreprise ne doit surtout pas attendre de faire des pertes pour procéder à des licenciements, car ce serait trop tard, les conséquences pouvant être désastreuses.

Bref, si effectivement on peut observer que le cours d'une action augmente suite à un licenciement, cela ne veut pas dire qu'on licencie POUR enrichir les actionnaires.

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Les actionnaires ne pensent qu'à s'enrichir et poussent les patrons à licencier leurs personnels. Au final, on aboutirait à une situation où une majorité de pauvres est acculée à la misère pour qu'une poignée de milliardaires continue de s'enrichir.

Connaissez-vous des liens ou des références pour casser ce mythe ?

Je suis propriétaire de 20% des parts de la boite dans laquelle je bosse, et j'ai surtout interet à ce qu'elle continue de me rapporter des sous.

Si une réorganisation avec licenciement est nécessaire, pourquoi pas, mais cela n'est pas toujours le cas..

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Merci

Editeur : Syros-Alternatives économiques

:icon_up:

Ceci dit le thème du livre a l'air très intéressant : l'apparition de petites démocraties au sein des entreprises par le biais des actionnaires. Je serai curieux de voir ce que ca donnera dans l'avenir.

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> http://www.novethic.fr/novethic/site/artic…ex.jsp?id=88585 :

Amy Domini se pose la question : un investissement selon des critères autres que financiers serait il rentable ? Avec Peter Kinder, qui est alors avocat, elle décide de vérifier l’hypothèse et de bâtir un indice boursier ne comprenant que des valeurs « éthiques ». « A l’époque, on pensait que ce type d’investissement rapportait moins» se souvient aujourd’hui Peter Kinder, président de KLD et principal responsable de l'agence depuis le départ d’Amy Domini qui dirige aujourd'hui une société de gestion spécialisée : Domini Social Investments. « Nous avons été surpris de constater le contraire ; nous avons alors pensé que cette industrie avait de l’avenir » ajoute-t-il. Avec Steve Lydenberg, les deux associés créent alors KLD, société à leurs trois initiales.

Même selon un calcul économique purement rationnel - anti-humain selon les gauchistes -, un investisseur peut donc donner dans le "socialement responsable".

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> http://www.novethic.fr/novethic/site/artic…ex.jsp?id=88585 :

Même selon un calcul économique purement rationnel - anti-humain selon les gauchistes -, un investisseur peut donc donner dans le "socialement responsable".

C'est juste une question de marketing, au lieu de dire: " je vous propose un fonds qui regroupe des valeurs middle market européenne, et un autre sur les valeurs de croissance Asie", tu peux dire "je vous propose un fond éthique socialement responsable (si Veolia pollue, si Renault n'adopte pas le nouveau moteur machin qui ne pollue pas, si Nike fait travailler les enfants, on les sort du portefeuille du fond, etc…), j'ai aussi un fond islamique, un autre qui ne contient que des sociétés à capital familial, un autre avec que des sociétés dont le nom commence par T, etc…."

Ce n'est qu'une question d'imagination, un mollah iranien vendra du fond islamique, un altermondialiste vendra de l'ISR. (investissement socialement responsable)

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La gauche se croit encore à la Révolution Industrielle… Comme si les ouvriers, les employés d'une entreprise n'avaient jamais possédé une seule action de leur entreprise, ou d'autres entreprises…

Personnellement, je suis actionnaire. D'ici les quatre prochaines années, j'aurais des actions un peu partout. Plus mes sociétés feront des chiffres, plus je gagnerais de dividendes. Par exemple, pour Total, j'empocherais 5,55 € de dividendes par action ( et j'ai pas besoin d'en avoir beaucoup ) cette année ! Mais Total a fait de très bons chiffres. Ce qui m'importe, c'est que ça monte. Plus l'action monte, plus je gagne. S'il faut virer un quart des employés pour doubler la valeur de l'action, et bien virons-les, sans état d'âme. Généralement ceux qu'on met à la porte de toute façon ne sont plus des jeunots…

En France évidemment, ça passe mal, mais nous vivons dans un pays marxiste alors… Quand nous nous serons débarrassés de cette pourriture d'énarques, alors on pourra évoluer dans le bon sens, sans état d'âme.

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Invité jabial
Ce qui m'importe, c'est que ça monte. Plus l'action monte, plus je gagne. S'il faut virer un quart des employés pour doubler la valeur de l'action, et bien virons-les, sans état d'âme.

Parce que tu crois que c'est en virant des gens qu'on augmente la valeur d'une boîte?

Diable…

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Parce que tu crois que c'est en virant des gens qu'on augmente la valeur d'une boîte?

Diable…

Sauf dans le cas très spécifique des gens à contribution négative (perturbation de l'équipe, etc…) c'est en effet la logique même: moins de gens, moins de chiffre d'affaire, d'une manière ou d'une autre.

Au pire, même en n'étant pas aussi affirmatif que moi, on ne peut pas dire mieux que "c'est vraiment au cas par cas". Exemple: prenons le cas d'une grosse mutation technologique indépendante de la boite; en soi, pour Kodak, virer ses ingénieurs chimistes (la base de la photo argentique) n'augmente pas la valeur de la boite, c'est recruter des ingénieurs informatiques (la base du numérique) qui augmente la valeur future de la boite. (destruction créatrice, d'une certaine manière)

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Invité jabial
Réveillez vous, on vire même quand une entreprise va bien aujourd'hui, pour augmenter les revenus des actionnaires ( dont je fais partie ) !

Citation approximative:

"Ne pas connaître l'économie n'est pas un crime, mais hurler son opinion en économie alors qu'on n'y connaît rien est stupide".

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oui c'est vrai! Super, cool, magnifique….Continuons dans cette voie pour que Freeman devienne riche. :icon_up:

Bah, cet argent c'est pour monter des villes privées, reliées par des trains sur coussins d'air, que tu peux acheter en envoyant des textos à Raffarin qui sera devenu roi de France entre temps à la faveur d'une politique nataliste.

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Bah, cet argent c'est pour monter des villes privées, reliées par des trains sur coussins d'air, que tu peux acheter en envoyant des textos à Raffarin qui sera devenu roi de France entre temps à la faveur d'une politique nataliste.

MORT DE RIRE ! Mais j'ai écrit à Raffarin, vous pouvez lui demander. Je lui ai demandé de ses nouvelles il y a quelques temps. En tout cas, il ne se laisse pas démonter ! Je lui ai envoyé des textos ultra-libéraux, mais bon, les français ne sont pas prêts, à ce qu'il paraît.

Des employés de Danone se sont fait virer alors que l'entreprise allait très bien. Par contre, Marks et Spencer, là, ça n'allait pas très bien :doigt:

Quoi qu'il en soit, pour l'instant je ne gagne rien, les actions ne montent pas, quant aux dividendes, je peux me brosser avant d'en toucher ( les bénéfices sont quasi nuls ). :icon_up:

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