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Libéralisation du marché du travail et pauvreté


Sanson

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Lorsque je regarde les chiffres Eurostat, on voit qu'effectivement le taux de pauvreté est plus important au RU et en Allemagne (et en Suède, pour prendre un exemple bien connu de marché du travail libéralisé) qu'en France : http://ec.europa.eu/eurostat/fr/web/gdp-and-beyond/quality-of-life/at-risk-of-poverty-rate

 

C'est quand même très compliqué de débattre de cela, pour moi en tout cas. Les chiffres quand ils sont justes, sont là pour pousser l'opinion dans un sens où dans un autre.

Définir des cases où l'on classe les gens comme pauvre ou riche n'a que peu de sens pour moi. D'ailleurs dans ton lien, on ne parle pas de pauvreté mais de risque de pauvreté... Autrement dit de précarité.

Dans "De de la démocratie en Amérique", Tocqueville développe trois exemples de gouvernements, l'un dirigé par les riches, l'autre par les classes moyennes et enfin un dernier par les pauvres. Si on considère qu'il y a aujourd'hui plus d'électeurs pauvres que de riches en France, on peut lire avec intérêt le détail de son gouvernement guidé par les intérêts des plus pauvres.

 

C'est un gouvernement obsédé par la réduction des inégalités, où ceux qui n'ont rien pensent que les riches peuvent tout leur payer (Je caricature à peine). Et comme nous sommes sur un continent qui n'est pas pauvre, ces inégalités se transforment en caprices électoraux (plus de niches fiscales pour m'acheter le dernier gadget débile et pouvoir partir en vacances avec ma grosse et mes gosses) et mènent l'Etat à dépenser plus qu'il ne reçoit.

 

En cherchant la sécurité, les citoyens se privent petit à petit des libertés qui leur permettraient selon la vision libérale de mieux absorber une période de précarité. En 2007, les USA ont été fortement touchés par la crise et le secteur de l'emploi en a payé les frais. Mais 10 ans après, cela est du passé, car le pays à davantage de flexibilités sociales et économiques que la France (Ils bloquent pas le pays pour un pet de travers, mais tu peux trainer ton voisin au tribunal si c'est justifier, ça s'appelle avoir des c******). Notre chute était moins forte avec tout les aménagements misent en place par les gouvernements successives et les caprices des syndicats mais le résultat c'est qu'on a du mal à voir le bout du tunnel.

Notre modèle clientéliste n'arrête pas de nous justifier comme il fait bon vivre en pays socialiste en cassant du sucre sur les voisins qui s'en sortent un peu mieux. La vérité douloureuse c'est que l'on est sur un marché international où des talents s'exportent petit à petit, où l'on recrute des médecins des pays de l'Est car de moins en moins de médecins français veulent bosser pour une paie soviétique délivrée pourtant par l'excellente sécurité sociale. Amen.

 

Toutes ces institutions qui essayent de noyer le poisson minimisent totalement les évolutions à venir même si ils sont encore de la chance que certains soient si bêtes, pauvres français. Il existe par exemple de plus en plus de solutions pour que les travailleurs indépendants (L'avenir du marché de travail, l'une des solutions au chômage de masse) bossent en France dans de bonnes conditions avec des mutuelles privées, des services pensées pour leur mode de vie, etc etc. Tant que le travailleur salarié a plus davantage que les indépendants, tout va bien, mais le jour où il va prendre conscience que l'indépendant en plus de sa liberté de travailler à une meilleure couverture sociale que lui, que va t-il se passer ? Le château de cartes va s'écrouler avec des pseudos responsables politiques qui se rejetteront la faute. 

 

J'aimerai juste terminer sur les bêtes français, actualité oblige. Les grévistes d'Uber... Mais WTF !!! Sont ils au courant de ce que peuvent faire ou ne pas faire des indépendants ? Sont ils au courant qu'il existe d'autres plateformes qui rémunèrent davantage que Uber aujourd'hui en France ? Sont ils au courant qu'ils peuvent informer les utilisateurs qui souhaitent migrer vers d'autres plateformes et ainsi stimuler la concurrence. 

C'est incroyable qu'après l'épisode des VTC contre les taxis, ces idiots (Il n'y a pas d'autres mots) de chauffeurs commettent les mêmes erreurs. Finalement je suis en désaccord total avec cette étude car le jour où la France devra s'adapter vraiment au marché mondial, le plus grand risque de précarité sera bien en France plutôt qu'en Angleterre. En attendant, on vit avec nos mensonges. Ouverture des metros et RER parisiens à la concurrence le 31 décembre 2039... Le problème en France, c'est qu'il y a trop de libéralisme !

  • Yea 1
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J'aimerai juste terminer sur les bêtes français, actualité oblige. Les grévistes d'Uber... Mais WTF !!! Sont ils au courant de ce que peuvent faire ou ne pas faire des indépendants ? Sont ils au courant qu'il existe d'autres plateformes qui rémunèrent davantage que Uber aujourd'hui en France ? Sont ils au courant qu'ils peuvent informer les utilisateurs qui souhaitent migrer vers d'autres plateformes et ainsi stimuler la concurrence.

Je n'ai aucune preuve, c'est intuitif mais je pense que les prétendus "grévistes d'Uber" sont des sous-marins" syndicaux. Leurs revendications sont tellement idiotes, décalées et si parfaitement en accord avec les positions de nos syndicats, qu'il est difficile de croire à ce mouvement.

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Je n'ai aucune preuve, c'est intuitif mais je pense que les prétendus "grévistes d'Uber" sont des sous-marins" syndicaux. Leurs revendications sont tellement idiotes, décalées et si parfaitement en accord avec les positions de nos syndicats, qu'il est difficile de croire à ce mouvement.

 

Je suis bien d'accord et je doute aussi. Je suis en formation en ce moment avec un mec qui a développé une plateforme concurrente. Je lui ai proposer qu'on aille devant le ministère pour lui faire un coup de pub (Avec peut être quelques journalistes) puis ça c'est pas fait. Mais je me suis dis, si ça se trouve, on sera mal reçu aussi en pensant comme toi.

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  • 3 weeks later...
  • 2 months later...

C'est quoi, en fait le souci avec les travailleurs détachés, en termes de droits sécu et charges sociales, car je comprends bien qu'il s'agit d'une personne issue d'un État de l'union européenne qui vient bosser en France, à la base ?

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Ça fait une concurrence déloyale aux travailleurs français qui coûtent beaucoup plus cher que leurs homologues d'europe de l'est, grâce au régime social que le monde entier nous envie.

Evidemment au lieu laisser les français faire concurrence aux autres, ils proposent du protectionnisme et des clauses Yann Moix Marc Lévy Molière.

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Le 19-12-2016 à 12:52, Vincent Andrès a dit :

Faudrait aussi savoir comment eurostat récupère ces données ?

Est-ce qu'il copie/colle les stateux nationaux ?

Parce que pour le bidonnage, l'insee est bien classée.

Nous poursuivons le but de maintenir la qualité du forum. Par conséquent, il faut rendre crédible ses assertions. Donc, pourquoi l'insee est-elle bien classée pour le bidonnage?

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Le 19-12-2016 à 12:41, Sanson a dit :

Ces chiffres me surprennent car, intuitivement, on pourrait penser qu'un moindre taux de chômage et un plus fort taux d'emplois amènent à moins de pauvreté, mais non seulement ce taux est plus élevé dans ces pays qu'en France, mais en plus il semble augmenter.

 

Le 19-12-2016 à 12:51, Tramp a dit :

Parce qu'il ne dit pas plein de chose :

- c'est un indicateur de pauvreté relatif (si ca se trouve le haut du panier des pauvres allemands sont plus riches que le bas du panier des pas pauvres français).

- on ne sait pas le temps passé dans la pauvreté.

- on ne connaît pas l'âge et l'origine des pauvres.

La différence du taux de pauvreté en France et en Allemagne est mince. Néanmoins, c'est vrai que la distribution des revenus est plus égale en France qu'en Allemagne. Mais il faut se rendre compte du charactère international de l'économie allemand. L'Allemagne est le champion de l'exportation, et essaye de maintenir sa puissance compétitive. C'est à dire, l'Allemagne et la France ont des structures économiques dissemblables. Par exemple, en France le budget d'État est rélativement grand.

 

Et Tramp a naturellement raison. Les travailleurs les plus pauvres sont souvent les écoliers et les étudiants. Et la pauvreté n'est pas vraiment un problème, si elle est de courte durée.

 

Et oui, la pauvreté est surtout un sentiment individuel. Donc on pourrait simplement faire un sondage d'opinion publique sur le taux de pauvreté. Peut-être le résultat d'un tel sondage est plus significatif qu'une donnée statistique.

 

Je pense qu'en effet la situation allemande est préférable à cause de son moindre taux de chômage. Je crois qu'en général un poste à salaire précaire est plus agréable que le chômage. On est fier de son travail, c'est-à-dire, une identité et un environnement social. On est intégré - même si il y a des exceptions. D'autre part, tout est relatif. C'est vrai que le chômage français est toujours moins élevé qu'en Espagne, par exemple. L'économie espagnole est tout à fait défectueuse.

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il y a une heure, TheRedBaron a dit :

Et oui, la pauvreté est surtout un sentiment individuel. Donc on pourrait simplement faire un sondage d'opinion publique sur le taux de pauvreté. Peut-être le résultat d'un tel sondage est plus significatif qu'une donnée statistique.

Je pense que ce serait moins significatif au contraire, précisément parce que c'est un sentiment subjectif et qui dépend de la culture. Or, pour des raisons historiques et culturelles, en France, tout le monde se croit plus pauvre qu'il n'est.

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  • 2 weeks later...

Contexte:

-L'Allemagne a du absorber d'un coup 16 millions d'habitants de la RDA dotés d'une économie en ruine en 1990, ça fait 27 ans mais 20% de la population ça ne se résorbe pas comme cela.

-L'Allemagne a déjà heurté le mur de la natalité,sa population est plus vieille, donc a priori plus coûteuse et moins productive.

-L'Allemagne a beaucoup plus d'immigration de pays pauvre (pour tenter de compenser sa faible natalité).

 

Trajectoire:

-L'état allemand mange 44% du PIB, le français 57%, le budget allemand est en excédent, le français en déficit depuis 42 ans.

-L'Allemagne rembourse sa dette, la France emprunte 4 milliards par semaine pour survivre.

-La dette de l’Allemagne a baissé de 12% depuis 2009, la dette française a augmenté de 19% et elle arrive dans la zone dangereuse.

 

Situation:

-Selon le cabinet GfK 2015, les Allemands ont le 8ème pouvoir d'achat en Europe avec 21'500 euros de moyenne, les Français le 13ème avec 19'000 euros.

-Selon les chiffres de l'OCDE  2015 il y a en France 7,1% de travailleurs pauvres et 3,5% en Allemagne.

-Le taux de pauvreté (à prendre avec des pincettes comme expliqué plus haut) est de 17% en Allemagne et 14% en France.

-Le taux de chômage des jeunes est de 7% en Allemagne et de 25% en France.

 

Les opportunités sont beaucoup plus forte en Allemagne et l'économie est plus dynamique malgré une situation plus difficile, les retraités et les chômeurs français sont effectivement moins exposés à la pauvreté et mieux "protégés"... mais ils sont payés avec de la monnaie de singe sur une trajectoire budgétaire qui est insoutenable alors que 1/3 des salariés est payé par l'état et que beaucoup de chômeurs sont "cachés" dans ce salariat.

 

À un instant "T", avec l'usage d'une énorme carte de crédit et beaucoup d'écrans de fumée, la France tient son rang, mais la trajectoire est mortelle.

  • Yea 6
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Il y a 18 heures, Pat352 a dit :

Contexte:

-L'Allemagne a du absorber d'un coup 16 millions d'habitants de la RDA dotés d'une économie en ruine en 1990, ça fait 27 ans mais 20% de la population ça ne se résorbe pas comme cela.

-L'Allemagne a déjà heurté le mur de la natalité,sa population est plus vieille, donc a priori plus coûteuse et moins productive.

-L'Allemagne a beaucoup plus d'immigration de pays pauvre (pour tenter de compenser sa faible natalité).

 

Trajectoire:

-L'état allemand mange 44% du PIB, le français 57%, le budget allemand est en excédent, le français en déficit depuis 42 ans.

-L'Allemagne rembourse sa dette, la France emprunte 4 milliards par semaine pour survivre.

-La dette de l’Allemagne a baissé de 12% depuis 2009, la dette française a augmenté de 19% et elle arrive dans la zone dangereuse.

 

Situation:

-Selon le cabinet GfK 2015, les Allemands ont le 8ème pouvoir d'achat en Europe avec 21'500 euros de moyenne, les Français le 13ème avec 19'000 euros.

-Selon les chiffres de l'OCDE  2015 il y a en France 7,1% de travailleurs pauvres et 3,5% en Allemagne.

-Le taux de pauvreté (à prendre avec des pincettes comme expliqué plus haut) est de 17% en Allemagne et 14% en France.

-Le taux de chômage des jeunes est de 7% en Allemagne et de 25% en France.

 

Les opportunités sont beaucoup plus forte en Allemagne et l'économie est plus dynamique malgré une situation plus difficile, les retraités et les chômeurs français sont effectivement moins exposés à la pauvreté et mieux "protégés"... mais ils sont payés avec de la monnaie de singe sur une trajectoire budgétaire qui est insoutenable alors que 1/3 des salariés est payé par l'état et que beaucoup de chômeurs sont "cachés" dans ce salariat.

 

À un instant "T", avec l'usage d'une énorme carte de crédit et beaucoup d'écrans de fumée, la France tient son rang, mais la trajectoire est mortelle.

 

Pas mal. A la limite, remis en forme, ça pourrait faire un bon billet de synthèse économique.

  • Yea 1
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Il y a 6 heures, h16 a dit :

 

Pas mal. A la limite, remis en forme, ça pourrait faire un bon billet de synthèse économique.

 

C'est de la recherche rapide, Il faudrait affiner, vérifier et ajouter quelques trucs pour que l'image soit complète, honnête et convaincante même pour un collectiviste.

Une image que j'aime bien dans ce sens: la France claque 7 points de PIB de plus que la Suède pour des prestations sociale bien en dessous. Les SDF sont même nourris par la charité privée, un comble qui montre bien le pillage des ressources

 

Ce serait possible grande chef de changer mon pseudo ici en "Ilmryn" (i et L au début), celui que j'utilise sur contrepoint pour les commentaire?

 

Il y a 5 heures, Neomatix a dit :

Source ?

 

Cet article de contrepoint

https://www.contrepoints.org/2017/01/19/278219-smic-code-travail-detruisent-emplois

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il y a 27 minutes, Pat352 a dit :

 

C'est de la recherche rapide, Il faudrait affiner, vérifier et ajouter quelques trucs pour que l'image soit complète, honnête et convaincante même pour un collectiviste.

Une image que j'aime bien dans ce sens: la France claque 7 points de PIB de plus que la Suède pour des prestations sociale bien en dessous. Les SDF sont même nourris par la charité privée, un comble qui montre bien le pillage des ressources

 

Ce serait possible grande chef de changer mon pseudo ici en "Ilmryn" (i et L au début), celui que j'utilise sur contrepoint pour les commentaire?

 

 

Cet article de contrepoint

https://www.contrepoints.org/2017/01/19/278219-smic-code-travail-detruisent-emplois

 

Merci pour ces éléments. Je vais décidément en faire un billet. Et je vais voir pour le nom d'affichage :)

 

...

 

Voilà c'est fait. Ton login et mdp restent les mêmes cependant :)

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  • 4 weeks later...

Il faut distinguer la pauvreté et la gêne de la misère et de l'indigence. Le premier couple est souvent relatif (relatif à autrui, ou relatif à l'infinité des besoins humains) ; le second s'exprime par l'incapacité de subvenir à ses besoins élémentaires : manger, se loger, se vêtir. Dans ce second cas, c'est en effet un problème très préoccupant.

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Il y a 1 heure, Rincevent a dit :

Il faut distinguer la pauvreté et la gêne de la misère et de l'indigence. Le premier couple est souvent relatif (relatif à autrui, ou relatif à l'infinité des besoins humains) ; le second s'exprime par l'incapacité de subvenir à ses besoins élémentaires : manger, se loger, se vêtir. Dans ce second cas, c'est en effet un problème très préoccupant.

 

Sauf qu'à ce compte là, on peut aussi arguer de la relativité de l'indigence. On peut toujours être mieux loti que son voisin sans que ça n'empêche qu'on puisse être dans la misère tous les deux. 

 

 

 

 

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Ce que Rincevent voulait dire, c'est que dans nos pays, être pauvre ça ne signifie pas de devoir sacrifier un repas pour pouvoir se loger. La misère si.

Par exemple un pauvre aura un toit, mais devra rouler 1 heure de plus par jour pour aller au travail dans une vieille voiture d'occasion parce que le logement qu'il peut se permettre est plus loin que celui de la moyenne. Il partira sans doute très peu en vacance à moins d'avoir accès à un logement gratuit chez de la famille.

 

Avec la misère on atteint un degré de difficulté dans la vie qui laisse peu d'intérêt à effectuer de telles comparaisons. Qu'est ce qui vaut mieux ? Ne pas pouvoir se chauffer 1 jour sur 2 ou devoir sauter deux repas par semaine ? A un certain moment les difficultés engendrées par de telles conditions sont sans communes mesures avec la différence de ressources qui les cause. Et là on peut avoir un certain degré de certitude sur la condition d'une personne dans la misère.

A contrario et ça répondra un peu sur le fond de ta question, je ne sais pas si on peut donner une définition objective de la pauvreté. Typiquement si on ne sait pas pourquoi une personne donnée reste pauvre on peut avoir de la peine à la classer. Par exemple un étudiant qui vit sur quasiment rien mais qui étudie dans une école réputée est-il vraiment si pauvre si son espérance de gain future est importante ? Déterminer pour une condition de pauvreté donnée ce qui est subit de ce qui est voulu est loin d'être évident.

  • Yea 1
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Est-ce qu'on ne pourrait pas établir des critères objectifs de pauvreté ? Ca doit exister évidemment. Je veux dire la pauvreté si répandue en Asie, en Afrique, en Amérique latine, n'est pas la même que dans les pays occidentaux. Des critères clairs (pouvoir se vêtir un minimum, manger à sa faim, etc.) permettent aussi d'évaluer le progrès d'une ou plusieurs sociétés au cours de leur histoire. Ce qui est intéressant je trouve.

 

C'est comme ça qu'on pourrait opposer aux socialistes l'évolution des conditions de vie des ouvriers depuis le 19eme siècle par exemple, et montrer le progrès continu qu'il y a eu.

 

Les dernières années et les prochaines décennies pourraient montrer le déclin depuis l'émergence de l'Etat-providence.

 

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