Aller au contenu

Les finances des écoles privées US


Messages recommandés

A year ago, the president signed legislation ending subsidies for private banks giving federally guaranteed student loans—making the federal government, not banks, the lender of choice for most students. You can still get private bank loans for your college education, but since they no longer are backed by the U.S. government, private loans aren't as good a deal anymore; most are variable rate loans that require a co-signer and are difficult to qualify for. So it doesn't take a rocket scientist to see why most kids take out federal student loans from the Department of Education now, and leave the bank loans as a last resort.

 

Tu la sens ma grosse déformation du marché des études universitaires? 

 

https://www.usnews.com/opinion/articles/2011/11/23/why-the-government-is-to-blame-for-high-college-costs

  • Yea 1
Lien vers le commentaire
il y a 12 minutes, Hayek's plosive a dit :

Les prix partent vraiment au plafond depuis qu'ils ont instauré cette garantie.

 

Tu as des graphiques ou quoi ? (j'ai juste la flemme de chercher)

 

Citation

 

Et l'autre point n'est évidemment pas une cause mais une conséquence à cramer du pognon n'importe comment. Mauvaise allocation du capital symptomatique d'une bulle comme l'a déjà dit Tramp.

 

Ca a toujours existé, encore une fois. Je connais pas tous les débats de gogol qui a pu avoir dans l'histoire des universités, mais je connais un peu, de loin, les débats autour du dvp de l'Afrique dans les années "tiers mondistes" (55-75), les Walter Rodney, les Nation of Islam et autre panafricains/afrocentristes/... crois moi, le niveau de gogolerie n'a rien a envier à celui d'aujourd'hui (il y a cependant une grosse différence à mes yeux : les sjw d'aujourd'hui sont pour la plupart des gosses de privilégié sans soucis qui s'emmerdent alors que les afro de la ségrégation avaient de bonnes raisons d'en vouloir aux wasp même si leurs méthodes étaient pourries).

Lien vers le commentaire

Les leaders de 68 coté US étaient plutot des privilégiés aussi.

La différence aussi c'était qu'ils étaient pour la liberté d'expression (Free speech mouvement).

Fallait payer le salaire Marcuse déjà, mais je pense pas que c'était un gros poste.

 

Pour le reste cette "bulle" c'est aussi le fétichisme des noms d'université qui sont courtisés pour leur prestiqe et leur réseau, plus que pour ce qu'on y apprend vraiment, espèrons que les Moocs ou autres calment un peu tout ça (les rh pourraient faire leur boulot aussi, mais c'est beaucoup en demander). Je pense aussi que les sjw sont plus un symptome qu'une cause de l'inflation des prix.

Lien vers le commentaire
il y a 57 minutes, Hayek's plosive a dit :

On parle pas de ça ici. Ou alors il y avait des gugusses payés dans les unis pour parler sensibilisation au tiers-mondisme et à la ségrégation? M'est avis que non.

 

Walter Rodney c'était l'équivalent pour l'époque de Bidule Machin inclusive transfluidegenre trigger warning safe space gender studies ecofluffly.
La différence c'est qu'on peut encore débattre avec le bouquin de Rodney et que le sujet de fond était les droits civils.

Je dis ça parce que le "c'est la faute aux sjw qui provoque une mauvaise allocation de la recherche", ben, jte dis que ça a toujours plus ou moins existé.

Lien vers le commentaire
  • 4 weeks later...
  • 1 year later...

Est-il exact, comme expliqué au journal de TF1 récemment, que la dette contracté par les étudiants aux Etats-Unis ( plus de 1,5 milliards de dollars empruntés) est une véritable bombe à retardement pour l'économie.

En cas de défaillance des remboursements de cette dette auprès des banques ce serait, selon TF1,  pire que la crise des subprimes.

Lien vers le commentaire
il y a 3 minutes, kaleidoskop a dit :

Est-il exact, comme expliqué au journal de TF1 récemment, que la dette contracté par les étudiants aux Etats-Unis ( plus de 1,5 milliards de dollars empruntés) est une véritable bombe à retardement pour l'économie.

1.5 billions (trillions en échelle courte).

Et non : toute cette dette (enfin, >90%) est garantie par le gouvernement US donc au pire des cas ce sera assimilé à des T-Bonds.

il y a 3 minutes, kaleidoskop a dit :

En cas de défaillance des remboursements de cette dette auprès des banques ce serait, selon TF1,  pire que la crise des subprimes.

TF1 lol.

Pour les subprimes, les banques et assurances portaient le risque des MBS, CDO et CDS dans leurs bilans. Les student loans sont déjà backés par le gouvernement donc le risque ne pèse pas sur les banques.

Lien vers le commentaire
il y a 2 minutes, Neomatix a dit :

En re-empruntant, oui.

Si le gouv US fait défaut sur ses obligs, on aura de plus gros chats à fouetter que les student loans.

 

 

Lien vers le commentaire

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
×
×
  • Créer...