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Réforme du droit du travail, esclavagimse & mineurs de fond


Messages recommandés

il y a 20 minutes, Rincevent a dit :

La SoGé et les prestas, locaux ou offshore, c'est quand même très particulier.

 

En même temps, à chaque fois qu'on deal avec SG, on tombe sur des Indiens d'Accenture qui sont des branques.

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Il y a 7 heures, Mathieu_D a dit :

Je n'ai jamais vécu une seule boîte avec un management aggressif voire méchant, en France. (bon avec de la pression sur les objectifs quand même, hein, ou des tergiversations diverses et variées, mais bon)

 

J'ai déjà vu des internes de la SoGé foutre une pression de dingue à Bengalore, oui, mais c'est le plus fort que j'ai vu et ce n'est pas statistiquement significatif.

 

Je me dis que c'est parce que j'ai un profil heureusement un peu rare mais en y repensant même mon stage ouvrier comme préparateur de commandes ben c'était sympa.

 

En tout cas aujourd'hui je participe à des recrutements et c'est clairement la danse du ventre même pour les jeunes diplômés.

 

Bon, on verra quand le marché de la data se cassera la gueule.

 

Il y a 7 heures, Tramp a dit :

J'ai fait 3 boites, jamais eu de managers agressifs.

 

J'ai eu un manager agressif en travaillant chez Auchan Drive.

J'avais pas spécialement besoin du taff donc la première fois qu'il a pété un plomb sur moi, j'ai mis les choses au clair de façon imagée.
Mais mes collègues avec des familles ne pipaient pas un mot et détestaient les journées où lui nous encadrait et où le N+2 était absent.

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Le 29/09/2017 à 00:40, Adrian a dit :

Je ne sais pas ce que ça vaut

 

Depuis, les syndicats présents sur le site ont publié un genre de démenti :

Citation

COMMUNIQUE DE PRESSE OFFICIEL INTERSYNDICAL

CFE-CGC – CGT – FO - SUD
Nous avons pris connaissance par voie de presse de l’article intitulé « Cash Investigation : les représentants du personnel de Free répondent à l’émission » diffusé sur le site univers freebox. Cet article relaie une lettre sensément adressée à Madame Élise Lucet par les « représentants du personnel de Free », sans qu’aucune signature claire ne soit apposée en fin de courrier, laissant ainsi supposer que cette lettre aurait été rédigée d’un commun accord par les Organisations Syndicales représentatives au sein du groupe Iliad. Afin de lever toute ambiguïté, nous, tenons à préciser n’avoir été sollicités d’aucune manière préalablement à la rédaction de cette lettre, tant sur le fond que sur la forme. En conséquence, nous invitons chacun à assumer ses propos sans usage volontaire de termes flous pouvant laisser penser que toutes les Organisations Syndicales représentatives au sein du groupe Iliad cautionneraient les termes de ce courrier, dont nous nous désolidarisons. Nous avons été élus pour agir dans l’intérêt des salariés du groupe Iliad et continuerons à le faire.
Les Représentants Syndicaux CFE CGC de l’UES MCRA Les Mandaté(e)s et Élu(e)s CGT Les Mandaté(e)s et Elu(e)s FO de l’UES MCRA Les Mandaté(e)s et Elu(e)s SUD

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il y a 9 minutes, Tramp a dit :

Ce ne sont pas des employés de Burger King.

 

Ca fait penser aux traducteurs du Ministère de la Justice.

Ah oui, pardon. Un sous traitant service de nettoyage. Je me suis laissée avoir moi aussi par l'accroche putassière 

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Dans la grande distribution, « Cash investigation » a fait « l’effet d’une bombe »

 

Citation

La soirée avait des airs de fête. A titre exceptionnel, on avait autorisé les trois enfants à dîner sur la table basse du salon. L’heure du coucher avait même été repoussée à 22 h 30. « Voir le métier de papa à la télé, c’est quand même pas tous les jours », justifie Philippe R., qu’un collègue avait prévenu de la diffusion du reportage « Travail, ton univers impitoyable » de « Cash investigation », mardi 26 septembre.

 

Devant les images filmées par les journalistes de France 2 chez le géant de la grande distribution Lidl, « l’excitation de début de soirée est vite retombée », raconte ce préparateur de commandes pour Carrefour, en région parisienne. Pas la même enseigne, mais une souffrance bien familière implacablement retranscrite sur l’écran plat du salon : « L’abrutissement de la commande vocale, les douleurs physiques, le mépris des managers, l’isolement des journées où on n’a plus le temps d’échanger avec les collègues », liste Philippe R., d’une voix qui peine à ne pas trembler.

 

« C’est vraiment ça ton boulot papa ? », ose sa fille de 14 ans, celle qui est pourtant « en pleine crise d’ado et avec qui on s’engueule tous les jours ». Lui a eu « presque honte de devoir dire “oui” ». Ce soir-là, elle débarrasse son assiette et celle de ses petits frères « sans qu’on ait eu besoin de lui demander ».

La télévision éteinte, Philippe R., lui, ne parvient pas à trouver le sommeil. « Quand ma femme a rallumé la lampe de chevet et m’a demandé si ça allait, j’ai fondu en larmes », raconte cet homme de 38 ans, dont le dos a déjà « lâché deux fois ». « Voir ça à la télé, ça m’a sauté à la gueule que c’était pas normal de crever au boulot », explique-t-il. Dans un souffle, il poursuit : « que nous aussi on a peut-être le droit à un peu mieux »

 

Dans le Leader Price de la région rennaise où travaille Loubna L., 27 ans, c’est la même « baffe », le même « réveil des consciences » qui a plané sur les caisses au lendemain de la diffusion du reportage. Dans ce supermarché où « tout le monde a la trouille de se parler pendant les heures de boulot », on se surprend à chuchoter : « Tu as vu France 2 hier soir ? »

« C’était comme un mot de passe pour dire : tu as vu comme on est pas les seuls », raconte sa collègue Jeanne S., qui porte encore sur le front une bosse due à la chute d’une boîte de conserve d’un kilo lors d’une mise en rayon. « Mon manager m’a incendiée parce que j’étais pas revenue assez rapidement à ma caisse », dit cette trentenaire qui travaille dans l’entreprise depuis six ans. Alors de « sentir que la parole reprenait », ça a fait « l’effet d’une bombe » pour cette jeune mère de famille, à qui son manager avait pourtant dit par le passé : « Ici, tu la fermes ou tu dégages. » « Ça a mis de la colère dans un univers où on s’était habitués à ne plus rien ressentir », dit-elle encore.

 

De l’autre côté de la caisse, même les clients « posaient des questions », raconte Loubna L. « On m’a regardée comme un humain, plus comme une caisse automatique toujours trop lente », résume la jeune femme.

 

Bien sûr, la situation n’est pas aussi extrême dans tous les supermarchés de France. Nombre de salariés rappellent que « les chefs de magasin ne sont pas tous à mettre dans le même panier ». Que même chez Lidl, il y a des endroits où c’est « nettement moins pire », raconte un salarié de l’entreprise allemande dans le Loir-et Cher. « C’est pas les Bisounours, mais certains magasins sont bien plus vivables », raconte-t-il.

 

Caissière chez Leclerc à Bordeaux, Isabelle V. s’est d’ailleurs trouvée « plutôt bien lotie » quand elle a visionné le reportage. « Un manager sympa, des pauses régulières, un siège », décline-t-elle brièvement. Mais l’émission a pourtant aussi été « un déclic », pour cette quinquagénaire qui travaille dans le secteur depuis plus de trente ans. « Ça m’a rappelé combien j’ai vu mon univers professionnel se dégrader sans jamais rien faire contre ça », dit cette caissière expérimentée. « L’organisation du travail actuelle a fait en sorte de nous couper complètement les uns des autres », explique celle qui « ne [s’était] jamais demandé dans quelles conditions travaillent les salariés des entrepôts ou des livraisons ». « Avec des cadences toujours plus élevées, tout est fait pour que le salarié oublie de réfléchir », résume-t-elle.

 

Car c’est bien le même « système de déshumanisation » qui s’est mis en place dans tout le secteur de la grande distribution et qui a « refait surface » avec le reportage, dit Anyssa D. Elle travaillait depuis dix ans pour la chaîne d’alimentaire biologique Naturalia. « Au début, c’était très familial », raconte cette femme de 36 ans. « Depuis quelques années, les conditions se sont dégradées » reprend-elle, avant d’énumérer les effectifs toujours au minimum, la pression pour décharger le maximum de palettes, l’interdiction de parler avec les clients, les heures supplémentaires rendues quasi obligatoires par des chantages sur les congés… « En réunion, on nous a dit “votre vie, c’est Naturalia” », raconte cette Parisienne qui a fini par démissionner, ne supportant plus la pression de sa direction.

 

Reste à savoir si ces « prises de conscience » vont changer la donne, dans ce secteur si verrouillé de la grande distribution. A Amiens, mardi 3 octobre, un cortège de manifestants attend le président de la République, venu saluer la reprise de l’usine Whirlpool. « Et Macron, il l’a vu “Cash investigation” ? », lance une militante de La France insoumise. A côté d’elle, une quinzaine de salariés de Simply Market sont aussi venus rappeler au plus haut échelon de l’Etat le plan social qu’ils subissent dans le groupe Auchan. Huit cents emplois de la logistique supprimés dans toute la France, une vingtaine de postes dans ce bassin d’emploi si sensible d’Amiens Nord.

Pour Claude Leclercq, délégué du personnel et élu CGT, « “Cash investigation” a levé l’omerta dans la grande distribution ». Lui qui se bat depuis le mois de mars pour sauver les emplois de ses collègues espère que « cette colère aidera à reconstruire du collectif et de la solidarité », alors que les entrepôts sont désormais hantés par « des jeunes précaires qui sont prêts à tout pour bosser ». Une « désorganisation sociale » que déplore le syndicaliste, lui qui craint « d’autres plans sociaux au nom de la rentabilité » dans les prochaines années, alors que le groupe Auchan est en pleine « réorganisation ».

 

« Le lendemain de l’émission, l’accueil par les salariés était sans précédent », raconte celui qui est passé par tous les postes, de la réception en passant par l’expédition ou l’inventaire. Un « sentiment jubilatoire », pour le syndicaliste, d’autant que Simply Market est la dernière chaîne à être passée à la commande vocale, en février. Dès son installation, Claude Leclercq avait transmis à sa direction le rapport de l’Institut national de recherche et de sécurité (INRS) sur les dangers d’un tel système pour les salariés. Celui-là même qu’a cité « Cash investigation ». « Dans l’entrepôt, les gars ont été obligés de se demander : il est où le gain pour nous là-dedans, reprend l’élu CGT pour qui, l’intelligence du système, c’est qu’ils ont réussi à nous persuader que c’était ça le progrès. »

 

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Il y a 16 heures, Adrian a dit :

 

Lutte des classes as usual.

 

Sinon, si le secteur de la grande distribution est "verrouillé", c'est notamment parce que l’État verrouille les possibilités de construction et limite par-là la concurrence (ce qui influence à la suite le nombre des emplois, leur qualité et le niveau des rémunérations).

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Je ne vois pas ce qu'il y a de choquant dans ce fichier à part dans une vision gauchiste où tous les salariés sont des anges parfaits avec une grande conscience pro.

 

Il y a une forte rotation des intérimaires, c'est normal de vouloir eviter d'embaucher les nuls, les branleurs et les vicieux.

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Que le chef d'équipe, le n+1 ou le drh ait une opinion sur chaque membre du personnel c'est ok et normal. Mais franchement ce genre de note indigente est puérile. On échange en réunion mais on tient pas un tableau Excel des histoires de cul et d'eczéma. 

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Les recrutements d'intérimaires ce sont des procédures rapides qui incluent peu de personnes ce qui nécessite de centraliser les informations. On ne fait pas de réunion pour recruter un type qui est là pour un mois ou deux.

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Plus que la CGT, c'est la CNIL qui n'aime pas ça du tout.

 

Et plus généralement, si tu te sens obligé d'avoir des fiches où tu marques branleur, petit con, vicieux et autres trucs dans le style, c'est que tu ne sais pas gérer ton personnel.

 

Si tu veux faire un fichier de personnes que tu ne veux pas embaucher, tu le fais.
Pas besoin d'avoir un fichier RH avec des termes insultants dessus. Tu mets juste "on le reprend" ou "on le reprends pas".


Déjà que les RHs sont une des parties de l'entreprises les moins aimées, si en plus tu leur fait faire des fichiers où ils insultent les employés, c'est vraiment que tu veux foutre la mer.. dans ta boite.

 

Un "n'atteint pas ses objectifs" c'est aussi clair que branleur, mais cela a le mérite de ne pas être dans le puéril insultant.

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La caricature c'est de faire une montagne de ce qui n'a rien de choquant. C'est la même chose que les gens qui s'offusquent du "fainéant" de Macron, de son costard ou de son bordel.

 

Il y a 9 heures, Marlenus a dit :

Si tu veux faire un fichier de personnes que tu ne veux pas embaucher, tu le fais.
Pas besoin d'avoir un fichier RH avec des termes insultants dessus. Tu mets juste "on le reprend" ou "on le reprends pas".

 

Parfois tu n'as pas le choix et il faut choisir entre les branleurs, les boulets et les vicelards.

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Vos positions n'ont rien de contradictoire.

Ce fichier n'est pas très professionnel sur la forme. Ceci étant dit, je soupçonne que ce ne soit pas les RH qui écrivent, mais les chefs d'équipe et opérationnels (=ceux qui bossent avec les intérimaires), les RH centralisant "seulement" les informations.

 

Par contre, y a-t-il lieu d'hurler à l'atteinte à la dignité humaine? Ou de considérer la chose comme grave? Je ne le pense pas.

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il y a 13 minutes, Flashy a dit :

Par contre, y a-t-il lieu d'hurler à l'atteinte à la dignité humaine? Ou de considérer la chose comme grave? Je ne le pense pas.

Non, bien sûr que non. Mais ce n'est pas intelligent, ça n'avance à rien sinon à risquer ce genre de publicité. Et comme tu l'écris justement, si c'est un sous fifre bas du front qui l'a fait, c'est lui qui mérite de se prendre un soufflon par la drh. Des employés incompétents, ça manque pas, à tous les niveaux de l'échelle. Et ça inclut les patrons aussi. Et puis au final, c'est quoi, le but d'écrire ce genre de commentaires ?

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il y a une heure, Flashy a dit :

Par contre, y a-t-il lieu d'hurler à l'atteinte à la dignité humaine? Ou de considérer la chose comme grave? Je ne le pense pas.

 

Non respect du contradictoire (l'employé n'a aucun moyen de se défendre contre l'accusation que comporte le fichier) et discrimination (cela permet à certain de se débarrasser de leurs têtes de turc).

  • Nay 1
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Ce n'est pas un tribunal.

 

il y a 20 minutes, PABerryer a dit :

discrimination (cela permet à certain de se débarrasser de leurs têtes de turc).

 

Mince alors.

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il y a 35 minutes, PABerryer a dit :

 

Non respect du contradictoire (l'employé n'a aucun moyen de se défendre contre l'accusation que comporte le fichier) et discrimination (cela permet à certain de se débarrasser de leurs têtes de turc).

 

On est pas dans une relation personne VS monopole (au hasard; personne vs sevice service de l’état) donc aller voir ailleurs est la réponse à cela ...  C'est pas bien différent que d'exiger de ton ex, qui vient juste de te larguer, un "procès équitable" :)

  • Yea 1
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Il y a 2 heures, Salim32 a dit :

 

On est pas dans une relation personne VS monopole (au hasard; personne vs sevice service de l’état) donc aller voir ailleurs est la réponse à cela ...  C'est pas bien différent que d'exiger de ton ex, qui vient juste de te larguer, un "procès équitable" :)

 

C'est certain que c'est facile d’aller voir ailleurs quand le chômage est haut et que tu as charge de famille. C'est beau le référentiel d'un monde anarcap (où ta solution serait légitime) mais ce n'est pas le quotidien, le concret des personnes réelles.

  • Yea 3
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il y a 11 minutes, Tramp a dit :

C'est bien connu que les anarcaps n'ont pas de problème de chomage et n'ont pas de famille. Nous ne sommes pas des personnes réelles.

 

Tu remarqueras que j'ai évoqué un "monde anarcap" pas les anarcap en tant que personne....

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il y a 32 minutes, PABerryer a dit :

 

C'est certain que c'est facile d’aller voir ailleurs quand le chômage est haut et que tu as charge de famille. C'est beau le référentiel d'un monde anarcap (où ta solution serait légitime) mais ce n'est pas le quotidien, le concret des personnes réelles.

 

Je comprend ce que tu veux dire et c'est de toute manière déclinable à l'infini des qu'on aborde des cas de libéralisation asymétrique (suppression des APL sans libéraliser la constructibilité des terrains / immigration libre sans faire sauter l'etat providence  ... c'est absolument sans fin).
Apres sans etre en anarcapie, construire sa (sur)vie complétement centrée sur sa relation employé-employeur alors qu'elle est précaire (interimaires) c'est assez discutable aussi.

 

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Il y a 22 heures, PABerryer a dit :

 

C'est certain que c'est facile d’aller voir ailleurs quand le chômage est haut et que tu as charge de famille. C'est beau le référentiel d'un monde anarcap (où ta solution serait légitime) mais ce n'est pas le quotidien, le concret des personnes réelles.

1) Ce sont des intérimaire, donc dès le début c'est plus ou moins entendu que ce n'est pas un CDI

2) S'il est mentionné dans sa fiche que c'est un trou du cul incompétent, il y a peut-être une raison. Et ce n'est pas illégitime que de partager son expérience avec des intérimaires.

 

L'entreprise qui a recours à un intérimaire n'est pas responsable de son employabilité ultérieure. Si le mec est nul et que l'entreprise ne veut pas le reprendre à cause de ça, il n'a aucune légitimité à gueuler. Les termes vulgaires et insultants ne sont pas acceptables, certes. Mais faut pas déconner, ça nous est tous arrivé de descendre en flèche un collègue incompétent derrière son dos. C'est une non-affaire ce truc.

  • Yea 2
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C'est normal qu'une entreprise évalue ses employés, intérimaires, ou pas, après tout ils sont pas là pour enfiler des perles. Mais il y a le fond, et la forme, c'est tout. Pas de quoi en faire un fromage anticapitaliste, ni libéral, d'ailleurs.

  • Yea 1
  • Nay 1
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