Aller au contenu

Prières


Raffarin2012

Messages recommandés

Il y a 1 heure, POE a dit :

Pour répondre à l'exhortation apostolique de prier sans cesse, je propose la prière du cœur :

 

Seigneur Jésus Christ, fils de Dieu, aie pitié de moi, pêcheur.

Oui et à ce propos les récits d'un pèlerin russe sont fascinants

 

https://www.amazon.fr/R%C3%A9cits-dun-p%C3%A8lerin-russe-Anonyme/dp/2020362147

 

Lien vers le commentaire
Le 12/03/2019 à 11:02, poney a dit :

Notre Jupiler qui est en fût
Que ta mousse soit sanctifiée
Que ton verre vienne
Que ta distribution soit faite sur la table comme au bar
Donne-nous aujourd'hui
Notre houblon quotidien
Pardonne nous nos gueules de bois
Comme nous pardonnons aussi
A ceux qui boivent de la Stella
Soumets-nous a la tentation
Et délivre-nous de la soif
Car c'est a toi qu'appartiennent
Les bulles,l'arôme et la fraîcheur
Pour les siècles et des siècles

 

Amen

 

Celle-là, je sais d'où elle vient, POIL.

  • Yea 1
Lien vers le commentaire

Donne moi une bonne digestion, Seigneur, et aussi quelque chose à digérer.

Donne moi la santé du corps avec le sens de la garder au mieux,

Donne moi une âme sainte, Seigneur, qui ait les yeux sur la beauté et la pureté, afin qu’elle ne s’épouvante pas en voyant le péché, mais sache redresser la situation.

Donne moi une âme qui ignore l’ennui, le gémissement et le soupir.

Ne permets pas que je me fasse trop de souci pour cette chose encombrante que j’appelle «moi».

Seigneur, donne moi l’humour pour que je tire quelque bonheur de cette vie et en fasse profiter les autres.
 

Thomas More

Lien vers le commentaire

Pas franchement une prière mais en tant que catholique pratiquant, je ne peux que citer cette pure merveille de Rerum Novarum de Leon XIII

 

Les socialistes, pour guérir ce mal, poussent à la haine jalouse des pauvres contre les riches. Ils prétendent que toute propriété de biens privés doit être supprimée, que les biens d'un chacun doivent être communs à tous, et que leur administration doit revenir aux municipalités ou à l'Etat. Moyennant ce transfert des propriétés et cette égale répartition entre les citoyens des richesses et de leurs avantages, ils se flattent de porter un remède efficace aux maux présents.

Mais pareille théorie, loin d'être capable de mettre fin au conflit, ferait tort à la classe ouvrière elle-même, si elle était mise en pratique. D'ailleurs, elle est souverainement injuste en ce qu'elle viole les droits légitimes des propriétaires, qu'elle dénature les fonctions de l'Etat et tend à bouleverser de fond en comble l'édifice social. De fait, comme il est facile de le comprendre, la raison intrinsèque du travail entrepris par quiconque exerce un métier, le but immédiat visé par le travailleur, c'est d'acquérir un bien qu'il possédera en propre et comme lui appartenant. 

Car s'il met à la disposition d'autrui ses forces et son énergie, ce n'est évidemment que pour obtenir de quoi pourvoir à son entretien et aux besoins de la vie. Il attend de son travail le droit strict et rigoureux, non seulement de recevoir son salaire, mais encore d'en user comme bon lui semblera.

Si donc, en réduisant ses dépenses, il est arrivé à faire quelques épargnes et si, pour s'en assurer la conservation, il les a par exemple réalisées dans un champ, ce champ n'est assurément que du salaire transformé. Le fonds acquis ainsi sera la propriété de l'ouvrier, au même titre que la rémunération même de son travail. Or, il est évident qu'en cela consiste précisément le droit de propriété mobilière et immobilière.

Ainsi, cette conversion de la propriété privée en propriété collective, préconisée par le socialisme, n'aurait d'autre effet que de rendre la situation des ouvriers plus précaire, en leur retirant la libre disposition de leur salaire et en leur enlevant, par le fait même, tout espoir et toute possibilité d'agrandir leur patrimoine et d'améliorer leur situation.

Mais, et ceci paraît plus grave encore, le remède proposé est en opposition flagrante avec la justice, car la propriété privée et personnelle est pour l'homme de droit naturel.

  • Yea 1
Lien vers le commentaire

La vie est beauté, admire-la.
La vie est félicité, profites-en.
La vie est un rêve, réalise-le.
La vie est un défi, relève-le.
La vie et un devoir, fais-le.
La vie est un jeu, joue-le.
La vie est précieuse, soigne-la bien.

La vie est richesse, conserve-la.
La vie est amour, jouis-en.
La vie est un mystère, pénètre-le.
La vie est une promesse, tiens-la.
La vie est tristesse, dépasse-la.
La vie est un hymne, chante-le.
La vie est un combat, accepte-le.
La vie est une tragédie, lutte avec elle.
La vie est une aventure, ose-la.

La vie est bonheur, mérite-le.
La vie est la vie, défends-la.

 

Mère Teresa (1910-1997)

Lien vers le commentaire

Je m’adresse à vous, mon Dieu
Car vous donnez
Ce qu’on ne peut obtenir que de soi.
Donnez-moi, mon Dieu, ce qui vous reste,
Donnez-moi ce qu’on ne vous demande jamais.
Je ne vous demande pas le repos
Ni la tranquillité,
Ni celle de l’âme, ni celle du corps.
Je ne vous demande pas la richesse,
Ni le succès, ni même la santé.
Tout ça, mon Dieu, on vous le demande tellement,
Que vous ne devez plus en avoir !
Donnez-moi, mon Dieu, ce qui vous reste,
Donnez-moi, ce que l’on vous refuse.
Je veux l’insécurité et l’inquiétude
Je veux la tourmente et la bagarre,
Et que vous me les donniez, mon Dieu,
Définitivement.
Que je sois sûr de les avoir toujours
Car je n’aurai pas toujours le courage
De vous les demander.
Donnez-moi, mon Dieu, ce qui vous reste,
Donnez-moi ce dont les autres ne veulent pas,
Mais donnez-moi aussi le courage,
Et la force et la foi.
Car vous êtes seul à donner
Ce qu’on ne peut obtenir que de soi.

  • Yea 1
Lien vers le commentaire
Il y a 16 heures, frigo a dit :

Je m’adresse à vous, mon Dieu
Car vous donnez
Ce qu’on ne peut obtenir que de soi.
Donnez-moi, mon Dieu, ce qui vous reste,
Donnez-moi ce qu’on ne vous demande jamais.
Je ne vous demande pas le repos
Ni la tranquillité,
Ni celle de l’âme, ni celle du corps.
Je ne vous demande pas la richesse,
Ni le succès, ni même la santé.
Tout ça, mon Dieu, on vous le demande tellement,
Que vous ne devez plus en avoir !
Donnez-moi, mon Dieu, ce qui vous reste,
Donnez-moi, ce que l’on vous refuse.
Je veux l’insécurité et l’inquiétude
Je veux la tourmente et la bagarre,
Et que vous me les donniez, mon Dieu,
Définitivement.
Que je sois sûr de les avoir toujours
Car je n’aurai pas toujours le courage
De vous les demander.
Donnez-moi, mon Dieu, ce qui vous reste,
Donnez-moi ce dont les autres ne veulent pas,
Mais donnez-moi aussi le courage,
Et la force et la foi.
Car vous êtes seul à donner
Ce qu’on ne peut obtenir que de soi.

La prière du para, elle a de la gueule.

Lien vers le commentaire

 Je ne connaîtrai pas la peur, car la peur tue l'esprit.

La peur est la petite mort qui conduit à l'oblitération totale.

J'affronterai ma peur.

Je lui permettrai de passer sur moi, au travers de moi.

Et lorsqu'elle sera passée, je tournerai mon œil intérieur sur son chemin.

Et là où elle sera passée, il n'y aura plus rien.

Rien que moi

Lien vers le commentaire

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
×
×
  • Créer...