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Guerre civile culture, IDW, SJW & co


Messages recommandés

il y a 2 minutes, Alchimi a dit :

Et autre truc plus glaçant:

Citation

Dans le cadre du retrait des livres des écoles du conseil scolaire, Suzy Kies a défendu l’idée de brûler tous les ouvrages, en 2019, lors de cérémonies à faire dans chaque école. La pandémie a finalement réduit le projet à une seule cérémonie où 30 livres ont été brûlés

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@Rincevent était tellement dans le juste en partageant l'extrait d'Indiana Jones avec les autodafés...

C'est le genre de trucs pour lequel j'ai de l'intuition. 20 ou 30 siècles de conscience historique sur les épaules, il faut bien que ça serve un peu.

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8 minutes ago, DeadBot said:

C'est étonnant ces gens qui s'identifient à des minorités qu'ils déclarent pourtant être cibles de discriminations insupportables. C'est presque comme si ça leur permettait d'obtenir des... privilèges. 

 

Ce qui est le cas, vu que l'on est dans une société qui glorifie les victimes, mais qui ne dit rien des discriminations subies par les personnes réellement issues de ces minorités, dans un sens ou l'autre.

 

Pour prendre un parallèle, je prendrais les personnes qui ont déclaré faussement avoir été victime des attentats du Bataclan (il y en aussi sur les attentats du 11 septembre mais je connais moins).

 

Je pense que personne de sensé ne souhaite avoir vécu ce qu'on vécu les survivants du Bataclan.

Pourtant, avoir été survivant te donne des privilèges. Tu peux avoir une médaille qui te met au-dessus protocolairement des médaillés de guerre, une pension, etc.
Et un statut de héros dans certains milieux.

 

On se rend compte que les faux survivants sont les plus revendicatifs et souvent prennent des responsabilités dans les associations.

Ils cherchent une reconnaissance.

 

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Le 07/09/2021 à 23:01, cedric.org a dit :

 

Toujours aussi bon, ce cher OC.

 

Le 09/09/2021 à 02:22, Cthulhu a dit :

Peter Boghossian (un des auteurs des grievance studies) vient de démissionner de Portland State University

 

https://bariweiss.substack.com/p/my-university-sacrificed-ideas-for

 

A vrai dire, je suis un peu surpris qu'il ne se soit pas barré plus tôt vu ce qu'il raconte dans l'article. Je ne vois pas avoir la bonne personnalité pour bosser dans le monde universitaire.

 

Le problème c'est que si tout ce qui n'est pas SJW se barre des universités et que seul reste les SJW, nos sociétés vont être dans la merde.

Dans des sociétés développés comme les nôtres, les idées ont beaucoup d'importances. La situation actuelle avec la profusions d'idées liberticides n'est pas étrangère à ce tournant autoritaire au sein des universités.

 

Je serais tenté de dire que les universités, du moins les départements de sciences humaines, sont devenues des think tanks de gauche mais ca serait offensant pour ces derniers...

 

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Il y a 2 heures, Zagor a dit :

Le problème c'est que si tout ce qui n'est pas SJW se barre des universités et que seul reste les SJW, nos sociétés vont être dans la merde.

Dans des sociétés développés comme les nôtres, les idées ont beaucoup d'importances. La situation actuelle avec la profusions d'idées liberticides n'est pas étrangère à ce tournant autoritaire au sein des universités.

 

Je serais tenté de dire que les universités, du moins les départements de sciences humaines, sont devenues des think tanks de gauche mais ca serait offensant pour ces derniers...

Raison de plus pour les laisser pourrir et s'effondrer. L'université n'a pas le monopole des idées. L'euthanasie des grosses univ américaines est aussi la meilleure façon de régler plusieurs autres problèmes, comme l'inflation des tuiton fees là bas, le soft power de la Chine via le classement de Shangaï, et la préférence de la quantité sur la qualité des publications due à celui-ci.

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Le 10/09/2021 à 21:22, Mégille a dit :

Raison de plus pour les laisser pourrir et s'effondrer. L'université n'a pas le monopole des idées. L'euthanasie des grosses univ américaines est aussi la meilleure façon de régler plusieurs autres problèmes, comme l'inflation des tuiton fees là bas, le soft power de la Chine via le classement de Shangaï, et la préférence de la quantité sur la qualité des publications due à celui-ci.


Très juste.

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Le 12/09/2021 à 12:55, Largo Winch a dit :

Tiens, une bonne chronique qui synthétise les délires canadiens.

 

 

 

Tiens, j'étais passé à coté de l'info selon laquelle tout ça avait lieu dans des écoles catholiques. Ce sont donc des social justice clerics qui sont à l'oeuvre ?

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il y a une heure, Adrian a dit :

 

La fin est wtf :

"Qui veut aujourd'hui bosser dans une boite avec un conseil d'administration composé majoritairement par des hommes blancs? Personne."

"Oui c'est violent, mais il faut en passer par là pour que les choses avancent."

 

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il y a une heure, Adrian a dit :

 

1) "Qui veut aller travailler dans une entreprise où le board est à majorité des hommes blancs de plus de 50 ans ? Personne"  ->Cela ne semble pourtant pas gêner outre mesure ces deux journalistes de travailler à BFM TV ?

2) "Mécaniquement il va falloir en passer par là pour que les choses avancent, c'est assez affolant" ->J'aimerais bien connaitre la physique/logique derrière toute ces mesures (au passage c'est une belle pétition de principes),

3) "Oui c'est extrêmement violent mais malheureusement il va falloir passer par ce genre de..de..de.revers de balancier pour que les choses avancent aussi" ->tant de compassion pour les musiciens injustement virés+ répétition creuse "les choses avancent" quoi? vers où? dans quel but? + pas une seule fois elle n'essaie de démontrer le bien fondé de cette idéologie, et le coup du revers de balancier sérieux...les noirs (du moins ceux dont les ancêtres ne possédaient pas d'esclaves) seraient-ils donc habilités à reverse esclavagiser les blancs? Les vendéens à piller/noyer/violer les parisiens? Les Grecs à reprendre Constantinople et le pape Jérusalem?

 

 

 

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15 minutes ago, Azref said:

La fin est wtf :

"Qui veut aujourd'hui bosser dans une boite avec un conseil d'administration composé majoritairement par des hommes blancs."

"Oui c'est violent, mais il faut en passer par là pour que les choses avancent."

 

Put 1 d'une militante genre Assa Traoré j'aurais put l'accepter (enfin j'aurais put me dire cela fait partie de leur délire...).

 

De la cheffe du service culture de BFMTV cela me fait peur....

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Je n'avait pas encore entendu en France, en tout pas comme aux US, que vérifier le sexe et la couleur de peau du board pour aller dans une boite était une pratique qui se faisait.
Et comme le dit @Pelerin Dumont, les "choses avancent" ça n'a aucun sens, sauf si bien sûr on considère que x% de femme/noir/asiatique/... est un objectif en soit, ce qui est totalement ridicule.

Et pour le "revers de balancier", ça implique qu'embaucher des blancs est forcément un acte raciste, et que donc l'inverse, acte raciste dans l'autre sens, l'annule.

Bref, elle est bien atteinte, mais on sent bien qu'elle n'est pas allé au bout du truc en assumant totalement son racisme.

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il y a 41 minutes, Azref a dit :

"Oui c'est violent, mais il faut en passer par là pour que les choses avancent."

 

il y a 40 minutes, Pelerin Dumont a dit :

"Mécaniquement il va falloir en passer par là pour que les choses avancent, c'est assez affolant"

 

il y a 40 minutes, Pelerin Dumont a dit :

répétition creuse "les choses avancent" quoi? vers où? dans quel but?

Peu importe, il faut avancer :

 

Cu7BHFI.jpg

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il y a une heure, Adrian a dit :

 

 

Vous connaissez ?

Probablement la traduction de ceci https://www.amazon.com/Cynical-Theories-Scholarship-Everything-Identity_and/dp/1634312023

 

Écrit par deux des trois auteurs du fameux canular "Sokal au carré".

  • Yea 1
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"Oui c'est extrêmement violent mais malheureusement on va devoir en passer par là pour que les choses avancent."

 

La dictature du prolétariat contre-attaque.

 

Je serais curieux de voir sa tête si demain sa direction lui expliquait en entretien annuel qu'il faut faire avancer l'inclusion "pour que les choses avancent à la télé" avant de la virer de ne pas lui reconduire son contrat pour embaucher à sa place une jeune consœur journaliste "issue de la diversité", (comme le dit l'expression consacrée)...

Car bien sûr cela m'étonnerait qu'elle démissionne volontairement pour laisser sa place à une nouvelle venue, hm?

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La France est-elle woke ?

 

https://harris-interactive.fr/opinion_polls/rapport-harris-la-france-est-elle-woke/

 

 

Que retenir de cette étude ?

 

En tant que consommateurs, une influence directe du pays d’origine et de l’impact environnemental, mais limitée concernant la place accordée par les entreprises aux femmes et aux minorités

Lors de l’achat d’un produit, différents traits d’image de l’entreprise qui commercialise ce bien jouent un rôle dans le choix des Français. Le pays d’origine (74%) et l’impact sur l’environnement (72%) constituent aujourd’hui – affirment-ils – des critères de choix majeurs des consommateurs, sans pour autant atteindre les niveaux obtenus pour des critères plus traditionnels, tels que la qualité du produit (90%), son prix (84%) ou encore l’impact qu’il pourrait avoir sur leur santé (84%). En revanche, l’image de l’entreprise en matière de justice sociale reste un critère de choix relativement secondaire pour les Français. Ainsi, 46% d’entre eux jugent la place accordée par l’entreprise aux femmes comme un critère prioritaire, 40% pour la place accordée selon l’origine des personnes, 38% selon leur identité sexuelle et 36% selon leur religion.

On observe au sein de la population française un clivage générationnel. Les seniors priorisent très clairement les choix « traditionnels » (qualité : 97% ; prix : 88%), tandis que les jeunes se déclarent plus sensibles que la moyenne aux critères liés à la justice sociale (place des femmes, selon l’origine, l’identité sexuelle ou la religion), même s’ils restent très partagés sur ces sujets : environ 55% les qualifiant de prioritaire.

 

Environ un quart des Français déclarent accorder plus d’importance aujourd’hui qu’il y a quelques années aux enjeux de justice sociale. En effet, 27% des Français déclarent accorder plus d’importance aujourd’hui à la place accordée par l’entreprise aux femmes, 22% pour celle accordée selon l’origine ethnique des personnes tout comme celle accordée selon leur identité sexuelle et 21% selon leur religion. Une progression de la sensibilité qui s’observe aussi en fonction de l’âge des Français. Par rapport à il y a quelques années, la sensibilité aux enjeux de justice sociale dans la consommation a progressé chez environ un tiers des jeunes.

 

Dans le monde du travail, une jeune génération qui attribue un poids inédit à l’image de l’entreprise dans sa prise en compte des femmes et des minorités

Au moment de choisir une nouvelle entreprise, les actifs prioriseraient d’abord des critères de choix individuels, avant ceux de justice sociale. En effet, les actifs évoquent comme principaux critères de choix le niveau de rémunération (85%) et l’équilibre entre vie personnelle et vie professionnelle (84%), même si l’impact environnemental (71%) ou encore l’utilité sociale (75%) constituent aussi des leviers notables. Les critères relatifs à la justice sociale sont mis en avant par une courte majorité des actifs et davantage encore parmi les jeunes. En effet, chez les jeunes générations, ces critères de justice sociale occupent une importance comparable aux critères individuels (environ 70% prioritaire), tandis que les actifs plus âgés y accordent nettement moins d’importance (moins de 40%), sauf pour la place des femmes (66% au total, 73% parmi les femmes actives et 63% parmi les seniors).

 

Les Français expriment des attentes fortes à l’égard des entreprises pour qu’elles prennent mieux en compte les enjeux liés à l’environnement (90%, dont 62% de « oui, ce devrait être un objectif tout à fait prioritaire »). Et les Français estiment également prioritaire que les entreprises prennent des mesures pour augmenter la place des femmes dans les postes à responsabilité (85%) ou pour adapter aux femmes le fonctionnement des entreprises afin de mieux répondre à leurs attentes (78%). Les Français se montrent plus partagés lorsqu’il s’agit de tenir compte des attentes des personnes selon leur identité sexuelle (57%), selon leur origine ethnique (55%) et a fortiori selon leur religion (49%). Les seniors priorisent nettement l’environnement (93%) et la place des femmes (84%) sur l’identité sexuelle (39%), l’origine (34%) et la religion (28%). Alors que les jeunes placent ces différents objectifs à un niveau similaire, proche à chaque fois de 80% de réponses « prioritaire ».

 

En tant que citoyens, toutes les causes ne suscitent pas la même adhésion de principe et les jeunes se déclarent prêts à aller beaucoup plus loin que leurs aînés

Si certaines causes sociétales suscitent aujourd’hui un relatif consensus dans la société française, d’autres constituent des sujets plus clivants. En effet, les Français déclarent soutenir quasi-unanimement certaines causes : davantage protéger l’environnement (89%), réduire les inégalités sociales (86%), augmenter la place des femmes (84%) et mieux prendre en compte le bien-être des animaux (84%). En revanche, les Français se montrent plus partagés à l’idée de mieux répondre aux attentes des personnes en fonction de leur identité sexuelle (62%), de leur origine (59%) et de leur religion (50%). Sur chacune de ces causes, entre un tiers et la moitié des Français déclarent s’y opposer. Dans le détail, un clivage générationnel net apparait sur ces sujets : la meilleure prise en compte de l’identité sexuelle (80% auprès des moins de 35 ans vs. 47% auprès des 50 ans et plus), de l’origine (80% vs. 41%) et de la religion (78% vs. 29%) suscitent des divergences entre les jeunes d’une part, qui soutiennent ces causes au même titre que les autres et les seniors d’autre part, dont seule une minorité les soutient. Enfin, un second clivage s’observe selon la proximité politique des Français. Les personnes qui se déclarent proches des formations politiques de gauche (LFI, PS, EELV) mais aussi de LREM soutiennent davantage l’ensemble de ces causes, tandis que les sympathisants LR constituent le socle le plus réticent à la prise en compte de l’identité sexuelle, de l’origine et de la religion.

 

Pour défendre une cause, toutes les actions ne sont pas légitimes aux yeux du grand public dans son ensemble. En effet, les Français peuvent envisager ou a minima comprendre différents types d’action pour défense une cause : le boycott (53% peuvent l’envisager), les avis négatifs sur Internet (39%), le relais sur les réseaux sociaux (35%) ou les manifestations (27%). À chaque fois, moins de 3 Français sur 10 affirment qu’ils ne peuvent pas comprendre ce mode d’expression. En revanche, ils se déclarent moins prêts et moins compréhensifs concernant l’occupation de force d’une entreprise (82% qui ne peuvent l’envisager, 45% qui ne le comprennent pas) ou la dégradation directe que ce soient des panneaux publicitaires (83%, dont 49% qui ne le comprennent pas) et des produits vendus par l’entreprise (84%, dont 57% qui ne le comprennent pas).

Notons que si les seniors sont une majorité à pouvoir envisager un boycott (57%), ce sont les jeunes qui se déclarent les plus prêts à agir sur toutes les autres modalités d’actions : un tiers d’entre eux environ se déclarent prêt à occuper de force une entreprise (32%), à dégrader des panneaux publicitaires (31%) et même à dégrader directement les produits d’une entreprise (31%). Sur un plan politique, envisager différentes actions est davantage partagé que la moyenne par les sympathisants LFI, et nettement moins par les sympathisants LR, qui se montrent particulièrement réticents.

Une entreprise doit-elle faire attention à ne froisser personne quand elle s’exprime ? Aux yeux des Français, la question se pose

Lorsqu’elle s’exprime publiquement, une entreprise doit-elle prendre soin de ne vexer personne ? Les deux-tiers des Français penchent en faveur de la prudence dès lors que l’on touche à l’apparence physique (66%), à l’origine sociale (63%) ou à l’identité sexuelle (63%). Dans une moindre mesure, une courte majorité de Français jugent que toute entreprise doit se montrer prévenante pour ne pas choquer un sexe en particulier (61%), ni les habitants d’une région (61%), ni les représentants d’une certaine génération (60%), ni les représentants d’une religion spécifique (56%). Néanmoins, ces réponses sont très partagées concernant la prise en compte des sensibilités politiques (50%). Notons que les jeunes adhèrent davantage que leurs ainés à l’idée qu’une entreprise doit faire attention dans sa communication à ne choquer personne. Alors que les sympathisants RN se montrent moins convaincus que les entreprises doivent faire attention à ne pas choquer des personnes selon leur milieu social, leur identité sexuelle ou leur genre.

 

 

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N'empêche, sur BFM on déclare au calme que c'est normal que des blancs se fassent virer parce qu'ils sont blancs, on brûle des livres dans les écoles, heureusement que les cheveux bleus devaient rester dans les universités

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