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Netflix désormais plus lourd en bourse que Disney.


Alchimi

Messages recommandés

il y a 8 minutes, Gilles a dit :

de l'autre côté le fait de prendre de force le fruit du travail de la personne contre son avis

 

Effectivement, tu ne parles pas Francais.

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à l’instant, Tramp a dit :

 

Effectivement, tu ne parles pas Francais.

 

Ah, pirater un logiciel contre les protections de son développeur c'est pas une opération de force, maintenant. De mieux en mieux :D  

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il y a 1 minute, Gilles a dit :

 

Ah, pirater un logiciel contre les protections de son développeur c'est pas une opération de force, maintenant. De mieux en mieux :D  

 

Le gars qui regarde en streaming ou télécharge en P2P ne pirate rien.

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il y a 1 minute, Tramp a dit :

 

Le gars qui regarde en streaming ou télécharge en P2P ne pirate rien.

 

Joli détournement de conversation pour éviter le sujet des logiciels piratés. Un petit problème de justification ?:) 

Puis c'est comme les marchandises "tombées du camion", oui. "c'est pas ma faute, c'était trop facile".

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il y a 2 minutes, Gilles a dit :

 

Joli détournement de conversation pour éviter le sujet des logiciels piratés. Un petit problème de justification ?:) 

Puis c'est comme les marchandises "tombées du camion", oui. "c'est pas ma faute, c'était trop facile".

 

Le sujet de la conversation c'est Netflix vs Disney. C'est toi qui a détourné avec tes logiciels. 

Strawmen, hyperbole, doutage de liberalisme, non-sequitur et maintenant, moving the goal post. Il te reste quoi ? M'appeler Hitler ?

 

il y a 4 minutes, Gilles a dit :

Puis c'est comme les marchandises "tombées du camion", oui. "c'est pas ma faute, c'était trop facile

 

Les biens abandonnés peuvent être appropriés. Ou alors tu essaies encore d'utiliser un mot pour dire son contraire ?

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1 hour ago, Gilles said:

 

 

Vous êtes vraiment infoutus de comprendre une différence aussi simple ou quoi ?

Il y a une différence entre prôner le téléchargement illégal (arrêtons de parler de piraterie, bordel) et prôner une légalisation d'une certaine forme de celle ci.

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il y a une heure, Rübezahl a dit :

Bref, je me sers copieusement dans le milieu (ce qui est normal, pas de souci là)

... mais ensuite je fais comme si mes idées avaient émergé du néant et méritaient à ce titre protection etc.

Ah bah ca les artistes aiment bien entretenir le flou sur leurs inspirations pour exacérber leur talent (ca peut aussi venir des préférences des consommateurs)

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J'avoue que mon raisonnement n'est pas logique. J'encourage d'un côté les libristes à poursuivre en justice les fraudeurs tandis que de l'autre je ne veux pas que l'état se mêle de PI / droits d'auteurs. Je suis confus !

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il y a 33 minutes, cedric.og a dit :

Il y a une différence entre prôner le téléchargement illégal (arrêtons de parler de piraterie, bordel) et prôner une légalisation d'une certaine forme de celle ci.

 

Oui, mais au final on revient souvent aux "moi je". Il fut un temps où la situation était vraiment dégueu, le streaming n'existait pas, la situation état une situation d'oligopole, sans innovation. Pour la musique ,les films, pas moyen de se procurer quelque chose sans raquer à mort. Les gens râlaient, demandaient des licences globales, du streaming, etc.

Aujourd'hui, tout ça existe. De nouveaux acteurs sont arrivés, ont amené la concurrence. Pour quelques euros, on a du streaming et du download illimité en musiques, films, séries, etc. Et il y a encore des irréductibles pour se plaindre et estimer que tout doit leur venir gratuitement. Pour ceux-la, on voit bien que peu importe les services qu'ils auront à disposition, ça ne sera jamais assez. C'est juste du "moi je veux".

(bon heureusement, faisant partie de cette génération qui a connu Kazaa et compagnie, je vois bien que l'écrasante majorité autour de moi se réjouit des nouveaux marchés légaux et n'hésite pas à payer pour ce qu'ils aiment, même les plus socialistes d'entre-eux)

 

Tiens d'ailleurs, c'est pareil pour les livres et les BD. Pour les thuriféraires du tout-gratuit-pour-moi, c'est comme pour les films: si un auteur sort un livre ou un dessinateur une BD en espérant vivre de son travail, il suffit de la photocopier. N'importe qui peut la distribuer, et l'auteur peut tenter de survivre d'amour et d'eau fraîche pendant qu'un petit Tramp lui expliquera qu'il n'avait qu'à choisir un autre business model.

  • Nay 1
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il y a 18 minutes, ttoinou a dit :

J'avoue que mon raisonnement n'est pas logique. J'encourage d'un côté les libristes à poursuivre en justice les fraudeurs tandis que de l'autre je ne veux pas que l'état se mêle de PI / droits d'auteurs. Je suis confus !

 

Quelque part on pourrait aussi imaginer des systèmes de droits d'auteur régis par des compagnies privées. C'est pas forcément contradictoire. Un contrat logiciel reste un contrat, qu'on peut faire respecter.

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il y a 15 minutes, Gilles a dit :

Tiens d'ailleurs, c'est pareil pour les livres et les BD. Pour les thuriféraires du tout-gratuit-pour-moi, c'est comme pour les films: si un auteur sort un livre ou un dessinateur une BD en espérant vivre de son travail, il suffit de la photocopier. N'importe qui peut la distribuer, et l'auteur peut tenter de survivre d'amour et d'eau fraîche pendant qu'un petit Tramp lui expliquera qu'il n'avait qu'à choisir un autre business model.

 

Exactement. 

 

On n'a pas eu besoin du droit d'auteur pour avoir Aristote ou Platon, ils n'ont pas vécu de la vente de leurs livres.

Ils feront comme des générations d'auteurs avant eux : ils bosseront à côté (Zola était journaliste) ou se trouveront un mécène. Et si les feuilletons revenaient, ça donnerait peut-être un nouveau souffle à la presse écrite.

Tropporible.

 

Je te ferais remarquer qu'on peut revendre ses livres et les prêter. On peut même les revendre plus cher qu'on les a acheté. Scandaleux hein ?

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il y a 50 minutes, ttoinou a dit :

Ah bah ca les artistes aiment bien entretenir le flou sur leurs inspirations pour exacérber leur talent

Faux. Tant historiquement que culturellement.

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2 hours ago, Gilles said:

Tiens d'ailleurs, c'est pareil pour les livres et les BD. Pour les thuriféraires du tout-gratuit-pour-moi, c'est comme pour les films: si un auteur sort un livre ou un dessinateur une BD en espérant vivre de son travail, il suffit de la photocopier. N'importe qui peut la distribuer, et l'auteur peut tenter de survivre d'amour et d'eau fraîche pendant qu'un petit Tramp lui expliquera qu'il n'avait qu'à choisir un autre business model.

Pendant ce temps, dans le monde réel

 

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Il y a 5 heures, Gilles a dit :

 

Certainement pas. Nombre de logiciels fournissent un service unique. Tu les installes sur ton PC, et c'est tout. 

Un jeu en solo par exemple, type World of goos. Aucun service à fournir avec, tu l'achètes comme tu achètes une voiture ou un objet fonctionnel: pour en profiter dans ton coin. Si le jeu se fait pirater, les créateurs sont morts, et ce serait normal ?

 

Et ça ne sert à rien d'utiliser le logiciel libre comme argument, ça n'a rien à voir avec la choucroute. C'est quelque chose de très bien, j'ai moi même pas mal été dans des communautés du LL (où je me battais pour expliquer que c'était liberhallal à desg ens qui croyaient que c'était communiste, d'ailleurs :) ), mais c'est totalement complémentaire de logiciels privatifs. Et surtout, chaque producteur a la liberté de choisir ce qu'il fait de son oeuvre, s'il veut partir sur un modèle libre ou fermé (c'est d'ailleurs un peu dingue de me retrouver à devoir dire une chose aussi basique sur ce forum, d'ailleurs).

 

 

Sauf qu'il ne s'agit pas d'idées mais de création.

 

Taratata, toujours le mélange entre la création elle-même (la production du film, qu'on finance et qu'il y a largement moyen de rendre rentable avant la première diffusion) et la diffusion des idées elles-mêmes qui elle n'aura aucun moyen d'imposer quoi que ce soit à qui que ce soit.

 

 

 

Il y a 5 heures, Gilles a dit :

Demain je fais un logiciel qui analyse les huîtres à partir de photos. Je le vends aux producteurs d'huîtres. Cool.

Après-demain, un mec se dit que mon idée est très bonne, il développe son propre logiciel qui fait la même chose. S'il fait mieux, il me nique, c'est le jeu de la concurrence >  tout va bien.

Si au lieu de ça le mec ne développe pas son logiciel mais craque le mien pour vendre mon propre travail à son bénéfice, c'est de la piraterie, je suis floué, il m'a volé mon travail.

 

Non. Il a bousillé ton business model de merde assis exclusivement sur la rente pour incapacité temporaire des uns ou des autres à faire une copie d'une idée. Ce qui vaut quelque chose, c'est la mise en pratique, en production, de ton idée, pas ton idée. Ce que tu peux monnayer, c'est ton expertise, ton savoir faire. Si ton business model repose sur le fait d'avoir fait un soft et que personne n'a besoin de toi, ton savoir ou quoi que ce soit pour l'utiliser, c'est que tu as mal choisis ton business model, c'est tout. C'est encore une fois le coup du phare : j'émets de la lumière DONC tu dois me payer.

 

Il y a 5 heures, Gilles a dit :

Vous êtes vraiment infoutus de comprendre une différence aussi simple ou quoi ?

 

Apparemment, c'est bel et bien toi qui revient avec des exemples toupourÿs qui ont déjà été démontés, qui plus est dans le monde réel.

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il y a 43 minutes, ttoinou a dit :

+1

Seulement pour les biens rivaux. Les idées, les méthodes de calcul, les logiciels, les recettes de cuisine n'en font pas partie, hein.

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il y a 36 minutes, h16 a dit :

Seulement pour les biens rivaux. Les idées, les méthodes de calcul, les logiciels, les recettes de cuisine n'en font pas partie, hein.

Proprieté intellectuelle est oxymorique

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Il y a 6 heures, Gilles a dit :

 

Autant aller jusqu'au bout de la logique: Propriété  = Monopole. Abolissons la propriété. :) 

 

IP = privilege du prince.

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Il y a 5 heures, ttoinou a dit :

Proprieté intellectuelle est oxymorique

 

C'est simplement que ca n'a pas de sens. Même le droit actuel le reconnaît. Le droit d'auteur n'est pas de la propriété quant aux inventions, on est propriétaire du brevet qui est un bien physique et qui est le fait du prince, pas de l'invention ou du concept. Toute la legislation qui en découle le reconnaît aussi. Enfreindre des brevets ou le droit d'auteur n'est du vol que dans la propagande de l'industrie. Légalement ça n'en est pas du tout. 

 

Citation

Le vol simple est un délit défini par le Code pénal dans l'article 311-1 : « Le vol est la soustraction frauduleuse de la chose d'autrui ».

 

Copier un film ou un logiciel ne rentre évidemment pas dans cette definition : rien n'est soustrait et un concept n'est pas une chose. De même, on ne peut pas voler du travail.

Après on peut réinventer la propriété privée comme les communistes le font avec la propriété personnelle. 

  • Yea 1
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Un film (comme un logiciel d'ailleurs) est une chose.

Si un créateur décide de vendre son film (dans le sens il faut payer pour être spectateur), si tu regarde en téléchargement/streaming illégal, sans payer le prix du ticket que le créateur a défini, sans autorisation du créateur, c'est donc du vol, (ou du piratage, peu m'importe), assimilable à voler un livre en librairie.

Je ne vois pas comment on peut soutenir le contraire.

 

A la lecture de ce fil j'ai noté plusieurs avis concernant le métier d'auteur et de la création artistique à peu prés du même acabit que le rapport qu'un gaucho étudiant de fac de lettre en socio aurait concernant, pêle-mêle et en bloc, l'industrie, la banque et les métiers de la finance, à savoir une ignorance teintée de mépris et de fantasmes. C'est bien dommage.

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Pour revenir autour du débat sur la PI, je vais prendre l'exemple des cryptomonnaies. Mettons que j'ai acheté 1 bitcoin. Est-ce que je le possède réellement au sens de propriété d'un objet réel que l'on peut me voler/soustraire ? Est-ce que la clé de mon portefeuille est ma propriété aussi, ie puis-je attaquer quelqu'un, parce qu'il a bruteforcé ma clé (hypothèse hein), pour l'empêcher d'en faire usage ?

Je pose ces questions, parce qu'autant il me paraît évident que l'or que je possède est ma propriété. Autant pour le bitcoin que je possède, eh bien je ne possède rien de concret pour ainsi dire.

Alors certes la crypto n'est pas une idée ou une œuvre ou un procédé, etc. Mais elle n'est pas non plus matérialisée (sauf si j'achète une vraie bitcoin).

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il y a 8 minutes, Liber Pater a dit :

Autant pour le bitcoin que je possède, eh bien je ne possède rien de concret pour ainsi dire.

Posséder 1 bitcoin, c'est posséder, au sens d'être le seul connaisseur légitime (et normalement fabricant/forgeur), une clé privée donnant accès au compte/adresse sur lequel est enregistré ce bitcoin.

 

Demande aux allemands de WWII si Turing ne possédait rien de concret avec la clé de décodage de leurs messages enigma.

 

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il y a 10 minutes, Liber Pater a dit :

Pour revenir autour du débat sur la PI, je vais prendre l'exemple des cryptomonnaies. Mettons que j'ai acheté 1 bitcoin. Est-ce que je le possède réellement au sens de propriété d'un objet réel que l'on peut me voler/soustraire ? Est-ce que la clé de mon portefeuille est ma propriété aussi, ie puis-je attaquer quelqu'un, parce qu'il a bruteforcé ma clé (hypothèse hein), pour l'empêcher d'en faire usage ?

Je pose ces questions, parce qu'autant il me paraît évident que l'or que je possède est ma propriété. Autant pour le bitcoin que je possède, eh bien je ne possède rien de concret pour ainsi dire.

Alors certes la crypto n'est pas une idée ou une œuvre ou un procédé, etc. Mais elle n'est pas non plus matérialisée (sauf si j'achète une vraie bitcoin).

On va compliquer un débat pour rien... Je dirais que oui les algos de crypto te permettent de créer artificiellement des droits de propriétés sur des bouts du ledger, et ce de façon volontaire de la part des participants au système.

 

Mais difficile de prolonger les analogies avec le monde physique... Je ne dirais pas que quelqu'un qui bruteforce ta clé te voles : de ton point de vue il te vole, du point de vue de tous les autres participants il est co-détenteur du bout de ledger (avec toi et tous les autres qui ont aussi réussi à deviner)

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il y a 9 minutes, Liber Pater a dit :

Alors certes la crypto n'est pas une idée ou une œuvre ou un procédé, etc. Mais elle n'est pas non plus matérialisée (sauf si j'achète une vraie bitcoin).

Parce qu'un enregistrement, répliqué électroniquement à plusieurs milliers d'exemplaires, c'est pas un truc matériel ?

 

ça s'arrête où le matériel exactement ? dès qu'on le voit plus directement à l'oeil ? au dixième de millimètre ?

 

 

 

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