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Aujourd'hui, en France


FabriceM

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Niveau de compréhension : - 4.

 

 

[Édith] Ha, 1er jour du ramadan.

J'ai fait la même au boulot, j'ai offert des merdouilles à goûter en réunion aujourd'hui. Les musulmans ne se sentent pas blessés de voir leurs collègues non musulmans manger et boire de toutes façons.

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Une des réponses:

"Je suis musulman et français. La religion est personnel, et pleine de pudeur. Evian fait ce qu'il veut. Quand à mes jeunes collègues "spirituels", ils devraient passer moins de temps sur les réseaux sociaux et passer plus de temps à réfléchir comment se rendre utile."

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Je viens seulement de prendre connaissance des attaques portées par Guy Sorman à l'encontre de Michel Foucault - désolé si cette affaire a déjà été mentionnée sur le forum. Quoi qu'il en soit, si je me réfère à cet article, cela ressemble fort à de la calomnie ; ou bien Sorman est gâteux et sa mémoire le trahit :

 

Citation

Tunisie : « Michel Foucault n’était pas pédophile, mais il était séduit par les jeunes éphèbes »

 

Le philosophe français s’est-il livré à des actes pédophiles durant sa période tunisienne ? C’est en tout cas ce que rapporte l’essayiste Guy Sorman. JA a interrogé des témoins de l’époque.

 

Pourquoi l’essayiste français Guy Sorman, 77 ans, a-t-il choisi ce moment pour sortir du silence ? Dans son Dictionnaire du Bullshit (éditions Grasset) paru fin février, il accuse Michel Foucault (1926-1984) d’actes pédocriminels et revient sur un séjour à Sidi Bou Saïd où il a côtoyé le philosophe français qui vivait dans le village et enseignait la philosophie à la Faculté des lettres et sciences humaines de Tunis depuis 1965.

 

« Ce sont des choses parfaitement ignobles avec de jeunes enfants, des choses d’une laideur morale extrême » assène encore Guy Sorman il y a quelques semaines sur le plateau de France 5. Avant de préciser, au cours d’un entretien accordé il y a quelques jours au Sunday Times : « Il y avait des enfants de 8, 9, 10 ans, qui lui couraient après, raconte-t-il. Il leur jetait de l’argent en leur disant : “Rendez-vous à 22 heures à l’endroit habituel.” » Des accusations qui reposent donc sur les souvenirs de Guy Sorman.

 

À Sidi Bou Saïd, beaucoup se souviennent encore de l’homme introverti et ascétique qui avait emménagé en 1966 Place Sidi Hassine dans une maison ouverte sur la baie de Tunis. Sidi Bou Saïd vivait à l’époque un syncrétisme entre le mode de vie ancestral et codé des notables tunisois et une population plus cosmopolite. Le village maraboutique, qui n’avait autorisé l’accès aux non-musulmans qu’à la fin du XIXe siècle, était devenu avec l’après-guerre, le repaire d’artistes et d’intellectuels. « Un phalanstère magique, préservé et privilégié » se souvient un riverain du temps où « le vendeur de cartes postales n’avait pas remplacé le marchand de légumes devant le Café des Nattes ».

 

Les témoins de cette époque bohème ne semblent pas conserver les mêmes souvenirs que Guy Sorman : « Personne ne dénonce les actes d’autres illustres visiteurs, comme André Gide, qui ne cachaient pas leurs penchants », commentent les habitués du Café des Nattes. Le village avait adopté le philosophe et ami du journaliste Jean Daniel, un inconditionnel épris des lieux. Certains ont encore des anecdotes sur ces années 1966-1968 où Foucault écrivit L’Archéologie du savoir face à la Méditerranée.

 

L’un d’eux raconte combien le village avait ri quand l’employée de maison de Foucault avait poussé les hauts cris après que son fils lui eut traduit en arabe l’incipit d’Ainsi parlait Zarathoustra. « Dieu est mort et personne ne me l’a dit » hoquetait-elle en cherchant confirmation auprès du voisinage, sûre que « les livres ne mentaient pas ». Ce temps-là était aussi celui de l’agitation et de la mobilisation des étudiants en Tunisie. « J’ai fait mai 68, en mars 68 à Tunis » rétorquait Foucault au philosophe Herbert Marcuse qui lui reprochait de ne pas avoir été présent durant les évènements de mai à Paris. Durant ces mois intenses en débats et actions, il a conçu une réelle admiration pour la détermination des jeunes Tunisiens du mouvement de gauche Perspectives, dont la répression lui a inspiré Surveiller et punir (1975).

 

C’est cet homme, qu’un demi-siècle plus tard, Guy Sorman accuse d’avoir emmené de jeunes enfants dans le cimetière de Sidi Bou Saïd pour s’y livrer à des actes sexuels. L’idée de bacchanales autour des tombes choque les villageois : « Comme dans tout village, on n’est jamais seul et le cimetière, surtout sur cette terre maraboutique, est un lieu sacré que nul n’oserait profaner pour ne pas contrarier la baraka de Sidi Jebali, saint patron des lieux » réagit un « fils de Sidi Bou Saïd ».

 

Moncef Ben Abbes, véritable mémoire du village, est catégorique : « Foucault n’était pas pédophile mais était séduit par les jeunes éphèbes. Des gars de 17 ou 18 ans qu’il retrouvait brièvement dans les bosquets sous le phare voisin du cimetière. » La majorité civile est alors fixée à 20 ans. Une précision proche de celle de Jean Daniel qui rapportait dans un portrait de Michel Foucault à Sidi Bou Saïd qu’« il était, le plus discrètement du monde, homosexuel. Sans les rumeurs des petits voyous du village, personne ne s’en serait douté ».

 

Le philosophe français était en tout cas dans le viseur des autorités qui souhaitaient l’écarter de l’université et l’expulser en raison de son soutien au soulèvement étudiant de gauche.

 

A cette époque, le ministre de l’Intérieur n’est autre que Béji Caïd Essebsi (1926-2019), né à Sidi Bou Saïd. « Il n’aurait toléré aucun scandale, mais savait que le village s’auto-régulait. Deux auteurs d’actes pédophiles ont été très discrètement bannis du village bien qu’étant fils de notables » rapporte un proche de l’ancien président de la République.

 

Les témoignages divergent sur les raisons du départ de Michel Foucault. Kerim Bouzouita, spécialiste en communication politique se réfère à Daniel Defert, compagnon du philosophe dont il a recueilli les propos pour sa thèse, estime que Foucault aurait été poussé vers la sortie après le témoignage compromettant d’un individu de 18 ans avec qui il aurait eu une relation sexuelle et qui aurait été soudoyé par la police politique. L’ancien doyen de la Faculté de Sfax et disciple de Foucault, Fathi Triki assure lui qu’« il n’a pas été contraint de quitter la Tunisie mais avait déjà signé avec la faculté de Vincennes ». « Ce qui se raconte là est très malsain » conclut-il.

 

 

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il y a 48 minutes, Freezbee a dit :

Dans son Dictionnaire du Bullshit (éditions Grasset) paru fin février, il accuse Michel Foucault (1926-1984) d’actes pédocriminels

Le livre porte bien son titre on dirait

 

il y a 49 minutes, Freezbee a dit :

C’est cet homme, qu’un demi-siècle plus tard, Guy Sorman accuse d’avoir emmené

ach la ponctuation est aussi victime d'actes criminels

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Enlèvement de Mia : les trois ravisseurs présumés sont des survivalistes suivis par la DGSI

 

Citation

Selon nos informations, les trois hommes suspectés d’avoir enlevé la fillette en se faisant passer pour des représentants de la protection judiciaire de la jeunesse ont été interpellés dans la nuit de mercredi à jeudi par les gendarmes de la section de recherches de Nancy, appuyés par le GIGN, dans le XIXe arrondissement de Paris.
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le profil des trois kidnappeurs présumés réserve des surprises : ils sont inscrits comme des « objectifs » suivis par la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) en raison de leur appartenance à la mouvance survivaliste. Proches des thèses de l’ultra-droite, les suspects sont jugés potentiellement dangereux. Dans l’appartement où ils ont été interpellés, situé dans le quartier Jean Jaurès dans le XIXe, les gendarmes ont d’ailleurs mis la main sur des explosifs « de type militaire ». 

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Selon les premiers éléments de l’enquête, Mia pourrait ensuite avoir été remise à sa mère, Lola Montemaggi, qui était absente de son domicile mercredi et reste introuvable à ce stade. Cette dernière, âgée de 28 ans, serait elle-même proche des idées survivalistes. Interdite de voir Mia seule, elle avait indiqué à la mi-janvier vouloir partir en camping-car avec l’ambition de passer « en dessous des radars de la société », toujours selon les mots du procureur d’Epinal. La maman refusait « toute collaboration avec les services éducatifs et souhaitait vivre en marge de la société ». La mère de famille souhaitait scolariser sa fille à son domicile mais s’était heurtée au refus de l’Education nationale. Elle avait aussi expliqué au juge des enfants ne pas vouloir que la justice ou l’école publique ne s’immisce dans sa vie ou celle de sa fille.

 

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il y a 7 minutes, christophe15 a dit :

On a les moyens de faire suivre les survivalistes chez nous.

 

On sait jamais !

Citation

A l'inverse, certains survivalistes vont choisir de s'entraîner au maniement d'armes dans l'optique d'une catastrophe à venir, au cours de laquelle ils auraient selon eux besoin d'affronter d'autres personnes. Parmi eux, parfois, des individus proches de l'extrême droite.

Les hommes interpellés dans l'enlèvement de Mia étaient de ceux-là, selon les premiers éléments de l'enquête. Ils étaient en effet "suivis par la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) en raison de leur appartenance" à cette mouvance et "jugés potentiellement dangereux".

Le procureur de la République d’Épinal a indiqué qu’ont été "saisis chez une des personnes des éléments qui ont intéressé le Pnat", le parquet national anti-terroriste. Selon Le Parisien, il s'agirait d'explosifs militaires. BFMTV précise ce vendredi que des ouvrages anarchistes ont également été retrouvés à leur domicile.


Ailleurs :

Citation

Ce pourrait être le survivalisme, cette mouvance proche de l'ultra-droite, dont se revendiquent ces hommes. Selon Le Parisien, des explosifs militaires ont été découverts chez l'un d'eux. BFMTV précise ce vendredi que des ouvrages anarchistes ont également été retrouvés.

La mère de Mia pourrait elle-même imprégnée de ces thèses complotistes.

 

 

Citation

Cette femme n’a répondu à aucune convocation judiciaire depuis lors et avait eu des "propos suicidaires" devant sa fille, a-t-il ajouté. Elle avait "adopté devant le juge des enfants, le 11 janvier, une posture préoccupante", se disant "malade, ne pas souhaiter que l’on s’immisce dans sa vie ni dans celle de sa fille en arguant une position de rejet de la vie en société", a ajouté Nicolas Heitz.

 

 

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Je ne lis nulle part l'origine du signalement initial qui a motivé que la grand-mère devienne tiers digne de confiance et que les rencontres avec la mère soient espacées. À part son discours suicidaire, et le fait qu'elle se décrive comme malade au juge des enfants.

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19 hours ago, Bisounours said:

Je ne lis nulle part l'origine du signalement initial qui a motivé que la grand-mère devienne tiers digne de confiance et que les rencontres avec la mère soient espacées. À part son discours suicidaire, et le fait qu'elle se décrive comme malade au juge des enfants.

Déscolarisation, violence envers conjoint devant sa fille, discours suicidaire, etc.

Cela  commence à faire.

 

Pour la violence envers conjoint:

https://www.bfmtv.com/police-justice/enlevement-de-mia-la-fillette-etait-confrontee-a-la-violence-de-sa-mere-a-l-egard-de-son-conjoint_AV-202104140220.html

 

 

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il y a 44 minutes, Marlenus a dit :

Cela  commence à faire

Effectivement. Le premier article insistait sur le côté survivaliste, ce qui m'a laissée sur ma faim. J'ai lu ailleurs que c'est quelqu'un de la famille qui a signalé l'enfant. Ce n'est donc pas la désocialisation de la fillette et le projet marginal de la mère qui ont abouti à ce placement, dans sa propre famille, qui plus est. Il y a d'autres problèmes.

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On peut l'espérer parce qu'effectivement le dossier semble léger avec les infos qu'on a eu dans la presse.

Je ne suis pas loin de penser comme le grand père que c'est l'ASE et pas la mère qui a kidnappé l'enfant.

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Comme tu l'écris, on a que ce que la presse nous donne comme infos, et dont je me demande par quel chemin elle les a obtenues. Et de plus, la fillette a été confiée à quelqu'un de sa famille... pas à un établissement ou une famille d'accueil.

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Pareil. Vu le manque d'infos, et l'attitude qu'on connaît des autorités face à ceux qui ne veulent pas mettre leur enfant dans le lit de Procuste, je me garde bien de juger lesquels, des survivalistes et des flics, sont les kidnappeurs, et lesquels ont usés de force légitime. Et connaître l'avis de l'enfant dans tout ça n'aurait pas été une mauvaise chose. Avait-elle vraiment envie d'être séparée de sa mère ?

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il y a 3 minutes, Mégille a dit :

Avait-elle vraiment envie d'être séparée de sa mère ?

Par expérience, je te garantis qu'aucun enfant n'a le désir exprimé de se séparer de ses parents, quand bien même ils seraient les plus atroces maltraitants.

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il y a 21 minutes, Rübezahl a dit :

Une histoire parmi mille

Les placements abusifs... oui, ils doivent exister et c'est regrettable, mais dans quelles proportions ? Reste à savoir ce que tu entends par là, car pour le parent, le placement de son enfant est abusif dans la plupart des cas.

Mais quand rien n'est fait et que ça tourne mal, les services sociaux en prennent plein la gueule. Du coup, hélas, il arrive parfois que des enfants soient retirés de leur famille en attendant plus amples investigations, dans le cadre de placements provisoires, par exemple.

Bref, c'est un sujet complexe.

Et en imaginant que dans un monde parfait, ces structures départementales imparfaites en charge de la maltraitance n'existent pas, qui/quoi/comment pour protéger les mineurs ?

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1 hour ago, Bisounours said:

 

Et en imaginant que dans un monde parfait, ces structures départementales imparfaites en charge de la maltraitance n'existent pas, qui/quoi/comment pour protéger les mineurs ?

J'ai toujours trouvé que la protection des mineurs n'était pas le point fort du libéralisme.

 

Pour le coup c'est un sujet où j'aurais bien du mal à défendre une position libérale pur jus.

 

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il y a 21 minutes, Marlenus a dit :

J'ai toujours trouvé que la protection des mineurs n'était pas le point fort du libéralisme

Être fonctionnaire ne transforme pas l'individu en un saint dénué de préjugés et dévoué à la cause publique. 

De la même manière, la même fonction exercée par une personne relevant de services privés, ne va pas davantage la transformer en un être vertueux.

Une erreur d'appréciation, la prééminence de ses préjugés éducatifs etc. il faut se méfier de tout ça. D'ailleurs, hors cas d'urgence extrême, les projets de placement/signalement font l'objet de réunions au cours desquelles se discute la situation, s'évaluent les différentes propositions, toujours dans l'intérêt de l'enfant. Ce qui ne signifie pas qu'il n'y ait jamais de ratés.

L'essentiel est que puisse s'exercer équitablement les droits de chacun, sans négliger les devoirs des parents. Parfois, la limite est fine, il y a plein de zones grises.

 

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Dans mon anarcapistan à moi, la famille élargie et des associations poursuivent en justice, face à des tribunaux privés, les parents semblant maltraiter leurs enfants. Le retrait de la garde de l'enfant et son placement dans un nouveau foyer se fait au cas particulier et à la jurisprudence. Le parent à son mot à dire sur ce dont on l'accuse et peut se défendre. Et pas d'administration centralisé de tout ça. Il y aurait peut-être plus d'échec "négatif" du système (des enfants maltraités dont les parents échapperaient aux mailles du filet), mais moins d'échec "positif" (des enfants placés abusivement ou mal placés). Et il ne faut pas faire comme si la rupture du lien affectif de l'enfant avec ses parents était un mal négligeable, qui serait anodin face à n'importe quelle forme de maltraitance, même mineure. J'aimerais bien savoir comment s'en sortent, à l'âge adulte, des enfants ayant été placés relativement à d'autres restés avec de "mauvais parents", et ce en fonction de différents degrés de maltraitance. Quand j'entends les histoires de l'éducation "à l'ancienne" qu'on reçu chacun de mes parents, à base de martinet, de ceinture de cuir et autre joyeuseté, je ne doute pas qu'ils auraient légalement pu être placé dans d'autres foyers par la loi actuelle. Mais je ne suis pas sûr que ça aurait été positif pour eux.

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il y a 14 minutes, Mégille a dit :

La famille élargie et des associations poursuivent en justice, face à des tribunaux privés, les parents semblant maltraiter leurs enfants. Le retrait de la garde de l'enfant et son placement dans un nouveau foyer se fait au cas particulier et à la jurisprudence

Ouais, donc tout ce petit monde est profondément vertueux et ne prend jamais aucune décision en fonction de ses propres ressentis ou valeurs.

(Au passage, dans le système actuel imparfait, chaque situation est un cas particulier)

il y a 14 minutes, Mégille a dit :

Le parent à son mot à dire sur ce dont on l'accuse et peut se défendre

Aujourd'hui aussi. Il rencontre le juge, les responsables, peut prendre un avocat.

 

il y a 14 minutes, Mégille a dit :

Et pas d'administration centralisé de tout ça

C'est départemental, et oui, c'est effectivement perfectible

 

il y a 14 minutes, Mégille a dit :

des enfants maltraités dont les parents échapperaient aux mailles du filet

Définis moi enfant maltraité...

 

il y a 14 minutes, Mégille a dit :

Et il ne faut pas faire comme si la rupture du lien affectif de l'enfant avec ses parents était un mal négligeable, qui serait anodin face à n'importe quelle forme de maltraitance, même mineure

C'est évident, au point même que le plus souvent, les enfants sont maintenus dans leur famille avec des mesures d'aide éducative. On ne place jamais les enfants pour maltraitance mineure.

 

il y a 14 minutes, Mégille a dit :

je ne doute pas qu'ils auraient légalement pu être placé dans d'autres foyers par la loi actuelle

Quand la baffe ou le coup de fouet demeure le seul mode éducatif et devient quotidien, en dehors de tout dialogue et échange, ça peut poser problème.

 

C'est toujours la situation individuelle qui est étudiée.

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il y a 15 minutes, Mégille a dit :

 

En quoi ça serait différent du truc de Rothbard? Un marché libre des enfants permettrait que les enfants aillent à ceux qui les valorisent le plus. C'est parce que le transfert des enfants à l'Etat se fait à 0€ aujourd'hui qu'on a de la maltraitance, parce que ce qui est gratuit n'est pas entretenu. Certes, on n'a pas de droit ou de propriété fiduciaire sur ses enfants mais quand l'Etat prend ton enfant pour le placer, ça revient au même et c'est de ce transfert que je parle. Ça évite que ce soit quelqu'un qui place les enfants ou fasse les jugements de valeurs sur la bonne et la mauvaise éducation, ce qui ne marche pas plus que dans le cas de la distribution des richesses en effet.

edit ça répond aussi à certaines questions de @Bisounours

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