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[Sérieux] Un candidat libéral en 2022 ?


G7H+

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il y a 13 minutes, poney a dit :

Une autre erreur à ne pas commettre dans l'optique d'une candidature libérale est de foutre un homme de 60 ans qui a fait de la finance ou un truc du style

Briser le mythe et le stéréotype du libéral mâle riche qui fait de l'argent et qui vit pour l'argent devra être une priorité

 

Voilà. Ne pas lancer un vieux roublard comme Charles Gave (que j'aime bien hein) comme candidat si on veut toucher les masses prolétariennes populaires (et d'autres, fonctionnaires notamment).

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Just now, cedric.og said:

This. Comme dit plus haut, un candidat sortant des préjugés habituels phynance-riche-white-male-probusiness serait quelque chose d'absolument bénéfique pour les libéraux. Un gars qui prenne la défense des libertés fondamentales, et non (que) de la défense de la City. Un gars issu de la classe moyenne, qui a fait sa carrière humble dans le privé. Ou une femme en effet! Qui montre le véritable visage du libéralisme.

 

une ex-postiere noire unijambiste!

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il y a 3 minutes, poney a dit :


Tu fous une gonz ou un djeunz issus de minorité et cet argument se retrouve bidonné dans les poubelles de l'histoire, et move on.

 

Et on se rendra compte que la gauche n'a aucun probleme avec le racisme et le sexisme.

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à l’instant, Johnathan R. Razorback a dit :

 

Voilà. Ne pas lancer un vieux roublard comme Charles Gave (que j'aime bien hein) comme candidat si on veut toucher les masses prolétariennes populaires (et d'autres, fonctionnaires notamment).

 

Un Charles Gave like, avec tout le respect que j'ai pour certains de ses papiers dont j'apprécie parfois, mais pas toujours -de moins en moins même- la teneur, serait la pire des candidatures possibles parce qu'elle renforcerait les préjugés anti libéraux et empêcherait tout débat sur le fond, toute idée qui ne serait pas automatiquement vue comme étant celle(s) des riches dominants.

à l’instant, Tramp a dit :

 

Et on se rendra compte que la gauche n'a aucun probleme avec le racisme et le sexisme.

 

On pourra au moins les enfoncer là dessus à ce moment là

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il y a 3 minutes, Jukebox a dit :

Par contre, il faudra qu'il/elle soit mesuré.

S'il arrive sur France 2, dire "toi, j'te privatise", vanter l'anarco-capitalisme, vouloir supprimer le smic, etc., ça fera l'effet inverse de ce qu'on veut.

 

Si elle commence à vanter les mérites de l'Etat strategie et nous parle des externalités negatives aussi. 

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1 minute ago, Jukebox said:

Par contre, il faudra qu'il/elle soit mesuré.

S'il arrive sur France 2, dire "toi, j'te privatise", vanter l'anarco-capitalisme, vouloir supprimer le smic, etc., ça fera l'effet inverse de ce qu'on veut.

Par contre dire sur un plateau de France 2 "l'ouverture de chaînes concurrente vous a forcé à faire de la qualité, right ? Si ce n'était pas le cas, avouez, vous n'auriez même pas de site web. Donc c'est bénéfique pour tout le monde. Alors en quoi ce serait différent sur d'autres points ?" marcherait pas mal. En plus même les journalistes approuvent, testé sur le terrain.

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Désolé mais le candidat on s'en fout. Je caricature un peu mais c'est un détail. Evidemment qu'il vaut mieux trouver un profil avec une histoire, une épaisseur. Mais il n'a pas à être nécessairement très atypique ou surhumain au niveau de ses qualités de communication. Un Poutou (on veut représenter les ouvriers donc on met un ouvrier en candidat) ou une Arthaud (prof d'éco) libérale ferait l'affaire. On a des avocats, des profs, des gens de tous métiers. On trouvera un candidat. 

 

Le programme, s'il est libéral classique, c'est déjà super et ça va détonner. Mais c'est encore un détail.

 

L'important, le frein principal, c'est l'organisation, le financement, la récolte des 500 signatures. 

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Il y a 2 heures, G7H+ a dit :

Un sujet pour ceux qui trouvent aberrant que l'on arrive pas à présenter un candidat libéral. Surtout quand on voit les quelques extra-terrestres qui étaient candidats en 2017. 

 

A mon avis, il va falloir faire les choses suivantes :

 

- Collecter des informations sur le savoir-faire : il faut bien comprendre les règles électorales, les contraintes financières et administratives, les besoins d'une campagne en temps, en argent, en ressources humaines, en ressources matérielles, comment les autres partis/candidats font, les best practices opérationnelles. Pour ce faire, il va falloir prendre l'information là où elle est est. Donc il faut interroger de l'extérieur ceux qui savent à l'intérieur des partis, par exemple lors d'une interview Contrepoints. Il faut aussi que ceux qui veulent deviennent bénévoles dans des partis politiques dans des rôles opérationnels. Il faut enfin que nous attirions à nous des gens d'autres partis qui ont cette expérience, qui sont motivés et équilibrés mais qui en ont assez de ne pas avoir de vrai candidat libéral.

 

- Collecter des bases de données : il va falloir pêcho un max de base de données, c'est l'un des nerfs de cette guerre. Nom, adresse, tél, email des mairies/des maires de France, conseillers municipaux, députés, sénateurs, électeurs, membres des partis dont on estime que l'électorat pourrait être séduit par un message vraiment libéral. Certaines bases de données s'achètent. D'autres sont disponibles mais il faut les chercher. 


- Il va falloir accumuler de l'expérience : on va demander aux volontaires de créer des comités locaux le plus rapidement possible en 2017-2018. Il vont devoir les animer. Le simple fait de les faire vivre va développer chez ces volontaires des réflexes, une connaissance, un savoir-faire pratique qui va être utile lors de la campagne. Ces comités locaux peuvent avoir une forme partisane ou non-partisane. Par exemple, une forme non-partisane peut être une asso de quartier sur des thèmes libéraux municipaux et nationaux pour comprendre ce que veulent les Français, leurs priorités, tester et adapter la formulations de nos mesures libérales et accumuler de la base de donnée sur ces électeurs potentiels. Il va aussi falloir que ces volontaires jouent un rôle/se présentent à toutes les élections locales, peu importe ce qu'elles sont, qui vont avoir lieu entre 2017 et 2022. En 2020-2021, on aura ainsi un maillage de 100-1000 libéraux locaux avec une connaissance poussée des règlements électoraux, des base de données de ouf sur les électeurs potentiels, une connaissance personnelle des maires et des élus locaux.


- Il va falloir dissocier l'opérationnel et le candidat. Il y a le candidat : c'est un singe savant, il dit ce qu'on lui dit de dire et fait ce qu'on lui dit de faire. Il est recruté sur son capital sympathie, sur son profil, sur son histoire personnelle que l'on va marketer, sur sa résistance au stress, sur le fait qu'il est raisonnable, modéré et intelligent, sur son sens de l'empathie, sur sa capacité d'apprendre vite, sur sa façon de s'exprimer, d'inspirer confiance et respect, sur sa loyauté. Il est remplaçable à l'envi et sans ménagement s'il fait sa diva ou s'il part en sucette. Et il y a l'équipe de campagne qui est à la tête du truc, qui planifie, centralise, qui définit la ligne, la stratégie et la tactique. Le candidat ne décide de rien en matière de campagne. Et l'équipe de campagne ferme sa mouille face aux caméras. Chacun a été recruté sur ses compétences pour des fonctions précises ; chacun reste à sa place et se concentre sur son job ; chacun est remplacé s'il fait des conneries. Il y a enfin les savants du libéralisme qui se mettent d'accord sur une plateforme. Ce sera à l'équipe de campagne de la tourner en programme, de le spinner, marketer, framer au mieux et au candidat de l'incarner.  

 

Une étape importante : récolter les 500 signatures.
https://www.franceinter.fr/politique/presidentielle-comment-les-petits-candidats-partent-ils-a-la-chasse-aux-500-signatures
Commencer 1 an en avance en récoltant des promesses de parrainages.
Formulaire en ligne.
Cible : maires de petites communes. Peut-être que pour un candidat libéral ce sera différent. 
4 personnes temps plein ou une centaine de volontaires (lol). 

 

Quel(s) angle(s) d'attaque pour convaincre les maires ?

Un programme libéral va beaucoup faciliter la vie des maires :
- on libéralise les secteurs de la sécurité et services d'urgence, éducation, gestion des déchets, transports (plus de flexibilité, possibilité de faire appel au privé, aux coops et à l'associatif/bénévolat, donc moins de coûts salariaux et de retraite)
- on libéralise le plan d'occupation des sols et le logement (facilite la vie des gens, augmente le pouvoir d'achat)
- on décentralise un max donc les élus locaux ont plus de pouvoir
- on baisse un max les impôts nationaux ce qui donne l'occasion aux maires d'augmenter les impôts locaux s'ils le veulent
- on autorise toutes les coopérations possibles entre les communes (notamment pour mettre en commun certaines dépenses)
En plus de ça, il faut avoir 1-3 mesures libérales phares et de bon sens (ou qui correspondent à un préjugé répandu) qu'aucun autre candidat ne présente pour pourvoir dire au maire : donner nous votre signature pour que cette idée soit représentée lors des débats. 

 

Comme vous le voyez, cela demande beaucoup de travail, un effort sur cinq ans, avec une équipe assez importante à terme. Tout cela pour une candidature de témoignage (même si on y va pour gagner, cela va de soi). Tout cela pose donc beaucoup de question sur l'opportunité d'un tel projet.
 
Toute cette énergie peut peut-être être mieux déployée dans un autre effort, de propagande par exemple, de diffusion des idées libérales (par Contrepoints, Wikibéral, le collectif Antigone, etc) .ou d'influence dans un parti de gouvernement (vous me direz, lequel ? EM ou le FN ?). C'est en tous cas une critique qui ne manquera pas d'être adressée à cette idée. 
 
Une autre critique serait de dire que des structures tendant vers ce but existent déjà : le PLD bien entendu, et le parti libertarien de France. Dans une moindre mesure Nous Citoyens. Pourquoi ne pas s'y inscrire ? Pourquoi ne pas les aider ?
 
D'autre part, je rappelle que l'association Liberaux.org est non partisane et ne fait pas de politique politicienne, et c'est tant mieux.

 

J'y souscris parfaitement.

 

Afin d'atteindre ce genre de tâches de longue haleine, il conviendrait de décomposer le processus en de multiples actions & objectifs, et d'y assigner un suivi + un planning (les gens se motivent plus facilement en présence d'un planning).

 

Il y a 2 heures, G7H+ a dit :

Ben disons qu'on peut faire une Hamonade, une Macronade ou une Mélenchonade :

- Hamonade : on va au PLD, on s'assure que la plateforme est vraiment libérale et on les aide à mettre en place la structure pour pêcho les 500 signatures

- Macronade : on crée notre propre machin indépendant et on va jusqu'au bout

- Mélenchonade : on crée notre propre machin et on propose au PLD de nous soutenir si on a les 500 signatures

 

La Mélenchonade a ma préférence.  Mais la Hamonade est sans doute plus faisable.

 

il y a une heure, poney a dit :

 

Tu as raison bien entendu, je suis plus réservé sur le "pur" parce que connaissant le mentalité (belge ou française) de l'électeur moyen, des journalistes et des autres politiciens, un candidat "pur" passera son temps à expliquer comment faire des routes privées. Le vrai risque, c'est passer pour un guignols et être moqué sans débattre du fond.
Sans compter qu'il ne sera rassurant pour personne. Le truc des routes au delà de la blague libertarienne, c'est typiquement le truc ou les gens vont venir se moquer de toi en disant "lol, on va donner les routes à Vinci, quelle idiotie, voilà l'ultralibéralisme pour les riches et les puissants". Garanti sur facture.


Or, pour faire un score honorable, c'est à dire entre 5 et 10%, il faut rassembler plusieurs millions d'électeur à l'échelle française. C'est déjà mort en jouant le pur.


Cela signifie pour moi qu'il faut un candidat qui aurait un profil tel que je l'imagine, ou le fantasme un peu, d'un libéral du début de siècle :

 

-Un état régalien (justice, police, armée ... et leurs missions)

-Mais qui s'occupe aussi d'un tas de trucs annexes : la voirie, propose un chèque scolaire, un impot négatif,..

Et très important se démarquer :

 

-de la gauche : suppression de l'IS, suppression du monopole de la Sécu, suppression de la subvention de la culture, ...

-de la droite : suppression des aides aux entreprises, fin de la chasse aux migrants, légalisation des drogues, ...

 

Et bien entendu troller gauche et droite pour montrer qu'on est différent. Ne pas s’accoquiner avec un parti déjà existant. Envoyer chier dans les roses les mecs déjà établis ailleurs qui voudraient devenir des transfuges, ne pas tomber dans le piège des élites économiques, expliquer aux syndicats et aux mutuelles leur rôle de sécu social (s'en faire des alliés, semer le doute dans leurs camps, militer pour le retour de la sécu des ouvriers dans le giron des ouvriers et non aux mains des oligarques étatiques, ...), ...

 

Ou alors un mec qui sera juste bon à dire à la télé "il faut privatiser", faire 0,..05% et passer pour des débiles. A mon avis hein.

 

Nous avions commencé à rédiger un programme pour 2017 ; cela n'a pas abouti, faute de planning (je pense).

 

il y a une heure, L'affreux a dit :

 

Ce serait stupide de sa part. Dans le programme, aucun intérêt à être si précis. Et en débat ne jamais soutenir de front ce genre de sujet anecdotique. Mélenchon s'en sortait très bien sur son programme de ouf sans jamais faire un pas en arrière. De la répartie, de l'humour et de la mauvaise foi.

 

Les intellectuels lisent le programme et se font une idée dessus. Ensuite les débats ne comptent plus vraiment pour eux. Ils ne sont pas nombreux, mais ils savent influencer. Donc il faut un programme sans compromis pour convaincre les nôtres de faire bloc. Et lors des débats, au contraire, il faut séduire les non libéraux et ça passe par autre chose que l'idéologie.

 

La question de la stratégie me paraît secondaire à ce stade. Le premier point me paraît être l'organisation : quels objectifs? A quelle échéance?

Une fois ceci déterminé, il conviendrait de se concentrer sur la question stratégique.

Une fois la stratégie déterminée, il conviendra de déterminer la tactique & les modalités de mise en oeuvre de la stratégie (+ le pilotage/suivi).

Une fois ceci fait, on pourra éventuellement déblatérer sur l'éventuel choix d'un candidat.

 

On prend donc les choses, je le crains, par le mauvais bout.

 

il y a 49 minutes, Dardanus a dit :

Sur ce forum on trouve beaucoup de jeunes gens très déconnectés du monde réel. Un candidat libéral serait suffisamment décoiffant en s'en tenant à une positon libérale classique.

 

Tout à fait.

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il y a 1 minute, Jukebox a dit :

vouloir supprimer le smic, ça fera l'effet inverse de ce qu'on veut.

 

Pas d'accord, les gens ont besoin d'entendre certaines vérités déplaisantes (et contre-intuitives sur cette question). Au pire ça fera buzzer, négativement au début, mais moins négativement à force de travailler l'opinion sur le fait que le SMIC (et plus généralement la réglementation étatique) augmente le chômage.

 

Les chômeurs sont après tout des électeurs comme les autres, et là on arrive au seuil des 6 millions. Pascal Salin parle de clientèles désorganisées face aux groupes protégés par les syndicats, les libéraux doivent les organiser en leur expliquant ce qui les empêche de retrouver du boulot.

 

En plus, si un parti libéral parvenait à percer dans cette partie de la population, ça réduirait mécaniquement la clientèle des partis les plus étatistes.

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1 minute ago, G7H+ said:

Désolé mais le candidat on s'en fout. Je caricature un peu mais c'est un détail. Evidemment qu'il vaut mieux trouver un profil avec une histoire, une épaisseur. Mais il n'a pas à être nécessairement très atypique ou surhumain au niveau de ses qualités de communication. Un Poutou (on veut représenter les ouvriers donc on met un ouvrier en candidat) ou une Arthaud (prof d'éco) libérale ferait l'affaire. On a des avocats, des profs, des gens de tous métiers. On trouvera un candidat. 

 

Le programme, s'il est libéral classique, c'est déjà super et ça va détonner. Mais c'est encore un détail.

 

L'important, le frein principal, c'est l'organisation, le financement, la récolte des 500 signatures. 

Et federer les (micro)structures en place ? Nous Citoyens (quoi que...) , PLD, SFL, ce nouveau parti ? Ça en ferait du monde.

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il y a 2 minutes, G7H+ a dit :

L'important, le frein principal, c'est l'organisation, le financement, la récolte des 500 signatures. 

Quel dommage que le libéralisme ne soit pas l'image qu'en donne ses adversaires : on aurait aucun mal pour financer.

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2 minutes ago, G7H+ said:

Désolé mais le candidat on s'en fout.

 

tiens c'est bizarre, j'avais l'impression que c'etait le plus important et que le programme c'etait le moins important.

Just now, Dardanus said:

Quel dommage que le libéralisme ne soit pas l'image qu'en donne ses adversaires : on aurait aucun mal pour financer.

 

vendre du muguet !

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il y a 2 minutes, Brock a dit :

 

tiens c'est bizarre, j'avais l'impression que c'etait le plus important et que le programme c'etait le moins important.

 

Non. Voir mon premier post. Un candidat, on en trouvera. Et il y aura plein de prétendants. 

 

Le programme, ça se fait.

 

L'organisation sur des années avec une équipe de 4-100 et la récolte des 500 signatures, c'est autre chose. 

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il y a 7 minutes, G7H+ a dit :

Désolé mais le candidat on s'en fout. Je caricature un peu mais c'est un détail. Evidemment qu'il vaut mieux trouver un profil avec une histoire, une épaisseur. Mais il n'a pas à être nécessairement très atypique ou surhumain au niveau de ses qualités de communication. Un Poutou (on veut représenter les ouvriers donc on met un ouvrier en candidat) ou une Arthaud (prof d'éco) libérale ferait l'affaire. On a des avocats, des profs, des gens de tous métiers. On trouvera un candidat. 

 

 

Je ne suis pas certain que Poutou et Arthaud aient donné une image très positive à leurs idées au-delà du cercle de leurs affidés. Et c'est tout de même l'objectif non ?

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il y a 1 minute, cedric.og a dit :

Et federer les (micro)structures en place ? Nous Citoyens (quoi que...) , PLD, SFL, ce nouveau parti ? Ça en ferait du monde.

 

Tout à fait, la dispersion est mortelle, surtout lorsqu'on est (a priori) si peu nombreux.

Un objectif essentiel devrait donc être la coordination et la fédération de toutes celles et ceux qui s'identifient comme libéraux.

Un autre objectif essentiel devrait être -et je le dis crûment- l'entrisme pur et simple dans les structures existantes & dans des structures associatives diverses.

Autre objectif : la mise en place d'une plateforme de coordination des diverses actions.

 

Mais l'objectif premier, évident, celui que G7H+ évoque dans son tout premier post (et dont il doute de la faisabilité, de sorte que les fantasmes & débats sur le programme et le candidat sont non pertinents), ce sont les gens impliqués, ou, autrement dit, avant la question du comment, avant la question du "que dire", avant la question de "qui pour le dire" et "comment le dire", il faut déjà trouver un socle solide sur lequel construire.

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il y a 6 minutes, Flashy a dit :

Le premier point me paraît être l'organisation : quels objectifs ? A quelle échéance ?

 

Les législatives c'est évidemment cuit. 2022, pourquoi pas. Mais monter un parti à partir de rien relève de l'effort titanesque. Pour fixer les idées, regarder Asselineau, il lui a fallu 10 ans pour être présidentiable et faire 0.9%... Donc ça demande une motivation intense et surtout à même de durer des années (l'obstination est une condition indispensable du succès politique). Comme disait un tract situationniste, le militantisme, c'est le stade suprême de l'aliénation.

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il y a 11 minutes, G7H+ a dit :

Désolé mais le candidat on s'en fout. Je caricature un peu mais c'est un détail. Evidemment qu'il vaut mieux trouver un profil avec une histoire, une épaisseur. Mais il n'a pas à être nécessairement très atypique ou surhumain au niveau de ses qualités de communication. Un Poutou (on veut représenter les ouvriers donc on met un ouvrier en candidat) ou une Arthaud (prof d'éco) libérale ferait l'affaire. On a des avocats, des profs, des gens de tous métiers. On trouvera un candidat. 

 

Le programme, s'il est libéral classique, c'est déjà super et ça va détonner. Mais c'est encore un détail.

 

L'important, le frein principal, c'est l'organisation, le financement, la récolte des 500 signatures. 

 

A mon avis, ça fait partie du package.
Pour les 500 signatures il faut un candidat bankable qui donne envie, pour s'organiser il faudra des gens qui sont tenter par le projet et pas toujours les mêmes. Donc il faut un candidat différent, ...

C'est un tout, je ne cherche pas à dire "d'abord un candidat, ensuite un programme", je crois fortement que les deux doivent venir en même temps, ne fut-ce parce qu'il faut que le candidat puisse croire au programme proposé et non défendre un truc fait par d'autres.

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Ce que je veux dire, c'est que Poutou et Arthaud, bien qu'imparfaits, avaient l'immense mérite d'être là.

1) Ils avaient eu les 500 signatures et toute l'organisation qui va derrière. 

2) Donc ils étaient candidats. 

 

C'est le 1) qui est fondamental.

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à l’instant, Bisounours a dit :

c'est vachement important le candidat, c'est la vitrine marketing. Ça s'est pourtant confirmé le 23 avril, non ? Le beau gosse opimiste vs Droopy

Le candidat, c'est ce qu'on voit.
Ce qu'on ne voit pas, et qu'on n'a pas, c'est la grosse machine derrière qui permet au candidat d'exister.

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il y a 1 minute, G7H+ a dit :

Ce que je veux dire, c'est que Poutou et Arthaud, bien qu'imparfaits, avaient l'immense mérite d'être là.

1) Ils avaient eu les 500 signatures et toute l'organisation qui va derrière. 

2) Donc ils étaient candidats. 

 

C'est le 1) qui est fondamental.

S'il faut se démener, s'investir dans la durée pour présenter un Poutou ou une Arthaud, alors est-ce la peine ? Va pour les collectivistes, ils sont insensibles à la notion de rentabilité mais des libéraux…

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il y a 11 minutes, Brock a dit :

il faut une veste de prof

 

il y a 10 minutes, Brock a dit :

vendre du muguet !

et etc.

 

Allez, c'est bon maintenant, on a bien rigolé.

G7H+ essaie de faire un fil sérieux. Merci pour ta contribution mais il va falloir lever le niveau.

Ca vaut pour tous.

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il y a 4 minutes, Flashy a dit :

Le candidat, c'est ce qu'on voit.
Ce qu'on ne voit pas, et qu'on n'a pas, c'est la grosse machine derrière qui permet au candidat d'exister.

 

Et surtout des centaines de militants acharnés

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il y a 2 minutes, Dardanus a dit :

S'il faut se démener, s'investir dans la durée pour présenter un Poutou ou une Arthaud, alors est-ce la peine ? Va pour les collectivistes, ils sont insensibles à la notion de rentabilité mais des libéraux…

Tout à fait, le fond et la forme sont indissociables. Un bon produit ne se vend pas si le représentant-commercial est nul.

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