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Le confinement et les autres mesures autoritaires : diktat médical, pour quoi ?


Freezbee

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il y a 20 minutes, ph11 a dit :

 

C'est assez impressionnant, je ne savais pas que ça se produisait chaque année :o

Je constate encore une fois la capacité du socialisme à gérer les pénuries (pénurie de soins en l'occurence).

Si ce qui est dit par Brunet à la fin est vrai - qu'il y aura potentiellement MOINS de places disponibles dans les hôpitaux en fin d'année qu'en mars - alors la situation risque d'être très tendue. Naïvement je pensais que les moyens avaient été augmentés sensiblement...

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Oserais-je dire à Mr. Castex que si les français ne suivent pas les directives gouvernementales, c'est qu'avant tout il y a belle lurette que plus grand monde n'écoute des gens qui sont élus avec même pas 20% des voix et qui passent leur vie à nous faire la morale et à nous dépouiller. 

 

Pour une plus grande efficacité, les directives sanitaires devraient être communiquées par des gens beaucoup plus intéressants.

Au hasard: Jean Reno, Teddy Reiner, Bernard Pivot, Clara Morgane, Virgina Efira, etc. Je suis certain que cela fonctionnerait bien mieux.

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À Monaco le Prince via son gouvernement ne ferme rien.

on a relativement peu de cas et tres peu d’hospitalisations.

il y a liberté totale des va et viens.

 

La seule demande finalement c’est le masque dans les lieux clos. Cet été le masque était demandé sur la place du casino qui était bondée mais sinon... rien.

 

les restaurants sont ouverts, seules les boites de nuit sont toujours fermées. Le sport continue presque normalement. Même moi qui fait un sport de contact on nous a demandé que quelques petites choses pas vraiment contraignantes.

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34 minutes ago, SilenT BoB said:

À Monaco le Prince via son gouvernement ne ferme rien.

on a relativement peu de cas et tres peu d’hospitalisations.

il y a liberté totale des va et viens.

 

La seule demande finalement c’est le masque dans les lieux clos. Cet été le masque était demandé sur la place du casino qui était bondée mais sinon... rien.

 

les restaurants sont ouverts, seules les boites de nuit sont toujours fermées. Le sport continue presque normalement. Même moi qui fait un sport de contact on nous a demandé que quelques petites choses pas vraiment contraignantes.

 

Oui mais c'est une zone rurale et très peu peuplée, avec une moyenne d'age très jeune.

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il y a 41 minutes, Lameador a dit :

 

Oui mais c'est une zone rurale et très peu peuplée, avec une moyenne d'age très jeune.


cher ami, vous vous fourvoyez !

Monaco ce sont 37000 habitants sur 2km2. Ce qui en fait la zone la plus densément peuplée du monde.

a ceux là se rajoutent les 40000 personnes qui viennent bosser chaque jour en Principauté et enfin les tonnes de touristes l’été.

ca peut faire quasiment 100 000 personnes sur 2km2

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Il y a 10 heures, Tramp a dit :

J’habite dans un pays où le président est élu au premier tour (52% et le deuxième 22%). C’est sur que l’ambiance politique n’est pas la même. 

Malgré tous les billboards pour les communistes et écolos, un député du parti libéral a été élu récemment (et une candidature pour les présidentielles l'année prochaine ?)

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J'ai trouvé ce tweet sur le confinement au Québec via le blogue La Clique du Plateau où on a essayé sur la chaîne de télé canadienne TVA de passer la nouvelle de la déclaration d'un membre de l'OMS sur le confinement en catimini. 

 

 

Et à voir le côté activiste de bon nombres de journalistes québécois qui eux aimeraient que le confinement soit prolongée d'après ces extraits audios que j'ai entendu à la station CHOI Radio-X.

https://radiox.com/choi981/les-medias-quebecois-boudent-la-declaration-anti-confinement-scandale/2020/10/13/

https://radiox.com/choi981/iedm-les-journalistes-ne-comprennent-pas-les-enjeux-lunanimite-dans-les-medias-cest-inquietant/2020/10/13/

 

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La nouvelle phrase à la mode des salopards qui veulent nous empêcher de vivre est : "il va falloir apprendre à vivre avec ce virus !"

 

Magnifique novlangue : pour ces ingénieurs sociaux, "vivre" avec le virus, c'est s’astreindre d'avoir une vie de merde, c'est-à-dire "non-vivre" avec le virus :

  • s’interdire d'aller boire une bière en terrasse d'un bar,
  • s’interdire d'aller danser dans un club,
  • s'interdire de pratiquer une activité sportive régulière dans une salle de gym,
  • s’astreindre à réduire son cercle d'amis,
  • s'astreindre, pour les jeunes, à avoir des études de merde,
  • se faire chier désormais au restaurant, un masque sur la tronche,
  • s'astreindre à une vie de moine/nonne et s'interdire d'entretenir des relations de séduction (ça vous stimule, vous, une femme/homme masqué(e) ?...)
  • s’interdire de s'amuser dans un concert de rock, rap, jazz... en restant bien ankylosé derrière son masque et fixé sur son siège, un bâton dans le cul,
  • s’interdire d'aller voir ses ainés (eh ouais, "ainés", j'utilise aussi la novlangue social-démocrate...),
  • s'interdire d'avoir des relations professionnelles coopératives et stimulantes,
  • s'interdire de voyager (et de rencontrer des gens moins cons que ces beaufs de franchouillards...),
  • s'interdire d'avoir une vraie vie sociale,
  • etc., etc.

Vivre avec le virus, c'est ôter le sel de la vie, c'est mourir à petit feu avec le virus. Bref, c'est le paroxysme de l'idéologie social-démocrate.

 

 

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il y a 4 minutes, Largo Winch a dit :

La nouvelle phrase à la mode des salopards qui veulent nous empêcher de vivre est : "il va falloir apprendre à vivre avec ce virus !"

 

Magnifique novlangue : pour ces ingénieurs sociaux, "vivre" avec le virus, c'est s’astreindre d'avoir une vie de merde, c'est-à-dire "non-vivre" avec le virus :

  • s’interdire d'aller boire une bière en terrasse d'un bar,
  • s’interdire d'aller danser dans un club,
  • s'interdire de pratiquer une activité sportive régulière dans une salle de gym,
  • s’astreindre à réduire son cercle d'amis,
  • s'astreindre, pour les jeunes, à avoir des études de merde,
  • se faire chier au restaurant, un masque sur la tronche,
  • s’interdire de s'amuser dans un concert de rock, rap, jazz... en restant bien ankylosé derrière son masque et fixé sur son siège, un bâton dans le cul,
  • s’interdire d'aller voir ses ainés (eh ouais, "ainés", j'utilise aussi la novlangue social-démocrate...),
  • s'interdire d'avoir des relations professionnelles coopératives et stimulantes,
  • s'interdire de voyager (et de rencontrer des gens moins cons que ces beaufs de franchouillards...),
  • s'interdire d'avoir une vraie vie sociale,
  • etc., etc.

Vivre avec le virus, c'est ôter le sel de la vie, c'est mourir à petit feu avec le virus. Bref, c'est le paroxysme de l'idéologie social-démocrate.

 

 

C'est très fort, on va tous être sous contrainte maximum, pour un petite virose respiratoire. Et les gens en redemandent.

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il y a 7 minutes, SilenT BoB a dit :

Il faut aussi s’habituer à vivre avec:

- le terrorisme

- les cons

- l’etat

- les gens

 

ca fait beaucoup...

et oui

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il y a une heure, Largo Winch a dit :

La nouvelle phrase à la mode des salopards qui veulent nous empêcher de vivre est : "il va falloir apprendre à vivre avec ce virus !"

 

 

Au début cette phrase était justement pour dire: "vivez votre vie normalement et ayez un comportement hygiénique (style lavez-vous les mains)"

Apparemment, le sens s'est inversé donc.

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il y a une heure, Largo Winch a dit :

 

  • s'astreindre à une vie de moine/nonne et s'interdire d'entretenir des relations de séduction (ça vous stimule, vous, une femme/homme masqué(e) ?...)

 

 

 

Ca me fait penser que les applications de rencontres vont prendre encore plus d'importance dans ces relations. En sachant qu'elles avaient deja pris un essort important avant.

Quand on sais que le ratio de la population dessus est de 60 à 75% de femme pour 40 à 25%, ce n'est pas ça qui va régler les problèmes de misère sexuelle (et la mysogynie/incel et co qui s'en suit)

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Dès demain, je serai un hors-la-loi dès que je sortirai de chez moi. C'est du délire. J'ai pas les mots pour exprimer ma colère. 

Si vous saviez à quoi ressemblent les rues de Brest en ce moment, vous seriez comme moi : il pleut, il n'y quasiment personne, beaucoup de distance entre les personnes. Du délire.

 

Le port du masque obligatoire à Brest et Quimper dès jeudi 

https://www.letelegramme.fr/bretagne/le-port-du-masque-obligatoire-a-brest-et-quimper-des-jeudi-13-10-2020-12637737.php

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Petite remarque en passant, qui risque fort de se transformer en article d'ici quelques jours: la politique sanitaire du gouvernement ne voit plus de désaccords sur ses initiatives, mais de la fausse information et du complotisme pour qualifier tout ce qui ne se dit et ne se pense en concordance avec ses options sécuritaires et centralisées. Seulement, l'empilement de mesures autoritaires prises par des bureaucrates eux-mêmes s'appuyant sur l'entre-soi d'experts désignés pour leur conformité de vue avec le phénix de la pensé élyséen est en train d'encourager non seulement la défiance, mais aussi le complotisme tant dénoncé et redouté, et bien au-delà des marges des dingos ordinaires. Je suis sidéré de voir autour de moi fleurir les explications les plus fantaisistes et invérifiables pour tenter d'expliquer la politique erratique et inintelligible du pouvoir macronien. Parmi celles que j'ai pu répertorier, il y a la crise sanitaire déclenchée par les opposants à Trump pour amoindrir sa superbe avant les élections, le confinement pour tuer le secteur indépendant et en remettre les rênes à Big Business, ou encore Macron acheté par une puissance étrangère pour plomber l'économie (pick one... or two). Les gens veulent rationaliser l'incohérence politique au sommet avec la somme d'informations qu'ils ont/qu'on leur donne, et ça développe un peu partout la mentalité parano que l'Etat prétend combattre à coups de campagnes idiotes financées avec un argent qu'il a volé.

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il y a 16 minutes, F. mas a dit :

Petite remarque en passant, qui risque fort de se transformer en article d'ici quelques jours: la politique sanitaire du gouvernement ne voit plus de désaccords sur ses initiatives, mais de la fausse information et du complotisme pour qualifier tout ce qui ne se dit et ne se pense en concordance avec ses options sécuritaires et centralisées. Seulement, l'empilement de mesures autoritaires prises par des bureaucrates eux-mêmes s'appuyant sur l'entre-soi d'experts désignés pour leur conformité de vue avec le phénix de la pensé élyséen est en train d'encourager non seulement la défiance, mais aussi le complotisme tant dénoncé et redouté, et bien au-delà des marges des dingos ordinaires.

 

Tu me le doigt sur un point très intéressant qui est particulièrement à l'oeuvre depuis quelques années:  à force de considérer toute opinion contraire comme de complotisme on développe ce dernier. Surtout quand l'opinion contraire se révèle au bout d'un moment vrai et vérifiée et que même ceux qui la considéraient comme complotiste sont obligés de la reconnaître juste: ce scénario pousse ainsi les gens à aller voir des informations encore plus complotistes (après tout si une théorie jugée complotiste s'est avérée vrai alors peut être que d'autres le sont aussi).

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38 minutes ago, F. mas said:

Je suis sidéré de voir autour de moi fleurir les explications les plus fantaisistes et invérifiables pour tenter d'expliquer la politique erratique et inintelligible du pouvoir macronien.

Ce point est intimement lié à la manière dont l'esprit humain fonctionne. Pour faire court nous sommes extrêmement spécialisés dans la détection du signal, ce qui nous rend extrêmement intolérants au bruit. En d'autres termes nous supportons mal que les choses n'aient pas de signification. Par conséquent quand nous sommes confrontés à quelque chose qui ne veut rien dire, par exemple un item du test de Rorschach, il nous est très difficile de ne pas y projeter un sens.

Rorschach_blot_01.jpg

Ce phénomène porte le joli nom d'apophénie. Dans le domaine politique on lui doit l'idée que tout ce qui arrive doit être planifié par quelqu'un, qui sous-tend la vision du monde complotiste et interventionniste.

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Il y a 18 heures, Largo Winch a dit :

La nouvelle phrase à la mode des salopards qui veulent nous empêcher de vivre est : "il va falloir apprendre à vivre avec ce virus !"

 

Magnifique novlangue : pour ces ingénieurs sociaux, "vivre" avec le virus, c'est s’astreindre d'avoir une vie de merde, c'est-à-dire "non-vivre" avec le virus :

  • s’interdire d'aller boire une bière en terrasse d'un bar,
  • s’interdire d'aller danser dans un club,
  • s'interdire de pratiquer une activité sportive régulière dans une salle de gym,
  • s’astreindre à réduire son cercle d'amis,
  • s'astreindre, pour les jeunes, à avoir des études de merde,
  • se faire chier désormais au restaurant, un masque sur la tronche,
  • s'astreindre à une vie de moine/nonne et s'interdire d'entretenir des relations de séduction (ça vous stimule, vous, une femme/homme masqué(e) ?...)
  • s’interdire de s'amuser dans un concert de rock, rap, jazz... en restant bien ankylosé derrière son masque et fixé sur son siège, un bâton dans le cul,
  • s’interdire d'aller voir ses ainés (eh ouais, "ainés", j'utilise aussi la novlangue social-démocrate...),
  • s'interdire d'avoir des relations professionnelles coopératives et stimulantes,
  • s'interdire de voyager (et de rencontrer des gens moins cons que ces beaufs de franchouillards...),
  • s'interdire d'avoir une vraie vie sociale,
  • etc., etc.

Vivre avec le virus, c'est ôter le sel de la vie, c'est mourir à petit feu avec le virus. Bref, c'est le paroxysme de l'idéologie social-démocrate.

 

 

On verra quand après la "petite grippette", ils seront confrontés à la "petite crisette"...

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il y a 1 minute, ph11 a dit :

On verra quand après la "petite grippette", ils seront confrontés à la "petite crisette"...

Ils ont bien plus de lard que nous.

Et, grippette ou crisette, ils se refont du lard avec tout ce qui arrive.

Ils ne sont jamais du mauvais coté de leurs décisions ignobles.

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il y a une heure, F. mas a dit :

Petite remarque en passant, qui risque fort de se transformer en article d'ici quelques jours: la politique sanitaire du gouvernement ne voit plus de désaccords sur ses initiatives, mais de la fausse information et du complotisme pour qualifier tout ce qui ne se dit et ne se pense en concordance avec ses options sécuritaires et centralisées. Seulement, l'empilement de mesures autoritaires prises par des bureaucrates eux-mêmes s'appuyant sur l'entre-soi d'experts désignés pour leur conformité de vue avec le phénix de la pensé élyséen est en train d'encourager non seulement la défiance, mais aussi le complotisme tant dénoncé et redouté, et bien au-delà des marges des dingos ordinaires. Je suis sidéré de voir autour de moi fleurir les explications les plus fantaisistes et invérifiables pour tenter d'expliquer la politique erratique et inintelligible du pouvoir macronien. Parmi celles que j'ai pu répertorier, il y a la crise sanitaire déclenchée par les opposants à Trump pour amoindrir sa superbe avant les élections, le confinement pour tuer le secteur indépendant et en remettre les rênes à Big Business, ou encore Macron acheté par une puissance étrangère pour plomber l'économie (pick one... or two). Les gens veulent rationaliser l'incohérence politique au sommet avec la somme d'informations qu'ils ont/qu'on leur donne, et ça développe un peu partout la mentalité parano que l'Etat prétend combattre à coups de campagnes idiotes financées avec un argent qu'il a volé.

 

C'est comme si le simple fait de catégoriser la critique à du complotisme orientait celle-ci vers une grille de lecture complotiste.

C'est comme lorsque la gauche traite leurs critiques de fachos, ça booste l'extrême droite.

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C'est qu'on ne s'abaisse pas à discuter avec un complotiste, puisque le complotisme est une pathologie sociale qui demande à être guérie par l'éducation et la science (qui sont bien entendu monopolisées par ceux qui dénonce le complotisme). On l'écarte du débat pour discuter entre gens rationnels, éduqués et du même avis. Mais comme on refuse au 'complotiste' la possibilité d'accéder à la raison commune, on fabrique des clans, des groupes, des sectateurs qui finissent par s'exclure, s'ignorer etc.

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il y a 55 minutes, Lancelot a dit :

Ce point est intimement lié à la manière dont l'esprit humain fonctionne. Pour faire court nous sommes extrêmement spécialisés dans la détection du signal, ce qui nous rend extrêmement intolérants au bruit. En d'autres termes nous supportons mal que les choses n'aient pas de signification. Par conséquent quand nous sommes confrontés à quelque chose qui ne veut rien dire, par exemple un item du test de Rorschach, il nous est très difficile de ne pas y projeter un sens.

Rorschach_blot_01.jpg

Ce phénomène porte le joli nom d'apophénie. Dans le domaine politique on lui doit l'idée que tout ce qui arrive doit être planifié par quelqu'un, qui sous-tend la vision du monde complotiste et interventionniste.

 

Merci de ces éléments qui viendront agréablement fournir un prochain billet (celui de vendredi :) ) !

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