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Réforme du droit du travail, esclavagimse & mineurs de fond


Messages recommandés

Il faudra dire à Nanard qu'on lui donne l'autorisation de nous laisser tranquille.

Le type vote FN parce qu'il a peur que la société devienne de plus en plus policière... C'est celâââ, oui.

Churchill avait raison : le meilleur argument contre la démocratie, c'est une conversation de cinq minutes avec un électeur moyen.

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Churchill avait raison : le meilleur argument contre la démocratie, c'est une conversation de cinq minutes avec un électeur moyen.

 

Pas sur qu'une conversation avec le péquin lambda soit pour autant un argument pro-anarchie.

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Churchill avait raison : le meilleur argument contre la démocratie, c'est une conversation de cinq minutes avec un électeur moyen.

C'est la réflexion quotidienne que je me fais, ou suis faite dans le cadre de mon boulot quand je recevais les usagés. C'est assez flippant comme pensée. Mais balayons devant notre porte, moi aussi j'ai commis l'acte de vote ignorant, toute proportion gardée

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on dirait que les gauchistes decus de Flambymou vont avoir du mal a se trouver un candidat aux prochaines elections, ils vont encore finir par voter a droite pour faire barrage au Front, lol....

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Ce qui est rigolo avec cette histoire, c'est que ces gens gueulent contre la non-représentativité des partis politiques et exigent une prise en compte plus démocratique, et en même temps ils gueulent contre la prise en compte démocratique des accords de travail au détriment des syndicats/partis non-représentatifs. :)

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Bon faudrait que les pouvoirs publics agissent car l'occupation de la Place de la République par quelques pecnots d’extrême gauche ça commence à bien me faire chier. 

Que fait la Police ?

 

 

http://www.francetvinfo.fr/economie/emploi/carriere/vie-professionnelle/droit-du-travail/direct-l-operation-nuit-debout-veut-prendre-racine-place-de-la-republique-a-paris_1386989.html

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À votre avis, si on met 200 libéraux (ça doit bien se trouver) sur une place, on aura autant de couverture médiatique ?

 

Si ces 200 libéraux se battent contre la Police alors oui tu seras sur de voir débarquer France TV, BFM TV.....

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Ne pas avoir l'air dépassé par les événements. Avoir une vision politique.

Sarkozy et les deux autres avaient zéro vision politique mais donnaient l'illusion d'être on top of things. Hollande, non, juste pas du tout.

Chirac et surtout Mitterrand étaient d'un tout autre niveau.
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ils vont nous faire comme les indignés en Espagne...

C'est-à-dire provoquer un blocage institutionnel et empêcher la formation d'un gouvernement après des élections.

Tiens c'est marrant pendant ce temps-là l'économie repart, comme c'est bizarre. Moi je signe pour les indignés.

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Que répondre à ceux qui nous expliquent que la flexibilité n'est rien d'autre qu'un joli mot pour cacher la précarité ?

J'aurais bien pris la peine de créer un nouveau sujet dans la section argumentaire mais je ne sais pas si ça vaut vraiment le coup.

 

J'ai beau présenter la flexibilité comme le meilleur moyen d'allouer efficacement les ressources humaines en s'affranchissant de la rigidité et de l'inertie du marché du travail actuel, on me réplique toujours que l'avenir ne se construit pas sur des bases instables, blablabla... Ceux avec qui je discute voient d'un mauvais oeil les choses comme uber, l'auto-entrepreneuriat, etc. alors même que je leur explique que c'est une super solution pour permettre à ceux qui ne trouvaient pas de travail à travers le salariat par exemple, de faire valoir leurs compétences et de se créer leur propre emploi. Mais ce n'est pas suffisant pour eux : on ne leur permet pas d'accéder au statut protecteur de salarié et on condamne donc ces pauvres gens à la précarité, à la vision à court terme, à l'impossibilité de se construire. Autant dire que c'est le genre de discours qui m'énerve, on préfèrerait les voir stagner dans la misère plutôt que d'accéder à un-peu-mieux-mais-pas-assez-bien ?!

Comment défendre la flexibilité ? Comment expliquer que la précarité n'est pas une fatalité ? Comment faire pour que ce ne soit pas le cas ?

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1 ) La précarité, c'est mieux que le chômage de masse. Et vos solutions socialistes anti-chômage de masse et anti-précarité, c'est de la merde. Ma solution est meilleure. 

 

2 ) La fléxibilité, c'est très bien pour le consommateur français. Hors nous sommes tous consommateurs, donc c'est très bien pour nous. 

 

3 ) Le capitalisme évolue, si tu refuses d'évoluer avec, tu meurs. 

 

4 ) Le plein-emploi, c'est pas la précarité. C'est juste plus de "mouvement" car on peut pas être tous fonctionnaire.

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Bah justement, lancer des affirmations comme ça n'est pas très efficace...

 

1 ) La précarité, c'est mieux que le chômage de masse. Et vos solutions socialistes anti-chômage de masse et anti-précarité, c'est de la merde. Ma solution est meilleure. 

 

2 ) La fléxibilité, c'est très bien pour le consommateur français. Hors nous sommes tous consommateurs, donc c'est très bien pour nous. 

 

3 ) Le capitalisme évolue, si tu refuses d'évoluer avec, tu meurs. 

 

4 ) Le plein-emploi, c'est pas la précarité. C'est juste plus de "mouvement" car on peut pas être tous fonctionnaire.

1) On me sort l'exemple de l'Allemagne ou de l'Angleterre, où si les gens ont trouvé un travail, ils ne sont pas parvenus à améliorer leur situation (chiffres de la pauvreté vs ceux du chômage). Je me vois mal leur sortir que je préfère un pauvre payé par un client ou un patron plutôt que payé par mes impôts...

 

2) Ça c'est quelque chose de plus parlant déjà. Quiconque à pris un Uber, etc...

 

3) La fatalité, ça marche peut être pour soumettre quelqu'un à l'ordre des choses mais pour le convaincre de ses bienfaits c'est pas gagné. Faudra pas s'étonner si les manifestants imaginent qu'ils vont révolutionner le monde et abolir le capitalisme.

 

4) L'avenir radieux d'un monde où les gens travaillent et créent de la richesse, d'accord. Seulement, on va te répondre que cela ne va bénéficier qu'à certains et que les précaires stagneront.

 

 

Est-ce que la flexibilité ne créé que de la précarité pour les travailleurs concernés ? Peut-on améliorer sa situation par la suite ou s'agit-il d'un cercle infernal ?

Il y a un grosse perte de confiance et de vision à long terme une fois plongé dans la précarité, on peut comprendre l'inquiétude de certains et il faut y répondre avec des pistes sérieuses et pas uniquement des promesses... c'est compliqué.

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1) On me sort l'exemple de l'Allemagne ou de l'Angleterre, où si les gens ont trouvé un travail, ils ne sont pas parvenus à améliorer leur situation (chiffres de la pauvreté vs ceux du chômage). Je me vois mal leur sortir que je préfère un pauvre payé par un client ou un patron plutôt que payé par mes impôts...

Pourtant d'un côté, il y a création de richesse et enrichissement de la société et de l'autre il y a destruction de richesse et appauvrissement de la société. C'est pas en s'appauvrissant qu'on s'enrichit.

Un chômeur qui bosse c'est une charge qui devient un actif. Le gain est double.

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Pourtant d'un côté, il y a création de richesse et enrichissement de la société et de l'autre il y a destruction de richesse et appauvrissement de la société. C'est pas en s'appauvrissant qu'on s'enrichit.

Un chômeur qui bosse c'est une charge qui devient un actif. Le gain est double.

 

Depuis quand raisonne-t-on en terme d'intérêt général ? La réponse libérale consiste à rappeler que l'assistanat repose sur la spoliation et viole donc mes droits.

  • Yea 1
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Que répondre à ceux qui nous expliquent que la flexibilité n'est rien d'autre qu'un joli mot pour cacher la précarité ?

 

Que malgré l'utilisation tordue qu'en font les défenseurs du fonctionnariat pour tous, la précarité n'est pas synonyme de pauvreté, mais d'incertitude quant à ce que sera le marché demain. C'est le fonctionnement normal de l'économie pour tout le monde.

 

Que je sache, dans les pays où l'on peut virer sans justification des salariés, ça n'empêche pas ces derniers de faire des projets à long terme en fondant une famille et en devenant propriétaires.

  • Yea 1
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À votre avis, si on met 200 libéraux (ça doit bien se trouver) sur une place, on aura autant de couverture médiatique ?

 

 

Si ces 200 libéraux se battent contre la Police alors oui tu seras sur de voir débarquer France TV, BFM TV.....

 

Vos 200 libéraux se feront surtout démonter par les milices d'extrême gauche habituées aux manifestations sous les yeux de la police.

 

Et les journaux titreront "De paisibles altermondialiste agressés par des hommes payés par le patronat".

 

C'est à mon avis la possibilité de réaliser un double combo "se faire tabasser+ garde à vue".

  • Yea 1
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Vos 200 libéraux se feront surtout démonter par les milices d'extrême gauche habituées aux manifestations sous les yeux de la police.

 

Et les journaux titreront "De paisibles altermondialiste agressés par des hommes payés par le patronat".

 

C'est à mon avis la possibilité de réaliser un double combo "se faire tabasser+ garde à vue".

Tramp te dirait qu'il suffit d'une garde à vue pour se faire tabasser ^^.

 

 

Bah justement, lancer des affirmations comme ça n'est pas très efficace...

 

1) On me sort l'exemple de l'Allemagne ou de l'Angleterre, où si les gens ont trouvé un travail, ils ne sont pas parvenus à améliorer leur situation (chiffres de la pauvreté vs ceux du chômage). Je me vois mal leur sortir que je préfère un pauvre payé par un client ou un patron plutôt que payé par mes impôts...

Tu leur explique que tu préfères des gens qui travaillent à quelque chose d'utile à des gens qui sont maintenus chez eux par les allocations. Et que tu préfères un petit job vaguement utile dans le privé qu'un service civique photocopieuse qui a prouvé son inefficacité.

 

Que répondre à ceux qui nous expliquent que la flexibilité n'est rien d'autre qu'un joli mot pour cacher la précarité ?

Que la protection des acquis n'est qu'une belle expression pour camoufler son égoïsme.

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Bah justement, lancer des affirmations comme ça n'est pas très efficace...

 

1) On me sort l'exemple de l'Allemagne ou de l'Angleterre, où si les gens ont trouvé un travail, ils ne sont pas parvenus à améliorer leur situation (chiffres de la pauvreté vs ceux du chômage). Je me vois mal leur sortir que je préfère un pauvre payé par un client ou un patron plutôt que payé par mes impôts...

La proportion de travailleurs pauvres est plus élevée en France qu'en Allemagne. Et pourtant il y a plus de travailleurs en Allemagne

 

3) La fatalité, ça marche peut être pour soumettre quelqu'un à l'ordre des choses mais pour le convaincre de ses bienfaits c'est pas gagné. Faudra pas s'étonner si les manifestants imaginent qu'ils vont révolutionner le monde et abolir le capitalisme.

Il s'agit du réel, pas de fatalité. Avec toute la bonne volonté du monde un manifestant ne pourra pas abolir la cupidité de l'esprit de 7 milliards d'humains et la remplacer par la générosité. On travaille mieux quand c'est dans notre intérêt. Un bon système économique c'est comme un bon robot : il faut qu'il s'adapte à l'humain et non l'inverse.

 

4) L'avenir radieux d'un monde où les gens travaillent et créent de la richesse, d'accord. Seulement, on va te répondre que cela ne va bénéficier qu'à certains et que les précaires stagneront.

Les précaires ne stagnent qu'en socialie. Dans n'importe quel marché libre on est obligé de changer périodiquement la définition de "précaire" sinon en 10 ans y'a plus personne dans la catégorie.

 

Est-ce que la flexibilité ne créé que de la précarité pour les travailleurs concernés ? Peut-on améliorer sa situation par la suite ou s'agit-il d'un cercle infernal ?

Avoir une situation stable n'est pas toujours juste ou bénéfique. Aujourd'hui le Code du Travail garantit la quasi-certitude pour un salarié qu'il restera à son poste tout en garantissant la quasi-certitude pour un chômeur qu'il y restera.

 

Il y a un grosse perte de confiance et de vision à long terme une fois plongé dans la précarité, on peut comprendre l'inquiétude de certains et il faut y répondre avec des pistes sérieuses et pas uniquement des promesses... c'est compliqué.

Il y a une perte de confiance en France, pas dans un marché du travail normal. Il y a toujours quelque chose à faire pour quelqu'un, que ce soit ramasser des feuilles, lui tenir sa comptabilité ou que sais-je.
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