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Actualité Covid-19


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il y a 6 minutes, RaHaN a dit :

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Meh ? :D 

 

Contre-meh

https://www.lefigaro.fr/flash-actu/l-allemagne-suspend-la-vaccination-avec-astrazeneca-20210315

https://www.lexpress.fr/actualite/monde/la-france-suspend-a-son-tour-l-utilisation-d-astrazeneca-tout-comprendre-a-la-situation_2146842.html

 

Le phénomène de contagion hystérique entre Etats est quand même sacrément fascinant.

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Le processus est quand même fascinant.

"Ecoute Roger, j'ai vu sur bfm qu'un pompier avait fait une réaction sévère, on annule"

"Mais René, j'ai dis le contraire hier soir sur switch"

"Tu veux aller au mitard ? Tu la boucles et tu suspends tout jusqu'à ce que l'Allemagne fasse pareil"

"On va pas passer pour des peintres René ?"

" Si on fait tout comme l'Allemagne Roger, ça ira bien jusqu'en 2027"

Je crois sincèrement qu'on est à ce niveau. Les élites.

 

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il y a 47 minutes, michel kohlhaas a dit :


ils ne pensent qu’à sauver leurs culs.

phase 1: on doit garder le AstraZeneca parce que c’est le seul qu’on arrive encore à se procurer parce que personne n’en veut. Il faut avancer dans la stratégie (qu’elle usurpation de ce mot) vaccinale.

 

phase 2: merde, tout le monde suspend, si on suspend pas nous aussi et qu’il y a des soucis, ça va se retourner contre nous. 


la « stratégie » vaccinale encore de la novlangue pour pas grand chose: Ils vaccinent les vieux en premier parce que elle sont eux qui décèdent le plus à cause du COVID. Wow ça tient du génie cette stratégie, des

fins limiers les mecs. 
heureusement que Castex et Macron ne doivent pas gérer un temps de guerre, la ligne maginot semblerait géniale à côté de ce que ces pitres nous sortiraient!

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4 minutes ago, SilenT BoB said:

ils ne pensent qu’à sauver leurs culs.

phase 1: on doit garder le AstraZeneca parce que c’est le seul qu’on arrive encore à se procurer parce que personne n’en veut. Il faut avancer dans la stratégie (qu’elle usurpation de ce mot) vaccinale.

 

phase 2: merde, tout le monde suspend, si on suspend pas nous aussi et qu’il y a des soucis, ça va se retourner contre nous.

Et au final quelle que soit la réalité ils se retrouveront avec le pire des deux mondes, en ayant injecté plein de gens ET en ayant arrêté.

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il y a 59 minutes, michel kohlhaas a dit :

Je suis bouche bée devant ce niveau de nullité ! :D

J'aurais pas cru ça possible.

 

il y a une heure, michel kohlhaas a dit :

Le phénomène de contagion hystérique entre Etats est quand même sacrément fascinant.

Ils communiquent évidemment entre eux grâce à leurs pouvoirs télékinésiques de reptilien

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Il y a 4 heures, michel kohlhaas a dit :

Je crois sincèrement qu'on est à ce niveau. Les élites.

 

Depuis que j'ai lu les écoutes téléphoniques des avocats de Sarkozy je sais que c'est littéralement ça. Des gars paumés un peu perchés qui se prennent pour des cowboys. Nos élites.

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Un premier pas vers l'autonomie ? La Bretagne lance son propre variant. De plus, ce dernier est furtif afin d'en faciliter la diffusion mondiale (le complot avance et à la fin nous serons les seuls à disposer d'un antidote) :

 

Citation

Covid-19 : ce que l’on sait du nouveau « variant breton »

 

La Direction générale de la santé (DGS) a annoncé, lundi, l’apparition en Bretagne d’un nouveau variant du coronavirus SARS-CoV2. Huit personnes, au moins, en ont été trouvées porteuses. L'une des hypothèses est qu'il pourrait échapper aux tests de dépistage classiques.

 

Après les variants britannique, sud-africain et brésilien, une nouvelle forme du Covid-19 a-t-elle fait son apparition en Bretagne ? Alertée à la fin du mois de février par le centre hospitalier de Lannion, l’Agence régionale de santé en a immédiatement informé la Direction générale (DGS), laquelle a annoncé lundi que des « investigations sont en cours pour en évaluer la transmissibilité et la sévérité ».

 

Si l’apparition de variants est un processus naturel permettant au virus, par le biais de mutations au fil du temps, d’assurer sa « survie », certaines formes peuvent se révéler plus dangereuses ou contagieuses. À l’heure actuelle, trois variants dans le monde sont considérés comme préoccupants, à savoir ceux détectés en Angleterre, Afrique du Sud et Japon (mais sur des voyageurs venant du Brésil, d’où son nom commun de « variant brésilien »).

 

Il existe toutefois une deuxième catégorie de variants, surveillés par la communauté scientifique internationale en raison de leurs caractéristiques génétiques potentiellement problématiques, mais qui ne circulent pour l’instant qu’à moindre échelle. Le « variant breton » appartient à ce groupe.

 

Le 22 février dernier, le centre hospitalier de Lannion révélait l’existence d’un cluster au sein de l’établissement, suite à la contamination d’une dizaine de personnes. Les malades avaient beau présenter les symptômes du nouveau coronavirus, « rattachés à un cluster », leurs tests PCR se révélaient pourtant négatifs.

 

Trois semaines plus tard, 79 cas étaient identifiés, dont 8 porteurs d’un variant non répertorié. Ceci était confirmé après séquençage.

 

Une définition particulière des cas, « adaptée à la situation et relative à une zone géographique incluant une partie des départements de Côtes-d’Armor et du Finistère, en Bretagne », était alors élaborée par Santé publique France, d’où la qualification de « variant breton ».

 

Des investigations épidémiologiques et virologiques ont été menées sur les patients de Lannion, par Santé publique France et le CNR Virus des infections respiratoires. La « discordance répétée » entre les signes cliniques de présence du nouveau coronavirus et « des résultats cependant négatifs aux tests nasopharyngés », ont incité les autorités sanitaires à diligenter des analyses moléculaires.

 

Celles-ci ont été réalisées par l’Institut Pasteur et ont mis « en évidence un nouveau variant […] porteur de neuf mutations dans la région codant pour la protéine S mais également dans d’autres régions virales », a précisé la DGS dans un message adressé aux professionnels de santé.

 

« Une évaluation est en cours afin d’apprécier l’impact possible de ces modifications génétiques sur un défaut de reconnaissance par les tests virologiques conduisant à un sous-diagnostic », poursuit-elle.

 

Le « variant breton » étant récent et peu répandu, aucune « étude d’impact » n’a encore été réalisée. La Direction générale de la santé (DGS) précise que des « investigations approfondies » sont en cours pour en évaluer la transmissibilité, la sévérité « et le risque éventuel d’échappement immunitaire de ce nouveau variant ».

 

Dans l’attente des résultats et en l’absence pour le moment de données concernant une éventuelle transmissibilité accrue de ce virus par rapport aux souches de 2020 « et une éventuelle plus grande fréquence des formes sévères », l’analyse de risque réalisée par Santé Publique France et le Centre National de Référence Virus respiratoires a décidé du classement de cette souche dans la catégorie « à suivre » (variant under investigation).

 

Cette dernière regroupe les milliers de variants qui apparaissent naturellement dans le monde, et dont seule une petite proportion posera des problèmes de santé publique, notamment s’ils s’avèrent plus contagieux ou plus virulents.

 

Toutefois, selon les autorités sanitaires, « les premières analyses de ce nouveau variant ne permettent de conclure ni à une gravité ni à une transmissibilité accrue par rapport au virus historique ».

 

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Il y a 2 heures, Freezbee a dit :

Un premier pas vers l'autonomie ? La Bretagne lance son propre variant. De plus, ce dernier est furtif afin d'en faciliter la diffusion mondiale (le complot avance et à la fin nous serons les seuls à disposer d'un antidote) :

Le plan se déroule comme prévu :) 

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Il y a 5 heures, Freezbee a dit :

Un premier pas vers l'autonomie ? La Bretagne lance son propre variant.

 

Covid-19 et « variant breton » : la préfecture des Côtes-d’Armor annonce un renforcement des mesures

 

Citation

Sur l’espace public, la préfecture annonce trois mesures renforcées : le port du masque, d’abord, devient obligatoire « pour tout piéton de onze ans et plus sur le territoire du département des Côtes-d’Armor ». La consommation sur la voie publique de boissons alcoolisées « du 3e au 5e groupe », ainsi que « l’utilisation de musique amplifiée » sont toutes deux interdites, et ce sur l’ensemble du département.

 

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Il y a 2 heures, RaHaN a dit :

Covid-19 et « variant breton » : la préfecture des Côtes-d’Armor annonce un renforcement des mesures

Mais nooooooooooon... Je trouvais un truc drôle pour une fois, il a tout gâché :( 

 

Il y a 2 heures, RaHaN a dit :
Citation

Sur l’espace public, la préfecture annonce trois mesures renforcées : le port du masque, d’abord, devient obligatoire « pour tout piéton de onze ans et plus sur le territoire du département des Côtes-d’Armor ». La consommation sur la voie publique de boissons alcoolisées « du 3e au 5e groupe », ainsi que « l’utilisation de musique amplifiée » sont toutes deux interdites, et ce sur l’ensemble du département.

 

En fait on voit qu'il vise les regroupements entre jeunes dehors (très légitimes au demeurant). Et du coup il fait chier tout le monde pour pouvoir les verbaliser. Triste époque.

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Alors ça monte, ça monte, sauf les décès, qui monteront peut-être plus tard... ou pas ? Notez comme dans les deux premières vagues il y avait une forte corrélation (avec quelques semaines d'intervalle) entre admissions en réanimation et décès, mais que maintenant pas du tout. Peut-être un effet des vaccins, ou du fait qu'on commence à soigner correctement les gens ?

Une partie perverse en moi se dit que ça serait quand même "joli" du point de vue des données qu'on se retrouve avec une troisième vague superposée à la première pour les hospitalisations et réanimations.

Pour finir force est de constater que ce n'est pas la troisième vague pour tout le monde. Regardez les hospitalisations (à gauche) et admissions en réanimation (à droite) par région :

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il y a 18 minutes, Rincevent a dit :

@Lancelot est-ce qu'on ne gagnerait pas un peu à pas passer à un diagramme polaire ?

Au passage je me demande si les graphiques polaires déforment pas les aires de sorte à ce que les pics paraissent plus importants que dans un plot rectangulaire

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il y a 45 minutes, Lancelot a dit :

D3x4nF1.png

 

Alors ça monte, ça monte, sauf les décès, qui monteront peut-être plus tard... ou pas ? Notez comme dans les deux premières vagues il y avait une forte corrélation (avec quelques semaines d'intervalle) entre admissions en réanimation et décès, mais que maintenant pas du tout. Peut-être un effet des vaccins, ou du fait qu'on commence à soigner correctement les gens ?

Les décès en EHPAD dégringolent 256 (edit) déces depuis le 9 mars. 

Les courbes sont très plates contrairement à mars 2020 et octobre 2020. C'est la réa qui s'embolise, quand on pense que 40% des malades en réa ne sont pas intubés, ils pourraient être dans des simples unités de soins intensifs style neuro ou cardio.

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J'ai entendu que maintenant ils intègraient la surveillance continue et les soins intensifs à la réa pour gonfler les chiffres.

Certains dirigeants d'hôpitaux parisiens n'auraient pas aimé que Macron dise en février qu'il ne reconfinerait pas. C'est à parti de ce moment où on a vu une hausse des hospitalisations sans hausses des admissions.

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il y a 3 minutes, Kyouki a dit :

ils intègraient la surveillance continue et les soins intensifs à la réa pour gonfler les chiffres

Je ne vois pas trop l'intérêt de faire ça. Je lis bien l'argument que tu avances ensuite, mais je ne comprends toujours pas cette ferveur à vouloir absolument priver les gens de leur liberté de la part des soignants.

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il y a 1 minute, Bisounours a dit :

Je ne vois pas trop l'intérêt de faire ça. Je lis bien l'argument que tu avances ensuite, mais je ne comprends toujours pas cette ferveur à vouloir absolument priver les gens de leur liberté de la part des soignants.

 

Couardise.

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C'est une question de norme. "Les normes c'est important. Sinon les gens feraient n'importe quoi."

La rea c'est 2 IDE pour 5 lits.

Les soins intensifs c'est  1 IDE par 4 lits le jour et 8lits la nuits. 

C'est l'ARS qui décide. La politique depuis 40 ans est de fermer des lits. Leur trouille c'est que les lits provisoires deviennent peréennes. C'est pour cela que les cliniques ont été écartés de peur de la concurence.

Il aurait suffit au gouvernement qui peut tout (la preuve) de créer des Unités de soins intensifs COVID calquées sur les USIC pour créer ex nihilo 10000 lits covid.

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