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Sdf,précarité: La Vision Libérale


Invité Blanchet2467

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Invité Blanchet2467

Bonjour à tous,

Pourriez vous me faire part des théories libérales qui expliquent la précarité, la place des SDF dans notre société, comment expliquent- elles leur situation?

Si vous ne trouvez pas le temps de travailler sur ce sujet vous pourriez me faire parvenir des références de livre, des sites,… qui me permettraient de trouver ces réponses par moi-meme.

Je vous remercie d'avance.

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Bonjour à tous,

 

    Pourriez vous me faire part des théories libérales qui expliquent la précarité, la place des SDF dans notre société, comment expliquent- elles leur situation?

    Si vous ne trouvez pas le temps de travailler sur ce sujet vous pourriez me faire parvenir des références de livre, des sites,… qui me permettraient de trouver ces réponses par moi-meme.

                      Je vous remercie d'avance.

Je suis toujours perplexe face à ce type de questions. Il y a toujours et partout (aux USA, en Corée du nord, chez les peuples les plus primitifs) des SDF, des truands, etc. et le régime politique et économique n'y change pas grand chose. Implicitement, il y a l'idée que le libéralisme aurait une responsabilité particulière et donc un besoin particulier d'explications. Je ne croient pas que ce soit le cas.

Je ne crois même pas aux explications libérales des liens par ailleurs très justes donnés par Sylvain.

Je crois qu'on devient SDF parce qu'on a un truc qui craque dans la tête (le moral, pas la raison : un SDF n'est pas fou), parce qu'on ne supporte plus les autres (peut-être parce qu'on ne se supporte plus soi-même). Souvent les SDF ne supportent pas d'être assistés, ils préfèrent faire les poubelles et fuir les "structures d'accueil", et même, parfois, ils préfèrent mourrir de froid comme pas plus tard qu'hier.

La précarité est un faux problème, je crois. C'est le principe même de la société que de fabriquer des "inclus" et donc, pas défaut, des exclus. Et dans une société ouverte il y a toujours un risque de "relégation" : on est "précaire". C'est normal et c'est, à la limite, plutôt bon signe : les systèmes sociaux fermés sont plutôt pire que les système ouverts, car la seule précarité qu'ils connaissent est une précarité radicale : celle de la vie. En plus, la précarité est souvent paradoxale : quoi de plus précaire qu'un homme politique professionel, suspendu à une éventuelle réélection, et qui ne sait rien faire de productif ; ou un PDG, révocable à tout moment ? et pourtant, quoi de moins précaire ?

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quoi de plus précaire qu'un homme politique professionel, suspendu à une éventuelle réélection, et qui ne sait rien faire de productif ;

Fausse précarité, la plupart (plus de 50%) sont des fonctionnaires et regagneront leur administration, avec l'avancement standard, qui plus est.

Il y a un dossier complet dans le Cri du contribuable n°2.

On y apprend que Fabius et Juppé ont fait valoir leurs droits à la retraite. Ils peuvent ainsi consacrer plus de temps aux moyens d'extorquer plus d'impôts aux Cons tribuables (tribuables = redevables d'un tribut).

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