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Actualité Covid-19


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5 minutes ago, Bisounours said:

Mouais... on peut être libéral ET flippé, non ? <_<

 

Peut-être... mais peut-on être libéral et défendre depuis 3 mois une sortie de crise par une relance keynésienne ? Et expliquer que Le Maire mène une bonne politique économique de sortie de crise (... depuis qu'il fait partie du cercle des conseillers du ministre de l’économie, ce dont il se vante sur LinkedIn...)

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il y a 2 minutes, Largo Winch a dit :

Et expliquer que Le Maire mène une bonne politique économique de sortie de crise (... depuis qu'il fait partie du cercle des conseillers du ministre de l’économie, ce dont il se vante sur LinkedIn...)

Tout le monde est corruptible. Certains le sont à moins cher que d'autres. :(

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il y a 1 minute, Largo Winch a dit :

défendre depuis 3 mois une sortie de crise par une relance keynésienne

Ha, là évidemment, je dubite un peu sur les bords... après, j'ai cru comprendre que quelques mesures liées à des baisses d'impôts des entreprises étaient prises. Il me semble par ailleurs un peu normal que les abrutis essaient de réparer les conneries qu'ils ont faites.

Mais vu le reste de merdasse, genre relance et plan alakon, ça pèse pas lourd dans la balance effectivement

C'est sur l'aspect masque que je répondais, vu la covidémence épidémique qui sévit.

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Oui, enfin, même sur les masques... C'est quand même un peu hallucinant de voir Bouzou défendre le modèle autoritaire chinois de gestion de crise et traiter ses "amis libéraux" d'égoïstes contre Pujadas qui défend le modèle suédois qui repose sur les responsabilités individuelles.

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Je crois hélas que beaucoup ont perdu le sens des réalités et de la mesure face à ce tsunami de conneries et cette peur hallucinante de tomber malade alors qu'un faible pourcentage de personnes est à risque. Et à ce niveau, point de libéralisme. D'ailleurs, on doit trouver des full gauchistes qui contestent le port obligatoire du masque, tu crois pas ?

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il y a 1 minute, Bisounours a dit :

D'ailleurs, on doit trouver des full gauchistes qui contestent le port obligatoire du masque, tu crois pas ?

Je n'en doute pas. Le masque (et l'ensemble de la covidémence, merci pour le néologisme), c'est plutôt un reflet du centrisme autoritaire.

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1 minute ago, Rincevent said:

Le masque (et l'ensemble de la covidémence, merci pour le néologisme), c'est plutôt un reflet du centrisme autoritaire.

 

Voilà. C'est l'aboutissement de l'idéologie social-démocrate.

 

(et c'est vrai que "covidémence" est un bonne idée de néologisme :icon_bravo:)

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Moi je sais pas à quoi rattacher cette dinguerie. Il me semble avoir compris que certains pays comme la Suède donc, n'était pas saisis par cette trouillite aiguë et pourtant, les Suédois sont plutôt socio démocrates, mais en moins pire, donc que les Français ?

D'ailleurs, quels sont les pays aussi dingues qui imposent à ce point le masque à l'extérieur ? Lyon et Villeurbanne s'y mettent aussi, au passage.

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11 minutes ago, Bisounours said:

les Suédois sont plutôt socio démocrates, mais en moins pire, donc que les Français ?

 

Ah bah oui. Voir les chroniques des différentes formes de socialisme de Dan Mitchell :

https://www.contrepoints.org/2019/02/26/337952-le-socialisme-aujourdhui-2-le-social-liberalisme-scandinave

https://www.contrepoints.org/2019/02/28/337974-le-socialisme-aujourdhui-4-le-dirigisme-francais

et son continuum des socialismes : https://www.contrepoints.org/2019/03/01/337983-le-socialisme-aujourdhui-5-quels-pays-sont-reellement-socialistes

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il y a 47 minutes, Largo Winch a dit :

 

Ce n'est pas la première fois que Pujadas tient ce genre de propos concernant la gestion de la crise sanitaire.

La semaine passée, à propos de la Suède, il s'est ouvertement opposé à Nicolas Bouzou (vous savez, ce grand économiste qui accuse ses "amis libéraux" d'être des égoïstes parce qu'ils osent critiquer l'obligation du port du masque en toutes circonstances, alors qu'il s'agit, selon lui, d'un chouette "accessoire de mode") : pour Bouzou la Suède a été irresponsable en n'imposant pas un confinement général, alors que pour Pujadas, le bilan de la Suède montre que le confinement n'était pas utile.

 

il y a 4 minutes, Largo Winch a dit :

 

C'est d'ailleurs "amusant": on a un  français qui se défini comme libéral défends une politique bien socdem et on a la Suède qui se défini comme un pays socdem mais qui a été  libéral (dans le sens respect des libertés individuelles) pendant la crise.

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il y a 3 minutes, Tramp a dit :

J’ai toujours entendu Bouzou se définir comme keynésien non ?

Il était un habitué des conférences de Euro 92, et de formation autrichienne, dans une vie antérieure.

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Il y a 12 heures, Largo Winch a dit :

Oui, enfin, même sur les masques... C'est quand même un peu hallucinant de voir Bouzou défendre le modèle autoritaire chinois de gestion de crise et traiter ses "amis libéraux" d'égoïstes contre Pujadas qui défend le modèle suédois qui repose sur les responsabilités individuelles.

 

Justement, le modèle suédois ne repose pas sur les responsabilités individuelles mais sur le consensus (cf. cet article que j'avais posté il y a quelques mois).

Ce qui s'est traduit de la manière suivante : le consensus au sein du pays étant opposé à un confinement, un non-confinement a été imposé à l'ensemble de la population ("In reality, Sweden’s response to the pandemic has less to do with freedom and individual responsibility, and more to do with the country’s tradition of consensus and social control. Its choice of a uniquely lax approach to the pandemic should not be mistaken for a sudden turn toward individual freedom.").

Un exemple révélateur des décisions prises par le pays : "Sweden has not just decided to keep primary schools open during the pandemic: Sending children to school is mandatory, even now, and homeschooling remains illegal. (Sick children can stay home. But the Swedish Public Health Agency, the government body responsible for the country’s response to the pandemic, has emphasized in recent weeks that primary school is still mandatory for all children who don’t show any symptoms.)"

"Ultimately, the issue comes down to the Swedish strategy to allow the virus to spread until herd immunity is attained. One may or may not agree with such a strategy. But for a government to decide that more than half of the population is to be infected by a virus such as COVID-19, and in effect to prohibit families with schoolchildren from opting out of the herd, hardly rings of individual freedom."

 

 

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il y a 40 minutes, Ultimex a dit :

 

Justement, le modèle suédois ne repose pas sur les responsabilités individuelles mais sur le consensus (cf. cet article que j'avais posté il y a quelques mois).

Ce qui s'est traduit de la manière suivante : le consensus au sein du pays étant opposé à un confinement, un non-confinement a été imposé à l'ensemble de la population ("In reality, Sweden’s response to the pandemic has less to do with freedom and individual responsibility, and more to do with the country’s tradition of consensus and social control. Its choice of a uniquely lax approach to the pandemic should not be mistaken for a sudden turn toward individual freedom.").

Un exemple révélateur des décisions prises par le pays : "Sweden has not just decided to keep primary schools open during the pandemic: Sending children to school is mandatory, even now, and homeschooling remains illegal. (Sick children can stay home. But the Swedish Public Health Agency, the government body responsible for the country’s response to the pandemic, has emphasized in recent weeks that primary school is still mandatory for all children who don’t show any symptoms.)"

"Ultimately, the issue comes down to the Swedish strategy to allow the virus to spread until herd immunity is attained. One may or may not agree with such a strategy. But for a government to decide that more than half of the population is to be infected by a virus such as COVID-19, and in effect to prohibit families with schoolchildren from opting out of the herd, hardly rings of individual freedom."

 

 

 

Cet article était intéressant mais l’analyse de la réaction suédoise n’est pas la bonne. En fait, c’est beaucoup plus simple que cela : l’épidémiologiste écouté par le gouvernement suédois était tout simplement plus intelligent et courageux que dans d’autres pays.

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il y a 9 minutes, Johnnieboy a dit :

 

Cet article était intéressant mais l’analyse de la réaction suédoise n’est pas la bonne. En fait, c’est beaucoup plus simple que cela : l’épidémiologiste écouté par le gouvernement suédois était tout simplement plus intelligent et courageux que dans d’autres pays.

 

Ca me dit en effet quelque chose. Et c'est dans l'absolu inquiétant: un scientifique peut décider du sort de million de personnes.

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il y a 3 minutes, Johnnieboy a dit :

 

Cet article était intéressant mais l’analyse de la réaction suédoise n’est pas la bonne. En fait, c’est beaucoup plus simple que cela : l’épidémiologiste écouté par le gouvernement suédois était tout simplement plus intelligent et courageux que dans d’autres pays.

 

Ce sont deux problèmes différents : le choix de viser l'immunité de masse (qui était effectivement, avec le recul, le choix le plus intelligent) est orthogonal au problème de la liberté et de la responsabilité individuelles (i.e. le gouvernement suédois aurait pu se contenter de faire des préconisations pour viser l'immunité de masse en mettant en avant les préconisations et conclusions de l’épidémiologiste mentionné).

 

La seule conclusion que l'on peut donc tirer de la situation actuelle est que la vision "autoritaire" suédoise a été plus courageuse et intelligente que la réponse "autoritaire" française en termes de résultats (pas beaucoup plus de morts en Suède, un pays probablement en plus grande partie immunisé, économie très certainement en meilleur état), pas que la Suède était un pays plus libéral que la France.

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La bonne réponse est de se rendre compte que l'on peut pas y faire grand chose à part gesticuler. Viser l'immunité collective et tenter d'amoindrir le pic épidémique sont deux politiques constructivistes qui on été inefficaces, on a eux même la politique de l'UK qui est la pire de changer d'avis au milieu du gué.

Dans toute les épidémies on isole les malades ce que n'a pas fait la France. Maintenant c'est trop tard il faut ne rien faire et laisser les médecins soigner. 

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Franchement, à l'époque, et je dis bien à l'époque sans le recul que l'on a actuellement, vu l'état d'engorgement des hôpitaux français, je voyais mal comment on allait y échapper.

 

Le problème c'était vraiment l'engorgement des hôpitaux à l'époque.

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il y a 20 minutes, Marlenus a dit :

Franchement, à l'époque, et je dis bien à l'époque sans le recul que l'on a actuellement, vu l'état d'engorgement des hôpitaux français, je voyais mal comment on allait y échapper.

 

Le problème c'était vraiment l'engorgement des hôpitaux à l'époque.

Citation

DR ROBIN SROUR, neurochirurgien, chef du service de neurochirurgie des Hôpitaux civils de Colmar

« Lorsque le confinement a été décrété, l’administration de l’hôpital a décidé de déprogrammer tous les patients opérables dans mon service de neurochirurgie pour le restructurer en unité Covid-19. Je me suis mis à disposition des équipes soignantes en première ligne face à la maladie. Mais n’étant ni urgentiste ni infectiologue – et arrivant à un âge considéré à risque –, l’hôpital n’a pas fait appel à moi. Je suis resté chez moi pendant cinq longues semaines. Du jour au lendemain, j’ai donc cessé toute activité médicale. Ce qui rythmait ma vie depuis ces trente dernières années était soudainement interrompu. C’est la première fois de ma carrière que je suis mis sur la touche. Une multitude de sentiments se sont mélangés dans ma tête. La culpabilité, d’abord, de déprogrammer mes patients, dont certains étaient parfois dans un état de santé difficile. Une impression d’inutilité, aussi, qui est très inhabituelle pour nous, médecins. Je suis confiné chez moi tandis que l’hôpital et tous les personnels sont au cœur d’une tempête sanitaire d’une ampleur inédite. C’est très difficile à vivre. Impossible de m’occuper chez moi, de jardiner. Je voulais aller à l’hôpital. Il y a enfin ce sentiment de tristesse, car le virus a emporté des amis et des collègues. Dès le mois de mai, j’ai repris le chemin du bloc. Les Hôpitaux civils de Colmar ont progressivement retrouvé une activité plus classique. Cet été, j’ai décidé de ne pas partir en vacances afin de reconstruire toute l’activité du service de neurochirurgie. Nous devons rattraper le retard et prendre en charge les patients non traités durant le confinement. Nous devons aussi gérer un personnel soignant fatigué par sa mobilisation pendant l’épidémie. Je me sens à nouveau dans mon élément, actif, utile. C’est précieux. L’hôpital se prépare aussi à une éventuelle seconde vague. Avec l’expérience acquise ces dernières semaines, nous sommes mieux équipés, préparés et organisés pour faire face à l’afflux de patients. »n° 68 - août 2020 MÉDECINS | 9

 

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il y a 14 minutes, Marlenus a dit :

 

 

Ben oui, il confirme.

 

Non il est resté chez lui pendant 5 semaines. Resté chez soi, ce n'est pas être débordé. C'est désorganiser tous les services. Comme les médecins dans les cliniques. 5000 places de rea que l'état ne voulait pas utiliser. Comme pour les masques, confisqué alors que l'état avait 100 millions disponibles.

Je préfère un état qui ne fait rien plutôt qu'une bande de pieds nickelés

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11 minutes ago, GilliB said:

Non il est resté chez lui pendant 5 semaines. Resté chez soi, ce n'est pas être débordé. C'est désorganiser tous les services. Comme les médecins dans les cliniques. 5000 places de rea que l'état ne voulait pas utiliser. Comme pour les masques, confisqué alors que l'état avait 100 millions disponibles.

Je préfère un état qui ne fait rien plutôt qu'une bande de pieds nickelés

C'est une vision.

Perso une personne qui a l'époque est clairement vu comme quelqu'un à risque, qui n'a pas de compétences particulières utiles, cela ne me choque pas qu'on l'ait renvoyé chez lui.

 

 

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il y a 6 minutes, Marlenus a dit :

C'est une vision.

Perso une personne qui a l'époque est clairement vu comme quelqu'un à risque, qui n'a pas de compétences particulières utiles, cela ne me choque pas qu'on l'ait renvoyé chez lui.

 

 

Tu as raison, c'est logique. On manque de personnel, on les renvoient chez eux.

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Just now, GilliB said:

Tu as raison, c'est logique. On manque de personnel, on les renvoient chez eux.

 

Outre que l'on ne sait pas la question du manque de personnel dans son hôpital en particulier.

 

Le manque de personnel c'est souvent un manque de personnel qualifié . Il explique lui même qu'il n'a pas les qualifications que l'hôpital cherchait. Et dans ce cas, il y avait sans doute des personnes plus jeunes qui ont fazt l'affaire.

Franchement mettre des personnes à risques en première lignes alors qu'ils n'ont pas de compétences particulières, ce serait encore un cas supérieur de désorganisation.

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Outre le personnel disponible renvoyé chez lui, les témoignages relatant l'attente de l'arrivée de patients dans certaines cliniques privées durant le mois d'avril ne manquent pas. Alors qu'il suffisait parfois de traverser la rue pour trouver une place. 

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il y a 8 minutes, Marlenus a dit :

 

Outre que l'on ne sait pas la question du manque de personnel dans son hôpital en particulier.

 

Le manque de personnel c'est souvent un manque de personnel qualifié . Il explique lui même qu'il n'a pas les qualifications que l'hôpital cherchait. Et dans ce cas, il y avait sans doute des personnes plus jeunes qui ont fazt l'affaire.

Franchement mettre des personnes à risques en première lignes alors qu'ils n'ont pas de compétences particulières, ce serait encore un cas supérieur de désorganisation.

C'est logique, il y a un service de chir (avec des urgences) qui fonctionne, on le ferme et on créé ex nihilo un nouveau service avec une nouvelle équipe, et ca va bien se passer. Tu devrais postuler à Santé publique France, ils cherchent du monde ;).

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1 minute ago, GilliB said:

C'est logique, il y a un service de chir (avec des urgences) qui fonctionne, on le ferme et on créé ex nihilo un nouveau service avec une nouvelle équipe, et ca va bien se passer. Tu devrais postuler à Santé publique France, ils cherchent du monde ;).

Tu devrais être patron et embaucher n'importe quel pékin qui se présente quelque soit son CV, cela va bien se passer.


Et on manque d'entrepreneurs en France :)

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il y a 1 minute, Marlenus a dit :

Tu devrais être patron et embaucher n'importe quel pékin qui se présente quelque soit son CV, cela va bien se passer.


Et on manque d'entrepreneurs en France :)

J'y pense, je te prendrais comme associé, on cassera la baraque lol.

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