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Baccalauréat 2018


Adrian

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le bac = :icon_jump:

 

J'édite. Le sujet me plus intéressant est celui des ES "toute vérité est-elle définitive?", ce sujet aurait dû être donné aux S. 
Rien n'est plus important en sciences dures que la renonciation à la vérité, parce qu'il ne peut pas en y avoir (surtout en physique théorique).

 

Et "le désir est-il la marque de notre imperfection?" ça c'est un sujet pour libéral ahaha et donné à des S alors qu'il aurait été parfait pour les ES.

L'Ednat: epic fail since.... 

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19 minutes ago, Marlenus said:

Le début de l'article ne donne pas envi de lire

 

 tout cela pour encourager la jeunesse à singer la norme : le bla-bla superbement stérile des fils de bourgeois cultivés. 

Le bac philo est certainement le plus grand bluff que la ségrégation scolaire se paie (au prix fort) pour s'invisibiliser.

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11 minutes ago, Mathieu_D said:

Le début de l'article ne donne pas envi de lire

 

 tout cela pour encourager la jeunesse à singer la norme : le bla-bla superbement stérile des fils de bourgeois cultivés. 

Le bac philo est certainement le plus grand bluff que la ségrégation scolaire se paie (au prix fort) pour s'invisibiliser.

 

Pourtant c'est vrai. Qu'on mette ça sur le dos de la ségrégation scolaire, qui s'affirme en s'invisibilisant (lol) ou pas, la dissertation du bac de philo est un exercice rhétorique dont les contraintes rendent difficile de produire un travail conceptuel de qualité, et qui n'est jugé que selon un critère qui mélange la fausse érudition et le politique correct.

 

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11 minutes ago, Mathieu_D said:

Le début de l'article ne donne pas envi de lire

 

 tout cela pour encourager la jeunesse à singer la norme : le bla-bla superbement stérile des fils de bourgeois cultivés. 

Le bac philo est certainement le plus grand bluff que la ségrégation scolaire se paie (au prix fort) pour s'invisibiliser.

Autant sur la forme suis ok que c'est pas terrible, cette lutte des classes affichés.


Autant suis totalement d'accord sur le fond.

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Just now, Marlenus said:

Autant sur la forme suis ok que c'est pas terrible, cette lutte des classes affichés.


Autant suis totalement d'accord sur le fond.

J'ai lu la suite, je ne trouve pas les conseils mauvais effectivement.

Maintenant le vocabulaire est tellement /rolleye

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10 hours ago, Adrian said:

Des nouveaux le passe ?

Oui

 

57 minutes ago, Marlenus said:

Sais pas à quel point cette méthode marche:

Ça marche pas trop mal, mais je prends toujours le commentaire de texte quand je le peux 

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il y a une heure, Anton_K a dit :

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Je ne l'ai jamais fait mais si je devais repasser mon BAC ES je reprendrais bien le texte de Durkheim, il est intéressant. (Je ne vois pas trop l'intérêt des autres questions).

 

Mais le commentaire c'est faussement plus simple que la dissert.

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Il y a 2 heures, SilenT BoB a dit :

Rien n'est plus important en sciences dures que la renonciation à la vérité, parce qu'il ne peut pas en y avoir (surtout en physique théorique).

 

Du coup on peut raconter ce qu'on veut et appeler ça de la science.

 

https://www.google.com/search?q=let+the+relativism&client=firefox-b&tbm=isch&source=lnms&sa=X&ved=0ahUKEwj4y6ml4t3aAhVC1RQKHRFtAPIQ_AUICygC&biw=1366&bih=620&dpr=1#imgrc=0eBXpb_J5ofeCM:

 

(Et si on veut faire son pseudo-subtil foucaldien, on peut dire que la science n'est rien d'autre qu'un effet de vérité émergeant des relations de pouvoir entre le groupe des gens qui "font de la science").

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Il y a 1 heure, Anton_K a dit :

Pourtant c'est vrai. Qu'on mette ça sur le dos de la ségrégation scolaire, qui s'affirme en s'invisibilisant (lol) ou pas, la dissertation du bac de philo est un exercice rhétorique dont les contraintes rendent difficile de produire un travail conceptuel de qualité, et qui n'est jugé que selon un critère qui mélange la fausse érudition et le politique correct.

 

Moi, je dis que ces commentaires ne valent quelque chose que de la part de gens qui ont eu plus de 18 au bac :mrgreen:.

 

Il y a 1 heure, Anton_K a dit :

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il y a 24 minutes, Johnathan R. Razorback a dit :

 

Du coup on peut raconter ce qu'on veut et appeler ça de la science.

 

 

Ce n'est pas dans ce sens là que je voulais l'exprimer. Par exemple, Les équations de la relativité générale d'Einstein ne sont qu'une approximation de la réalité (donc de la vérité), pourtant c'est ce qu'on a de mieux actuellement pour comprendre la gravitation à grande échelle.
Nous ne savons ce qu'est un électron, un proton, et on se demande même si le fait de les observer ne change pas leur comportement (je te laisse regarder les fentes de Young si tu ne connais pas). Bref, en science penser qu'on détient la vérité est faux et sera certainement toujours faux puisqu'il est fort probable que pour comprendre un système il faille en être au-dehors.

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il y a 6 minutes, SilenT BoB a dit :

Ce n'est pas dans ce sens là que je voulais l'exprimer.

 

Ce que tu voulais dire ce n'est pas qu'il faille renoncer à la vérité, mais renoncer à croire que l'on détient la vérité (ce qui risquerait de nous décourager de la chercher plus précisément).

 

Mais même cette affirmation est inexacte. Pour faire quelque progrès que ce soit dans la connaissance, il faut partir de choses qui soient vraies. On ne peut estimer qu'on est radicalement dénué de toute connaissance vraie.

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3 minutes ago, Johnathan R. Razorback said:

 

 Pour faire quelque progrès que ce soit dans la connaissance, il faut partir de choses qui soient vraies. On ne peut estimer qu'on est radicalement dénué de toute connaissance vraie.

et là tu sors:

 

"Je pense, donc je suis" pour avoir ton quota de citations.

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il y a 39 minutes, Johnathan R. Razorback a dit :

 

Ce que tu voulais dire ce n'est pas qu'il faille renoncer à la vérité, mais renoncer à croire que l'on détient la vérité (ce qui risquerait de nous décourager de la chercher plus précisément).

 

Mais même cette affirmation est inexacte. Pour faire quelque progrès que ce soit dans la connaissance, il faut partir de choses qui soient vraies. On ne peut estimer qu'on est radicalement dénué de toute connaissance vraie.

 

Pourtant si, on considère des choses comme vraie mais le sont-elles vraiment? Ce que nous considérons comme vrai sont en fait des approximations du réel et donc de la vérité. 

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il y a 5 minutes, SilenT BoB a dit :

Ce que nous considérons comme vrai sont en fait des approximations du réel et donc de la vérité. 

 

Le principe de non-contradiction est une approximation du réel ?

 

(Et qu'on ne vienne pas me faire une objection solipsiste. Même si ma conscience est la seule réalité et qu'il n'y a pas de monde extérieur, le principe de non-contradiction marche encore).

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Il y a 3 heures, Marlenus a dit :

 

Le mec réussit à faire passer un cours de méthodologie de la dissert pour une filouterie ! Bravo à lui si ça permets à quelques lycéens d'avoir une meilleure note. Mais ce qu'il propose n'est pas de la manipulation du correcteur... c'est juste une bonne maîtrise de l'exercice. C'est même presque exactement ce qu'on nous apprend en cours de méthodo en L1 de philo.

 

Par contre il exagère un peu sur le "philosophiquement correcte"... je suis peut-être un peu idéaliste, mais je n'ai pas l'impression qu'il y ait des thèses interdites. Ce que le correcteur cherche à vérifier, c'est 1) que le lycéen a un minimum retenu ce qu'il est sensé avoir vu en cours, mais ce n'est vraiment pas le plus important, surtout au lycée (sauf gros contresens, évidemment) 2) qu'il est capable de mener une réflexion articulée, rigoureusement argumentée et cohérente, sans tomber dans le hooliganisme, c'est à dire en montrant que l'on est pas aveugle aux objections que l'on pourrait nous faire, que l'on en comprend la pertinence, et l'importance de nuancer notre propos, et sans non plus tomber dans la rhétorique, le pamphlet et les effets de manches en cherchant à persuader au dépend de la recherche de la vérité pour elle-même.

 

Ceci dit, la dissert, c'est sans doute 50% méthode à proprement parler philosophique (analyse de concept, logique, etc), et 50% de méthodologie d'un exercice tout à fait contingent. Il y a un cadre à respecter, on attend spécifiquement tels et tels choses à tels et tels moment de l'introduction, etc, et ne pas se plier à tout ça peut être très pénalisant, même si le raisonnement est tout à fait intéressant. Mais une fois qu'on le maîtrise (et ce n'est pas si dur que ça), on se rend compte qu'on peut s'y mouvoir avec une grande liberté, et défendre à peu près tout et n'importe quoi, sans risque de censure. Le coté artificiel peut choquer, j'ai longtemps été choqué par lui, mais il faut garder en tête que c'est un exercice scolaire, qui doit permettre à la fin au prof de donner une note à l'élève. En créant une homogénéité au niveau de la forme, sans toucher au fond, la méthodo permet aux élèves de montrer (et aux profs, de voir) la pertinence de leurs raisonnements et de leurs connaissances d'une façon plus standardisés, et plus facilement comparable d'une copie à l'autre, et donc d'éviter les injustices au niveau des notes.

La dissert est en fait le fruit d'un compris entre l'évaluation des connaissances et l'évaluation de l'argumentation d'une part, et entre la philosophie et la nécessité d'évaluer quantitativement la qualité d'un exercice scolaire d'autre part.

Ca en fait un exercice de philo très médiocre, qui engendre sans doute plus de sophistes que de philosophes. Mais difficile de trouver mieux. A moins que le problème ne se trouve dans la volonté de faire de la philo une discipline scolaire.

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il y a 3 minutes, Johnathan R. Razorback a dit :

 

Le principe de non-contradiction est une approximation du réel ?

 

(Et qu'on ne vienne pas me faire une objection solipsiste. Même si ma conscience est la seule réalité et qu'il n'y a pas de monde extérieur, le principe de non-contradiction marche encore).

La physique quantique pourrait t'étonner et nous étonner encore, il est tout à fait possible que des attributs d'un objet ne le soient pas réellement.

Le chat de Schrodinger, par exemple, le chat est à la fois mort et vivant, il n'est pas mort ou vivant, il est à la fois mort ET vivant, il a donc deux attributs contradictoires. Cela illustre très bien la physique quantique.
un électron peut à la fois avoir le comportement d'une onde et le comportement d'un corpuscule. 

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Il y a 2 heures, Mathieu_D a dit :

J'ai lu la suite, je ne trouve pas les conseils mauvais effectivement.

Maintenant le vocabulaire est tellement /rolleye

Tu cites le HuffPost, tu t'attendais à quoi ? ;)

 

il y a 3 minutes, Mégille a dit :

Ca en fait un exercice de philo très médiocre, qui engendre sans doute plus de sophistes que de philosophes.

Si ça s'appelle pas un epic fail, ça... ;)

 

il y a 3 minutes, Mégille a dit :

A moins que le problème ne se trouve dans la volonté de faire de la philo une discipline scolaire.

Fallait pas commencer la philo à 40 ans, dans le temps ? Et la pratiquer avec un maître, loin de la cité et des regards, comme une activité subversive ?

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15 minutes ago, Mégille said:

 

. A moins que le problème ne se trouve dans la volonté de faire de la philo une discipline scolaire.

C'est tous le sens de l'article qui trouve que justement c'est un problème.

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il y a 25 minutes, Mégille a dit :

1): Le mec réussit à faire passer un cours de méthodologie de la dissert pour une filouterie ! Bravo à lui si ça permets à quelques lycéens d'avoir une meilleure note. Mais ce qu'il propose n'est pas de la manipulation du correcteur... c'est juste une bonne maîtrise de l'exercice. 

 

2): 50% de méthodologie d'un exercice tout à fait contingent. Il y a un cadre à respecter

 

3): A moins que le problème ne se trouve dans la volonté de faire de la philo une discipline scolaire.

 

1): Misère d'une époque où quelque chose n'a de valeur que si c'est estampillé "cool" et "rebellitude".

 

2): D'où le scandale de faire de la philosophie sans avoir fait de la méthodologie de la dissert avant. Et ça vaut pour l'histoire et tutti quanti.

 

3): Le problème c'est de faire de la philosophie:

 

-avant d'avoir un niveau solide en français (la philo c'est quand même beaucoup choisir ses termes et faire attention aux nuances de sens des mots. #culture légitime).

 

-avant de faire un minimum de logique formelle (on va vous inciter à raisonner, mais sans étudier ce qu'un raisonnement valide ; vous verrez ça quand vous ferez de la philo analytique du langage. Ou pas).

 

-sans faire la méthodologie de la dissert / commentaire

 

-sans expliquer aux élèves qu'en philo il y a des domaines de choses (donc quand tu as tel sujet: "est-ce que c'est de l'épistémologie ?"), et dans ces domaines des problèmes, et dans ces problèmes différentes positions possibles.

 

Une fois que ces bases sont posés, on peut commencer à faire de la philosophie (dans de bonnes conditions).

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il y a 31 minutes, Rincevent a dit :

Si ça s'appelle pas un epic fail, ça... ;)

J'en ai bien peur, oui :icon_sad:

 

il y a 31 minutes, Rincevent a dit :

Fallait pas commencer la philo à 40 ans, dans le temps ? Et la pratiquer avec un maître, loin de la cité et des regards, comme une activité subversive ?

C'est surtout Aristote qui voulait en faire un truc pour vieux... Je suis plutôt d'avis qu'il faut apprendre à mener une réflexion morale dès le plus jeune âge, mais je prêche pour ma chapelle !

 

Pour le reste, la relation maître-disciple reste je trouve le modèle par défaut, et qui a fait ses preuves, de la philosophie (ce n'est pas absolument nécessaire à la pensée, mais ça aide), qu'il vaut mieux se tenir loin du public et de l'Etat (rien de pire qu'un philosophe fonctionnaire). Et quand à la subversion... ce n'est pas une fin en soi, mais ça ne doit pas être un interdit non plus...

 

il y a 11 minutes, Johnathan R. Razorback a dit :

1): Misère d'une époque où quelque chose n'a de valeur que si c'est estampillé "cool" et "rebellitude".

Bah, c'est pour parler à des jeunes, ils ont toujours été comme ça. La jeunesse ne vieillie pas.

 

il y a 11 minutes, Johnathan R. Razorback a dit :

2): D'où le scandale de faire de la philosophie sans avoir fait de la méthodologie de la dissert avant. Et ça vaut pour l'histoire et tutti quanti.

Oui, et ça file un gros avantage pour les concours à ceux qui sortent de prépa littéraire, qui ont appris à hacker les exercices comme des machines, pendant que les autres se familiarisaient réellement avec la discipline en question.

 

il y a 11 minutes, Johnathan R. Razorback a dit :

-avant d'avoir un niveau solide en français (la philo c'est quand même beaucoup choisir ses termes et faire attention aux nuances de sens des mots. #culture légitime).

Tout à fait d'accord. Trop de Voltaire, pas assez de grammaire.

 

il y a 11 minutes, Johnathan R. Razorback a dit :

-avant de faire un minimum de logique formelle (on va vous inciter à raisonner, mais sans étudier ce qu'un raisonnement valide ; vous verrez ça quand vous ferez de la philo analytique de langage. Ou pas).

Figure toi qu'on a eu plusieurs semestres de logique formelle en tronc commun. Ce qui est très bien. Personnellement, j'ai adoré, mais les plus littéraires étaient complètement perdu et on juste renoncé à la logique... Commencer simplement par un peu de logique appliqué à l'argumentation, voir de bonne vieille syllogistique, serait peut être une bonne chose. J'hésite encore : quand je donnerais mon premier cours, devrais-je commencer par parler de Socrate, ou par expliquer la différence entre un raisonnement valide et un raisonnement correct ?

 

il y a 13 minutes, Johnathan R. Razorback a dit :

-sans expliquer aux élèves qu'en philo il y a des domaines de choses (donc quand tu as tel sujet: "est-ce que c'est de l'épistémologie ?"), et dans ces domaines des problèmes, et dans ces problèmes différentes positions possibles. 

La difficulté est que la structure des différents champs de question n'est pas à priori évidente, qu'on peut classifier tout le bouzin de nombreuses façon différente (et que souvent, une réflexion générale consiste en partie à proposer un rangement), et que de nombreux faisceau de question se présente d'abord comme transversaux... Je ne pense pas qu'il y ait une méthode universelle pour enseigner la philo, c'est toujours un processus de découverte dans lequel le maître et le disciple sont tous les deux acteurs (voire, idéalement, dans lequel le maître n'est qu'un catalyseur). Reste à voir quelle place la philo peut avoir dans le cadre d'un enseignement scolaire tel que le notre. Plus j'y pense, plus ça me semble ambiguë.

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Et cet après midi le bac de français !

 

En L :

Citation

- Les élèves ont dû répondre à la question : "Quelles raisons ces personnages féminins invoquent-ils pour justifier leur renoncement à l'amour ?", d'après des textes de Colette, de Madame de Staël, et Madame de Lafayette.

- Puis ils ont eu le choix, entre un commentaire de texte de Madame de Staël, une dissertation d'après cette question : "Un personnage de roman doit-il vivre des passions pour captiver le lecteur ?", et l'invention : "Imaginez la rencontre de Renée et de la Princesse de Clèves. Chacune défend sa conception de l’amour. Écrivez, en une cinquantaine de lignes, leur dialogue argumentatif."

 

Et en ES/S, un sujet sur le droit des animaux ! Lien

 

Citation

- Ils ont d'abord dû répondre à la question : "Quels comportements humains les auteurs du corpus dénoncent-ils ?", d'après des textes de Marguerite Yourcenar, Voltaire, Rousseau et Montaigne.

- Ils avaient ensuite le choix entre le commentaire de texte, la dissertation : "La littérature vous semble-t-elle un moyen efficace pour émouvoir le lecteur et pour dénoncer les cruautés commises par les hommes ?", ou un texte d'invention : "Vous êtes journaliste et vous cherchez à montrer qu’il est nécessaire de promulguer la 'Déclaration des droits de l’animal.'"

 

Un sujet Bardot/Caron compatible à sens unique

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Il y a 1 heure, Mégille a dit :

Personnellement, j'ai adoré, mais les plus littéraires étaient complètement perdu et on juste renoncé à la logique...

 

Non mais moi aussi j'ai ramé à fond en logique :D J'ai même eu ma plus mauvaise note ever. Sans doute que ça implique les mêmes zones du cerveau que les maths :jesaispo:.

 

Mais c'est par pour ça que ce n'est pas utile. Et même bénéfique à long terme, je trouve.

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il y a 3 minutes, Johnathan R. Razorback a dit :

Non mais moi aussi j'ai ramé à fond en logique :D J'ai même eu ma plus mauvaise note ever. Sans doute que ça implique les mêmes zones du cerveau que les maths :jesaispo:.

Bah, heu, oui, vu que c'en est le fondement. 

 

Pour ma part, j'avais pris un 18/20 à mon partiel d'électronique numérique (le truc d'ingés qui se rapproche le plus de la logique formelle). En ayant rendu copie après la moitié du temps imparti (en fait j'avais terminé un poil avant, mais il était interdit de rendre copie avant une heure de temps).

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