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Élection POTUS 2016 : fil général


  

59 membres ont voté

  1. 1. Je pense que le prochain président des USA sera

    • Donald Trump
    • Hillary Clinton
    • Gary Johnson
    • Un autre candidat
      0
  2. 2. J'espère que le prochain président des USA sera

    • Donald Trump
    • Hillary Clinton
      0
    • Gary Johnson
    • Un autre candidat


Messages recommandés

Difference de style:

 

Entre d'un côté,  l'autre con qui menace l'autre conne de la foutre en taule s'il gagne ou de ne pas reconnaître le résultat des élections. et de l'autre la lettre laissée par Georges H W Bush  à Bill Clinton dans le bureau oval, après avoir perdu l'élection pour un second mandat.

 

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Le plus dangereux chez HC serait sans doute sa politique extérieure, et là-dessus Congrès Rep la soutiendra surement, elle est proche des neocons.

 

Sur le reste j'ai pas trop d'inquiètude, enfin disons que ça va globalement suivre son cours, mais c'est la même chose pour l'élection FR par exemple, pour HC la touche personnelle sera sans doute un peu plus de corruption et de cronysm, et peut-etre une mesure sociale d'affichage.

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Est-ce qu'il y a une règle du débat qui leur interdit de se poser des questions l'un à l'autre ? Est-ce qu'ils ne le font pas pour des raisons stratégiques (ne serait-ce que pour avoir plus de temps pour leur message ou réduire l'incertitude?). Quand je pense à des débats présidentiels français, certaines répliques restent en tête (de là à influencer l'issue de l'élection? je ne sais pas, on peut en discuter). Je me pose la question parce que je remarque qu'à plusieurs moments du débat il serait très facile pour Trump ou Hillary de mettre son interlocuteur en très grande gène en pointant simplement des incohérences dans ce qui est dit.

 

(Quel concours de protectionnisme ce débat, c'est horrible).

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All of this has happened before, and all of this will happen again.

The upcoming presidential election has pitted two of the most unlikeable candidates in recent memory against each other. Laura Roslin and Gaius Baltar each represent some of the worst impulses of humanity, and the prospect of having either as president of the colonies is simply terrifying. In fact, their individual platforms are so awful that they should give us pause to consider a question recently posed by Admiral Adama: does humanity even deserve to survive?

Consider the choices this election season.

Laura Roslin is the archetype of the cold, manipulative, and deceitful politician. She craves power and is willing to do anything and everything to get and keep it. Roslin embodies the ruling establishment like few others do. She’s spent her life building a political network using public and private connections, pandering to everyone from the teacher’s unions to former President Adar himself (with whom she is rumored to have carried on an affair). Furthermore, her shameless support of the military elites aboard Galactica has already cost thousands of lives, and she seems unwilling to support any kind of peace deal for the fleet.

The extent of her corruption is only now starting to be revealed thanks to a few key insiders. Sadly, many are reluctant to come forward with information about her criminal activities, probably out of fear for their own lives. Several people in her inner circle have died suddenly in mysterious circumstances, and reports of bribery and intimidation in her administration are common. Yet these revelations have done little to deter her supporters, who follow her with an almost religious fervor. In fact, the only problem that has overshadowed Roslin’s campaign has been her health. Although she has collapsed publicly more than once, her staff maintains that she’s suffering only from a minor illness, while her critics argue that she’s virtually on her deathbed.

The only serious competition Roslin had for the nomination was Tom Zarek. Zarek markets himself as a radical fighting for the common people, but the fact is, he’s a professional revolutionary with little or no grasp of the economic realities facing the fleet. He craves the spotlight, and it’s no surprise that as soon as it became obvious that he wouldn’t be nominated, he sold out to the highest bidder.

Then there’s Gaius Baltar. Underneath his ridiculous hair, Baltar is a classic narcissist whose only philosophy is self-preservation and personal advancement. It’s clear from his appalling treatment of women that he considers himself beyond accountability or reproach. However, his political appeal is based largely on his claim to being an outsider who will challenge the status quo. Yet even though he’s not a politician as such, he’s certainly no stranger to the political circles he criticizes. Like most self-styled advocates of the oppressed, Baltar is actually a member of the ruling class. In fact, he’s spent his entire life distancing himself from the working class he now claims to represent.

Baltar has amassed his popular following based on a sort of personality cult fuelled by nativism and the distrust of anyone associated with the old political order. His promise to make the colonies great again resonates with the self-described underclass of the fleet, who feel they’ve been marginalized by the Roslin administration. To these people, Baltar seems like a beacon of hope.

However, despite his popularity, Baltar lacks any good ideas. He revels in making personal attacks on his opponents, but seems unable to speak in coherent sentences when confronted with serious questions about his policies. In fact, his campaign is based almost entirely on his plan to build a giant firewall to keep out the Cylon invaders (of course, he completely ignores the fact that most of the Cylons only want peace and free trade with the colonial fleet). Baltar also never stops talking about his qualifications as a self-made man of science, but rumors are circulating that his scientific success was not his own, but was actually supported by questionable political sources. His cult-like harem goes to show, however, just how deeply ingrained the myths about his life and career really are.

To put it bluntly, the political prospects for the fleet are bleak. But this sad state of affairs is nothing new. It’s part of an endless cycle humans have been trapped in for centuries, whether it’s been on the planet Kobol, or the Twelve Colonies, or the legendary home of the Thirteenth Tribe, Earth.

Is it in the nature of humanity? No, but it is in the nature of politics. That means that while all of this has happened before, it doesn’t have to happen again.

https://mises.org/blog/presidential-election-baltar-vs-roslin

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  • Yea 1
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Parce que la discussion sur la carte de pourquoi les femmes votent pas Trump était très enrichissante (sic), j'ai trouvé ça dans un truc de SJW :

 

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(je crois que la source originale vient de Reddit : https://www.reddit.com/r/dataisbeautiful/comments/58rdgd/how_the_electoral_map_would_look_if_only_voted/. Mais je n'arrive pas à trouver la méthodo. Et ça m'intrigue profondément...

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De la carte électorale, on peut conclure que selon un critère de pouvoir politique, les démocrates ont intérêt à favoriser l'immigration et les républicains ont intérêt à la ralentir.

 

Je pense qu'on peut retrouver la même dynamique en France entre la gauche et la droite.

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De la carte électorale, on peut conclure que selon un critère de pouvoir politique, les démocrates ont intérêt à favoriser l'immigration et les républicains ont intérêt à la ralentir.

Je pense qu'on peut retrouver la même dynamique en France entre la gauche et la droite.

En France, la gauche est le choix par défaut des individus issus de l'immigration. Parce qu'ils sont encore plus insultants en face. Mais le taux d'abstention devrait te renseigner sur le désintérêt de ces communautés pour les partis politiques français. Le terrain de chasse de la gauche, ce sont les fonctionnaires avant tout.

Ton "analyse" est incroyablement bidon, en fait. Les Noirs américains ne sont pas des immigrés pour la plupart, les hispaniques ne votent pas autant démocrate quand le candidat républicain ne passe pas son temps à les insulter.

On peut être immigré et blanc aux États-Unis (y'en a même sur ce forum).

C'est fou d'être aussi aveuglé par ses préjugés, ça rend des gens intelligents incapables de raisonner.

  • Yea 3
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En France, la gauche est le choix par défaut des individus issus de l'immigration. Parce qu'ils sont encore plus insultants en face. Mais le taux d'abstention devrait te renseigner sur le désintérêt de ces communautés pour les partis politiques français. Le terrain de chasse de la gauche, ce sont les fonctionnaires avant tout.

Ton "analyse" est incroyablement bidon, en fait. Les Noirs américains ne sont pas des immigrés pour la plupart, les hispaniques ne votent pas autant démocrate quand le candidat républicain ne passe pas son temps à les insulter.

On peut être immigré et blanc aux États-Unis (y'en a même sur ce forum).

Je n'ai pas fait d'analyse, j'ai juste énoncé une évidence. En voyant cette carte, dire ce que je viens de dire relève quasiment du domaine de la tautologie. J'ai même hésité à le dire tellement j'avais l'impression d'être Captain Obvious, puis je me suis rappelé qu'il est souvent bon de verbaliser des évidences.

Tu introduis des nuances pour noyer le poisson car elles ne changent rien à la dynamique fondamentale :

- le taux d'abstention est hors sujet quant à l'impact marginale de l'immigration sur le rapport de force politique, à moins de supposer que l'abstention frappe plus une sensibilité politique qu'une autre, ce que rien n'indique.

- il me semble que l'immigration aux US n'est plus majoritairement blanche, donc le flux d'immigrants augmente plus vite le stock de "Colored" que de "White", donc plus vite la base électorale des démocrates que des républicains. Les Noirs ne sont pas des migrants effectivement, mais mon propos porte uniquement sur la relation entre l'immigration et le rapport de force électoral, donc là aussi la situation des Noirs est hors sujet.

Sur le fait que ce soit spécifique à la rhétorique de Trump, je suis dubitatif. Il faudrait voir les données de la dernière élection.

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Et je noie le poisson ? Sinon, W a remporté l'élection grâce aux immigrés cubains en Floride. Bref, tes deux posts tombent à l'eau :(

Je suppute que la situation locale de la Floride est exceptionnelle par rapport à la dynamique générale des USA. Les immigrés cubains ont fui un régime communiste et sont, de ce fait, probablement plus enclins à voter à droite de l'échiquier politique que le reste de l'immigration hispanique non-cubaine.

  • Yea 1
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Maintenant que les élections commencent, j'ai l'impression que le grand jeu consiste à lire l'avenir dans les entrailles des votes précoces. Il y a quelques jours, j'ai l'impression que la presse avait tendance à dire que les signaux étaient plutôt bons pour Clinton (et mitigés dans l'Iowa et l'Ohio). Un des spécialistes qu'on voit régulièrement interrogés : https://twitter.com/ElectProject

 

Il vient de poster ces statistiques sur la Caroline du Nord ; les résultats évoluent par rapport à il y a une semaine.

 

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Grosso modo, l'analyse que j'en fais :

- il y aurait une assez forte mobilisation des femmes (les démocrates diront que c'est pour barrer la route à Trump) ;

- les Républicains comblent leur retard en terme de vote - mais restent un peu moins mobilisés que les Démocrates (cf variation du nombre d'électeurs enregistrés en NC (*)) - il y a l'air d'avoir une plus grande mobilisation des "Unaf" que par le passé, même en vis à vis de (*)

- il y a l'air d'avoir une démobilisation assez notable chez les Noirs (20% des "requested ballots" alors qu'ils représentent plutôt 25% de la population de l'Etat et qu'ils votaient assez massivement en 2012 : http://wunc.org/post/north-carolina-black-voter-turnout-tops-us).

La tache des libertariens passe de epsilon à deux epsilons :mrgreen:.

La conclusion, c'est qu'on en sait rien, mais qu'on ne peut pas encore ranger les chips parce que les profils de participation sont intrigants.

(*) https://enr.ncsbe.gov/voter_stats/

2012 (en m) > Dem : 2.9 / Rep : 2.0 / Unaf : 1.7

2016 (en m) > Dem : 2.7 / Rep : 2.1 / Unaf : 2.0

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Je suppute que la situation locale de la Floride est exceptionnelle par rapport à la dynamique générale des USA. Les immigrés cubains ont fui un régime communiste et sont, de ce fait, probablement plus enclins à voter à droite de l'échiquier politique que le reste de l'immigration hispanique non-cubaine.

Sauf que l'immigration cubaine vote de moins en moins pour les républicains.

Les nouvelles générations plus intégrées voient l'attitude ferme des Etats-Unis envers le pouvoir castriste comme une chose moins prioritaire d'un côté, et de l'autre elles voient également que les républicains au niveau national traitent les hispanos comme des pourritures (alors que l'apport des immigrés latinos est vital à l'économie des Etats du sud-ouest et la Floride, et que les mecs bossent).

En revanche l'immigration vénézuélienne qui acquiert la citoyenneté US devient un nouveau réservoir, mais en nombre ça reste plus limité.

Quand tu vois comment Trump considère les hispanos comme des moins que rien dans ses discours et au pire des concurrents déloyaux à la main-d'oeuvre américaine, si j'étais eux, même si je déteste Clinton je voterais sans hésiter pour elle.

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  • 2 weeks later...

C'est drôle la manière dont la presse couvre l'élection. On va pouvoir faire un clustering des médias selon qu'ils titrent :

- "4-2 pour Clinton à Dixville Notch" (je ferais pas de lien vers la presse française)

- "32-25 pour Trump dans le Midnight Vote du NH" (http://www.usatoday.com/story/news/politics/onpolitics/2016/11/08/midnight-new-hampshire-voting/93455396/ y a pas que Breitbart à le faire ! Ouf !)

 

 

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