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[Sérieux] Un candidat libéral en 2022 ?


G7H+

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il y a 1 minute, Jukebox a dit :

Le candidat est important mais il faut éviter l'écueil "culte de la personnalité" comme Macron ou Mélenchon.

 

C'est un écueil très facile à éviter pour le moment.

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à l’instant, Dardanus a dit :

S'il faut se démener, s'investir dans la durée pour présenter un Poutou ou une Arthaud, alors est-ce la peine ?

 

La différence tient au fait que les libéraux sont (du moins j'espère) plus pragmatiques et moins victimes de l'idéologie capables d'apprendre de leurs erreurs et d'essayer de nouvelles choses pour progresser. Les Trotskystes, eux, répètent inlassablement, religieusement, le programme de transition de Trotski de 1938, sans jamais se fatiguer, sans jamais se demander pourquoi leur discours ne prend pas.

 

La folie, c'est de faire toujours la même chose en espérant un résultat différent.

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il y a 5 minutes, Johnathan R. Razorback a dit :

Les législatives c'est évidemment cuit. 2022, pourquoi pas. Mais monter un parti à partir de rien relève de l'effort titanesque. Pour fixer les idées, regarder Asselineau, il lui a fallu 10 ans pour être présidentiable et faire 0.9%... Donc ça demande une motivation intense et surtout à même de durer des années (l'obstination est une condition indispensable du succès politique). Comme disait un tract situationniste, le militantisme, c'est le stade suprême de l'aliénation.

 

Bien entendu qu'il faut de l'obstination.

Mais nous sommes humains. La procrastination est bien intégrée dans nos cerveaux. Afin de pouvoir avoir une structure qui fonctionne, il me paraît important d'en tenir compte. D'où l'importance essentielle d'un suivi, d'un planning (l'humain a tendance à bosser plus facilement lorsqu'il y a des dates butoirs et une exigence d'un rendu que lorsque l'objectif est flou, la date incertaine & l'obligation évanescente).

 

il y a 4 minutes, G7H+ a dit :

Ce que je veux dire, c'est que Poutou et Arthaud, bien qu'imparfaits, avaient l'immense mérite d'être là.

1) Ils avaient eu les 500 signatures et toute l'organisation qui va derrière. 

2) Donc ils étaient candidats. 

 

C'est le 1) qui est fondamental.

 

+100000

 

il y a 5 minutes, poney a dit :

 

A mon avis, ça fait partie du package.
Pour les 500 signatures il faut un candidat bankable qui donne envie, pour s'organiser il faudra des gens qui sont tenter par le projet et pas toujours les mêmes. Donc il faut un candidat différent, ...

C'est un tout, je ne cherche pas à dire "d'abord un candidat, ensuite un programme", je crois fortement que les deux doivent venir en même temps, ne fut-ce parce qu'il faut que le candidat puisse croire au programme proposé et non défendre un truc fait par d'autres.

 

Oui, tout est lié. Mais la tâche est titanesque, comme cela a été relevé (et ne sera pas, je pense, contesté). De ce point de vue, il me paraît plus simple de "décomposer" le gros problème en de nombreux petits problèmes à résoudre. De l'action multiple pour résoudre ces petits problèmes émergera la synthèse si difficile à trouver lorsqu'on se saisit d'un coup du problème en entier.

 

il y a 2 minutes, Dardanus a dit :

S'il faut se démener, s'investir dans la durée pour présenter un Poutou ou une Arthaud, alors est-ce la peine ? Va pour les collectivistes, ils sont insensibles à la notion de rentabilité mais des libéraux…

 

Le point, c'est d'avoir une organisation, à cette dernière de faire la synthèse pour proposer quelque chose correspondant au marché électoral sans pour autant dénaturer l'essence de ce qu'on propose.

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J'aime beaucoup ce projet.  Quelques éléments :

 

Si on veut agir il nous faut des militants et une culture militantes. Ce n'est pas inné et cela s'apprend. C'est cela qui nous permet de diffuser nos idées sur le terrain. Pour cela trois choses: le collectif Antigone (dont le but est de créer une culture militante), l'IFP (de droite mais une bonne base) et SFL.

 

Veux t on une candidature troll (mode Arthaud) avec un programme hard core ou une candidature plus raisonnable ? Je penche pour la 2nd solution qui decoiffera tout autant. 

 

Il nous faudrait une structure dédiée afin de garder le côté a partisans de l'association. 

 

Pour le programme dsl mais mauvaise gestion de celui pour 2017. Pour 2022 je suis disponible pour aider !

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il y a une heure, Bézoukhov a dit :

Le risque subordonné, c'est que si on sort un Liborgien ou assimilé, les fouilles-merde de Quotidien lui mettront sous le nez un débat où il a trollé ou fait du liborg. Dur de faire survivre une campagne sérieuse à "Mais vous avez bien gagné le titre du meilleur posteur de playmates de l'année ?"

 

Après, mettre au point une forme de politburo centralisé capable de filer un coup de main à des libéraux investis dans des partis / dans de l'associatif, ça peut être pas mal. Je pense que sur 5 ans, ça ne portera aucun fruit, mais avec un effort maintenu sur 10/15 ans, peut-être...

 

Euh, on est pas des teubés, non plus. Si on présente un liborgien, on clean tout. Bon, sinon, comment ont fait les Asselineau et Cheminade ? C'est ce genre de candidats qu'il faut copier. D'ailleurs, on voit bien avec le premier qu'un candidat libéral n'aurait pas à rentrer dans les détails : il devrait parler inlassablement des mêmes trucs : baisse d'impôts, création de jobs via libéralisation et fiscalité attrayantes et dépénalisation des drogues (par exemple) pour faire bugger tout le monde et interpeller.

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Mmmh :

à l’instant, Johnnieboy a dit :

 

 il devrait parler inlassablement des mêmes trucs : baisse d'impôts, création de jobs via libéralisation et fiscalité attrayantes et dépénalisation des drogues (par exemple) pour faire bugger tout le monde et interpeller.

 

Les trois premiers trucs sont des choses qu'on entend à chaque élections du centre gauche jusqu'à la droite, ça n'a rien nouveau et ça n'interpellera personne

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2 minutes ago, Johnnieboy said:

 

Euh, on est pas des teubés, non plus. Si on présente un liborgien, on clean tout. Bon, sinon, comment ont fait les Asselineau et Cheminade ? C'est ce genre de candidats qu'il faut copier. D'ailleurs, on voit bien avec le premier qu'un candidat libéral n'aurait pas à rentrer dans les détails : il devrait parler inlassablement des mêmes trucs : baisse d'impôts, création de jobs via libéralisation et fiscalité attrayantes et dépénalisation des drogues (par exemple) pour faire bugger tout le monde et interpeller.

D'ailleurs, le "libéralisme social", c'est ça qui pourrait le plus marcher. 

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Après tout si même des energumènes comme Poutou et Arthaud arrivent à se présenter pourquoi pas un candidat libéral, on peut pas être plus ridicules qu'eux, c'est déjà ça.

 

Mais, comme je l'ai déjà dit à de nombreuses reprises, le point le plus fondamental est de présenter un programme radical, parce que c'est ce qui attire les masses (je ne vois pas en quoi le pragmatisme serait plus efficace pour gagner des élections, surtout en ce moment), et parce que rien d'autre qu'un programme radicalement libéral ne serait justifié dans le niveau abyssal de socialisme qui existe en France à l'heure actuelle et qui ne fera que s'accroître dans 5 ans. Je demande pas forcément un Ron Paul mais en tout cas un candidat qui propose un programme radical à l'échelle française, si ça fait peur aux gens tant pis, le but est de faire parler de nos idées et de toute façon les centristes ne font rêver personne.

 

Il faut une personnalité charismatique qui sache faire passer le message, sans pour autant avoir besoin de tomber dans le culte de la personnalité.

 

Ah oui et la sortie de l'UE doit être dans le programme, c'est important. Ca va totalement déstabiliser et intriguer les gens et leurs idées reçues de voir un ultra-libéral anti-UE.

 

il y a 3 minutes, PABerryer a dit :

Veux t on une candidature troll (mode Arthaud) avec un programme hard core ou une candidature plus raisonnable ? Je penche pour la 2nd solution qui decoiffera tout autant. 

 

Ca dépend de ce que t'entends par raisonnable, si c'est du Rama Yade alors clairement non, mais comme mentionné précédemment un libéral classique ce serait parfait, et déjà assez radical.

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à l’instant, poney a dit :

Mmmh :

 

Les trois premiers trucs sont des choses qu'on entend à chaque élections du centre gauche jusqu'à la droite, ça n'a rien nouveau et ça n'interpellera personne

 

Un candidat libéral ne se démarquerait pas tant pas ses propositions que par son opposition à tous les autres. Notre rhétorique est inconnue du public, elle surprendra forcément. Le but serait de toucher tous les libéraux qui s'ignorent, de leur dire : "Voyez, d'autres pensent comme vous !", pas de convaincre la France.

 

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il y a 1 minute, Extremo a dit :

Je demande pas forcément un Ron Paul mais en tout cas un candidat qui propose un programme radical à l'échelle française, si ça fait peur aux gens tant pis, le but est de faire parler de nos idées et de toute façon les centristes ne font rêver personne.
 

 

Macron est pourtant un centriste qui a su faire rêver suffisamment de gens.

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Citation

- Collecter des informations sur le savoir-faire : il faut bien comprendre les règles électorales, les contraintes financières et administratives, les besoins d'une campagne en temps, en argent, en ressources humaines, en ressources matérielles, comment les autres partis/candidats font, les best practices opérationnelles. Pour ce faire, il va falloir prendre l'information là où elle est est. Donc il faut interroger de l'extérieur ceux qui savent à l'intérieur des partis, par exemple lors d'une interview Contrepoints. Il faut aussi que ceux qui veulent deviennent bénévoles dans des partis politiques dans des rôles opérationnels. Il faut enfin que nous attirions à nous des gens d'autres partis qui ont cette expérience, qui sont motivés et équilibrés mais qui en ont assez de ne pas avoir de vrai candidat libéral.

 

Ce premier point peut être décomposé en sous-objectifs :

 

- comprendre les règles électorales (de chaque élection?) ;

- comprendre les contraintes financières et administratives (d'un parti? D'une élection?) ;

- les besoins d'une campagne en temps et en argent, en ressources humaines, en ressources matérielles ;

 

Ce premier point peut aussi être décomposé en moyens déjà identifiés :

 

- recenser les "best practices" opérationnelles chez autrui ;

- prendre l'information là où elle est, avec deux approches : de l'extérieur (interroger ceux qui savent) ou de l'intérieur (devenir un sachant soi-même en arrivant à atteindre un rôle opérationnel dans un parti existant), en interne (acquisition des savoirs par le militant) ou en externe (amener du dehors le militant qui sait en notre sein).
 

Citation

- Collecter des bases de données : il va falloir pêcho un max de base de données, c'est l'un des nerfs de cette guerre. Nom, adresse, tél, email des mairies/des maires de France, conseillers municipaux, députés, sénateurs, électeurs, membres des partis dont on estime que l'électorat pourrait être séduit par un message vraiment libéral. Certaines bases de données s'achètent. D'autres sont disponibles mais il faut les chercher. 

 

 

Je classe ça dans la catégorie "objectifs".

Ce point pose une question de ressources : ressources humaines, ressource temps, ressource argent.

Citation

- Il va falloir accumuler de l'expérience : on va demander aux volontaires de créer des comités locaux le plus rapidement possible en 2017-2018. Il vont devoir les animer. Le simple fait de les faire vivre va développer chez ces volontaires des réflexes, une connaissance, un savoir-faire pratique qui va être utile lors de la campagne. Ces comités locaux peuvent avoir une forme partisane ou non-partisane. Par exemple, une forme non-partisane peut être une asso de quartier sur des thèmes libéraux municipaux et nationaux pour comprendre ce que veulent les Français, leurs priorités, tester et adapter la formulations de nos mesures libérales et accumuler de la base de donnée sur ces électeurs potentiels. Il va aussi falloir que ces volontaires jouent un rôle/se présentent à toutes les élections locales, peu importe ce qu'elles sont, qui vont avoir lieu entre 2017 et 2022. En 2020-2021, on aura ainsi un maillage de 100-1000 libéraux locaux avec une connaissance poussée des règlements électoraux, des base de données de ouf sur les électeurs potentiels, une connaissance personnelle des maires et des élus locaux.

 

On passe à un niveau mise en oeuvre.

On peut décomposer la chose comme suit, à mon sens :

 

- identifier les volontaires ;

- désigner les volontaires adéquats ;

- désigner quelqu'un pour s'assurer du suivi des comités locaux et des résultats obtenus.
 

Citation

 

- Il va falloir dissocier l'opérationnel et le candidat. Il y a le candidat : c'est un singe savant, il dit ce qu'on lui dit de dire et fait ce qu'on lui dit de faire. Il est recruté sur son capital sympathie, sur son profil, sur son histoire personnelle que l'on va marketer, sur sa résistance au stress, sur le fait qu'il est raisonnable, modéré et intelligent, sur son sens de l'empathie, sur sa capacité d'apprendre vite, sur sa façon de s'exprimer, d'inspirer confiance et respect, sur sa loyauté. Il est remplaçable à l'envi et sans ménagement s'il fait sa diva ou s'il part en sucette. Et il y a l'équipe de campagne qui est à la tête du truc, qui planifie, centralise, qui définit la ligne, la stratégie et la tactique. Le candidat ne décide de rien en matière de campagne. Et l'équipe de campagne ferme sa mouille face aux caméras. Chacun a été recruté sur ses compétences pour des fonctions précises ; chacun reste à sa place et se concentre sur son job ; chacun est remplacé s'il fait des conneries. Il y a enfin les savants du libéralisme qui se mettent d'accord sur une plateforme. Ce sera à l'équipe de campagne de la tourner en programme, de le spinner, marketer, framer au mieux et au candidat de l'incarner.  


 

 

Je m'en soucierai que dans un ultime temps.

Idem pour la partie "500 signatures".
Le premier objectif opérationnel bien identifié, c'est la création de comités locaux. C'est un objectif plus modeste, réalisable & absolument nécessaire.

 

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il y a 1 minute, PABerryer a dit :

Une chose à la fois, les slogans et le détail du programme ne sont pas prioritaire. Il nous faut une organisation, un plan et des gens dedans. 

 

Exactement. Sur combien de personnes pourrions-nous véritablement compter ? Mesurer nos forces est la première chose à faire.

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à l’instant, Dardanus a dit :

Macron est pourtant un centriste qui a su faire rêver suffisamment de gens.

 

Oui mais Macron n'était pas un outsider, il était déjà dans le gouvernement Hollande et en quelque sorte dans le "système", quand on est un outsider il faut être radical pour faire parler de soi car sinon on reste dans l'ombre.

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il y a 5 minutes, Extremo a dit :

Après tout si même des energumènes comme Poutou et Arthaud arrivent à se présenter pourquoi pas un candidat libéral, on peut pas être plus ridicules qu'eux, c'est déjà ça.

 

Mais, comme je l'ai déjà dit à de nombreuses reprises, le point le plus fondamental est de présenter un programme radical, parce que c'est ce qui attire les masses (je ne vois pas en quoi le pragmatisme serait plus efficace pour gagner des élections, surtout en ce moment), et parce que rien d'autre qu'un programme radicalement libéral ne serait justifié dans le niveau abyssal de socialisme qui existe en France à l'heure actuelle et qui ne fera que s'accroître dans 5 ans. Je demande pas forcément un Ron Paul mais en tout cas un candidat qui propose un programme radical à l'échelle française, si ça fait peur aux gens tant pis, le but est de faire parler de nos idées et de toute façon les centristes ne font rêver personne.

 

 

Le débat pur/pragmatique n'est pas pertinent. Il faut déjà réussir à mettre en branle une organisation qui puisse faire travailler ensemble les uns et les autres, malgré parfois des divergences d'opinion sur le périmètre exact de l'Etat etc.

Sans cette organisation-là, le reste ne sera que littérature.

 

De ce point de vue, le critère me paraît simple : la ligne défendue dépendra de ceux qui s'investissent et des efforts fournis. Les plus présents et actifs sont ceux qui, de fait, pèseront le plus.

 

 

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il y a 4 minutes, Flashy a dit :

 

Le débat pur/pragmatique n'est pas pertinent. Il faut déjà réussir à mettre en branle une organisation qui puisse faire travailler ensemble les uns et les autres, malgré parfois des divergences d'opinion sur le périmètre exact de l'Etat etc.

Sans cette organisation-là, le reste ne sera que littérature.

 

Evidemment qu'avant il faut toute une organisation derrière. Mais le débat pur/pragmatique (ou plutôt radical/pragmatique, le but n'étant pas d'avoir une pure utopie libertarienne dès 2022) est très important, le PLD a choisi le pragmatisme et ça ne donne aucun résultat.

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Il y a 2 heures, G7H+ a dit :

Un sujet pour ceux qui trouvent aberrant que l'on arrive pas à présenter un candidat libéral. Surtout quand on voit les quelques extra-terrestres qui étaient candidats en 2017.

[..]

 

Quoi qu'il arrive, je trouve ça bien d'avoir dans les cartons un projet de candidature à la présidentielle, rien pour se motiver à construire un programme, des supports de com, nécessaires pour simplement mobiliser les gens et instiller l'idée que c'est possible de faire quelque chose.

 

Le plus grosse difficulté, amha, c'est de trouver la personne. Une personne qui devrait dès maintenant prendre la posture d'une personne publique, et avoir une communication publique, notamment avec des vidéos de qualité permettant de faire circuler un nom, un visage, et les fondations du projet. Mais je ne crois pas au candidat marionnette. Au delà de l'investissement personnel, une campagne électorale, c'est un stress et une fatigue monstre. Et au bout d'un moment, peu importe ce que l'équipe t'apporte, ce sont les tripes qui parlent avant tout. Quand le candidat va se taper, bon an mal an, une matinale à la con avec quelques minutes pour caser un peu de contenu tout en ferraillant avec des journalistes hostiles, c'est impossible qu'il réagisse correctement en étant simplement "formaté". C'est un coup à se retrouver avec soit quelqu'un qui se barre en plein milieu, soit quelqu'un qui passe pour un con car il finit par dire toujours la même chose, quelle que soit la question, ce que j'appellerais le syndrome de "l'horloge parlante", caractéristique des porte-paroles des grands groupes.

 

Pour les 500 signatures, il faudra surtout étudier l'étendue du verrouillage des partis sur les signatures. Un élu ne signera pour personne si ça risque de lui couter sa place. Aussi, la 3ème campagne de cheminade risque de laisser des traces. Il y a un risque que les maires, même les plus inexpérimentés deviennent plus méfiants vis à vis des petits candidats.

 

Après, se lancer la dedans tout en voulant rester complètement apolitiques ... ça ne serait pas le moindre des paradoxes. Ca impliquerait plutôt de partir, non sur une campagne avec un nom, mais plutôt sur une campagne avec un slogan, autours du vote blanc et du rejet de la politique par exemple, sans afficher directement le libéralisme. Une campagne complètement négative. Ca serait peut-être même plus simple, au final, de trouver des signatures en partant sur cette ligne. Plus simple aussi de faire passer le coup du candidat "jetable". Après, tout ça se ferait au détriment de la clarté du message ...

 

Le gros défaut de cette approche, c'est de se retrouver du mauvais côté du rapport de force. L'approche inverse, c'est zemmour et naulleau. Une émission politique qui réussit à faire venir, en continu, les personnes installées, et expose ces personnes autant que le public à la vision du monde des chroniqueurs, même si ces derniers ne sont représentatifs (encore que je puise me bercer d'illusion sur cette dernière affirmation). Je vois plutôt l'avenir du libéralisme dans des "niches" où celui-ci aurait simplement le droit d'exister, sans concession, sans excuses, aussi petites soient-elles au départ.

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Il y a 1 heure, Dardanus a dit :

Sur ce forum on trouve beaucoup de jeunes gens très déconnectés du monde réel. Un candidat libéral serait suffisamment décoiffant en s'en tenant à une positon libérale classique.

Oui.

Et il faudrait avoir au maximum 2 ou 3 thèmes simples, pas plus.

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Encore une fois la candidature la plus cheap c'est Lasalle (peu d'argent, peu de militant), mais c'est grace à sa notoriété locale, je ne sais pas si il existe une personnalité similaire qu'on pourrait hijacker pour le libéralisme. On voit que YAde était un peu connu, mais sans implantation. Après y a aussi le porblème des pressions sur les maires, si la candidature est vue comme dangereuse.

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il y a 58 minutes, PABerryer a dit :

Pour le programme dsl mais mauvaise gestion de celui pour 2017. Pour 2022 je suis disponible pour aider !

 

Il y a 1 heure, Flashy a dit :

Nous avions commencé à rédiger un programme pour 2017 ; cela n'a pas abouti, faute de planning (je pense).

 

Ce n'est certainement pas du travail perdu, pas de raisons que ce que vous avez effectué ne serve pas plus tard. :)

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