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Face au racisme et à l'antisémitisme, le gouvernement déploie les grands moyens


Arna

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Well intellectuellement c'est la meme chose, de la betise crasse.Meme si techniquement c'est moins difficile d'affirmativer quelqu'un que de le lyncher.

 

il y a quelques tems j'avais trouve sur ternet un texte par un prof blanc aux us, dans une ecole publique noire.Long story short il hallucinait sur le racisme ambiant chez les noirs americains DE SOUCHE ( pas chez les immigrants Haitiens ou Africains ), qui ostracisent tout ce qui est moins sombre, et conchient tout ce qui n'est pas afro, sur le mode subtil de la racaille urbaine, a savoir tres, tres violent.

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Je ne suis pas d'accord de manière générale avec l'approche collectiviste de l'anti-racisme.

 

Je suis probablement d'accord avec ça, mais dans le doute, pourrais-tu développer ce que tu appelles "approche collectiviste de l'anti-racisme", et par extension ce que serait un (les ?) anti-racisme(s) non collectiviste(s) ?

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l'anti-racisme est un terme qui n'a pas de sens dans un contexte de loi egalitaire, d'absence d'appartheid.Ca revient a essayer de convaincre des racistes ou a les eliminer physiquement ; sur un plan politique au niveau de la nation ca revient a de la propagande ou du marketing pour dire qu'etre vilain c'est pas bo.

Faire de l'affirmative action ou du feminisme est un collectivisme: c'est la categorie de l'invidu qui est prise en compte ( noir, gaucher, femme ) avant son caractere individuel.C'est l'essence meme du collectivisme.

 

Une action non collectiviste c'est une action precise destinee a un raciste precis, pour defendre un individu precis.C'est a ca que sert la loi.

Les collectivistes confondent souvent action de groupe, collective, et collectivisation de l'action, qui est un mode de pensee dans lequel tous les individus sont supposes avoir le meme etat mental a la base de l'action: d'ou la reeducation.

  • Yea 1
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Ça n'est pas suffisant non, et c'est pour ça que je ne suis pas d'accord de manière générale avec l'approche collectiviste de l'anti-racisme. Mais comme pour tout c'est incomparablement moins dangereux quand l'état ne s'en mêle pas.

Maintenant la question est, peut-on réellement être un anti-raciste de ce type et ne pas être étatiste ? On a déjà vu plus haut que certains sont sceptiques sur le fait d'être raciste sans être étatiste. J'émets le même doute.

 

On baigne dans l'étatisme et le collectivisme, c'est quelque chose de difficile à imaginer pour beaucoup de monde aujourd'hui de se passer de l'État pour régler des problèmes. "Tout le monde le fait, pourquoi pas moi ?", "Ce problème ne me concerne pas uniquement, il faut donc une solution qui emploie la collectivité.", "La solution n'est pas à portée des individus isolés, il est nécessaire de passer par l'État.", etc... Je suis personnellement convaincu que c'est possible de s'y employer sans se tourner vers l'étatisme mais je sais pertinemment que peu de personnes partagent cette conviction.

 

Je suis probablement d'accord avec ça, mais dans le doute, pourrais-tu développer ce que tu appelles "approche collectiviste de l'anti-racisme", et par extension ce que serait un (les ?) anti-racisme(s) non collectiviste(s) ?

 

Ça m'intéresse également.

 

J'en reviens à une de mes questions précédentes : "Donc le piège, c'est que le racisme s'exprime à l'égard de groupes mais il ne faudrait pas l'aborder de cette manière si on veut lutter contre ?"

Je comprends parfaitement que si on souhaite résoudre les problèmes d'individus, il faut s'attacher à analyser leur situation et à chercher des solutions à leur échelle (individuelle). Mais que faire lorsque la source / l'origine de ces problèmes se trouve à une plus grande échelle (du groupe / collective) ? On va surement me répondre que je me trompe mais si par hasard quelqu'un partage cette idée et à un avis à partager...

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Ces "certains" ne sont pas sur ce forum. Tu t'appelles Lancelot, pas Don Quichotte, n'est-ce pas ?

Les racistes au sens fort non plus ne sont pas (plus) sur ce forum, ce qui ne nous empêche pas d'en parler.

 

Je suis probablement d'accord avec ça, mais dans le doute, pourrais-tu développer ce que tu appelles "approche collectiviste de l'anti-racisme", et par extension ce que serait un (les ?) anti-racisme(s) non collectiviste(s) ?

Pour ça je serais obligé de ressortir les mots qui fâchent comme "marxisme culturel". En gros ce sont les gens qui cherchent l'égalité de fait et pas de droit, et entre les groupes plutôt que les individus. Par exemple se plaindre qu'il n'y a pas assez de femmes dans les écoles d'ingénieur, qu'on n'étudie pas assez d'auteurs noirs à l'école, qu'il y a trop de juifs à la télé etc.

À l'opposé un non-racisme non collectiviste consisterait simplement à ne pas prendre la race en compte comme un facteur pertinent. Ce qui n'est, disons, pas une approche très prisée par les collectivistes :

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J'en reviens à une de mes questions précédentes : "Donc le piège, c'est que le racisme s'exprime à l'égard de groupes mais il ne faudrait pas l'aborder de cette manière si on veut lutter contre ?"

Je comprends parfaitement que si on souhaite résoudre les problèmes d'individus, il faut s'attacher à analyser leur situation et à chercher des solutions à leur échelle (individuelle). Mais que faire lorsque la source / l'origine de ces problèmes se trouve à une plus grande échelle (du groupe / collective) ? On va surement me répondre que je me trompe mais si par hasard quelqu'un partage cette idée et à un avis à partager...

D'abord il faudrait définir le racisme de manière non fantaisiste. Ensuite si on envisage une sanction, sanctionner des actes et pas des pensées. J'ai la faiblesse de penser qu'en l'absence (tendancielle puisque l'absence totale est impossible) d'actes racistes, le racisme n'est plus un problème.
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Quoi qu'il se passe avec le racisme et l'antisémitisme ça ne doit pas être au gouvernement de s'en mêler surtout que, on va pas s'en cacher, c'est pas non plus LE problème majeur en ce moment.

 

Et encore faudrait-il définir précisément ce qu'est le racisme parce que j'ai l'impression que certains membres du gouvernement, notamment Valls et ses blancos, en ont une conception TRES bizarre.

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Un non-racisme non collectiviste consisterait simplement à ne pas prendre la race en compte comme un facteur pertinent.

 

Je pense qu'il y a déjà là un clivage interne à l'antiracisme "de gauche" (pour aller vite). Par exemple la ligne SOS racisme sera de nier l'existence des races (terme supprimé de la constitution par le PS), là où le "contre-racisme" de groupuscules type indigènes de la république va au contraire ériger la race en problème politique, mais pour défendre les "races opprimées" contre les "races oppressives" (#reversed-nazism). Et je pense pouvoir faire l'hypothèse que cette seconde façon de faire est sans doute infiniment plus commune aux U.S.A qu'en France.

 

Mais il me semble que les définitions que l'on utilise sont encore trop imprécises.

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Excellent le Maurice !

 

Charlotte : "noonnn mais j'ai vécu des trucs moi aussi". 

Maurice : " ouais t'as été à la piscine surement".  :icon_ptdr:  :icon_ptdr:  "Tu dois tellement foutre la trouille aux gens qu'ils doivent dire oui."

 

Merci pour cette Madeleine de Proust.  :)

 
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Cela n'enlève rien aux autres bêtises qu'elle raconte. Et son ton est insupportable, on ne peut pas discuter avec des gens pareils.

 

Mais Maurice n'est pas tout blanc non plus : vers la fin, il dit à demi-mot qu'il ne serait pas contre une législation sur les entrées en boite de nuit.

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Mais Maurice n'est pas tout blanc non plus : vers la fin, il dit à demi-mot qu'il ne serait pas contre une législation sur les entrées en boite de nuit.

Mouais, il se montre plutôt sceptique sur les actions de contrainte.

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Et donc concrètement ça implique quoi ?

Pour info les racistes je connais, j'ai lurké chez les ethno-différencialistes et l'alt-right (c'était ma lubie avant les SJW). En quoi a-t-on quoi que ce soit d'approchant sur liborg en dehors de quelques trolls à demi-vie restreinte ? Et sinon c'est quoi le racisme bête et méchant qu'on retrouverait chez les liborgiens ?

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Pour ça je serais obligé de ressortir les mots qui fâchent comme "marxisme culturel". En gros ce sont les gens qui cherchent l'égalité de fait et pas de droit, et entre les groupes plutôt que les individus. Par exemple se plaindre qu'il n'y a pas assez de femmes dans les écoles d'ingénieur, qu'on n'étudie pas assez d'auteurs noirs à l'école, qu'il y a trop de juifs à la télé etc.

À l'opposé un non-racisme non collectiviste consisterait simplement à ne pas prendre la race en compte comme un facteur pertinent. Ce qui n'est, disons, pas une approche très prisée par les collectivistes :

 

Comme facteur pertinent de ? Je n'ai pas compris ta phrase.

En mauvais marxiste, je ne cherche pas l'égalité de fait mais je m'interroge tout de même sur les raisons qui font qu'il existe une variabilité entre les groupes qui ne s'explique pas simplement par la variabilité entre les individus. Ça me paraitrait difficile de m'arrêter à la situation d'un individu, puis d'un autre, etc... sans remarquer qu'elles partagent toutes des similarité. Le libéralisme assure l'égalité en droit, la société civile s'occupe de défaire les préjugés et les réflexes collectivistes.

 

Je pense qu'il y a déjà là un clivage interne à l'antiracisme "de gauche" (pour aller vite). Par exemple la ligne SOS racisme sera de nier l'existence des races (terme supprimé de la constitution par le PS), là où le "contre-racisme" de groupuscules type indigènes de la république va au contraire ériger la race en problème politique, mais pour défendre les "races opprimées" contre les "races oppressives" (#reversed-nazism). Et je pense pouvoir faire l'hypothèse que cette seconde façon de faire est sans doute infiniment plus commune aux U.S.A qu'en France.

 

Mais il me semble que les définitions que l'on utilise sont encore trop imprécises.

 

Je ne suis pas très au point concernant l'histoire de l'antiracisme en France ou ailleurs, mais j'ai cependant l'impression que SOS Racisme représente un vieux anti-racisme où on s'imaginait que nier les différences entre les individus et les inclure dans un gros paquet neutre suffirait à résoudre tous les problèmes. Ils en sont venus à refuser d'exprimer ou d'identifier les particularités et les identités même des individus en construisant des tabous sur certains sujets (comme s'il suffisait d'arrêter de mentionner la couleur d'une personne pour que les autres cessent de la voir). Pas étonnant donc de voir que les premiers concernés n'ont pas tous appréciés le fait de se sentir effacés. La question du port du voile a d'ailleurs été assez révélatrice sur ce sujet, puisque certains organismes veulent que celui disparaisse derrière une neutralité fictive, comme si une musulmane sans voile devient, comme par magie, une femme lambda échappant de fait aux discriminations. Très logiquement, les mouvements qui sont nés en réponse (et pour d'autres raisons) ont voulu affirmer leurs identités et les revendiquer.

"Tous pareils, pas de discrimination" versus "Tous différents, pas de discrimination".

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allez, je vais faire le bete et mechant :)

 

Quand on balance une thèse pareille on pourrait s'attendre à un peu plus que 6-7 exemples moisis, aléatoires, non-représentatifs de quoi que ce soit et sans aucun effort de contradiction pour la soutenir.

 

Pour un prétendu "libertarien" il fait des généralisations collectivistes grossières à partir d'une minorité assez souvent (notamment sur les indiens, c'est grotesque de parler d'une population aussi diverse et nombreuse en la regroupant sous un unique terme national sans signification autre qu'étatique).

 

Ce type est décidément un gros blaireau.

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