Je raconte ma life 7 - doigts vélos et pétales de lol

[Neomatix]

Bien ! La viande soigne tous les maux, le gras c'est la vie.

[Mathieu_D]

Strongbow c'est borderline girly aussi.

[Eorl]

J'ai débarqué à 8h30 à Bruxelles pour l'accueil que l'on connait.

Enfin exfiltré via le Luxembourg, je me fais accueillir à Metz par un bagage abandonné qui est détruit à l'explosif.

Devinez quoi, j'arrive à 20h30 à Paris, gare à vous !

[Nigel]

Bien ! La viande soigne tous les maux, le gras c'est la vie.

 

[Gio]

J'aviserai quoi faire (si il y a quelque chose à faire) quand ton comportement à toi se sera rectifié.

Que dois-je rectifier exactement ? Explique moi.

Citronne peut-elle légitimement jeter des soupçons arbitraires à mon encontre sans que je puisse le faire en retour ? N'est-ce pas elle qui est à l'initiative de ce jeu là ? Pourquoi n'as-tu pas dit à ce moment là à Citronne :

Nan mais oh dis donc, et le respect dû à tes interlocuteurs, notamment quand ce sont de vénérables membres du forum, malotrue ?

Je n'ai pas compris pourquoi tu n'as pas réagis pour Citronne exactement comme pour moi lorsque je l'ai traité exactement comme elle m'a d'abord traité.

[Nigel]

 Tu peux pas juste laisser couler Gio ?    Ca fait quelques pages qu'on est passé à autre chose, fais en de même^^

[Neomatix]

Je n'ai pas compris pourquoi tu n'as pas réagis pour Citronne exactement comme pour moi lorsque je l'ai traité exactement comme elle m'a d'abord traité.

Deux poids deux mesures imaginaire

+ "M'sieur elle m'a traité!"

+ "C'est pas moi qu'ai commencé" (avec l'italique, superbe)

= C-C-Combo ! Tes collégiens déteignent sur toi Gio...

[Gio]

 Tu peux pas juste laisser couler Gio ?    Ca fait quelques pages qu'on est passé à autre chose, fais en de même^^

Bin, tant qu'on m'en parle... (Je pouvais pas répondre plus tôt parce que j'étais au boulot, sans quoi je l'aurais fait.)

[Gio]

Deux poids deux mesures imaginaire

Non. Relis les pages 213, 214, 217 et 218 en particulier mes échanges avec Citronne.

[MaitreMéchant]

Allons les enfants! Je ne sais guère ce qui vous querelle, mais vous êtes libéraux! Que demander de plus? 

[Ultimex]

"L’démon ! C’est l’démon qu’est d’retour ! Fuyez !".

*Cris affolés de la foule réunie sur la place du village*

[Cugieran]

 Tu peux pas juste laisser couler Gio ? 

 

Sur la base d'expériences passées, ça va jamais arriver. 

[Cugieran]

"L’démon ! C’est l’démon qu’est d’retour ! Fuyez !".

*Cris affolés de la foule réunie sur la place du village*

 

[Mathieu_D]

Bon Citronne a un peu exagéré en suggérant que Gio change ses posts.

On édite tous un peu ce qu'on écrit après relecture, pour corriger, amender ou approfondir.

[Drake]

 

fais péter

 

 

Et bien voilà, je venais donc de m'assoir dans un avion d'Olympic Airways à destination de Sydney, après avoir passé une nuit blanche à Athènes parce que je comptais dormir pendant le vol. Je me souviens qu'il y avait permis les passagers beaucoup plus de femmes que d'hommes. Elles allaient toutes rendre visite à leurs petits enfants installés en Australie (et elles étaient réellement habillées comme ça) : 

 

 

 

[Minute culturelle] Les gouvernements australiens ont encouragé une forte immigration grecque dans les années 50 et 60, à l'époque ils voulaient peupler le pays - tout à fait officiellement - d'une immigration blanche, en tout cas pas trop bronzée, d'où dans l'existence de la ligne et la moyenne d'âge des passagers dans les années 2000. [/Minute culturelle]

 

Au milieu de ces sympathiques grands-mères débarque, enfin embarque, la jeune femme suivante (image d'illustration non contractuelle, c'est pour vous donner une idée), que nous appellerons par la suite Elke pour plus de commodité :

 

 

 

Et là je me dit in petto "ce serait merveilleux que cette fille prenne place sur le siège libre à côté du mien. Mais bien évidemment un tel coup de bol, ça n'arrive jamais". Double erreur d'appréciation.

 

Comme je ne suis pas un rapide, il m'a bien fallu une heure ou deux pour lui adresser la parole. Funeste initiative. Après une phase de cheap talking, Elke a entrepris de me raconter sa vie. En détail. Pendant 20 heures. Les premières heures étant consacrées à pourquoi elle venait de quitter son copain ingénieur chez Porsche à Münich, pour partir plusieurs mois en Australie s'occuper de petits nenfants. J'ai pu dormir un peu sur un banc à l'escale de Singapour. J'ai eu un espoir que les flics l'embarquent parce qu'elle avait une paire de ciseaux sur elle qui ont fait sonner le portique, mais ces cons se sont contentés de les lui confisquer. De Singapour à Sidney, j'ai eu droit à l'enfance, aux relations avec les parents, aux projets et je ne sais plus trop quoi d'autre car j'étais déjà largement comateux.

 

Je n'ai pu m'échapper qu'à l'arrivée. Un peu plus tard je le suis rendu compte que dans un moment d'inattention, ou d'évanouissement, elle m'avait piqué un instant un bouquin pour y glisser un mot, avec son téléphone et son adresse en Australie. J'ai jeté immédiatement le mot, et peut-être même dans la précipitation le bouquin.

 

Bref, une jolie fille à côté de soi, quand comme moi on n'arrive pas à la faire taire en collant sa bouche contre la sienne, (ni second best à l'étouffer avec la couverture aimablement fournie par la compagnie) c'est pas forcément une bénédiction.

[NoName]

 

j'en étais sûr.

 

ça a du être loooooooong

[Cugieran]

 

j'en étais sûr.

 

ça a du être loooooooong

 

Et dur.

[Cugieran]

Difficile quoi.

[José]

Les riches ont des problèmes de riches.

Les pauvres ont des problèmes de pauvres... et de riches.

[Drake]

Et dur.

 

Oui. Enfin, par pudeur, je n'ai pas voulu mentionner cette histoire d'érection très douloureuse les 15 premières heures.

[Tramp]

Et bien voilà, je venais donc de m'assoir dans un avion d'Olympic Airways à destination de Sydney, après avoir passé une nuit blanche à Athènes parce que je comptais dormir pendant le vol. Je me souviens qu'il y avait permis les passagers beaucoup plus de femmes que d'hommes. Elles allaient toutes rendre visite à leurs petits enfants installés en Australie (et elles étaient réellement habillées comme ça) :

[Minute culturelle] Les gouvernements australiens ont encouragé une forte immigration grecque dans les années 50 et 60, à l'époque ils voulaient peupler le pays - tout à fait officiellement - d'une immigration blanche, en tout cas pas trop bronzée, d'où dans l'existence de la ligne et la moyenne d'âge des passagers dans les années 2000. [/Minute culturelle]

Au milieu de ces sympathiques grands-mères débarque, enfin embarque, la jeune femme suivante (image d'illustration non contractuelle, c'est pour vous donner une idée), que nous appellerons par la suite Elke pour plus de commodité :

Et là je me dit in petto "ce serait merveilleux que cette fille prenne place sur le siège libre à côté du mien. Mais bien évidemment un tel coup de bol, ça n'arrive jamais". Double erreur d'appréciation.

Comme je ne suis pas un rapide, il m'a bien fallu une heure ou deux pour lui adresser la parole. Funeste initiative. Après une phase de cheap talking, Elke a entrepris de me raconter sa vie. En détail. Pendant 20 heures. Les premières heures étant consacrées à pourquoi elle venait de quitter son copain ingénieur chez Porsche à Münich, pour partir plusieurs mois en Australie s'occuper de petits nenfants. J'ai pu dormir un peu sur un banc à l'escale de Singapour. J'ai eu un espoir que les flics l'embarquent parce qu'elle avait une paire de ciseaux sur elle qui ont fait sonner le portique, mais ces cons se sont contentés de les lui confisquer. De Singapour à Sidney, j'ai eu droit à l'enfance, aux relations avec les parents, aux projets et je ne sais plus trop quoi d'autre car j'étais déjà largement comateux.

Je n'ai pu m'échapper qu'à l'arrivée. Un peu plus tard je le suis rendu compte que dans un moment d'inattention, ou d'évanouissement, elle m'avait piqué un instant un bouquin pour y glisser un mot, avec son téléphone et son adresse en Australie. J'ai jeté immédiatement le mot, et peut-être même dans la précipitation le bouquin.

Bref, une jolie fille à côté de soi, quand comme moi on n'arrive pas à la faire taire en collant sa bouche contre la sienne, (ni second best à l'étouffer avec la couverture aimablement fournie par la compagnie) c'est pas forcément une bénédiction.

Tu avais une occasion d'entrer dans le Mile High Club. Tu l'as loupée.

[Citronne]

Bon Citronne a un peu exagéré en suggérant que Gio change ses posts.

On édite tous un peu ce qu'on écrit après relecture, pour corriger, amender ou approfondir.

 

Je ne suggérais rien, je constatais. Je parlais surtout au lecteur silencieux qui (comme beaucoup) lit les pages à rebours, parfois sans quotes appropriées.

En revanche dire "blablabla mentir", ça c'était de la suggestion déplacée .

 

Mais peu importe.

 

Je commence un programme de sport qui me fait me lever à 6h30 du matin pour faire 30 min de sport. C'est dur mais je me sens nettement plus en forme et en plus, je n'ai plus à me prendre le chou pour savoir si oui ou non j'aurai le temps de faire du sport en rentrant le soir.

 

J'espère pouvoir tenir, c'est censé durer 28 jours et je commence officiellement au 1er avril.

[Gio]

Je ne suggérais rien, je constatais. [...]

En revanche dire "blablabla mentir", ça c'était de la suggestion déplacée .

Moi non plus je ne suggérais rien, je t'ai posé une question.

Sur la base d'expériences passées, ça va jamais arriver.

Bin, tant qu'on me lâche pas...

[Neomatix]

Donc en fait Elke ci-dessus te raconte qu'elle vient de quitter son copain, te file son numéro et adresse d'elle-même et tu es bloqué avec pendant 20 heures sans rien tenter ? Du tout ? Ni après avoir dormi ?

[Cugieran]

Donc en fait Elke ci-dessus te raconte qu'elle vient de quitter son copain, te file son numéro et adresse d'elle-même et tu es bloqué avec pendant 20 heures sans rien tenter ? Du tout ? Ni après avoir dormi ?

 

Pas assez de pression sanguine dans le cerveau. Je ne vois que ça.

[Hayek's plosive]

Gio me fait penser a un sketch de François Perusse. Juste avant le bruitage d'une grosse gifle.

[Cugieran]

Bin, tant qu'on me lâche pas...

Ah ben oui, je comprends bien.

[Johnnieboy]

Tu aurais dû tenter de rejoindre le Mile High Club. Au pire, elle te gifle et ne t'adresse plus la parole et tu finis sur une no fly list coincé à l'autre bout du monde.

[Gio]

Ah ben oui, je comprends bien.

Ça ne t'est jamais arrivé quelqu'un qui te parle et qui ensuite se plaigne que tu lui réponde ?

Je doute de ton libéralisme.

[Cugieran]

Ça ne t'est jamais arrivé quelqu'un qui te parle et qui ensuite se plaigne que tu lui réponde ?

Je doute de ton libéralisme.

Je ne te permets pas. Je n'ai aucun souvenir d'une époque ou on aurait gardé les cochons ensemble.