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Guerre civile culture, IDW, SJW & co


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il y a 2 minutes, Lancelot a dit :

Comparable à se faire bousculer ou insulter.

L'insulte n'est pas une agression physique. Et le bousculage n'est pas nécessairement volontaire (même s'il peut l'être, il est soit accidentel et éventuellement suivi d'une excuse, ce qui arrive rarement dans le cas d'une main aux fesses, ou résulte d'une mauvaise éducation), alors qu'une main aux fesses, oui.

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2 minutes ago, Lancelot said:

Souvent non mais ça arrive. Qu'est-ce que tu cherches à prouver ?

Qu'à mon sens, suis ok qu'une bousculade volontaire est comparable à une main aux fesses.

 

Mais que justement, dans un cas c'est exceptionnel (en tout cas dans mon vécu) et dans l'autre assez courant.

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Vous m'emmerdez. Je ne dis pas que c'est la même chose je dis que c'est comparable en termes de gravité. Et je dis aussi que toutes les mains au cul ne se valent pas. Dans la majorité des cas ça ressemble plutôt à une bousculade dans le métro qu'à un gars qui traverse la rue pour te peloter pendant une minute.

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Le pelotage furtif et pseudo accidentel est plutôt un fait masculin. Je ne pense pas que beaucoup de nanas profitent d'une bousculade, d'un freinage brutal dans un transport en commun, pour mettre la main aux boules du mec à côté d'elle.

Évidemment, y a pas mort d'homme de femme et on s'en remet. Pour ma part, je ne qualifierais pas ce geste d'agression sexuelle, parce que bon, c'est désagréable certes mais faut pas déconner et puis va prouver l'intentionnalité et va poursuivre ensuite le gars qui a saisi l'occasion pour te peloter...

En revanche, dans un autre contexte, ce serait envisageable, mais franchement, et peut-être est-ce dû à mon âge, un malotru peloteur au cours d'une soirée peut se gérer d'une autre manière. Sans compter que d'une femme à l'autre le geste sera considéré différemment, selon comment elle-même se considère...

 

 

 

  • Yea 1
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il y a 5 minutes, Bisounours a dit :

Le pelotage furtif et pseudo accidentel est plutôt un fait masculin. Je ne pense pas que beaucoup de nanas profitent d'une bousculade, d'un freinage brutal dans un transport en commun, pour mettre la main aux boules du mec à côté d'elle.

Évidemment, y a pas mort d'homme de femme et on s'en remet. Pour ma part, je ne qualifierais pas ce geste d'agression sexuelle, parce que bon, c'est désagréable certes mais faut pas déconner et puis va prouver l'intentionnalité et va poursuivre ensuite le gars qui a saisi l'occasion pour te peloter...

En revanche, dans un autre contexte, ce serait envisageable, mais franchement, et peut-être est-ce dû à mon âge, un malotru peloteur au cours d'une soirée peut se gérer d'une autre manière. Sans compter que d'une femme à l'autre le geste sera considéré différemment, selon comment elle-même se considère...

 

 

 


Ben, en fait, si c'est pas une agression sexuelle, c'est quoi ? Évidemment, c'est plus ou moins grave selon les contextes. Parfois, ce n'est même rien du tout ou presque. De même manière qu'une gifle est une agression plus ou moins grave qui n'est parfois rien du tout ou presque.

  • Yea 1
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il y a 3 minutes, Johnnieboy a dit :

si c'est pas une agression sexuelle, c'est quoi ?

C'est le terme agression qui me choque car pour moi ça signifie une notion de violence. Et je trouve que qualifier d'agression toute approche à connotation vaguement sexuelle c'est la porte ouverte à toutes les fenêtres.

Par exemple, dans le métro, tu auras des "frotteurs" dont l'intention est avérée et qui cherchent le contact avec déjà une demi molle, et les autres, qui profitent d'une bousculade pour palper de la fesse.

Intention, opportunité, contexte. C'est ce qu'il faut déterminer, à mon avis, pour qualifier une "agression" sexuelle. Sans compter l'appréciation de la victime... qui dépendra de sa propre évaluation.

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à l’instant, Bisounours a dit :

C'est le terme agression qui me choque car pour moi ça signifie une notion de violence. Et je trouve que qualifier d'agression toute approche à connotation vaguement sexuelle c'est la porte ouverte à toutes les fenêtres.

Par exemple, dans le métro, tu auras des "frotteurs" dont l'intention est avérée et qui cherchent le contact avec déjà une demi molle, et les autres, qui profitent d'une bousculade pour palper de la fesse.

Intention, opportunité, contexte. C'est ce qu'il faut déterminer, à mon avis, pour qualifier une "agression" sexuelle. Sans compter l'appréciation de la victime... qui dépendra de sa propre évaluation.


On est pourtant sur un forum où l'axiome de non-agression est souvent mentionné. Si payer des impôts est une agression, alors se prendre une main au cul en est une, aussi. :D

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il y a 3 minutes, Johnnieboy a dit :

Si payer des impôts est une agression, alors se prendre une main au cul en est une, aussi.

Sauf que pour moi, qualifier l'impôt d'agression est un abus de langage :P, tout est question de degré.

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1 hour ago, Bisounours said:

C'est le terme agression qui me choque car pour moi ça signifie une notion de violence. Et je trouve que qualifier d'agression toute approche à connotation vaguement sexuelle c'est la porte ouverte à toutes les fenêtres.

 

Pour moi, qualifier d'agression tout contact physique imposé contre la volonté de l'autre m'apparait valable.

Dans le sens où c'est quelque chose qui ne va pas arriver entre personnes respectueuses.

 

Ce qui me parait être plus problématique, c'est de dire que toute agression est quelque chose de grave qui doit absolument être judiciarisé.

  • Yea 7
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58 minutes ago, Bisounours said:

Sauf que pour moi, qualifier l'impôt d'agression est un abus de langage :P, tout est question de degré.

Entre une main aux fesses et deux mois de salaire d'IR (plus les taxes etc)...
le choix est vite fait.
Je doute que Margaret T ait jamais eu besoin de la police pour recadrer un impétrant.
 

d'ailleurs les mains aux fesses (pas un viol, un tripotage léger) ne sont pas une phénomène exclusivement féminin. Et aucun homme ne s'en est jamais réellement plaint ou alors il a été complètement ignoré, il est attendu qu'il hausse les épaules (ça m'est arrivé comme à d'autres). pareil pour les bousculades, l'impolitesse idem,  pourtant c'est assez courant.

La Fragilité excessive n'est pas saine. Judiciariser jusqu'au moindre écart de la norme sociale dominante non plus.

Une agression sexuelle est quelque chose de sérieux, il y a des vrais victimes sur terre, dénaturer le sens des mots est dangereux. c'est un 1st world problem.

Pour Razorback (et quand je dis d'origine muzz, c'est bronzé option turc , un gars qui s'est sacrifié à lire le tissu de fadaise qui lui sert de Coran)

 

  • Nay 1
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12 minutes ago, Marlenus said:

Pour moi, qualifier d'agression tout contact physique imposé contre la volonté de l'autre m'apparait valable.

Dans le sens où c'est quelque chose qui ne va pas arriver entre personnes respectueuses.

 

Ce qui me parait être plus problématique, c'est de dire que toute agression est quelque chose de grave qui doit absolument être judiciarisé.

Si c'est une agression ça doit être judiciarisé, sinon pourquoi l'appeler agression et non manque de tact?

Sinon quand quelqu'un touche ta main ou ton épaule sans demander ton consentement écrit  est-ce une agression?

le terme de manque de politesse  paraît (sachant que l'acte peut être apprécié/toléré dans certains cas, s'il y a une attirance etc, l'ambiguité du désir).

Si Liborg entre tout ses combats en est réduit au dilemne des contacts physiques passagers sans consentement explicite formalisé d'une des parties c'est que le Monde va trop bien.

êtes vous prêt à payer une force de police consacrée contre les effleurements ? la réponse étant non c'est un non problème.


 

  • Yea 1
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9 minutes ago, Pragmatique said:


 

d'ailleurs les mains aux fesses (pas un viol, un tripotage léger) ne sont pas une phénomène exclusivement féminin. Et aucun homme ne s'en est jamais réellement plaint ou alors il a été complètement ignoré, il est attendu qu'il hausse les épaules (ça m'est arrivé comme à d'autres). pareil pour les bousculades, l'impolitesse idem,  pourtant c'est assez courant.

Je suis content de savoir que pour toi, un mec doit hausser les épaules et donc faire passer le message "C'est bon tu peux continuer à me tripoter comme tu veux, cela ne me dérange pas plus que ça".

 

Sans doute que tu y trouves ton plaisir quelque part.

 

 

 

Perso cela m'est arrivé, ado, dans un cinéma. 

Ma réaction n'a pas été de hausser les épaules et donc de laisser le mec continuer comme tu as l'air de l'insinuer pour profiter de ma séance.

 

Si j'avais été plus confiant en moi à l'époque et de penser qu'un ado de 15ans puisse mettre une dérouillé à un mec de 40, je l'aurais sans doute fait.

Ma réaction fut de partir.

Au moins cela m'a éviter de finir au poste.

 

 

 

Là où je te rejoins c'est que les agressions sexuelle c'est quelque chose de sérieux.

Tant mieux si on peut te tripoter sans que tu te sentes agressé.

Ce n'est pas mon cas.

 

 

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il y a 20 minutes, Pragmatique a dit :


Une agression sexuelle est quelque chose de sérieux, il y a des vrais victimes sur terre, dénaturer le sens des mots est dangereux. c'est un 1st world problem.


 

 

Au contraire, ce genre d'agressions sexuelles sont parfois bien plus présentes dans le le Tiers-monde.

  • Yea 1
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Un article de foozine qui illustre la débilité des SJWs. Ils ne savent même pas faire la différence entre un cartoon et le monde réel:

https://www.foozine.com/harcelement-pepe-le-putois-retire-des-ecrans-la-warner-le-supprime-totalement-de-son-catalogue-42738

 

La cause:

Citation

Warner bros a décidé de supprimer le célèbre personnage Pépé le Putois créé en 1945 de son catalogue de dessins animés, et pour cause, celui-ci est accusé de contribuer à la 'culture du viol'.

 

  • Sad 1
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Unef: Jean-Michel Blanquer veut rendre illégal les réunions "racistes" en non-mixité

 

Citation

"Les gens qui se prétendent progressistes et distinguent les gens en fonction de leur couleur de leur peau, nous mènent vers des choses qui ressemblent au fascisme", a vilipendé Jean-Michel Blanquer, y voyant une menace "extrêmement grave".

 

  • Huh ? 1
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Un père en prison pour avoir contesté la transition de sa fille par le service public canadien.

Transition qui a été faites sans consulter les parents.

https://www.fdesouche.com/2021/03/19/canada-un-pere-mis-en-prison-car-il-continue-a-dire-elle-a-propos-de-sa-fille-de-14-ans-qui-recoit-bloqueurs-de-puberte-et-testosterone-sans-son-accord/

 

 

 

(Je n'ai trouvé que ça en français pour le moment).

 

 

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De ce que j'ai compris ailleurs, il est allé en prison car il a donné des interview alors que la justice lui avait de ne pas le faire et non pour cette histoire de pronom.

 

L'histoire de ce monsieur et sa fille reste folle.

 

Badurl pour fdesouche non ?

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C'est passé par badurl normalement.

 

Mais cela ne s'affiche pas.

 

 

Sinon, oui, il y a un raccourci de fait par le journal que cite FdS.

Mais le fait d'interdire de donner des interview est assez scandaleuse...

 

 

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Le 18/03/2021 à 13:06, Marlenus a dit :

Pour moi, qualifier d'agression tout contact physique imposé contre la volonté de l'autre m'apparait valable.

 

Le serrage de mains pour dire bonjour m'était insupportable et finalement imposé par la pression sociale (vive le covid!) . Mais de là à parler d'agression ?

  • Yea 2
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il y a 2 minutes, Calembredaine a dit :

 

Le serrage de mains pour dire bonjour m'était insupportable et finalement imposé par la pression sociale (vive le covid!) . Mais de là à parler d'agression ?


Amusant, c'est un bon exemple de pression sociale difficile à éviter. Je n'ai jamais rencontré quelqu'un qui refusait de serrer la main. La bise, oui mais pas le serrage de main.

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6 minutes ago, Calembredaine said:

 

Le serrage de mains pour dire bonjour m'était insupportable et finalement imposé par la pression sociale (vive le covid!) . Mais de là à parler d'agression ?

Si tu l'acceptes sous la pression sociale, en tendant ta main, ce n'est déjà pas contre ta volonté.

 

On ne va pas commencer le débat "J'étais consentante mais sous emprise".

 

 

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il y a 2 minutes, Johnnieboy a dit :


Amusant, c'est un bon exemple de pression sociale difficile à éviter. Je n'ai jamais rencontré quelqu'un qui refusait de serrer la main. La bise, oui mais pas le serrage de main.

*laughs in literally any strict religious jewish gathering*

(en même temps tu n'es pas une femme donc ça va, on peut te serrer la main sans être souillé)

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Cela dit, cette discussion sur le handshaking me rappelle quelque chose ;)

Citation

Let us consider another example that Hayek quickly dismisses as noncoercive: "If a hostess will invite me to her parties only if I conform to certain standards of conduct and dress ... this is certainly not coercion. " Yet, as Professor Hamowy has shown, this case may weil be considered "coercion" on Hayek 's own criteria. For,

 

"it might be that I am a very socially conscious person and that my not attending this party would greatly endanger my social standing. Further, my dinner jacket is at the cleaners and will not be ready for a week . . . yet the party is tomorrow. Under these conditions could it be said that my host's action in demanding my wearing formal attire as the price of access to his home is, in fact, a coercive one, inasmuch as it clearly threatens the preservation of one of the things I most value, my social prestige?"

 

Furthermore, Harnowy points out that if the host should demand, as a price of invitation to the party, "that I wash all the silver and china used at the party," Hayek would even more clearly have to call such a voluntary contract "coercive" on his own criteria. In attempting to rebut Hamowy's trenchant critique, Hayek later added that "to constitute coercion it is also necessary that the action of the coercer should put the coerced in a position which he regards as worse than that in which he would have been without that action." But, as Hamowy points out in reply, this does not salvage Hayek's inconsistent refusal to adopt the patent absurdity of calling a conditional invitation to a party "coercive." For, the case just described seems to meet this condition as well; for while it is true that, in a sense, my would-be host has widened my range of alternatives by the invitation, the whole situation (which must include my inability to acquire formal attire and my consequent frustration) is worse from my point of view than the situation which had obtained before the invitation, certainly worse than had existed before my would-be host had decided to have a party at that particular time. Thus, Hayek, and the rest of us, are duty-bound to do one of two things: either to confine the concept of "coercion" strictly to the invasion of another's person or property by the use or threat of physical violence; or to scrap the tern "coercionff altogether, and simply define "freedom" not as the "absence of coercion" but as the "absence of aggressive physical violence or the threat thereof." Hayek indeed concedes that "coercion can be so defined as to make it an all-pervasive and unavoidable phenomenon."

 

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Il y a encore une fois une question d'échelle à l’œuvre ici. Une mère qui dit "mange ta soupe" à son gamin ne peut pas raisonnablement être considéré comme de la coercition au même titre que le gouvernement qui décrète l'interdiction de manger de la viande.

 

edit. ou pour prendre un exemple moins pourri, disons un mari qui accepte de ne plus manger de viande parce que sa femme est végétarienne contre l'interdiction nationale de manger de la viande.

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Et pendant ce temps, les nanas qui commencent à embrasser un gars en soirée avec intention de (se faire) consommer sont pas les dernières à mettre carrément la main à la bite. Tout en te disant encore quelques minutes avant "Bon tu me plais mais je viens pas avec toi juste pour me faire sauter hein." Du vécu. (T'apprend très vite à ne rien dire de manière diplomatique dans ce genre de cas. De toute façon la nana est déjà chaude comme la braise et se raconte des conneries à ce stade là pour s'auto-dédouaner à ses propre yeux. Le symbole de la pression sociale de l'avis de ses copines, si elles savaient, je suppose. Toi t'es déjà en train de devoir gérer mentalement le menu du futur petit dej au lit). :icon_volatilize:

 

On rentre de plus en plus dans une société de gens n'arrivant pas assumer l'honnête et simple envie sexuelle. C'est flippant.

 

Edit: bon toutes les nanas sont pas comme ça hein, mais quelques unes si.

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Brrr, ça ne me manque pas, et ça ne marchais pas trop pour moi ces trucs là anyway. Et il y a un arrivage massif de sjwettes sur les appli, qui assument très bien leurs envies. Le truc, c'est de connaître sa vulgate intersectionnelle et de mettre "#mmm" dans sa description (ne me demandez pas ce que ça veut dire, mais ça marche, je sais pas pourquoi). Et ne pas trop se formaliser quand il y en a une qui a un pénis, ça arrive de temps en temps.

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Citation

elle a pensé le hashtag "Meufs Mecs Merveilleux.ses", qu’elle a choisi de modifier afin de le rendre encore plus inclusif. MMM signifie alors Mixed Marvelous Minds, "un doux mélange d’âmes merveilleuses" explique la créatrice.

 

Lorsqu’une personne indique le #MMM dans sa bio Tinder, elle fait référence à un mouvement qui prône la liberté sexuelle, la bienveillance, les relations inclusives et sans jugement. Une sexualité décomplexée donc. Sur le compte Instagram de Orgasme et Moi, la bienveillance et l’écoute sont au cœur des conversations. Les abonnés indiquent vouloir du partage et de la communication, ils échangent et déconstruisent ensemble les relations sexuelles. Dès lors, en indiquant le #MMM sur son profil, c'est comme si ces personnes portaient la veste d'un club, c'est une façon d'indiquer qu'elles suivent cette page Instagram et se renseignent sur le sujet.

 

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