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Quel est l’article de Libé et quel est l’article du Monde ?

 



Le 50e prix Nobel d’économie a été attribué lundi aux Américains William Nordhaus et Paul Romer, ancien économiste en chef de la Banque mondiale, pour avoir modélisé l’effet de l’activité économique sur le climat.

Favoris du Nobel depuis plusieurs années, les co-lauréats «ont mis au point des méthodes qui répondent à des défis parmi les plus fondamentaux et pressants de notre temps: conjuguer croissance durable à long terme de l’économie mondiale et bien-être de la population de la planète», a indiqué l’Académie royale des sciences.

Ils se partageront le prix de 9 millions de couronnes (environ 860.000 euros).

Professeur à l’université de Yale, William Nordhaus, 77 ans, a été le premier, dans les années 1990, à modéliser le lien entre l’activité économique et le climat en conjuguant les théories et l’expérience tirées de la physique, de la chimie et de l’économie, a motivé le jury Nobel.

Ces travaux font aujourd’hui autorité et servent à prédire ou quantifier les conséquences des politiques climatiques, par exemple la taxe carbone.

Paul Romer, 62 ans, enseignant à la Stern School of Business de l’université de New York, a posé les bases de la théorie de «la croissance endogène».

Il a montré comment «l’accumulation d’idées soutient la croissance économique sur le long terme» et mis en avant le rôle des forces économiques et des régulations dans «l’inclination» des entreprises à innover.

M. Romer a démissionné avec fracas au début de l’année de son poste d’économiste en chef de la Banque mondiale sur fond de désaccord avec le président de l’institution.

Le prix Nobel d’économie était allé l’an dernier à l’Américain Richard Thaler, père de la méthode dite du «coup de pouce», censée corriger les comportements irrationnels des consommateurs, contribuables ou investisseurs.

L’économie conclut une saison Nobel amputée de son prix de littérature en raison de son report d’un an par l’Académie suédoise, affaiblie par un scandale d’agressions sexuelles et de fortes divisions internes.

Seul prix à ne pas figurer au testament de l’inventeur suédois Alfred Nobel, le prix de «sciences économiques en mémoire d’Alfred Nobel» a été créé en 1968 par la Banque de Suède à l’occasion de son tricentenaire et décerné pour la première fois l’année suivante.

Après les prix scientifiques dévoilés à Stockholm, le prix de la paix décerné à Oslo a couronné le combat de la Yazidie Nadia Murad, ex-esclave du groupe Etat islamique, et du médecin congolais Denis Mukwege contre les violences sexuelles utilisées comme arme de guerre.

 



Le prix de la Banque de Suède en sciences économiques, plus connu sous le nom de « prix Nobel d’économie », a été décerné aux Américains William Nordhaus et Paul Romer, ancien économiste en chef de la Banque mondiale, lundi 8 octobre.

Il récompense leurs travaux sur la compatibilité entre les impératifs d’innovation, de lutte contre le changement climatique et la croissance économique.

Les deux lauréats « ont mis au point des méthodes qui répondent à des défis parmi les plus fondamentaux et pressants de notre temps : conjuguer croissance durable à long terme de l’économie mondiale et bien-être de la population de la planète », a fait savoir l’Académie royale des sciences. Ils se partageront le prix de neuf millions de couronnes (environ 860 000 euros).

 

Professeur à l’université de Yale, William Nordhaus, 77 ans, a été le premier, dans les années 1990, à modéliser le lien entre l’activité économique et le climat en conjuguant les théories et l’expérience tirées de la physique, de la chimie et de l’économie, a motivé le jury Nobel. Ces travaux font aujourd’hui autorité et servent à prédire ou quantifier les conséquences des politiques climatiques, par exemple la taxe carbone.

Paul Romer, 62 ans, enseignant à la Stern School of Business de l’université de New York, a posé les bases de la théorie de « la croissance endogène ». Il a montré comment « l’accumulation d’idées soutient la croissance économique sur le long terme » et mis en avant le rôle des forces économiques et des régulations dans « l’inclination » des entreprises à innover.

M. Romer a démissionné avec fracas au début de l’année de son poste d’économiste en chef de la Banque mondiale sur fond de désaccords avec le président de l’institution.

 

Seul prix à ne pas figurer au testament de l’inventeur suédois Alfred Nobel, le prix de « sciences économiques en mémoire d’Alfred Nobel » a été créé en 1968 par la Banque de Suède à l’occasion de son tricentenaire et décerné pour la première fois l’année suivante. L’an dernier, il avait été décerné à l’Américain Richard Thaler, père de la méthode dite du « coup de pouce », censée corriger les comportements irrationnels des consommateurs, contribuables ou investisseurs.

 

 

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Hep hep hep ! On ne met pas Le Point à la poubelle, il fait partiellement bouillir ma marmite ! Enfin, il met le beurre dans mes épinards. Et ils font des soirées privées où je peux bouffer gratos, alors merci de penser à acheter Le Point chaque semaine :lecon:

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4 minutes ago, Axpoulpe said:

Hep hep hep ! On ne met pas Le Point à la poubelle, il fait partiellement bouillir ma marmite ! Enfin, il met le beurre dans mes épinards. Et ils font des soirées privées où je peux bouffer gratos, alors merci de penser à acheter Le Point chaque semaine :lecon:

plus un :jaifaim::icon_volatilize:

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Libé a au moins le mérite de créditer l’AFP. Le Monde n’a aucune déontologie. 

 

Ce que je ne comprends pas, c’est quel droit d’auteur que Google devrait financer quand ils ne font que se recopier les uns les autres ?

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Reprise de dépêche AFP, je suppose. Du coup, la presse quotidienne nationale payante n'a aucune valeur ajoutée face à leurs concurrents gratuits. En plus, les sudoku de 20 Minutes sont mieux.

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il y a 12 minutes, Axpoulpe a dit :

Hep hep hep ! On ne met pas Le Point à la poubelle, il fait partiellement bouillir ma marmite ! Enfin, il met le beurre dans mes épinards. Et ils font des soirées privées où je peux bouffer gratos, alors merci de penser à acheter Le Point chaque semaine :lecon: 

 

j'étais abonné à la version online, et puis ... je n'ai pas renouvelé. j'aurais du ?

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8 hours ago, Groucho Marx said:

 

j'étais abonné à la version online, et puis ... je n'ai pas renouvelé. j'aurais du ?

 

Non je plaisantais, moi-même je ne lis pas le Point. Si j'avais le temps je le ferais car je trouve qu'ils savent réunir pas mal d'intellectuels de qualité, mais avec tout ce qu'il y a d'intéressant à lire sur le net je trouve déjà miraculeux que des gens paient pour des versions online de journaux généralistes. 

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Relayer en état une dépêche AFP permet d'attirer des lecteurs qui suivent les fils d'info et de s'assurer qu'on n'en rate aucun au profit de la concurrence. Il y a donc très rarement de dépêches dans les éditions abonnés ou la version papier des médias, censées contenir les articles «de valeur». C'est plutôt l'inexistence de ces derniers qui est symptomatique. 

Le plus drôle, c'est quand les dépêches ne sont pas relues et que les fautes d'orthographe se propagent dans les medias de tous bords. 

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