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La Ligue du LOL racontée par ses victimes : « Ruiner des carrières et des vies, c’était leur quotidien »


L'affreux

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Il y a 4 heures, Kassad a dit :

Régulator : il revient et il n'est pas content. Son superpouvoir comme l'a si bien dit Reagan est de taxer tout ce qui bouge, de réguler ce qui continue de bouger, et de subventionner ce qui ne bouge plus.

 

C'est l'histoire du scorpion qui veut traverser le fleuve sur le dos d'une grenouille.

J'ai l'impression d'une nouvelle loi de ce genre tous les 2/3 ans.

Celle là m'a l'air gratinée :
 

Citation


  • Mise en place par les plateformes d’un avertissement présentant les risques encourus en cas de production de contenus haineux ou illicites
  • La plateforme devra préciser les contenus visés par ces alertes
  • Collaboration des réseaux sociaux avec les associations œuvrant dans l’éducation et l’information
  • Explications des standards de modération par les plateformes
  • Rapprochement entre l’État, l’association et ces intermédiaires pour cibler les contenus les plus problématiques
  • Ces standards seront audités et revus chaque année par un régulateur, non désigné (le CSA ?)
  • Ce régulateur supervisera les outils de signalement pour qu’ils soient plus facilement identifiables et mobilisables en quelques secondes par les utilisateurs.
  • Demander aux plateformes d’investir dans l’intelligence artificielle afin de prévenir la publication de contenus haineux (filtrage préventif, prédictif)
  • Mise en quarantaine des contenus considérés comme « illicites » sans être « manifestement illicites »
  • Possibilité d’appel pour les internautes dont les contenus ont été ainsi épinglés
  • Obligation de retrait en quelques heures des « contenus à risque », qui pèsera avant tout sur les gros acteurs
  • Obligation pour les plateformes de soutenir les victimes dans leurs démarches (plaintes, mise en relation avec des associations, des services d’écoute)
  • Délai impératif imposé aux intermédiaires pour révéler aux autorités l’adresse IP et les autres données de connexion des internautes
  • Obligation pour les grosses plateformes d’identifier les auteurs récurrents des « contenus haineux ou dangereux »
  • Nouvelles procédures calibrées pour lutter contre les sites miroirs. Le site Démocratie Participative est cité en exemple.

 

https://www.nextinpact.com/brief/-les-premieres-briques-de-la-future-loi-contre-les-contenus-haineux-7767.htm


 

 

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Il y a 2 heures, Rincevent a dit :

embaucher, en masse, des femmes, des personnes racisées, des personnes LGBTQ + aux postes clés des rédactions

Révélation

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avec une petite formation vite fait ça pourra le faire, il compile plusieurs critères :dentier:

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Il y a 15 heures, Azref a dit :

J'ai l'impression d'une nouvelle loi de ce genre tous les 2/3 ans.

Celle là m'a l'air gratinée :

Oui mais avec LREM, ça part d'un bon sentiment (pour faire un internet de paix et d'amour), donc ça, ça va c'est ok.

Forcément, si les gens votent extrême après eux, ils n'y peuvent pas grand chose si ça foire.

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33 minutes ago, Bézoukhov said:

J'ai genre compris que la moitié de l'article : http://bugbrother.blog.lemonde.fr/2019/02/17/david-doucet-et-la-presomption-de-culpabilite/

 

Il semblerait que la seule pièce matérielle de harcèlement qu'on avait était un canular tévé, et la victime comme l'initiateur ne s'en rappellent qu'aujourd'hui. Mais WTF ?

Haha je venais sur le forum pour relater cet article. C'est un peu surréaliste. Les deux font une émission sur le sujet, les deux oublient, la première "raconte courageusement" et le second s'excuse platement. C'est ridicule mais en fait, vu le climat ambiant, ce n'est pas impossible qu'ils aient tous les deux pété un câble. Ça fait tout de même un peu combat d'infirme...

 

Soit on ne sait pas tout, soit c'est simplement un règlement de compte qui a dérapé en shitstorm nationale. Le beau monde du nourjalisme.

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Il y a quand même un truc qui me choque dans cette affaire. Pour lutter contre le harcèlement, j'ai un truc quand même assez simple: arrêter d'aller sur les réseaux sociaux, et encore plus radical, le bouton marche/arrêt de mon PC. J'ai bien vu que cela allait plus loin, du style IRL, avec aussi des trucs fabriqués et de l'usurpation d'identité; mais quand même, je suis assez étonné de voir que des adultes, ne sont pas capables de gérer par eux même ce genre de situation. Pour nos ados, immatures et mal dans leur peau, je peux comprendre, mais pour des adultes, même jeunes, tout de même,il faut savoir prendre un peu de recul.

 

Si vous vous faites pourrir à longueur de journée en ligne, de là à en faire une dépression, il faut quand même être un peu maso pour persévérer à fréquenter certains sites: Internet est suffisamment vaste pour y trouver la paix.

 

Enfin, j'ai quand même l'impression que cette histoire est liée à un petit microcosme puant qui allait bien au delà de l'Internet et où l'on se battait pour savoir qui pissait le plus loin.

 

Je termine en disant que ce vivent actuellement les politiques sur les réseaux sociaux va bien au delà de cette méchante farce.

 

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Il y a 3 heures, Rübezahl a dit :

à lire

Sur Twitter, on récolte ce qu'on sème https://w.lpnt.fr/2293866t

 

ce qui me troue :

"Il n'y a encore pas si longtemps, j'avais un boulot très bien payé dans « l'économie de la justice sociale ». "

 

Comment sont donc financés ces hordes de trolls gauchistes progressistes ?

 

Est-il probable que ce témoignage soit réel ?

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Il y a 4 heures, Rübezahl a dit :

"Il n'y a encore pas si longtemps, j'avais un boulot très bien payé dans « l'économie de la justice sociale ». "

 

Comment sont donc financés ces hordes de trolls gauchistes progressistes ?

Je crois que c'est la principale question. C'est en fait le prolongement de la question que je me pose depuis vingt ans : qui sont donc tous ces militants gauchistes, et comment financent-ils leurs déplacements aux quatre coins du monde ? Ils étaient 40 000 à Seattle en 1999, 200 000 à Gènes en 2001, et régulièrement aussi nombreux depuis. Et parmi eux, des centaines ou des milliers de black blocs. Ça fait beaucoup de monde.

 

J'ai bien quelques idées sur leur sociologie, sur qui ils sont, mais ça ne me semble pas encore suffisant (et ça n'est pas encore assez côté financement / de quoi ils vivent).

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4 hours ago, Rübezahl said:

Comment sont donc financés ces hordes de trolls gauchistes progressistes ?

Les bourses en fac de socio doivent représenter un pourcentage non négligeable de cette "économie".

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il y a une heure, Fagotto a dit :

1 billet d'avion tous les 2 ans, ça ne demande pas des moyens exceptionnels de nos jours.

D'après l'article, il est question d'une personne, payée (mensuellement si je comprends)

pour simplement troller sur twitter (et peut-être ailleurs).

En soi, c'est une activité absolument improductive (sinon, il faut m'expliquer comment gagner de l'argent ainsi ?)

donc je me demande qui paye ce salaire mensuel pour faire un tel boulot (de nazi).

 

Mais je crois que Kassad réponds correctement.

(ne pas oublier non plus les dizaines de milliers de fonks qui ne sont pas au boulot, tous les jours).

 

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Si le témoignage est vrai, il semble que le gars soit dans le milieu du journalisme. Payé par une association pour écrire des articles idéologisés dans des journaux mainstream, si ça existe ?

 

Citation

avec l'autorisation de mon rédacteur en chef, j'écris celui-ci sous pseudonyme. Il sait qui je suis.

 

Ça fait penser à une relation de long terme. Un anonyme n'écrirait pas cela.

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Le 18/02/2019 à 13:24, Kassad a dit :

Les bourses en fac de socio doivent représenter un pourcentage non négligeable de cette "économie".

Je soupçonne que la sociologie de ces types doit couvrir un mélange des catégories suivantes :

  • Étudiants, doctorants, assistants profs en sociologie / ethnologie / anthropologie / grievance studies (dans les grievance studies, il y a même souvent des crédits universitaires alloués pour participation à des manifs, WTF bordel).
  • Au moins en France, intermittents du spectacle ; parce que les vacances indemnisées par le chômage, ça aide ; et que l'habitude de soulever et trimbaler du matos audio-vidéo, ça maintient en forme (assez pour jouer de la batte de baseball ou du pied-de-biche, par exemple). Ça colle assez bien avec leurs méthodes d'action habituelles par happening, qu'on voir de temps à autres au moment de renégocier leurs drouazaki. J'ignore si il en va de même pour les autres pays, mais ça me semble être un axe de recherche prometteur.
  • Syndicalistes / services d'ordre de syndicats non-mainstream (je vois mal la CGT ou l'AFL-CIO, mais je vois bien Sud/Solidaires). Valable en France où les délégués syndicaux ont un statut parasitaire dédié pour leur laisser le temps de militer, j'ignore si c'est applicable ailleurs. Et si c'est pertinent pour le coup de poing, ça l'est sans doute moins pour les activités en ligne.
  • Aux USA, tout le milieu des "community organizers" est en bonne partie dédié à ça (pas grand chose à voir avec le community building : les derniers visent souvent à renforcer le capital social au niveau local, les premiers ont au fond pour but de détruire le capital social au niveau du pays). Ça en dit long sur l'influence d'un Saul Alinsky par exemple, qui a refondu et rendu populaire ce qui était considéré il y a un siècle encore comme des activités de subversion similaires à celles que menait un Lénine (et je pèse mes mots).
    • Point de vue financement, il y a le "Congregation-based Community Organizing", qui profite délibérément des exemptions d'impôts réservées aux organisations religieuses (et pour avoir vu de mes yeux des gens dédiés à noyauter une organisation religieuse pour modifier son dogme et rediriger ses oeuvres charitables, c'est assez effrayant).
    • On y trouve aussi du non-religieux (c'est même la grande majorité de ce milieu pourri ; une nébuleuse d'organisations comme People's Action ou ACORN, dont la structure organisationnelle est tellement imbitable qu'il est impossible de dépatouiller les dons privés des subventions publiques).

Je ne mentionne pas les types qui n'ont jamais guéri du gauchisme de leur jeunesse, qui vivotent de tel ou tel métier et qui font le coup de poing occasionnel pour telle ou telle occasion (je les vois mal prendre un billet d'avion et deux nuits pour aller mettre un sweat-shirt noir et manier la barre de fer à l'autre bout du monde, mais parfois ils font des trucs localement, souvent en loups solitaires). Ces derniers ont des sosies symétriques à droite, donc ce n'est pas pertinent pour comprendre comment les militants d’extrême gauche financent la vie de leurs activistes.

 

Ah, j'ai failli oublier : il y a tout un tas d'organisations de "soutien" par exemple la NLG qui entre autres fournit des avocats bénévoles, ou le SPLC qui est plus médiatique. Leur financement a beau être assez labyrinthique, il est parfois instructif quand on tombe sur tels ou tels noms, parfois par des biais un peu obvies (vous avez bien lu, l'Open Society Fondation finance des activités pilotées par le SPLC).

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Très bonne analyse que je partage pleinement. J'ajouterai également deux choses:

- En France, ce n'est pas les occasions qui manquent d'obtenir du pognon gratuit des autres, surtout sous couvert d'associations "culturelles". Des demandes de subventions, rien que dans un village de 1200 âmes, on en reçoit des dizaines par an, et pas toujours très claires ...

- Dans ce financement, tu peux rajouter à coup sur quelques bricoles "underground" à base de petits trafics entre "collègues". (Beu entre autre). Vu tout le fric que cela draine et à voir le type de "population", je serai très surpris que certains ne s'en servent pas occasionnellement.  

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J'ai l'impression qu'on assiste à un blitzkrieg radfem dont le première victime sera ce journal de jeunes devenus vieux. Je viens de lire un article de L'express sur le sujet : en gros, on a demandé à ses ex collègues d'expliquer combien l'accusé était lourdingue et-bien entendu- misogyne histoire de le descendre un peu plus. Comme tout est histoire de perceptions et de feelings, c'est infalsifiable et ne tombe sous aucune forme de loi ou de scandale moral insoutenable. Pas très rassurant.

 

https://www.lexpress.fr/actualite/medias/ligue-du-lol-les-coulisses-des-inrocks-racontees-par-mediapart_2062904.html?utm_term=Autofeed&utm_medium=Social&utm_source=Twitter&Echobox=1550505689#xtor=CS3-5083

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Je lis, je lis là-dessus et j'ai l'impression de voir une jolie instrumentalisation de l'affaire.
Indubitablement, les connards de la LdL ont harcelés des meufs journalistes qui se trouvaient être féministes, mai sj'ai l'impression qu'ils en ont fait baver à d'autres aussi. Mais, magie de la justice sociale en action, le fait que plusieurs de ces journalistes soient

- des femmes

- féministes

à une époque où s'en prendre verbalement à une féministe est un crime de lèse-majesté, alors les victimes qui ne sont ni femmes ni féministes sont passées à la trappe et soudainement on ne voit plus que des féministes et des femmes dans les victimes, ce qui prouve bien que c'était leur cible n'est-ce pas ?

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1 hour ago, NoName said:

Je lis, je lis là-dessus et j'ai l'impression de voir une jolie instrumentalisation de l'affaire.
Indubitablement, les connards de la LdL ont harcelés des meufs journalistes qui se trouvaient être féministes, mai sj'ai l'impression qu'ils en ont fait baver à d'autres aussi. Mais, magie de la justice sociale en action, le fait que plusieurs de ces journalistes soient

- des femmes

- féministes

à une époque où s'en prendre verbalement à une féministe est un crime de lèse-majesté, alors les victimes qui ne sont ni femmes ni féministes sont passées à la trappe et soudainement on ne voit plus que des féministes et des femmes dans les victimes, ce qui prouve bien que c'était leur cible n'est-ce pas ?

Si de toute façon le gars de bigbrowser dit vrai, c'est juste une couche de :

- règlements de comptes

- agenda politique bien compris

- idiots utiles malgré eux (le coeur de la ligue du lol)

 

Qu'ils aillent tous cramer.

  • Yea 3
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il y a une heure, cedric.org a dit :

Si de toute façon le gars de bigbrowser dit vrai, c'est juste une couche de :

- règlements de comptes

- agenda politique bien compris

- idiots utiles malgré eux (le coeur de la ligue du lol)

 

Qu'ils aillent tous cramer.

Voilà. au pire, que leur putsch réussisse, que les tarées à cheveux fluo prennent le contrôle de ces feuilles de chou, et trois mois après, ces magazines nouvelle formule se planteront (parce que qui est réellement prêt à payer pour la prose de ces gens-là, hein). Et le jour de leur faillite, je reprendrai des moules.

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il y a 13 minutes, Rincevent a dit :

Voilà. au pire, que leur putsch réussisse, que les tarées à cheveux fluo prennent le contrôle de ces feuilles de chou, et trois mois après, ces magazines nouvelle formule se planteront (parce que qui est réellement prêt à payer pour la prose de ces gens-là, hein). Et le jour de leur faillite, je reprendrai des moules.

Aides à la presse.

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  • 1 month later...
il y a 14 minutes, Bézoukhov a dit :

Un jour on va découvrir que le féminisme de 3ème vague est dû à la connarditude des mecs "cools" : https://www.liberation.fr/france/2019/04/05/dans-la-redaction-du-site-de-france-info-un-boys-club-une-enquete-et-des-sanctions_1719623

 

 

J'en suis persuadé personnellement. 

 

Je connais assez le milieu universitaire pour ne pas m'étonner que ça soit en ces milieux que s'épanouissent si bien les théories a la con type race studies ou gender studies ou feminist studies. Faut lire les témoignages de doctorants qu'on trouve partout sur le net. 

 

J'ai des dossiers sur des gens qui se comportent pire que les journalistes dont on parle ici et qui sont supposés être les "mecs cools progs" mais qui sont des manipulateurs dangereux. Un jour, une collègue hollandaise me parle de son directeur de thèse, jeune quadra prog branché de mon labo, comme un "womanizer". Je sais aujourd'hui que c'est carrément un agresseur sexuel, un obsédé et un pervers narcissique. 

Mais comme il est "track tenure", qu'il a le bras long et que, a l'extérieur de nos murs, il bénéficie d'une excellente réputation, il pourrait tout a fait détruire ma potentielle carrière en s'assurant que je n'aie jamais de postes, ou alors dans une fac de brousse africaine. 

Alors, comme tout le londe je ferme ma gueule mais j'ai du mal a en vouloir a mes collègues feministes dans leurs delires, meme si je ne le partage pas. 

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il y a 19 minutes, poney a dit :

J'en suis persuadé personnellement. 

 

Je connais assez le milieu universitaire pour ne pas m'étonner que ça soit en ces milieux que s'épanouissent si bien les théories a la con type race studies ou gender studies ou feminist studies. Faut lire les témoignages de doctorants qu'on trouve partout sur le net. 

 

J'ai des dossiers sur des gens qui se comportent pire que les journalistes dont on parle ici et qui sont supposés être les "mecs cools progs" mais qui sont des manipulateurs dangereux. Un jour, une collègue hollandaise me parle de son directeur de thèse, jeune quadra prog branché de mon labo, comme un "womanizer". Je sais aujourd'hui que c'est carrément un agresseur sexuel, un obsédé et un pervers narcissique. 

Mais comme il est "track tenure", qu'il a le bras long et que, a l'extérieur de nos murs, il bénéficie d'une excellente réputation, il pourrait tout a fait détruire ma potentielle carrière en s'assurant que je n'aie jamais de postes, ou alors dans une fac de brousse africaine. 

Alors, comme tout le londe je ferme ma gueule mais j'ai du mal a en vouloir a mes collègues feministes dans leurs delires, meme si je ne le partage pas. 

Ça corrobore assez ce que j'ai entendu sur de grandes écoles publiques, type l'ENS. Tout le monde était au courant qu'un certain chercheur créait des malaises avec les étudiantes, mais difficile de virer quelqu'un ayant un poste de directeur et qui a largement contribué dans sa discipline. Le fait est que l'ENS Lyon regorge de féministes troisième vague, il suffit de se rendre dans les toilettes du foyer pour s'en rendre compte. Donc ta théorie ne me semble pas branquignolesque.

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