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Les zarmées font leurs zachats


Messages recommandés

Il y a 15 heures, Kassad a dit :

C'est quasiment au prix de l'or....

 

Ça me fait penser à ça https://www.lesnumeriques.com/console-de-jeu/manettes-xbox-dans-sous-marins-americains-n72543.html

 

bref on peut remplacer une manette qui coûte de milliers de dollars par une de Xbox. Là je dirais qu'ils vont chez carrouf et pour 40 000 euros ils achètent 200 drones du commerce. Il faut bosser ailleurs le logiciel qui interprète les images. 

J'avais déjà vu ça avec les drones américains. Les pilotes les contrôlent avec des manettes de xbox aussi

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Il y a 9 heures, Alchimi a dit :

Du très très peu que je connais de la balistique un porte-plaque ne te sauvera probablement pas d'un tir de fusil de précision, à moins d'être en limite de portée pratique.

De toute façon, le brouillage sera plus le principal contre-mesure que des tireurs d'élites.

Sniper ≠ tireur d'élite, non ?
J'avais en tête un tireur embusqué, pas un tireur de précision, surtout vu des théâtres d'opérations de l'armée française de ces 15 dernières années.

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Ce n'est pas le petit nom mais le calibre qui importe. :icon_volatilize:

 

IE dans les deux cas ça ne change pas grand chose. De plus l'opérateur du drone peut très bien se tenir à couvert sans avoir besoin de lever la tête, puisque qu'il utilise des ondes radios. A partir du moment ou il est à couvert derrière un abri en train d'opérer son drone il risque par nature beaucoup moins d'être touché.

 

Edit: sinon d’où sors-tu des problèmes de fournitures de protections pour les fantassins? Un rapide google ne me sort rien par contre je vois que les protections nouvelles générations arrivent en ce moment dans l'armée française.

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15 hours ago, Alchimi said:

Du très très peu que je connais de la balistique un porte-plaque ne te sauvera probablement pas d'un tir de fusil de précision, à moins d'être en limite de portée pratique.

De toute façon, le brouillage sera plus le principal contre-mesure que des tireurs d'élites.

Faut des protections en céramique lourde et encore...

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Il y a 20 heures, Alchimi a dit :

Ce n'est pas le petit nom mais le calibre qui importe. :icon_volatilize:

 

IE dans les deux cas ça ne change pas grand chose. De plus l'opérateur du drone peut très bien se tenir à couvert sans avoir besoin de lever la tête, puisque qu'il utilise des ondes radios. A partir du moment ou il est à couvert derrière un abri en train d'opérer son drone il risque par nature beaucoup moins d'être touché.

 

Edit: sinon d’où sors-tu des problèmes de fournitures de protections pour les fantassins? Un rapide google ne me sort rien par contre je vois que les protections nouvelles générations arrivent en ce moment dans l'armée française.

Bah le calibre d'un AK et d'un Barett c'est pas le même, si ? Nos forces armées ont plus rencontrés des AK que d'autres choses ces dernières années.

Pour moi le petit nom importe, tu peux avoir un sniper sans fusil de précision, mais un tireur d'élite sans fusil de précision, non. Après je dis peut-être des conneries.


Le problème de fournitures de protections je le sors de potes dans l'armée. C'était vrai y'a 9 ans en Afgha, et y'a quelques années au Mali.

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  • 1 year later...
  • 3 weeks later...

Les Allemands ont quelques soucis avec leurs forces spéciales en ce moment : Kramp-Karrenbauer besorgt wegen vermisstem Sprengstoff

 

Citation

Un constructeur de camions-citernes s'inquiète de la disparition d'explosifs

 

Suite au démasquage des extrémistes de droite par l'unité d'élite KSK, des masses de munitions et d'explosifs ne peuvent être trouvées. L'inspecteur général de la Bundeswehr avertit que ces derniers pourraient être utilisés dans des assassinats.

 

Des masses de munitions et d'explosifs ont disparu du Commandement des forces spéciales (KSK) de la Bundeswehr, et les responsables au plus haut niveau se montrent préoccupés. "C'est vraiment un danger potentiel qui s'accumule derrière", a déclaré l'inspecteur général de la Bundeswehr, Eberhard Zorn, lors d'une conférence de presse avec la ministre de la défense, Annegret Kramp-Karrenbauer. "Nous enquêtons avec tout ce que nous avons."

 

Au cours des enquêtes menées au KSK après une série d'incidents d'extrême droite, il a été déterminé que la localisation de dizaines de milliers de munitions et de 62 kilogrammes d'explosifs n'était pas claire. "Ce n'est pas une mince affaire", a déclaré Zorn. Ce sont des quantités qui pourraient bien être utilisées dans des assassinats.

 

En mai, la police saxonne avait déterré un dépôt d'armes sur la propriété d'un soldat du KSK. L'inspecteur général a fait remarquer qu'en plus des explosifs, un fusible [détonateur] y avait été trouvé. Le ministre de la défense, M. Kramp-Karrenbauer, a déclaré "qu'il s'agit effectivement d'une nouvelle qualité". Elle a déclaré qu'il n'était pas clair à l'heure actuelle si les disparitions étaient liées à des réservations et des retraits négligents, si des munitions avaient été laissées sur le terrain ou avaient en fait été détournées "et pour quelque usage que ce soit, elles ont été emmenées ailleurs".

 

Le ministre a renouvelé la menace avec d'autres conséquences si les mesures contre l'extrémisme de droite annoncées mardi contre la KSK ne devaient pas être efficaces. Dans ce cas, les forces spéciales pourraient être organisées d'une manière fondamentalement différente. "Les soldats savent que s'ils veulent garder leur KSK, ils doivent faire mieux."

 

Suite à des incidents d'extrême droite au sein de la force d'élite, le ministre avait précédemment ordonné la dissolution de la deuxième des quatre compagnies de commandement du KSK. Elle veut réformer fondamentalement le reste de l'unité. Le rapport d'enquête présenté par le ministre indique que dans certaines parties du KSK "un style de direction toxique, des tendances extrémistes et une manipulation laxiste du matériel et des munitions se sont développés" (pour en savoir plus sur les contre-mesures, cliquez ici). Même parmi les réservistes de la Bundeswehr, les extrémistes de droite avaient récemment été mis au jour par le Service de contre-espionnage militaire (MAD).

 

Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

 

 

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Citation

L’armée de Terre dispose de l’une des plus importantes « fermes » militaires d’imprimantes 3D

 

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En février, à l’iniative du 2e Régiment d’Infanterie de Marine [RIMa], la 9e Brigade d’Infanterie de Marine [BIMa] a organisé un Hackathon de 48 heures afin d’explorer les possibilités offertes par l’impression 3D pour trouver des solutions à des problèmes susceptibles de se poser sur le terrain.

 

« Les soldats sont les premiers utilisateurs de leurs matériels sur le terrain et leurs retours sont riches d’enseignements. Ils peuvent aujourd’hui transformer leurs besoins en ‘réalité’ immédiate grâce à l’impression 3D », avait d’ailleurs expliqué l’armée de Terre.

 

Pour rappel, l’impression 3D est une technologie grâce à laquelle il est possible de fabriqier des objets procédé par la juxtaposition de couches successives d’un matériau en fonction de plans élaborés par CAO [Conception assistée par ordinateur].

 

Ce « Hackathon MILI 3D« , organisé à la caserne Martin des. Pallières, qui abrite le 2e RIMa, fut un succès, avec plus d’une soixaitaine d’applications imaginées par les 74 participants issus des différents régiments de la 9e BIMa. Cette expérience avait été soutenue par HAVA3D Group, une entreprise implantée au Mans et spécialiste de l’impression 3D.

 

Cette collaboration, commencée en 2019 avec des essais réalisés au Sahel par la force Barkhane, ne s’est pas arrêtée à ce Hackathon étant donné que HAVA3D Group a contribué à la mise en place de « l’une des plus importantes fermes militaires d’imprimantes 3D » au sein de l’École du Matériel, à Bourges. Au total, 50 machines, de type Ultimaker S5, ont été installées au mois d’avril, « dans le cadre de la crise du Covid-19 », précise l’entreprise.

 

« Ce imprimantes ont démontré leur efficacité et leur fiabilité pour la production d’équipements techniques. À ce jour, plus de 40.000 pièces ont été fabriquées à Bourges au profit des armées », précise HAVA3D qui, en plus de la livraison et de l’installation des machine, a fourni un « appui technique permanent à l’armée de Terre. »

 

« Nous avons proposé un modèle d’imprimante professionnelle : l’Ultimaker S5. Puissante, fiable, polyvalente et intuitive, elle permet de répondre très rapidement et efficacement à une gestion de crise avec une production centralisée. Cette solution peut aussi être facilement déployée au sein des différents régiments et permettre un mode de production distribué pour plus de réactivité et d’agilité au sein de l’armée », explique Stanislas Clicquot, Le Pdg de l’entreprise mancelle.

 

Depuis mai, les imprimantes 3D fournies par HAVA3D sont utilisées pour fabriquer des « pièces détachées pour résoudre ponctuellement des problèmes de disponibilités de matériels terrestres ».

 

Quoi qu’il en soit, les expérimentations relative à l’impression 3D en opération ont été concluantes, les deux imprimantes Ultimaker utilisées par les maintenanciers de l’armée de Terre affectés à la Plateforme Opérationnelle Désert [PfOD] de Gao ayant permis de fabriquer des « pièces de rechange de véhicules classiques, comme de pièces totalement innovantes, conçues d’après une idée » , avait expliqué l’État-major des armées [EMA] en décembre 2019.

 

  • Yea 2
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  • 2 months later...
  • 3 weeks later...

Si tu regarde un peu les blogs et autres comptes twitter d'anciens militaires/observateurs technologiques/services de com d'armées tu verra plein d’occurrence de robotisation du matériel... et je ne parle pas simplement de porte-bagages mais bel et bien de drones armés, et ce n'est plus cantonné à l'aérien. Et on est au delà des prototypes/démonstrateurs technologiques. On en est plutôt à la pré-série de production industrielle, voire des premiers déploiements pour certains modèles (encore non-armés en moyenne mais ça va aller très vite).

Les robots militaires sont déjà là.

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  • 2 months later...
  • 4 months later...
  • 4 weeks later...

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