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Je raconte ma life 7 - doigts vélos et pétales de lol


Brock

Messages recommandés

SCBastiat si tu te sens de l'appétence pour le web en général je te conseille de faire des formations en lignes du type Digital Marketing.

Il y en a sur Coursera par exemple.

L'approche science humaine est utile en business (qui sont nos clients ? ).

Après tu pourras voir si tu veux aller vers la techno ou vers le fonctionnel.

Si tu as un blog ou un site web, essai de passer le GAIQ, la qualification pour Google Analytics. (comprendre qui sont les gens quo viennent sur ton site, comment, ce qu'ils y font...)

Comme le dit José il n'y a qu'un secret dans la vie professionnelle : autoformation permanente.

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Sinon, à lire ton post, l'impression que ça m'a donné c'est que tu avais un rêve mais que tu n'es pas forcément prêt à faire les sacrifices que cela demande. Si l'histoire c'est ta passion et que tu avais envie d'en faire ton métier, il ne fallait pas s'imaginer que cela allait être un long fleuve tranquille et que tu allais aimer tout, de l'apprentissage jusqu'à la pratique du métier. C'est assez rare les moments où il n'y a pas de down ou de ras le bol dans l'apprentissage d'un métier.

 

Bref, je comprends ton sentiment mais je trouve ça dommage de s'arrêter en plein milieu pour une raison telle que : "je n'aime pas mes études, et l'approche qu'on nous impose. J'ai compris que les "sciences humaines" en milieu académique n'étaient définitivement pas faites pour moi"

Après, si c'est le fait d'enseigner qui ne te plait pas ou ne te correspond pas, c'est différent. Mais l'apprentissage en soi, que tu n'aimes pas la façon dont c'est fait, ce n'est qu'un mauvais moment à passer si tu veux mon avis.

Je comprends tout à fait ton impression.

 

Mais ceci étant, il ne s'agit pas seulement d'une question de ras le bol par rapport au cursus en lui-même, bien que mes cours de sociologie ou d'histoire du genre ne m'aident effectivement pas à retrouver ma motivation ! :mrgreen:

 

Non, en réalité j'ai l'impression de m'être rendu compte que je ne voulais pas faire de cette passion un métier, avec les contraintes et cadres qui y sont inhérents, notamment dans le milieu académique (en tant que prof aussi). Ce qui me passionne dans l'histoire, et dans les sciences humaines en général, c'est surtout d'établir mes propres réflexions, interprétations, liens, avec une liberté d'analyse qui me semble assez incompatible avec ce que je vois dans l'approche professionnelle et universitaire de l'histoire (surtout que ma manière de voir les choses est souvent assez peu conformiste, par rapport à l'approche toujours orientée et socialisante qui fait foi dans le milieu des sciences humaines). Sans parler de l'aspect très scolaire, technique et encadré de la "critique historique" telle qu'on est censés l'effectuer. Il y a également un côté très chiant que j'avais sous-estimé, et qui fait partie intégrante de ce métier, par exemple tout ce qui touche aux archives.

 

Enfin, c'est un tout, et c'est difficile d'expliquer clairement mon ressenti. Mais je ne me vois plus en tant qu'historien dans ce contexte là, qui ne correspond pas à l'idée que je me faisais de la profession. C'est ma faute, évidemment, car j'aurais dû être mieux renseigné.

 

Maintenant, ce n'est pas exclu que je termine tout de même ces études, comme toi et José me le conseillez. Encore une fois, je venais aussi pour en savoir plus sur le secteur informatique en particulier, et la possibilité de l'intégrer sur le tard. Mais merci pour vos avis, en tout cas ! :icon_wink:

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J'aimerais bien être drogué de mon job et être passionné, c'est pas mon cas. Faut que je me prenne en main.

De la compta/contrôle de gestion tu as des possibilités dans tout ce qui est pilotage de la performance au sens large. Si tu as de l'appétence pour les outils tu trouves facilement du boulot quand tu es crédible comme expert.(SAP, SAS, BO...)
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SCBastiat : agent immobilier, tu n'as pas aimé ?

 

Je n'étais pas agent immobilier. A la base j'étais engagé pour des petites tâches (genre saisie, classement de dossiers...), avant de vite devenir assistant dans le service informatique. Non pas que j'étais super qualifié, mais en gros il avait besoin d'un jeune capable de s'occuper des trucs à la con comme : les commandes de matériel, l'installation et la gestion des imprimantes, l'assistance informatique pour les "petits" problèmes des collègues (c'était du taf ça putain), la gestion de nos documents informatisés... Mais j'en ai quand même appris un peu, sur les serveurs, etc.

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De la compta/contrôle de gestion tu as des possibilités dans tout ce qui est pilotage de la performance au sens large. Si tu as de l'appétence pour les outils tu trouves facilement du boulot quand tu es crédible comme expert.(SAP, SAS, BO...)

En fait j'oscille entre plusieurs sentiments.

Le contrôle de gestion ou l'analyse m'intéressent plus à la base, au moins tu as une vision un peu plus d’envergure de la boite et l'illusion de participer à la stratégie. Mais en fait dans les grandes entreprises on s'en fiche totalement de ton analyse ou de ton opinion, c'est décidé au-dessus tout ça. Et en terme d'évolution, si tu as un chef bien accroché c'est mort.

Après j'ai participé à l'installation de SAP pour le département comptabilité (une mesure décidée par ma boite au niveau mondial pour faire converger process et organisation worldwide entre toutes les filiales). Là j'ai pas mal appris, mais c'est dur, tu dois tout expliquer sur les nécessités internes en local afin d'adapter l'outil informatique mais aussi les nécessités légales. Faire l'interprète entre l'anglais et l'espagnol et tout piger en détail avant. J'avais la tête comme ça à la fin de chaque journée, malheureusement je n'ai pas été "récompensé" derrière alors que tout le monde était plutôt satisfait de mon travail. J'ai fini crevé et clairement démotivé.

Depuis je suis plus dans l'analyse comptable, et là ça me barbe. Quand on me dit que l'on vit dans un monde dérégulé je sors mon flingue. Trop de machins légaux, trop de petits problèmes à la con. Et ma boîte contient un nombre impressionnant de petites putes. Je suis à la fois en contact avec les autres départements, je me prends un peu leur trucs dans la tronche mais je n'ai pas le statut et le salaire derrière qui me permettrait peut-être d'assumer en toute décontraction.

Bref, y'a un mélange de "ce que je faisais ne me plait plus" avec "travailler dans une grande boite c'est usant" ou "le salaire ne suit pas". Sans compter que la pâtisserie industrielle c'est pas vraiment mon dada. Bref, c'est pour ça que je me sens un peu perdu.

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En fait, je venais surtout pour savoir si, selon les informaticiens, ce n'est pas trop "mission impossible" de s'y mettre sur le tard. 

Oui c'est possible et j'en ai vu quelques un qui s'y sont mis même passé la trentaine, en autodidacte. J'ai un ex-collègue qui a travaillé 10 ans comme marin avant de démarrer une carrière de développeur Java vers 36 ans. Arrivé à 42 ans il avait un niveau medior dev.

 

Évidemment ça va te demander des sacrifices: tu devras passer des soirées et des dimanches à travailler pour rattraper ton retard.

 

Mieux : Data analyst, Content & CRM strategist, Digital business analyst... Ce genre de trucs quoi. 

Ca commence déjà à dater les jobs community manager etc malheureusement.

+1 ça me paraît des jobs plus pérennes.

 

Ça devient aussi de plus en plus un boulot à temps partiel, community manager.

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En fait j'oscille entre plusieurs sentiments.

Le contrôle de gestion ou l'analyse m'intéressent plus à la base, au moins tu as une vision un peu plus d’envergure de la boite et l'illusion de participer à la stratégie. Mais en fait dans les grandes entreprises on s'en fiche totalement de ton analyse ou de ton opinion, c'est décidé au-dessus tout ça. Et en terme d'évolution, si tu as un chef bien accroché c'est mort.

Après j'ai participé à l'installation de SAP pour le département comptabilité (une mesure décidée par ma boite au niveau mondial pour faire converger process et organisation worldwide entre toutes les filiales). Là j'ai pas mal appris, mais c'est dur, tu dois tout expliquer sur les nécessités internes en local afin d'adapter l'outil informatique mais aussi les nécessités légales. Faire l'interprète entre l'anglais et l'espagnol et tout piger en détail avant. J'avais la tête comme ça à la fin de chaque journée, malheureusement je n'ai pas été "récompensé" derrière alors que tout le monde était plutôt satisfait de mon travail. J'ai fini crevé et clairement démotivé.

Depuis je suis plus dans l'analyse comptable, et là ça me barbe. Quand on me dit que l'on vit dans un monde dérégulé je sors mon flingue. Trop de machins légaux, trop de petits problèmes à la con. Et ma boîte contient un nombre impressionnant de petites putes. Je suis à la fois en contact avec les autres départements, je me prends un peu leur trucs dans la tronche mais je n'ai pas le statut et le salaire derrière qui me permettrait peut-être d'assumer en toute décontraction.

Bref, y'a un mélange de "ce que je faisais ne me plait plus" avec "travailler dans une grande boite c'est usant" ou "le salaire ne suit pas". Sans compter que la pâtisserie industrielle c'est pas vraiment mon dada. Bref, c'est pour ça que je me sens un peu perdu.

Typiquement le métier de Business Analyst c'est ce que tu as fait lors de la migration SAP : garantir que les outils sont adaptés aux besoins du métier. (sauf que c'est plus côté IT que côté métier)

Tu es lien entre les fournisseurs de données, les dev' offshore, l'infrastructure, les éditeurs.

Bon après aucun métier n'échappe à son lot de petites tâches aussi rébarbatives que peu enthousiasmantes. (Valider que tout marche comme prévu, écrire des demandes, contrôler les données...)

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"Non, en réalité j'ai l'impression de m'être rendu compte que je ne voulais pas faire de cette passion un métier"

 

c'est pas évident de trouver un métier qui passionne et souvent on entame des études sur des trucs qu'on apprécie à titre personnel (psycho, philo, bref, sciences humaines en sont des exemples édifiants) et qui au mieux, n'aboutissent qu'à l'enseignement ou à des concours administratifs ; en France, car j'ai ouï dire qu'ailleurs c'était moins sectaire.

peut être l'informatique est elle une passion qui permet davantage d'ouvertures professionnelles ? Mais j'y connais que dalle

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Le problème est très simple. En fait, je n'aime pas mes études, et l'approche qu'on nous impose. J'ai compris que les "sciences humaines" en milieu académique n'étaient définitivement pas faites pour moi. Ce serait long à expliquer, mais j'en ai acquis la certitude aujourd'hui. Pourtant, ces sujets représentent toujours une passion, cependant je me suis rendu compte que je préférais m'y adonner en toute liberté et sans cadre imposé, que ce soit en tant qu'étudiant ou éventuellement en tant que prof plus tard.

 

 

On peut aimer une matière sans aimer les études, le contexte, l'aspect scolaire. En plus, je pense que le fait d'éprouver une certaine lassitude dans les études n'est pas du tout rare, voir assez fréquent pour mal d'étudiants.

Bref, j'aurais besoin de comprendre un peu mieux ta motivation et le fait qu'elle ait changé en cours de route avant de te conseiller.

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Bref, y'a un mélange de "ce que je faisais ne me plait plus" avec "travailler dans une grande boite c'est usant" ou "le salaire ne suit pas". Sans compter que la pâtisserie industrielle c'est pas vraiment mon dada. Bref, c'est pour ça que je me sens un peu perdu.

 

Tu es dans la pâtisserie industrielle ou ct une blague?

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Tu es dans la pâtisserie industrielle ou ct une blague?

 

Sans rire, un des plus brillants chef de projet IT de ma boite s'est barré pour ouvrir une boulangerie. à 35 ans. 

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Je t'avoue que c'est assez instinctif. La programmation par exemple, ça me fascine assez, et le peu que j'en connais me donne envie de m'y intéresser davantage. Mais évidemment, avant de me lancer, je me renseignerai beaucoup plus précisément (je regarderai des cours, etc). Il ne s'agit pas de prendre une décision trop rapide, mais d'y réfléchir. En fait, je venais surtout pour savoir si, selon les informaticiens, ce n'est pas trop "mission impossible" de s'y mettre sur le tard. J'ai toujours eu l'image des informaticiens comme des geeks qui passent leur temps sur l'ordi depuis leur adolescence et qui connaissent absolument tout, or ce n'est pas du tout mon cas.

 

Pour voir si l'info peut vraiment te plaire, il faut à mon avis que tu te testes sur des cours en ligne. Je te conseillerais deux cours. Un de programmation python ou java pour que tu puisses suivre d'autres cours plus théoriques et ensuite j'enchaînerais avec un premier cours d'algo sur coursera.

Car dans le fond la programmation c'est un peu le tout premier pas à faire, mais à nouveau une fois que tu maîtrises un langage il faudra que tu apprennes des méthodes et des concepts théoriques parfois assez complexes.

Je chercherais donc sur Coursera ou EdX un cours de programmation selon ton niveau en anglais ça t'ouvriras plus ou moins de possibilités:

Quelques suggestions pour un cours de prog en java en français.

https://www.coursera.org/course/initprogjava

https://www.coursera.org/course/intropoojava

Pour un cours en python en anglais:

https://www.coursera.org/learn/python

https://www.coursera.org/learn/python-data

Ensuite une fois que tu t'es un peu fais la main avec un langage, il faut que tu te lances dans les sujets plus théoriques.

Il y a cette suite de cours qui à l'air intéressante:

https://www.coursera.org/specializations/data-structures-algorithms

 

Je m'étais amusé à repasser certains cours de Stanford dont j'ai gradé les vidéos.

https://www.coursera.org/course/algo

https://www.coursera.org/course/algo2

J'ai les vidéos de ces deux cours d'algo de Standford si l'inscription ne fonctionnait plus.

 

Si tu as ça en poche et que tu restes motivé tu pourra ensuite papillonner sur les différents sujets qui peuvent t'intéresser.

C'est en passant du temps sur des sujets un peu difficiles que tu verras si c'est vraiment fait pour toi. Tout le monde peut apprendre à coder pour le fun, mais il en faut un peu plus pour pouvoir en faire son métier. Typiquement les cours d'algo ou d'informatique théoriques peuvent être assez velus et ça peut servir de test pour savoir si tu es capable de t'accrocher.

 

Ensuite pour faire un programme d'info plus complet, il faudrait ajouter un cours sur les systèmes d'exploitations, un cours sur les réseaux puis ensuite c'est un peu selon les goûts. Quelque suggetsions en vrac:  sur les processeurs, sur la crypto,  de machine learning, de 3D, d'analyse numérique.

Tu peux chercher les programmes de différentes facultés sur le web pour te faire une idée d'un cursus complet et regarder ce qui est disponible en ligne.

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L'Ecole 42, c'est bien?

Je sais pas, j ai pensé à le suggérer, mais là c'est un vrai cursus donc s'il arrête son cursus en histoire pour y entrer et qu'il découvre ensuite que c'est pas tout à fait ce qu'il attendait ça risque de lui faire perdre encore du temps.

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finis ton diplome, la L3 d'histoire c'est quand même pas la mort et ça peut servir si tu veux reprendre des études dans autre chose à un niveau supérieur.

(genre, mon assistanat, sans L3 je pouvais pas le faire).

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Sans rire, un des plus brillants chef de projet IT de ma boite s'est barré pour ouvrir une boulangerie. à 35 ans. 

 

 Je connais un ingé qui a fait pareil. D'ailleurs, c'est pas rare de voir des mecs avec des jobs bien rentables et valorisé socialement, tout laisser tomber. Trop de pression paraît-il. 

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Marrant, j'suis en étude d'informatique, mais j'en ai un peu ma claque. Les études dans ce milieu ne me conviennent plus et l'an prochain j'comptais partir en pâtisserie.

Par contre 42, j'te déconseille fortement, j'ai fait 3 ans a Epitech, et crois moi qui si c'est pas ta passion tu vas vite disjoncter.

J'connais pas l'ambiance a 42, mais je connais le système.

En gros, Sadirac est parti de Epitech qui était dirigé par le groupe Ionis, et n'avait donc pas pleinement le contrôle de l'école pour y faire ce qu'il voulait y faire.

La pédagogie y est extrêmement dur. Tu passes des semaines sur un projet (au début, après tu en as plusieurs en même temps, il faut savoir gérer son planning et les autres personnes de son groupe), tu dois rendre quelque chose de fonctionnel. Jusque là logique me diras-tu. Sauf que. Il faut que ton projet n'ait aucun défaut, car il va subir tout un tas de test de la part des assistants, et à la moindre faille, au moindre bug, si c'est pas du béton armé, t'as zéro, peu importe le temps que tu y auras passé (oui, on peut sentir ma frustration). A côté de ça, on te rabaisse copieusement pour bien te faire imprimer que t'es nul et que tu dois bosser plus. Sachant qu'ils privilégie les personnes qui ont des facilité et rabaissent les autres, entre les étudiants c'est la même petite guerre.

Les groupes, c'est comme partout un peu au petit bonheur la chance quand tu ne connais pas bien les personnes, avec les inconvénients qui vont avec, à toi de savoir t'entourer.

Les validations, on ne sait jamais comment elles sont faites, sinon apparemment on se focaliserait trop dessus et ce n'est pas ce qu'ils veulent. Les horaires, si tu avais une vie sociale, tu oublies, ta nouvelle famille c'est l'école et les gens de ta promo. Je ne compte plus mes nuits blanches, et les weekend à dormir a l'école avec mon sac de couchage.

De ce que j'ai compris (j'ai un tas de potes qui sont parti là bas), apparemment à 42 il y a des douches en plus.

À côté de ça, si tu fais tes années sérieusement, et pas en ninja comme beaucoup, tu deviens vraiment bon en programmation.

La pédago, c'est d'apprendre à apprendre par toi même, c'est pas facile, mais si t'as la motivation, tu finiras par vite trouver les clefs, et c'est un des meilleurs enseignement qu'on puisse t'apprendre. Rien ne reste figé tout évolue et encore plus dans le monde informatique.

Epitech, c'est la ou j'ai passé mes pires années, mais également ou j'ai appris et je me suis amusé le plus. Faut avoir les nerfs solide pour faire ce genre d'écoles, Epita/Epitech/42, sont tous plus ou moins à la même enseigne.

J'espère avoir pu t'éclairer sur ce que pouvait être l'école.

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Par rapport à la programmation... c'est dur à conseiller, les indiens sont là pour ça. A moins d'en tomber amoureux et de passer son temps libre en auto-formation, t'es vite dépassé. 

 

 

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finis ton diplome, la L3 d'histoire c'est quand même pas la mort et ça peut servir si tu veux reprendre des études dans autre chose à un niveau supérieur.

This.

Valider la licence et se réorienter en M1 (je ne sais pas dans quelle mesure c'est possible en Belgique par contre, en France ça se fait très bien) pour éviter de perdre encore 3 ans.

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Merci infiniment pour vos conseils et vos infos. Je vais regarder ça de plus près et y réfléchir encore, histoire de ne pas faire de connerie sur un coup de tête. Je vous tiendrai au courant, mais ces prochaines semaines je vais déjà essayer de retrouver un peu de motivation en histoire, tout en commençant à regarder doucement des cours d'informatique en parallèle, et on verra ensuite si j'ai les idées plus claires.

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- après le lycée j'ai eu la chance d'avoir un "petit job" pendant 4 ans dans une agence immobilière (j'avais besoin d'argent, c'était bien payé - Genève oblige - et je ne savais pas trop quoi faire de ma vie)

ça t'intéresse pas de refaire un truc dans le genre ?

Parce que ingénieur système, la formation, ça fait partie intégrante du boulot. Tu peux y passer des heures/jour.

 

Sinon, +1 avec tout le monde, si tu es prêt du but, prends sur toi et valide ton année.

 

 et l'impression d'avoir perdu une partie de ma vie à cause de mes mauvais choix.

Je te confirme que c'est juste une impression :)

Les seuls vraiment mauvais choix sont les mauvais choix définitifs.

La vie c'est une partie de golf à 18 trous. C'est absolument pas parce que tu réussis ou foire 2 trous d'affilée que c'est plié. Et chaque trou, réussi ou foiré, c'est une expérience (à enjoyer).

Le truc principal ama c'est d'apprendre à être optimiste. Le reste, c'est de l'intendance.

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Par rapport à la programmation... c'est dur à conseiller, les indiens sont là pour ça. A moins d'en tomber amoureux et de passer son temps libre en auto-formation, t'es vite dépassé. 

Qu'est-ce qu'il faut pas lire des fois :D

 

C'est hyper caricatural: la technique n'est qu'une partie des compétences requises. Il faut aussi une excellente expression écrite et orale (en anglais + langue maternelle), savoir dialoguer avec des personnes non techniques (clients), savoir présenter des idées et des concepts abstraits, comprendre la gestion de projet, etc...

 

C'est une erreur de se concentrer uniquement sur la technique et tenter d'apprendre tous les derniers langages ou frameworks du jour. Il vaut mieux une tête bien faite qu'une tête bien pleine ;)

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