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    • traduction
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Messages recommandés

On rend 37 points de PIB à la société.

Actuellement : 57% d'État / PIB.

Objectif pour un État libéral, avec un peu de soc-dem par compromis politique pour réunir les électorats des familles politiques adjacentes : 20% d'État / PIB.

10% du PIB en dépenses publiques régaliennes (2% par mission : défense, intérieur, justice, diplomatie, admin divers), 10% d'État-Providence (à répartir en fonction de ce qui est nécessaire pour avoir une coalition électorale stable).

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En tout cas, sur le périmètre d'action de l'Etat. C'est là que ce sera le plus dur sur liborg, parce qu'on va clairement pas se positionner anarcap comme des porcos pour se rendre crédibles :D

 

Je me demande justement si on n'a pas intérêt, au contraire, à dire clairement que l'état est notre ennemi.

 

à mesure que l'état providence sombre gentiment, une partie de la population improductive est (re)contrainte d'essayer de devenir productive. Et là, elle comprend que l'état actuel est l'ennemi de l'économie, du travail efficace, de la productivité.

 

Pour la partie de la population qui fonde ses espoirs sur la redistribution à son profit, tenter de la séduire est ama complètement inefficace. Ces gens là sont super outillés pour détecter quoi que ce soit qui pourrait les autonomiser. On ne les dupera jamais.

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On rend 37 points de PIB à la société.

Actuellement : 57% d'État / PIB.

Objectif pour un État libéral, avec un peu de soc-dem par compromis politique pour réunir les électorats des familles politiques adjacentes : 20% d'État / PIB.

10% du PIB en dépenses publiques régaliennes (2% par mission : défense, intérieur, justice, diplomatie, admin divers), 10% d'État-Providence (à répartir en fonction de ce qui est nécessaire pour avoir une coalition électorale stable).

20% ce n'est pas un objectif court terme hein, 40% comme en Suisse ce serait un objectif d'étape déjà formidable.
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Ah oui c'est clair. 20% c'est du looong terme. 40% c'est cool.

Et sinon l'ordre des réformes c'est :

1- opt out des jeunes générations pour la sécu et les retraites

2- libéralisation (on laisse entrer la société càd le privé, les assos, coops et autres) de ce qui touche le plus les électeurs : immobilier, instruction, transports d'abord, le reste ensuite dans l'ordre qui permet de créer le plus d'emplois

3- une fois que l'économie redécolle grâce aux libéralisations, que les entreprises veulent embaucher, hop réforme du droit du travail et de la fonction publique

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J'aurais commencé par le droit du travail ce qui inclut la fonction publique. Parce que le chomage est un fléau, parce que ca coute cher aux finances publiques, parce que réformer la fonction publique c'est aussi y mettre les gens qui vont bien pour faire avancer les autres réformes (spoils system).

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J'aurais commencé par le droit du travail ce qui inclut la fonction publique. Parce que le chomage est un fléau, parce que ca coute cher aux finances publiques, parce que réformer la fonction publique c'est aussi y mettre les gens qui vont bien pour faire avancer les autres réformes (spoils system).

La réforme du droit du travail a typiquement un rendement profilé en J. Dans un premier temps, avant d'en voir les bénéfices, on en verra les inconvénients : coûts de refaire un tas de contrats, et surtout afflux rapide de dizaines de milliers de chômeurs supplémentaires. C'est à terme qu'on en voit les bénéfices, et c'est pour atténuer la première phase que G7H+ (que son règne se prolonge aussi longtemps qu'il vivra) ne pose pas cette réforme en premier.

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10% du PIB en dépenses publiques régaliennes (2% par mission : défense, intérieur, justice, diplomatie, admin divers)

Déjà ça c'est un doublement du budget du régalien.

Aujourd'hui c'est autour de 5% du PIB : http://www.institutmontaigne.org/res/files/publications/efficacite_depense_publique_V2.pdf

Sachant qu'on peut reclasser une bonne partie du budget de l'armée en Etat-Providence.

La réforme du droit du travail libérale est simple : suppression du code du travail et rattachement au droit des contrats. Les contrats conclus avant cette réforme seront toujours sous le régime de l'ancien droit du travail, jusqu'à leur rupture, ce qui permet d'atténuer largement le choc et de lisser la crosse de hockey. Par contre ça doit être un des premiers éléments mis en oeuvre si les bénéfices se font attendre, d'autant plus si c'est lissé.

Mais c'est pas de tout ça, quand est-que qu'on pend les anciens politiciens et les journalistes à la lanterne dans ce programme ?

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La réforme du droit du travail libérale est simple : suppression du code du travail et rattachement au droit des contrats. Les contrats conclus avant cette réforme seront toujours sous le régime de l'ancien droit du travail, jusqu'à leur rupture, ce qui permet d'atténuer largement le choc et de lisser la crosse de hockey. Par contre ça doit être un des premiers éléments mis en oeuvre si les bénéfices se font attendre, d'autant plus si c'est lissé.

Encore une fois, ce n'est peut être pas très malin de faire grimper l'offre avant la demande, sur le marché du travail.

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Encore une fois, ce n'est peut être pas très malin de faire grimper l'offre avant la demande, sur le marché du travail.

Les salariés rechigneront à lâcher leur contrat secure hérité de l'ancien code, l'arrivée de l'offre sera très progressive avec ce que je propose : l'ajustement se fera sur des années.
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Les salariés rechigneront à lâcher leur contrat secure hérité de l'ancien code, l'arrivée de l'offre sera très progressive avec ce que je propose : l'ajustement se fera sur des années.

Les employeurs pourront dire à leirs employés que c'est un changement de contrat, ou bien la porte. Et comme le chômage n'aura pas commencé à baisser, et qu'il n'y aura pas encore de dynamique positive, le changement se fera de manière plus brusque, et surtout plus pénible que tu ne le penses.

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Bon, qui souhaite travailler sur un programme libéral pour la présidentielle ?Je lis des échanges intéressant qd au contenu. Let's go !

N’hésite pas à créer un topic pour cela ! Go ! ;)

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 Annulation pure et simple de la dette publique. 

 

 Fin du Game. 

 

Ca s'appelle de la spoliation, je croyais que le libéralisme était contre l'expropriation ? :)

Ce n'est pas parce qu'on est contre l'endettement de l'état, et qu'on conteste ses actions passées qu'on peut se permettre de spolier 2 000 milliards au nom du bien commun. C'est pas l'URSS ici.

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Les baby-boomers ont spolié les générations qui les ont suivies.

By the way, l'annulation de la dette publique est inscrite dans le programme du parti libertarien belge.

 

Nan mais je comprends bien le problème, l'état n'a aucune légitimité à engager des dettes pour sa population. Le problème est d'autant plus important pour les états qui ont contracté de la dette lors de dictatures (cf l'éternel problème de la "dette sale" grecque datant de la dictature des colonels).

Mais il ne faut pas oublier que de l'autre côté les propriétaires de la dette ne sont pas responsables de cela. SI tu annules la dette, tu spolies beaucoup de monde, à hauteur de 2000 milliards. Y compris des gros fonds de mutuelles etc qui sont généralement à 95% de gestion obligataire, principalement de dettes souveraines.

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Ca s'appelle de la spoliation, je croyais que le libéralisme était contre l'expropriation ? :)

Ce n'est pas parce qu'on est contre l'endettement de l'état, et qu'on conteste ses actions passées qu'on peut se permettre de spolier 2 000 milliards au nom du bien commun. C'est pas l'URSS ici.

Pour payer cette dette, tu vas devoir spolier les contribuables productifs.

Une partie de cette dette est détenue par des fonctionnaire, des crony et autres ennemi de la cause. Dans tous les cas 2000 milliaires disparaissent des poches de certains, mais on peut choisir si c'est des poches des productifs ou de celles des rentiers de l'esclavage.

Prêter à un esclavagiste et ne pas être remboursé, ce n'est pas être spolié. Je propose d'être magnanime et de ne pas pendre en place publique les créanciers, sauf s'ils osent se plaindre du non-remboursement.

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Pour payer cette dette, tu vas devoir spolier les contribuables productifs.

Une partie de cette dette est détenue par des fonctionnaire, des crony et autres ennemi de la cause. Dans tous les cas 2000 milliaires disparaissent des poches de certains, mais on peut choisir si c'est des poches des productifs ou de celles des rentiers de l'esclavage.

Prêter à un esclavagiste et ne pas être remboursé, ce n'est pas être spolié. Je propose d'être magnanime et de ne pas pendre en place publique les créanciers, sauf s'ils osent se plaindre du non-remboursement.

 

Une grosse partie est détenue par des mutuelles, des Groupama asset management et compagnie. Tu flinguerais pas mal de fonds qui font dans la gestion obligataires, et l'épargne/assurance de millions de français.

Spolier beaucoup quelques riches sous prétexte qu'on aime pas trop comment ils se sont enrichis (sachant que comme on l'a souvent dit, le problème, c'est ceux qui font le système, pas ceux qui en profitent.... On peut pas blamer Elon Musk de profiter des subventions qui existent, c'est ceux qui lui en donnent qui sont en tort) pour donner au peuple, ça sonne vachement marxiste.

 

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Nan mais je comprends bien le problème, l'état n'a aucune légitimité à engager des dettes pour sa population. Le problème est d'autant plus important pour les états qui ont contracté de la dette lors de dictatures (cf l'éternel problème de la "dette sale" grecque datant de la dictature des colonels).

Mais il ne faut pas oublier que de l'autre côté les propriétaires de la dette ne sont pas responsables de cela. SI tu annules la dette, tu spolies beaucoup de monde, à hauteur de 2000 milliards. Y compris des gros fonds de mutuelles etc qui sont généralement à 95% de gestion obligataire, principalement de dettes souveraines.

Et si tu rembourses cette dette, tu spolies plus de monde encore, et uniquement les productifs sur qui repose tout le système. A terme, les fonds et les banques tomberont quand même, puisqu'ils dépendent entièrement des productifs.

 

Une grosse partie est détenue par des mutuelles, des Groupama asset management et compagnie. Tu flinguerais pas mal de fonds qui font dans la gestion obligataires, et l'épargne/assurance de millions de français.

Spolier beaucoup quelques riches sous prétexte qu'on aime pas trop comment ils se sont enrichis (sachant que comme on l'a souvent dit, le problème, c'est ceux qui font le système, pas ceux qui en profitent.... On peut pas blamer Elon Musk de profiter des subventions qui existent, c'est ceux qui lui en donnent qui sont en tort) pour donner au peuple, ça sonne vachement marxiste.

Spolier les productifs au profit des improductifs, c'est la définition même du communisme. Les riches ne pourront pas manger leurs billets quand les productifs auront tous fuit le pays ou cesser de travaillé. Dans tous les cas, les riches non-productif crèveront. Le libéralisme, ce n'est pas la défense inconditionnelle des riches, c'est la défense de la justice et le refus de sacrifier le futur au profit du passé.

Et il est moins difficile de gérer la faillite de quelques gros acteurs que de faire tenir un système qui ne récompense pas le travail.

  • Yea 1
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Prêter à un esclavagiste et ne pas être remboursé, ce n'est pas être spolié.

J'aimerais connaitre ton raisonnement.

Tu peux faire défaut sur la dette détenue par la BCE mais c'est tout. Sinon tu niques les fonds propres de toutes les institutions qui sont obligées de détenir de l'actif sans risque.

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