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JO 2024: Paris réussi ?


Astha

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Il y a 1 heure, Marlenus a dit :

American Pie qui manque à ma culture.

Le premier volet est mythique, c'est lui qui a popularisé le concept de MILF.

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Il y a 4 heures, Lameador a dit :

Merci pour ton excellent lien

 

Je me suis fais avoir sur Twitter.

 

En lisant ton article, j'ai lu avec plaisir que le cricket serait aux JOs 2028, ce qui me parait une excellente chose.

 

Il y a 4 heures, Marlenus a dit :

On aura aussi du Lacrosse, pour le coup cela me fera plaisir d'en voir, même si c'est un sport méconnu dans nos contrées et vraiment limité à l'amérique du nord.

 

 

 

Et maintenant les JO semblent le "LGBT+..................................................................." Tous les sports...

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Le 01/08/2024 à 08:31, Ultimex a dit :

J'aurais plutôt dit : ça dépend du métal (entre Metallica que même ta grand-mère connaît et Deathspell Omega, y a un gap).

Mefin, entre le Hellfest (un des plus gros festivals français) et ses concerts retransmis sur le site d'Arte, l'exposition sur ce style à la philharmonie de Paris, les chroniques dans Telerama, etc. Bah oui, le metal devient mainstream.

 

Sans oublier Behemoth à la Philarmonie... 

 

Citation

Formé en 1991 à Gdańsk, Behemoth s’est illustré sur la scène locale et internationale par son cocktail de black et de death metal, épicé de provocation religieuse.

 

Pas exactement le genre à passer sur Fun Radio !

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L'IBA, l'organisation qui avait disqualifié la boxeuse algérienne pour taux trop élevé de testostérone, offre 100k$ à la boxeuse italienne battue au 1er tour.

 

https://rmcsport.bfmtv.com/jeux-olympiques/jo-2024-boxe-l-invraisemblable-geste-de-l-iba-qui-va-donner-100-000-dollars-a-l-italienne-carini-apres-son-abandon-polemique-contre-l-algerienne-khelif_AV-202408030148.html

 

 

Pour info, l'IBA et le CIO sont en conflit depuis 2019.

Le CIO estimant que l'IBA est éclaboussé par des scandales de tricherie.

Pour ne rien gâter, l'IBA est tenue par des hommes à la solde de Poutine:

https://www.lequipe.fr/Jo-2024-paris/Boxe/Actualites/Le-cio-bannit-l-iba-mais-maintient-la-boxe-aux-jo-2024-et-2028/1404241

 

On voit que finalement tout ça c'est surtout une guerre politique d'influence.

 

 

 

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Il y a 15 heures, Marlenus a dit :

L'IBA, l'organisation qui avait disqualifié la boxeuse algérienne pour taux trop élevé de testostérone, offre 100k$ à la boxeuse italienne battue au 1er tour.

 

https://rmcsport.bfmtv.com/jeux-olympiques/jo-2024-boxe-l-invraisemblable-geste-de-l-iba-qui-va-donner-100-000-dollars-a-l-italienne-carini-apres-son-abandon-polemique-contre-l-algerienne-khelif_AV-202408030148.html

 

 

Pour info, l'IBA et le CIO sont en conflit depuis 2019.

Le CIO estimant que l'IBA est éclaboussé par des scandales de tricherie.

Pour ne rien gâter, l'IBA est tenue par des hommes à la solde de Poutine:

https://www.lequipe.fr/Jo-2024-paris/Boxe/Actualites/Le-cio-bannit-l-iba-mais-maintient-la-boxe-aux-jo-2024-et-2028/1404241

 

On voit que finalement tout ça c'est surtout une guerre politique d'influence.

 

 

 

Enfin un article potable. 

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Le 03/08/2024 à 00:25, Mathieu_D a dit :

Je ne sais pas s'il faut créer un fil "JO côté même" mais comme ce n'est pas le sport je le mets ici.

Les tireurs font le buzz, surtout Yusuf Dilek que vous avez sûrement vu dans votre fil LinkedIn.

https://knowyourmeme.com/memes/events/2024-olympic-shooters

 

La page est géniale.

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il y a 14 minutes, L'affreux a dit :

Et c'est encore une fake news russe ou bien c'est vrai cette fois-ci @Jérôme P.-L.?

 

EDIT : d'après les commentaires, c'est une fake news de plus. Je downvote. Mais la prochaine fois je signale. Les mensonges ne sont pas agréables à lire.

L'IBA a sanctionné ces athlètes suite à des tests génétiques, ces derniers ont choisi de ne pas faire appel, et personne n'a jamais prouvé que l'IBA avait menti.

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Il y a 4 heures, Jérôme P.-L. a dit :

L'IBA a sanctionné ces athlètes suite à des tests génétiques, ces derniers ont choisi de ne pas faire appel, et personne n'a jamais prouvé que l'IBA avait menti.

 

Je veux bien mais il va falloir faire l'effort de trouver une source pour cette information. Aussi il faudrait être plus clair. Dans ton message on lit "tests génétiques" alors on a l'impression qu'elle a le chromosome Y. Est-ce cela que tu voulais dire ?

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35 minutes ago, L'affreux said:

 

Je veux bien mais il va falloir faire l'effort de trouver une source pour cette information. Aussi il faudrait être plus clair. Dans ton message on lit "tests génétiques" alors on a l'impression qu'elle a le chromosome Y. Est-ce cela que tu voulais dire ?

C'est ce que dit le gars de l'IBA; il dit même que c'est XY, même pas un cas de XXY. Sans apporter de preuves d'ailleurs.


Par contre, je ne trouve cette affirmation que depuis la polémique des JO de Paris.

 

 

Au moment de sa disqualification, c'était (avec l'autre boxeuse dont personne ne parle mais qui est aux JO aussi):

Quote

les tests médicaux ont fait apparaître que ces deux boxeuses « ne remplissent pas les critères d'éligibilité pour participer aux compétitions féminines » tels que définis par les règles de l'IBA. Ces tests, de nature confidentielle, ont révélé d'après l'IBA que ces deux boxeuses disposent « d'un avantage compétitif sur les autres compétitrices féminines »

Ce qu'à l'époque a été interprété comme trop de testostérone.

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« Oui, ça ira ». Une conversation fleuve avec Patrick Boucheron, co-auteur de la cérémonie d’ouverture des JO de Paris 2024

 

Citation

Ce que l’on a vu : la Seine et sa puissance d’évocation. Une revendication tranquille, calme, crâne, par des corps jeunes, énergiques, différents, luttant contre l’adversité — la pluie s’étant invitée dans la partie et y ajoutant un élément dramatique, aussi problématique que bienvenu, car il n’était pas du tout en contradiction avec l’esprit général et le titre que nous avions choisi  : « Ça ira ». Ce que, dans une ville éprouvée comme Paris, on peut dire en serrant un peu les dents. On va chercher dans le passé révolutionnaire de ce pays de quoi affirmer, au futur, une confiance dans l’avenir. Oui, ça ira. En cela, le courage des danseuses et des danseurs, des anonymes comme des grandes stars de la chanson, à braver la pluie battante, cette énergie rageuse était finalement en phase avec ces valeurs olympiques qu’il s’agissait de célébrer : pour le coup, cette cérémonie était vraiment sportive.

[...]

Justement. Il y avait un tableau intitulé « Sportivité » dans lequel, mais cela a été à peine vu à la télévision, surgissaient de grandes barges représentant les jardins de Versailles. L’idée était de remettre Versailles au cœur de Paris, ce qui est une réconciliation urbanistique au regard de l’histoire des révolutions — et déjà, le rideau d’eau sous lequel passe le premier bateau des athlètes grecs en évoquait les grandes eaux. Sur ces jardins versaillais, transformés en stade urbain de skate et de BMX, évoluaient des personnages historiques : Napoléon, Louis XIV mais aussi des tirailleurs sénégalais, des paysans du Moyen Âge, des Gavroches qui tous faisaient du sport — on disait alors, pour dédramatiser ce rapport empesé avec notre histoire : « soyons sport avec notre histoire ». C’était joyeux, acrobatique, surprenant, et cela faisait valser les références historiques. Mais la pluie a rendu impossible cette partie du spectacle. Si l’on avait vu cela (et il ne tenait qu’à un anticyclone qui ne passe pas au bon moment, au bon endroit) on nous poserait aujourd’hui bien des questions là-dessus. Mais on ne l’a pas vu. Et cela ne manque pas vraiment.

[...]

Tous les Parisiens se sont émerveillés, cette année, de la beauté profane de ces grues géantes encadrant ce que le poète Dominique Fourcade a appelé un « vitrail inversé », puisque la cathédrale semblait illuminer la ville depuis son intérieur. On le voit, la technique moderne ne désacralise rien, bien au contraire. Ce que l’on voulait montrer, c’était l’écho entre les bâtisseurs de cathédrale et le chantier de ses restaurateurs — donner à voir l’idée même de réparation, qui ne passe pas par l’effacement des cicatrices. Scénographiquement, une gamme de bruits s’ouvrait à nous avec un autre horizon. Notre-Dame n’était pas seulement un monument, mais quelque chose de moins évident qui nous permettait de passer de l’autre côté de l’image et de décrire ce que c’est qu’une ville-monde au travail.

[...]

Nous, nous faisons juste remarquer, mais sans malice, qu’en France, les reines, nous avons plutôt tendance à les décapiter. La tête de Marie-Antoinette qui chante « ça ira, ça ira, ça ira, les aristocrates on les pendra » est l’équivalent ironique, et pas du tout revendicatif, ni agressif, de la cérémonie d’ouverture de Londres avec Elizabeth II. Mais là encore, il faut se détendre. On est au théâtre, ce n’est pas du vrai sang, tout est évidemment outré. Ce n’est même pas une reconstitution historique, la reine Marie-Antoinette est à la fois une sainte céphalophore et une icône pop. L’inspiration est grand-guignolesque, grande tradition française — ce qui fait suite au tableau « Enchanté » où il y avait sur les quais du square Barrye (mais malheureusement on ne les a pas assez vu à la télévision) des grosses têtes caricaturales de célébrités françaises, de Marie Curie à Marcel Proust, en passant par le petit Chaperon rouge, le Mime Marceau et Arsène Lupin — le tout évoquant le dessin satirique, la caricature, autre tradition française.

Citation

Ni blasphème ni moquerie. D’ailleurs, si l’on veut bien cesser d’être de mauvaise foi, on doit admettre que nous ne nous moquons de personne, sinon de nous-mêmes. Et encore : il peut y avoir de l’humour, de l’auto-dérision, mais certainement pas le désir de moquer, qui est totalement étranger au répertoire émotionnel de Thomas Jolly. Il a dit ce qu’il y avait à dire sur cette Cène subliminale, et je renvoie à ses déclarations. Rien, dans le scénario initial, ne l’évoque explicitement. Nos références étaient plutôt de jouer des connotations dionysiennes — et du fil qui se tisse entre la Grèce olympique et Paris car Dionysos, ou plutôt Denis, est le père de Sequana. Ainsi, cette grande table est un festin des Dieux, qui devient le podium d’un défilé de mode déjanté. 

C’est alors que, dans l’énergie chorégraphique de cette grande scène trans (où il y a à la fois de la transe et de la transformation), les images crépitent et s’affolent, du fait du talent et de l’imaginaire propre des chorégraphes. Et c’est à la faveur d’un arrêt sur image, presque d’une image volée à leur grand flux, que sous un certain angle (car je rappelle que la scène est bi-frontale et mobilise des dizaines de danseuses et de danseurs), à un moment du set de Barbara Butch, on peut voir une interprétation de la Cène peinte par Léonard de Vinci à Santa Maria delle Grazie à Milan à la fin du XVe siècle — il se trouve que je connais un peu le sujet pour y avoir travaillé en historien.

Si c’était le cas, ce ne serait qu’une des très nombreuses réinterprétations pop de ce motif, dont la culture populaire s’est emparée depuis longtemps. Cette polémique peut évidemment intéresser l’historien des images : si je dis qu’on doit les laisser aller là où elles veulent, je ne peux prétendre que les gens ont tort de voir ce qu’ils ont vu puisque par définition le sens d’une image déborde toujours l’intention de celui qui l’a voulu ou imaginé
 

 

Citation

Nous avons donc voulu parler d’universel, mais sans être dans l’universel surplombant. Il ne s’agissait absolument pas d’imposer cette vision du monde, celle du Paris vécu par les Parisiennes et les Parisiens, mais plutôt effectivement ce que Souleymane Bachir-Diagne, à la suite de Maurice Merleau-Ponty, appelle un universalisme latéral, horizontal, qui prend en compte la diversité des points de vue. C’est là que l’on rejoint la question théâtrale : du spectacle vivant qui ménage une diversité de points de vue.

Citation

Parmi les choses que vous n’avez pas vues (je parle là d’états antérieurs du scénario, qui ont « chuté » il y a plus d’un an), il y avait un tableau qui s’appelait « Modernité », autour du musée d’Orsay, qui donnait à voir l’invention de la photographie et du cinéma — et dont il ne reste qu’une séquence filmée où l’on voit Méliès et le Petit Prince, entre autres. Nous avions imaginé une séquence très belle, mais beaucoup trop chère et trop compliquée techniquement, où des montgolfières partaient dans le ciel, tandis que l’on projetait sur celles-ci différents films, des frères Lumière à la Nouvelle vague, et au-delà jusqu’au cinéma contemporain. Elle se terminait justement par des images des réseaux sociaux, des révolutions en cours, c’est-à-dire de l’usage citoyen du smartphone. Mais d’une certaine manière, si on n’a pas pu le faire en grand, je suis vraiment très heureux que quelque chose qui aille dans cette direction ait été fait par les athlètes algériens, malgré tout, et de manière imprévue.

Citation

Nous savions que les Jeux Olympiques seraient aussi un grand moment d’expérimentation des techniques nouvelles de la société de surveillance, avec les fameux QR Codes, les drones et les contrôles biométriques. Si vous étiez à Paris ces dernières semaines — moi j’y ai quand même pas mal circulé — vous avez sans doute remarqué qu’il y avait bien tout cela, mais que ces tendances sécuritaires pénibles et inquiétantes étaient tempérées par une certaine approximation des forces de l’ordre qui, par mauvaise volonté, maladresse ou au contraire par désir de ne pas gâcher la fête, n’imposaient pas vraiment des contrôles drastiques. Disons que nous ne sommes pas encore tout à fait — et c’est heureux — dans un roman d’Alain Damasio.

Je ne sous-estime pas les dangers de ces atteintes à la liberté de circuler, et nous devons bien être conscients du fait que s’il faut défendre l’État de droit contre la société de surveillance, cet État de droit est aussi un état de vigilance — il ne se soutient pas de lui-même  ; il ne tient que si les citoyens tiennent à lui.

Citation

Il aurait pu être encore plus noir, pour décrire ce monde en crise, au bord de chavirer. On ne l’a pas bien vu lors de la cérémonie, là encore pour des raisons techniques — le plafond nuageux était trop bas pour que les plans vus du ciel soient assez clairs. Mais c’est une scène où les jeunes gens dansent sur une barge faite d’écrans où se mixent différentes images, plus ou moins abstraites, mais évoquant les dérèglements climatiques et les dangers environnementaux, tout ce qui blesse la planète. Le sol devient instable, se craquèle, les danseurs et danseuses tombent les uns après les autres, séparés. Et c’est sur un fragment détaché de ce volcan au bord duquel l’on dansait que Juliette Armanet, accompagnée de Sofiane Pamart et son piano en feu, interprète Imagine.

Citation

Un point qui n’a pas été assez souligné, mais qui me paraît intéressant : tous les scénographes de Thomas Jolly sur ce spectacle comme sur Starmania ou son Roméo et Juliette sont des scénographes d’opéra. Les organisateurs de Paris 2024 ont donc choisi quelqu’un qui a mis en scène Shakespeare et Sénèque et qui sait s’adresser aussi à des millions de personnes Thomas Jolly veut faire un théâtre populaire et ambitieux. Nous sommes nombreuses et nombreux à défendre la possibilité d’une histoire savante et populaire. C’est là que nous nous retrouvons.

 

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Je préférais quand Patrick Boucheron lançait ses meilleures répliques pour vilipender Dominique Barthélémy à propos d'obscurs débats historiographiques sur l'école des Annales. Ses articles mondains sur la cérémonie d'ouverture sont plats et sans éclats.

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Le 01/08/2024 à 19:23, Tremendo a dit :

e mauvais gout aussi

 

Honnêtement, QFT. Fondamentalement, je me plais à croire que je peux pardonner toutes les incartades politiques & idéologiques, mais le mauvais goût de cette cérémonie devant la terre entière, c'est bien plus difficilement pardonnable. L'enfant hideux du kitsch TF1 et du mauvais théâtre grand-bourgeois, c'est trop pour moi.

 

Et puis au fond, c'est bien plus amusant de faire sortir les gauchistes de leurs gonds en expliquant que c'est de mauvais goût comme tout le théâtre et l'opéra contemporain depuis 50 ans qu'en tendant des perches idéologiques.

  • Yea 3
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Extrait d'un mail reçu à l'instant.  Surprenant...

 

Quote

notre e-mail n’aurait pas dû faire mention des termes « JO », « Jeux Olympiques de Paris 2024 » ni du spectacle « olympique ». Ces termes, non libres de droit, constituent des Propriétés Olympiques et des marques protégées notamment par les dispositions des Codes du Sport et de la Propriété Intellectuelle. Leur usage est strictement encadré, et exclusivement réservé aux Comité International Olympique et Paralympique, Comité National Olympique et Sportif Français, Comité d’Organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques de PARIS 2024, ainsi qu’aux tiers autorisés par ces derniers

 

 

  • Yea 1
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33 minutes ago, fm06 said:

Extrait d'un mail reçu à l'instant.  Surprenant...

 

 

 

Il y a des milliards en jeu : toute entreprise voulant parler des JO doit être sponsor officiel. Ne pas le faire c'est s'exposer à un cease & desist de la part du CIO. Je doute même de la validité du trademark, car il est assez facile de prouver la genericité du terme, sans même parler de... L'anteriorité.

  • Nay 1
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il y a 42 minutes, Marlenus a dit :

Sinon, le gros fail de ces JO, un fail à 1.5Mds c'est quand même la qualité de l'eau de la seine.

Emmanuel Macron a pourtant certifié qu'elle était propre, je ne comprends pas.

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