Aller au contenu

Les Aventures des Youtubeurs merde in France cacaboum.


Adrian

Messages recommandés

Waoh tu ne lis plus de travers. Tu lis d'une autre dimension.

Je n'ai jamais dit que le contenu de YT est par essence naze (bien que j'ai sous-entendu qu'il peut facilement y glisser, mais ça c'est la même chose de n'importe quel canal de communications entre humains, suffit de lire la dernière page de ce thread pour s'en rendre compte).

Sinon, par extension, je ne dirais pas que YT est un outil super.

 

Bon allez j'arrête là.

Lien vers le commentaire

Waoh tu ne lis plus de travers. Tu lis d'une autre dimension.

Je n'ai jamais dit que le contenu de YT est par essence naze (bien que j'ai sous-entendu qu'il peut facilement y glisser, mais ça c'est la même chose de n'importe quel canal de communications entre humains, suffit de lire la dernière page de ce thread pour s'en rendre compte).

Sinon, par extension, je ne dirais pas que YT est un outil super.

 

Bon allez j'arrête là.

 

 Je viens de relire. 

 

 Effectivement, t'as raison. My bad. Tu t'es greffé sur le débat avec Poney et dans le feu de l'action, j'ai tiré dans le tas.  :feuroue:

 

 Par contre, pour Poney. Je retire rien. Et pourtant, j'ai relu. 

Lien vers le commentaire
  • 1 month later...

Au secours...  :online2long:

 

 

Tl;dr La somme TRAVAIL+EXPERTISE+IMPACT des YouTubers culturels mérite un investissement de l'État, notamment dans la perspective de la lutte contre les pseudo-sciences ou l'extrêmisme idéologique.

 

Quelle suffisance : « On a un impact ÉNOOORME, plus que celui de n'importe quel enseignant pendant toute sa carrière... » mais voilà, personne n'est prêt à payer pour regarder nos vidéos qui ne font le plus souvent qu'effleurer des sujets déjà largement vulgarisés.

Lien vers le commentaire

Quelle suffisance : « On a un impact ÉNOOORME, plus que celui de n'importe quel enseignant pendant toute sa carrière... » mais voilà, personne n'est prêt à payer pour regarder nos vidéos qui ne font le plus souvent qu'effleurer des sujets déjà largement vulgarisés.

http://h16free.com/2016/12/05/56602-des-youtubers-reclament-goulument-une-jolie-taxe

  • Yea 1
Lien vers le commentaire
  • 4 months later...

Hier,

Le 04/12/2016 à 10:49, FabriceM a dit :

Les youtubeurs sont des fournisseurs comme les autres. Et ce qu'ils demandent, c'est que l'Etat accroissent leurs marges en tordant le bras du client.

 

Donc, n'importe quel producteur qui se prétend sous-payé, pourrait légitiment en demander autant. Proposons donc une taxe sur la grande distribution pour la subvention des producteurs de petit chèvre frais. Ou, une taxe sur les transports en commun pour la subvention des fournisseurs de clignotants.

 

C'est juste tellement débile. Je suis vraiment dégouté car je suis abonné à presque la moitié des chaines citées ...

 

Le pire c'est c'est petite sous merde de Dany Caligula qui vient dans les commentaires pour raconter, en substance, qu'on s'en fout si le pognon est distribué n'importe comment tant qu'il y a du débit. De toute façon, youtube mérite de payer.

 

S'ils le voulaient, ils pourraient très bien créer une plate-forme à accès payant et basta. Mais ils savent très bien, au final, que leur public n'est pas près à payer pour leurs contenus. Donc, ils veulent hacker le système. Profiter des revenus de la pub tout en laissant aux autres le soin de générer des revenus de la pub. Le beurre, l'argent du beurre, une vieille histoire.

 

 

Aujourd'hui, (6 mois plus tard)

 

Lien vers le commentaire

Il existe plein de plates formes payantes pour du contenu youtube : Screenjunkies, channel awesome etc. La chaine youtube sert de produit d'appel pour mener les gens vers le service payant. C'est sur que ça ne marche pas pour tout le monde.

Lien vers le commentaire

Faut pas se leurrer.

Le track record des idées "progressistes" c'est, pour la plupart du temps, dans la tête d'un petit groupe de pointe, une élite auto proclamée. Leurs idées percolent ensuite vers un groupe plus large suffisamment bruyant pour toucher médias et sphère politique. L'idée parait ensuite assez stupide à suffisamment de personne pour ne rester qu'une idée, mais petit à petit elle devient mainstream, normale et quelques années après on ne comprends pas pourquoi personne n'a pris en main (personne en politique) cette idée pour la réaliser.
J'en déduis que d'ici quelques années, ces gens seront rémunérés par du fric public.
A peu près peu de doute là dessus.

Et si ça se confirme, on peut aussi penser que d'une manière ou d'une autre, Google récupèrera de l'argent et là ça va être rigolo.

Lien vers le commentaire
  • 2 months later...

Bruxelles aurait dit oui aux taxes YouTube et Netflix

 

Citation

Les plates-formes vidéos aussi bien payantes, de type Netflix, que gratuites, de type YouTube, devraient bientôt être obligées de participer au financement de la création en France. Bruxelles aurait en effet dit oui, cet été, à deux taxes conçues et votées par les pouvoirs publics hexagonaux, selon des sources concordantes. « Ces deux modifications ont fait l'objet d'une analyse détaillée des services de la Commission européenne », dit-on à Bruxelles.

 

La balle est désormais dans le camp du gouvernement. « Les décrets sont sur son bureau, à lui de décider quand il veut communiquer sur le sujet sachant qu'il y a d'autres taxes concernant les géants du Net discutées dans les instances européennes  », explique un cadre de l'industrie de la télévision.

Les députés s'y étaient repris à deux fois l'an dernier pour voter une taxe de 2 % sur les revenus publicitaires des hébergeurs de vidéos en ligne tels que YouTube ou Dailymotion (10 % pour les contenus à caractère pornographique) et.

 

La taxe concernant Netflix et d'autres services payants étrangers était une extension de la taxe vidéo et avait, elle, été adoptée il y a trois ans.

 

Le secteur de l'audiovisuel français et en particulier le Centre national du cinéma (CNC), très actif sur ces sujets, estime que l'adoption de ces taxes est symboliquement cruciale. Depuis la taxe sur les billets de cinéma de 1948, le CNC a su orienter l'argent de l'écosystème vers la production française. Les télés payantes puis gratuites ont été mises à contribution dans les années 1980, puis la vidéo dans les années 1990 et enfin les opérateurs télécoms en 2007. L'Internet étant le moyen de consommation audiovisuel s'imposant le plus, il est important pour le CNC qu'il participe désormais.

 

A cet égard, Frédérique Bredin, présidente du CNC,  s'était félicitée  fin 2016 d'avoir « réussi à fédérer les équivalents des CNC ailleurs dans l'Union pour imposer l'idée que la logique du marché n'est pas la seule : en trois ans, la Commission européenne a reconnu l'intérêt de l'exception culturelle et celle de la taxation des services dans le pays où ils sont distribués, et non pas là où ils ont leur siège ». Une allusion à Netflix.

 

Cela dit, ces taxes ne devraient pas permettre au secteur de rouler sur l'or. L'an dernier, le secrétaire d'Etat au Budget, Christian Eckert, avait estimé que la taxe YouTube rapporterait 1 million d'euros seulement. Même si certains estiment que ces taxes vont « pousser les YouTube, Facebook et Snapchat à révéler leur chiffre d'affaires en France », d'autres en sont beaucoup moins sûrs. « Au final cette taxe YouTube risque de se transformer en taxe DailyMotion et autres acteurs français, qui eux seront transparents sur leur activité dans l'Hexagone », dit le cadre de l'industrie de la télé.

https://www.lesechos.fr/tech-medias/medias/030552474606-bruxelles-a-dit-oui-aux-taxes-youtube-et-netflix-2113639.php#xtor=RSS-38

 

  • Sad 4
Lien vers le commentaire
  • 2 weeks later...

La France imposera toutes les plates-formes numériques de vidéo en 2018

 

Citation

Alors que Bruno Le Maire tente de faire chanter le chœur européen d’une seule voix sur la taxation des bénéfices des géants du Net, la France joue parallèlement une autre partition en solo. Après un examen de la Commission européenne, les modalités d’application de la « taxe YouTube » (filiale de Google) ont été publiées au Journal officiel, jeudi 21 septembre.

 

Le gouvernement étend par décret cette taxe vidéo jusqu’alors réservée aux sites français payants de vidéo à la demande, comme Canal Play ou OCS, à toutes les plates-formes numériques de vidéo – françaises et étrangères, payantes ou gratuites –, plaçant ainsi sous une même toise ces filiales de Canal+ et d’Orange, ainsi que Universciné, Dailymotion, Netflix, YouTube, Apple, iTunes, Facebook, Amazon

 

A partir du 1er janvier 2018, une taxe de 2 % sera appliquée sur le chiffre d’affaires réalisé en France par tous les opérateurs mettant à disposition des vidéos gratuites ou payantes sur Internet. Cette taxe, qui était appliquée depuis 1993 aux acteurs français de la vidéo, avait été étendue une première fois en 2004 aux sites français payants de vidéo à la demande. Cette réforme, souhaitée par bon nombre de sociétés d’auteurs et ardemment défendue par le Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC), vise une équité fiscale entre tous les acteurs. Elle permet également d’adapter la législation fiscale aux nouvelles pratiques de consommation cinématographique et musicale.

 

« C’est une grande victoire pour l’exception culturelle. Le secteur de la culture est précurseur en matière de fiscalité numérique. Nous sommes, avec l’Allemagne, les premiers à intégrer les grandes plates-formes étrangères dans notre écosystème pour financer la création », s’est félicitée Frédérique Bredin, présidente du CNC.

Le fruit de cette taxe alimentera toujours le Centre national du cinéma, qui financera ensuite la création. Un point qui avait provoqué l’ire des industriels de la musique, lesquels souhaitent profiter d’une part de cette nouvelle manne générée par les vidéoclips. Les producteurs phonographiques devraient toutefois en récupérer une partie plus importante qu’aujourd’hui.

 

Le CNC étudie la création d’un nouveau guichet – qui se substituerait au schéma existant – pour l’attribution d’une aide sélective aux maisons de disques pour la production des clips. Cette réforme fait son chemin de façon consensuelle et pourrait être mise en place en janvier 2018.

 

La « taxe YouTube » a été entérinée juste après la nomination du gouvernement de Bernard Cazeneuve, alors que François Hollande était à l’Elysée. Le Sénat avait adopté le principe de cette taxe le 17 décembre 2016, en dépit d’un avis défavorable du gouvernement. Précédemment, cette réforme avait été une première fois rejetée par l’Assemblée nationale, le 21 octobre 2016.

 

Les parlementaires avaient été sensibles aux arguments de Google, maison mère de YouTube. Le moteur de recherche assurait que « la superposition d’initiatives fiscales isolait la France et nuisait à son attractivité ». Parallèlement, Bercy se montrait réticent à créer un nouvel impôt.

 

Un nouvel amendement légèrement modifié, soutenu par 23 députés socialistes, dont Karine Berger et Valérie Rabault, rapporteure générale du budget, avait été présenté et adopté le 6 décembre par les députés lors de l’examen du projet de loi de finances rectificative.

 

Au cours des débats parlementaires, aucune indication précise n’avait été donnée sur ce qu’allait rapporter cette « taxe YouTube ». Hostile à ce projet, Christian Eckert, alors secrétaire d’Etat au budget, évoquait le chiffre d’un million d’euros.

 

D’autres sources pariaient sur cinq fois plus. « Au début, c’était pareil pour la taxe sur les vidéos. Elle ne rapportait pas grand-chose, mais avec les années et les changements de pratiques culturelles, cela deviendra important », assure-t-on au CNC.

 

L’une des victoires consiste déjà à obliger les GAFA à davantage de transparence et à publier le chiffre d’affaires réalisé dans l’Hexagone, puisque c’est sur cette base que s’appliquera la taxe. Au CNC, on précise : « Aujourd’hui, c’est très opaque. Or ces données sont fondamentales pour les ayants droit et donc les créateurs. »

 

Lien vers le commentaire

Ah ! une nouvelle taxe, ca manquait. Sur des services gratuits en plus, faut pas deconner. C'est ca la révolution Macron.

 

Franchement, il y a encore des gens qui voient une difference avec Hollande ?

Lien vers le commentaire
il y a 40 minutes, Hayek's plosive a dit :

 

C'est une taxe entérinée par le gouvernement Cazeneuve, dit l'article plus haut. 

 

C'est un décret pris par le gouvernement Macron et son ministre de droite.

Lien vers le commentaire
Citation

Nous avons appris dans l’entourage du CNC que celui-ci organisait justement une conférence pour officialiser « la naissance du nouveau fonds de soutien à la création et à la diffusion sur les plateformes numériques » telles YouTube et Dailymotion. Si le montant et les conditions d'octroi sont inconnus, le rendez-vous a été fixé début octobre. Une question se pose déjà : est-ce que les sommes affectées seront au même niveau que les sommes collectées au titre de la taxe sur les plateformes ? 

 

Des acteurs en ligne ont d'ailleurs été conviés à cette conférence, mais après le communiqué de l’ASIC, l’association des sites internet communautaire, il n’est pas certain qu'ils répondent favorablement à l’invitation. L’association où se retrouvent les principales plateformes a sollicité que 30 % du produit de cette taxe soient fléchés au bénéfice des créateurs en ligne. Elle demande que la même portion du trésor de guerre du CNC, soit 700 millions d’euros selon BFM Business, subisse le même sort. 

 

On taxe et l'on réfléchit ensuite à comment affecter la thune

Lien vers le commentaire

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
×
×
  • Créer...