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Bah non une partie commune n'est pas nécessairement une copro.

ça peut être aussi une indivision, une asso, un kibouts bref ce que tu veux, mais il y a des propriétaires, et a defaut de contrat explicite, c'est les citoyens.

 

Exact.

Tu as aussi le droit d'être d'extreme gauche est de vouloir tout gerer par les hommes de l'etat

 

La France, par exemple, n'est pas une copropriété. Point. Barre. Capice ?

Les parties communes SONT un copro

RE strawman

Dans ce cas il faut dire qui est le proprio

et ça recommence ....

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C'est quel mot que tu ne comprends pas dans la proposition : "Il n'y a pas de propriétaire de la France" ?

Re strawman x3, il s'agit des parties communes (rues, etc.) et pas "de la france".

On ne discute pas ici des biens immobiliers des personnes

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 et a defaut de contrat explicite, c'est les citoyens.

 

Euh non, a défaut de contrat explicite on m'a piqué mon pognon et certainement celui de touristes ou d'étrangers passant par la aussi. Donc à défaut, la rue est un lieu ou le Droit restreint au strict minimum s'applique et ou aucune partie ne peut instaurer de règles discriminatoires.

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Ah... Parce que tu es niais au point de croire que tu es copropriétaire de la départementale 67 dans l'Allier ?

Tu me vendrais ta part ? Ça m'intéresse.

 

Re strawman x4 

Pas du departement ni de la France, mais des PARTIES COMMINUES

en suisse par exemple ça se gere à l'échelle de la municipalité, c'est la meilleure et ça marche trés bien.

 

Ecoute n'importe quel autrichien ici confirmera que Milton Friedman est communiste en matiére monétaire, tu as le droit d'être communiste en matiére de gestion des rues, tout se guérit un jour.

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Euh non, a défaut de contrat explicite on m'a piqué mon pognon et certainement celui de touristes ou d'étrangers passant par la aussi. Donc à défaut, la rue est un lieu ou le Droit restreint au strict minimum s'applique et ou aucune partie ne peut instaurer de règles discriminatoires.

 

En droit ça n'existe pas.

 

Soit il y a un propriétaire, soit (si c'est appropriable) c'est une "chose sans maitre" (res nullius)  comme le liberland, un nouveau continent ou une nouvelle planette innabité.

Hors c'est manifestement habité et entretenu par des gens qui paient pour ça (de force ou non) ils ont un droit dessus, et ce n'est pas l'état qui est proprietaire (sauf pour les communistes)

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Hors c'est manifestement habité et entretenu par des gens qui paient pour ça (de force ou non) ils ont un droit dessus...

 

:icon_ptdr:

 

Paske tu crois que t'es copropriétaire du domaine de l'État ? Un peu comme le populo était copropriétaire de Versailles du temps de Louis Croix Barre Vé ?

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Hors c'est manifestement habité et entretenu par des gens qui paient pour ça (de force ou non) ils ont un droit dessus, et ce n'est pas l'état qui est proprietaire (sauf pour les communistes)

 

Lol habité par les SDF peut être. 

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Paske tu crois que t'es copropriétaire du domaine de l'État ?

 

désolé, il n'est propriétaire de rien, juste usurpateur, situation que tu cautionnes avec enthousiasme.

Le Capitole de Toulouse, t'es copropriétaire ? Ça m’intéresse : je te rachète ta part.

J'ai pas le droit désolé, et en plus si je proteste contre l'usage qui en est fait je peux avoir les flics qui débarquent.

et même chez les suisses, c'est une indivision, donc faut l'accord de la majorité, c'est compliqué.

 

Lol habité par les SDF peut être.

 

c'est pas bien de se moquer des pauvres.

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en suisse par exemple ça se gere à l'échelle de la municipalité, c'est la meilleure et ça marche trés bien.

Non. 

 

Ceux qui ont le droit de vote (soit pas tout le monde) peuvent décider, parfois, des grandes dépenses mais le principe des biens publics reste identique à celui de la France.

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Non. 

 

Ceux qui ont le droit de vote (soit pas tout le monde) peuvent décider, parfois, des grandes dépenses mais le principe des biens publics reste identique à celui de la France.

il n'y a rien qui soit à l'abris d'un référendum en suisse, communal, cantonal, ou fédéral.

Par ailleurs les questions migratoires pour une personne donnée se décident à l'échelle communale (avec veto federal).

 

Merci de confirmer que la France n'est pas une copropriété.

Et que tu n'as aucun titre valable et valide pour restreindre une des libertés fondamentales, la liberté de circulation.

Bonsoir Clara...

Prescription acquisitive sur les rues ?

Pour un bien toujours occupé (jamais abandonné) par ses propriétaires légitimes !!

L'Etat est clairement usurpateur, c'est du vol pur et simple d'une copro, il n'a pas la moindre légitimité à décider de quoi que ce soit en matières de rues.

Et par ailleurs le référendum est utilisé dans bon nombre de pays liberaux, et la gestion de l’immigration est tout a fait respectueuse de la liberté de circulation.

(Sauf dans les délires paranoïaques des militants d’extrême gauche qui nient les droit de la population)

Moi même je suis pour l'approche Gary Becker sur le sujet à defaut d'une anarcapie mythique à la Hoppe.

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il n'y a rien qui soit à l'abris d'un référendum en suisse, communal, cantonal, ou fédéral.

Par ailleurs les questions migratoires pour une personne donnée se décident à l'échelle communale (avec veto federal).

Ce qui ne change rien puisque tout les contributeurs du système, depuis l'enfant qui paie la TVA sur les bonbons jusqu'à l'étranger résident depuis 10 ans, ne peuvent pas voter.

Par ailleurs, tout n'est pas attaquable par referendum en Suisse. Typiquement, le budget d'une commune ou du canton ne l'est pas forcément.

 

Enfin, ce sont les questions de naturalisation et non les questions migratoires qui se règlent ainsi. 

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Je regrette de ne pas passer plus souvent, parce que je me suis bien marré avec ce fil qui commençais avec un truc bien dégoulinante de bonne conscience gôcho.

Plus sérieusement, la liberté d'expression est fondamentale, pour :

  • Le bon fonctionnement de n'importe quel système politique raisonnablement libre.
  • Pour qu'une personne jugée puisse se défendre librement dans un tribunal
  • Pour que la science puisse progresser
  • Pour le simple débat des valeurs morales
Toutes es sociétés ont leurs tabous, mais eux qui s'indignent pour des des trucs de ce genre, ou par exemple par une couverture de Charlie hebdo, ils faut qu'ils arrêtent de militer pour une société libérale, parce que leur petit cœur sensible ne va pas tenir le choc.

charlie-hebdo-viol-de-vierge.jpg

Joli hors-sujet. En effet, tu devrais passer plus souvent.

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Se faire avoir par la gauche me parait alors difficile puisqu'à part sur les moeurs, et encore, on ne se rejoint sur rien.

C'est vrai... Mais va dire ça aux "libéraux universitaires", de Canto-Sperber à Koenig en passant par Tenzer et Audard. Ils sont fort peu nombreux, mais le libéralisme officiel qui renaît à l'université et chez ceux qui pensent, c'est eux.
  • Yea 1
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Ca existe encore des gens qui croient qu'il voulait une barrière physique alors qu'il réclamait juste la fin des amnisties?

 

 

"Physically secure our borders and coastlines"

 

 

Par rapport à l'éternel débat sur l'immigration, les deux camps ont de bons arguments mais c'est tout bonnement ridicule d'appeler xénophobe toute personne qui présente un point de vue opposé, surtout quand de nombreux libertariens, du Mises Institute notamment, s'opposent au point de vue 100% pro-immigration ça mérite sûrement un peu plus de réflexion que le name-calling :

 

Point de vue de Rothbard :  "Human Rights" as Property Rights  (on notera le "there can be no human right to immigrate") + Nations By Consent : Decomposing the Nation State

 

Point de vue de Rockwell : Open Borders Are an Assault on Private Property

 

Point de vue de Hoppe : The Case for Free Trade and Restricted Immigration

 

Point de vue de Mises : Mises on Immigration

 

Point de vue de Tom Woods : Liberty and Immigration

 

Point de vue de Jeff Deist : Market Borders, not Open Borders

 

Donc à partir de là, soit on se dit que ce sont tous des vilains xénophobes, soit on peut pousser la réflexion un peu plus loin et se dire que s'ils partagent tous un point de vue semblable il doit bien y avoir une raison.

  • Yea 3
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"Physically secure our borders and coastlines"

 

La journaliste se plante, elle lui attribue ceci en référence à un vote sur une loi qui incluait et une barrière et  la fin de l'amnistie, RP n'était cependant pas du tout d'accord avec la barrière  :

 

 

"I voted for this bill to end the amnesty but i didn't like the fence. I don't think the fence could solve our problem, i find it rather offensive"

 

Autre vidéo où il explique que le risque est également qu'une barrière physique peut être utilisée contre le peuple américain :

 

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désolé, il n'est propriétaire de rien, juste usurpateur, situation que tu cautionnes avec enthousiasme.

Prescription acquisitive pour les rues et routes, appropriation de res nullius (comment on dit au pluriel ? rea nullia ?) pour les zones désertes.
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Point de vue de Mises : Mises on Immigration

Laurence Vance cite Mises de manière tout à fait spécieuse. Mises s'opposait à une petite partie de l'immigration, celle qui est politisée et vient de pays officiellement ennemis, et ce dans un intervalle de temps très restreint. Et Mises conclut que tous les immigrants de bonne foi (comme lui-même l'a été) méritent de passer.
  • Yea 3
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Le signe révélateur c'est ce glissement vers la notion que le pays appartiendrait au peuple. 

 

C'est juste du communisme. On appelle ça l'ironie droitarde. 

 

C'est effectivement le point commun des trolls droitards qui salissent le libéralisme sur les réseaux sociaux 

  • Yea 1
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Par rapport à l'éternel débat sur l'immigration, les deux camps ont de bons arguments

 

J'adore la capacité de certains libertariens à réécrire l'histoire des idées philosophiques et politiques.

Comme s'il y avait deux camps... :icon_ptdr:

Comme s'il y avait un éternel débat...

 

La réalité est tout autre : la littérature libérale est dans sa totalité pour les libertés individuelles des migrants. Il y a juste deux marginaux (Hoppe et Rothbard) qui ont bricolé de façon ad-hoc des arguments sans queue ni tête, auxquels se raccrochent les xénophobes, en rupture totale avec toute la tradition libérale (et pour cause, c'est totalement débile pour un libéral de prôner une limitation de libertés individuelles).

 

Tout cela est pitoyable. Les droitards qui se font passer pour des libéraux, quelle plaie.

  • Yea 9
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Laurence Vance cite Mises de manière tout à fait spécieuse. Mises s'opposait à une petite partie de l'immigration, celle qui est politisée et vient de pays officiellement ennemis, et ce dans un intervalle de temps très restreint. Et Mises conclut que tous les immigrants de bonne foi (comme lui-même l'a été) méritent de passer.

Exactement.

Dans Libéralisme, il explique que restreindre l'immigration va contre la division du travail et est une politique foncièrement syndicaliste. Il dit aussi clairement que les liberaux exigent la liberté d'immigrer après avoir obtenue celle d'émigrer.

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 Oué enfin, il aimerait qu'on s'occupe de l'Etat avant. Sinon, ça va poser des problèmes. 

 

 

L'aversion que la plupart des gens ressentent envers les membres d'autres nationalités et particulièrement envers les autres races est évidemment trop forte pour espérer une issue pacifique à de tels antagonismes. Il ne faut pas s'attendre à ce que les Australiens acceptent volontairement l'immigration d'Européens de nationalité autre qu'anglaise et il est totalement hors de question qu'ils permettent à des Asiatiques de chercher du travail et une demeure sur leur continent. Des Australiens d'origine anglaise insistent pour dire que le fait que ce soient des Anglais qui aient les premiers établi des colonies dans ce pays, leur a donné un droit spécial à la possession exclusive de tout le continent pour tous les temps à venir. Les membres des autres nationalités ne cherchent pas le moins du monde à contester le droit des Australiens à occuper les territoires sur lesquels ils se trouvent déjà en Australie. Ils estiment seulement qu'il est injuste que les Australiens n'autorisent pas l'utilisation des conditions les plus favorables à la production, actuellement en jachère, et les forcent à continuer de produire dans les conditions moins bonnes qui prévalent de leur propre pays.

Cette question est de la plus haute importance pour l'avenir du monde. En fait, le destin de la civilisation dépend d'une solution satisfaisante. D'un côté se trouvent des centaines de millions d'Européens et d'Asiatiques qui sont obligés de travailler dans des conditions de production moins favorables qu'ils ne le pourraient sur les territoires qui leur sont interdits. Ils demandent qu'on leur ouvre les portes du paradis interdit afin qu'ils puissent augmenter la productivité de leur travail et donc connaître un niveau de vie plus élevé. De l'autre côté se trouvent ceux qui ont déjà la chance de considérer comme leur les terres offrant les meilleures conditions de production. Ils désirent — tant qu'il s'agit de travailleurs et non de propriétaires de moyens de production — ne pas abandonner les salaires élevés que cette situation leur garantit. Toute la nation, cependant, est unanime pour craindre un flot massif d'étrangers. Les habitants actuels de ces terres favorisées craignent d'être réduit un jour à l'état de minorité dans leur propre pays et de devoir subir toutes les horreurs des persécutions nationales auxquelles, par exemple, les Allemands sont de nos jours exposés en Tchécoslovaquie, en Italie et en Pologne. On ne peut nier que ces craintes soient justifiées. En raison de l'énorme pouvoir détenu par ceux qui sont aujourd'hui à la tête de l'État, une minorité nationale doit s'attendre au pire de la part de la majorité, quand elle est d'une autre nationalité. Tant que l'État possèdera les énormes pouvoirs qu'il détient aujourd'hui et que l'opinion publique les considèrera comme justifiés, l'idée de devoir vivre dans un État dont le gouvernement serait aux mains des membres d'une nationalité étrangère sera proprement terrifiante. Il est épouvantable de vivre dans un État dans lequel on est exposé à tout moment à la persécution — prenant les apparences de la justice — de la part de la majorité dominante. Il est horrible d'être handicapé, déjà comme élève à l'école, en raison de sa nationalité et d'avoir tort devant toute autorité judiciaire ou administrative parce qu'on appartient à une minorité nationale. Si l'on considère le conflit sous cet angle, il semble ne pas offrir d'autre solution que la guerre. Dans ce cas, il faut s'attendre à ce que la nation moins nombreuse soit vaincue et que, par exemple, les nations d'Asie, qui comptent des centaines de millions d'individus, réussissent à pousser la descendance de race blanche hors de l'Australie. Nous ne voulons cependant pas nous permettre une telle conjecture. Car il est certain que de telles guerres — et il nous faut admettre qu'un problème mondial d'une telle portée ne pourra pas être résolu une fois pour toute par une seule guerre — conduiraient à la plus horrible catastrophe pour la civilisation.

Il est clair qu'il n'y a pas de solution au problème de l'immigration si l'on adhère à l'idéal de l'État interventionniste, qui s'occupe de tous les domaines de l'activité humaine, ou à celui de l'État socialiste. Seule l'adoption du programme libéral pourrait permettre de faire disparaître complètement le problème de l'immigration, qui semble aujourd'hui insoluble. Dans une Australie dirigée suivant les principes libéraux, quelles difficultés pourraient-elles surgir de ce que les Japonais soient majoritaires dans certaines parties du continent et les Anglais dans d'autres ?

 

 Mais faire parler les morts est toujours un exercice périlleux.

  • Yea 1
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