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Présidentielle américaine 2020, l'ultime combat


Qui sera le prochain président des USA ?  

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  1. 1. Qui sera le prochain président des USA ?

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Messages recommandés

il y a 3 minutes, Rincevent a dit :

Peut-être parce qu'ils ne comprennent pas assez finement la nature de la politique, et se contentent de la condamner moralement.

 

Je parle de ceux qui en font de la politique. Je rejette la politique car j’en fais pas, mais si je jouais à ce jeu, je serais à fond dans le game pour gagner. 

 

Nous, politiquement, on fait globalement n’importe quoi depuis longtemps.

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il y a 11 minutes, Johnnieboy a dit :

Nous, politiquement, on fait globalement n’importe quoi depuis longtemps.

Ah, ça je ne te le fais pas dire.

 

Mais peut-être parce qu'il n'y a pas de réflexion de fond chez nous sur ce que serait un grand chef d’État libéral. Rappelle-toi de Mises, qui disait que si on le nommait à la tête d'un gouvernement, sa première et unique décision serait de démissionner.

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Il y a 1 heure, Johnnieboy a dit :

Obama n’a évidemment pas causé Trump. Même s’il y avait une part de vérité à ça, ça serait d’un simplisme d’affirmer ça...

Débattable :D :

Le compter Twitter de Trump a été créé en mai 2009. Ce dîner date du 09 Mai 2011.

Entre Mai 2009 et Mai 2011 un seul tweet concernait Obama, et il était positif. Ses tweets critiquant Obama (qui deviendront quotidien ou quasi-quotidien début 2012) débutent le 6 Juillet 2011 (soit 58 jours après ce dîner).

Source : https://www.thetrumparchive.com/

 

Rassure-toi, j'ai bien compris ton propos. C'est un peu pour la vanne, et un peu parce que j'ai passé trop de temps à rechercher cela il y a quelques jours.

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Son discours me semble excellent d'un point de vue libéral. C'est un genre de discours que les libéraux devraient faire entendre plus, de défense de la démocratie libérale et non partisan entre Dems et Reps

Je ne connais pas le journaliste en question, il est de chez nous ?

Envoyé de mon SM-G973F en utilisant Tapatalk

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il y a 1 minute, Lexington a dit :

Je ne connais pas le journaliste en question, il est de chez nous ?

Il a été un temps au Cato Institute, puis sympathisant de Trump sans avoir pour autant d’œillères partisanes.

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Il a été un temps au Cato Institute, puis sympathisant de Trump sans avoir pour autant d’œillères partisanes.
Pour un libertarien il dit des choses intéressantes pourtant, j'aurais pas dit :)

Envoyé de mon SM-G973F en utilisant Tapatalk

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il y a 1 minute, Lexington a dit :

Pour un libertarien il dit des choses intéressantes pourtant, j'aurais pas dit

Pour tout dire, son émission a eu un temps la réputation (sans doute fort exagérée) d'être la seule que Trump regardait régulièrement à la Maison Blanche, histoire de ne pas se couper de ce qui se dit dans le pays.

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il y a 5 minutes, Bézoukhov a dit :

Attendez, je viens de me rendre compte de la catastrophe. Si Trump réussit pas à annuler 75000 votes, on annule Artémis III ? ?

 

T'inquiète les chinois prendront la relève...

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Nan mais les chinois c'est nul. Les seuls qui peuvent envoyer des gens dans l'espace, c'est les soviétiques, les américains ou les syldaves pour les opérations internationales.

 

Et l'image d'un Trump terminant son mandat sur 'Murica on ze moon aurait été impayable. C'est sûrement pour ça qu'il est dég d'ailleurs.

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4 minutes ago, Rincevent said:

Il a été un temps au Cato Institute, puis sympathisant de Trump sans avoir pour autant d’œillères partisanes.

 

1 minute ago, Lexington said:

Pour un libertarien il dit des choses intéressantes pourtant, j'aurais pas dit :)

 

Ses positions ont pas mal changé depuis. Il vire explicitement dans l'anticapitalisme ces dernières années. La rhétorique anti-"big tech" est un des éléments centraux de son discours. Il a même à de nombreuses reprises dit du bien des programmes économiques des candidats de l'aile gauche du Parti Démocrate et pense que les Républicains mainstream sont des libertariens radicaux qui vénèrent Ayn Rand. Je n'exagère même pas, en attestent ses passages chez Dave Rubin et Ben Shapiro.

Après, oui, ça ne l'empêche pas de dire des choses intéressantes de temps à autre.

Idéologiquement je dirais qu'il est proche de Steve Bannon (président de Breitbart puis conseiller de Trump), donc également anti-interventionniste sur les questions de politique internationale. Il s'est d'ailleurs fermement opposé aux interventions de Trump en Syrie.

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16 hours ago, Johnnieboy said:

 

Mais comment interpréter le vote Trump exactement ? Seulement comme un soutien à Trump ? Et pourquoi ? Pourquoi ne pas y voir aussi un rejet des délires gauchistes de plus en plus aiguës des Démocrates ? On parle des États-Unis. Un pays dans lequel le mot socialisme est encore un gros mot malgré ce que tentent de faire gober les Bernie et AOC.

 

Il y a ama une dynamique de fond anti-establishment qui ne date pas d'hier et qui s'est cristallisée avec l'élection de Trump. Il ne faut pas négliger une logique qui semble s'être échappée des mains des conservateurs (et des rép) après la période Obama, celle de la radicalisation idéologique (au moins en paroles plus qu'en actes).

 

Premièrement, la protestation populiste qui a porté Trump au pouvoir s'est d'abord dirigée contre le parti républicain avec le mouvement tea party : première révolte qui vient de la base contre des élites jugées trop molles, trop coupées des considérations de terrain, et trop conciliante vis à vis des dems. Pour EJ Dionne, c'est le triomphe du conservatisme à la Goldwater, plus agressif et polarisant que les autres tendances du parti républicain (je pense qu'il exagère, et ne voit pas que la tradition populisme vient plutôt des années 70 et la révolution de ce qu'on a appelé la nouvelle droite tendance Richard Viguerie). 

 

Revient donc sur le devant de la scène un certain type de populisme de droite plus anti-establishment et antipolitique qu'anti-gauchiste, "dégagiste", dont les meneurs sanctionnent les modérés et les tièdes, populisme qui semblait s'être éteint avec la droite religieuse (au début des années 2000).

 

Face à ça, le GOP tente des contre-feux, mais ne bouge pas vraiment au niveau national : la preuve, le candidat favori face à Clinton, c'était quand même Jeb Bush à la base, soit l'incarnation de cet establishment que le Tea Party voulait dégager (ensuite ça sera Rubio...). Les franges radicales ont choisi Trump parce que c'est un bully, un type qui va donner un coup de pied dans un système politique national qui semble capturé par ces aristocrates de la Nouvelle Angleterre qui ne semblent même plus masquer leur népotisme et la consanguinité de leurs réseaux.

 

Ensuite je vois un effet d'entraînement mimétique entre droite et gauche : la crise populiste de type tea party a entraîné une radicalisation à gauche, qui a entraîné en retour une radicalisation à droite, le pivot de la radicalisation étant bien entendu la question de l'identité du pays et de l'avenir de la majorité blanche contestée sur ses bases (modèle républicain v modèle multikulti). L'effacement du contenu Wasp de l'idéologie américaine suscite une anxiété sociale jamais vu jusqu'à présent, sans commune mesure avec ce qu'on a connu les décennies précédentes (et pourtant, la question demeure présente depuis les années 60).

 

Sur le socialisme : depuis l'élection de Trump, l'idéologie est en plein boom. Tous les groupuscules traditionnels reviennent à la vie, et il a désormais toute sa place dans le débat public (grâce au socialisme démocratique de Sanders), et les millenials adorent. Je n'arrive plus à mettre la main sur cet article de Jacobin Magazine qui faisait état de ce renouveau étonnant depuis quelques années.

 

Sinon, ne soit pas trop dur avec Rand Paul (et son rapprochement avec Donald), qui après tout n'a fait que suivre la stratégie de notabilisation du libertarianisme à un moment particulièrement difficile de l'histoire américaine : le but de RP était d'apparaître comme un courant légitime du GOP et de pouvoir influencer le gouvernement. Un fenêtre d'opportunité jamais vue en pratiquement 20 s'est créée avec DT qui cherchait des alliés au sommet pour légitimer sa place à droite, il en a profité. C'est un coup politique. Maintenant, les circonstances ont changé, et tout le monde va vanter la stratégie libertarienne inverse (se préserver de toute notabilisation cad alliance avec le GOP). Bon, bof, ça n'a pas marché, c'est tout.

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Il y a 3 heures, F. mas a dit :

 

Il y a ama une dynamique de fond anti-establishment qui ne date pas d'hier et qui s'est cristallisée avec l'élection de Trump. Il ne faut pas négliger une logique qui semble s'être échappée des mains des conservateurs (et des rép) après la période Obama, celle de la radicalisation idéologique (au moins en paroles plus qu'en actes).

 

Premièrement, la protestation populiste qui a porté Trump au pouvoir s'est d'abord dirigée contre le parti républicain avec le mouvement tea party : première révolte qui vient de la base contre des élites jugées trop molles, trop coupées des considérations de terrain, et trop conciliante vis à vis des dems. Pour EJ Dionne, c'est le triomphe du conservatisme à la Goldwater, plus agressif et polarisant que les autres tendances du parti républicain (je pense qu'il exagère, et ne voit pas que la tradition populisme vient plutôt des années 70 et la révolution de ce qu'on a appelé la nouvelle droite tendance Richard Viguerie). 

 

Revient donc sur le devant de la scène un certain type de populisme de droite plus anti-establishment et antipolitique qu'anti-gauchiste, "dégagiste", dont les meneurs sanctionnent les modérés et les tièdes, populisme qui semblait s'être éteint avec la droite religieuse (au début des années 2000).

 

Face à ça, le GOP tente des contre-feux, mais ne bouge pas vraiment au niveau national : la preuve, le candidat favori face à Clinton, c'était quand même Jeb Bush à la base, soit l'incarnation de cet establishment que le Tea Party voulait dégager (ensuite ça sera Rubio...). Les franges radicales ont choisi Trump parce que c'est un bully, un type qui va donner un coup de pied dans un système politique national qui semble capturé par ces aristocrates de la Nouvelle Angleterre qui ne semblent même plus masquer leur népotisme et la consanguinité de leurs réseaux.

 

Ensuite je vois un effet d'entraînement mimétique entre droite et gauche : la crise populiste de type tea party a entraîné une radicalisation à gauche, qui a entraîné en retour une radicalisation à droite, le pivot de la radicalisation étant bien entendu la question de l'identité du pays et de l'avenir de la majorité blanche contestée sur ses bases (modèle républicain v modèle multikulti). L'effacement du contenu Wasp de l'idéologie américaine suscite une anxiété sociale jamais vu jusqu'à présent, sans commune mesure avec ce qu'on a connu les décennies précédentes (et pourtant, la question demeure présente depuis les années 60).

 

Sur le socialisme : depuis l'élection de Trump, l'idéologie est en plein boom. Tous les groupuscules traditionnels reviennent à la vie, et il a désormais toute sa place dans le débat public (grâce au socialisme démocratique de Sanders), et les millenials adorent. Je n'arrive plus à mettre la main sur cet article de Jacobin Magazine qui faisait état de ce renouveau étonnant depuis quelques années.

 

Sinon, ne soit pas trop dur avec Rand Paul (et son rapprochement avec Donald), qui après tout n'a fait que suivre la stratégie de notabilisation du libertarianisme à un moment particulièrement difficile de l'histoire américaine : le but de RP était d'apparaître comme un courant légitime du GOP et de pouvoir influencer le gouvernement. Un fenêtre d'opportunité jamais vue en pratiquement 20 s'est créée avec DT qui cherchait des alliés au sommet pour légitimer sa place à droite, il en a profité. C'est un coup politique. Maintenant, les circonstances ont changé, et tout le monde va vanter la stratégie libertarienne inverse (se préserver de toute notabilisation cad alliance avec le GOP). Bon, bof, ça n'a pas marché, c'est tout.

 

J’ai noté le boom du socialisme aux États-Unis. Mais c’est un « boom de niche ». C’est super populaire chez les millenials mais ça reste le mal absolu chez la majeure partie de la population. Bernie, c’est un peu moins de 10 millions de votes. Et on parle d’un très bon candidat. Un mec intègre, qui répète la même chose sans contradiction ni incohérence depuis ses décennies, plutôt charismatique et sympathique. Bref, ça peut pas monter beaucoup plus haut.

 

 

Quant à la stratégie de Rand Paul, je ne la critique pas en soi. Je critique ce qui passe pour une sorte de loyauté déplacée qui n’a absolument pas sa place en politique. La politique, c’est le monde avec des valeurs inversées : ce n’est pas noble de couler avec le navire ; c’est une bonne chose de savoir être un rat quittant le navire.

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il y a 2 minutes, Johnnieboy a dit :

Mais c’est un « boom de niche ».

 

Pas vraiment, c'est lié à deux problématiques américaines majeures où la réponse "socialiste" (ou sociale-démocrate, je dirais plutôt) semble acceptable par une nette partie de la population, même si elle refuse le reste du package et ne vote donc pas pour Bernie :

1) Le coût prohibitif de la santé et des assurances santé aux US, où la comparaison à l'Europe peut faire envie ;

2) Le coût des études supérieures (qui touche surtout la bourgeoisie).

 

Il y a 3 heures, F. mas a dit :

L'effacement du contenu Wasp de l'idéologie américaine suscite une anxiété sociale jamais vu jusqu'à présent, sans commune mesure avec ce qu'on a connu les décennies précédentes (et pourtant, la question demeure présente depuis les années 60).

 

"Effacement de l'idéologie", c'est gentiment dit. Il y a une différence majeure entre les interrogations des années soixante qui étaient d'ordre culturel (disons ce qu'écrit Daniel Bell) et les inquiétudes plus modernes qui se cristallisent avec Huntington dans Who are we ? La première question est idéologique, la seconde démographique.

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L'interrogation de Huntington dans son livre sur l'identité est aussi culturelle. C'est d'ailleurs à son livre que je fais allusion. Pour lui, l'identité US n'est pas ethnique: c'est la culture wasp partagée par tous, y compris par les minorités. Mais cela n'invalide pas ta remarque sur la démographie que je partage (c'est juste une précision livresque).

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il y a 8 minutes, Lexington a dit :

(En Pennsylvanie). Les accusations étaient passées sur ce fil il y a quelques jours il me semble.

 

Il est re-revenu sur ça sur Twitter, sachant qu'il avait un mouchard pendant l'entretien, PV diffuse petit à petit les morceaux.

 

 

A minima, les interrogateurs ont merdé dans les grandes largeurs et le mec est instable.

 

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il y a 26 minutes, Bézoukhov a dit :

 

Il est re-revenu sur ça sur Twitter, sachant qu'il avait un mouchard pendant l'entretien, PV diffuse petit à petit les morceaux.

 

 

A minima, les interrogateurs ont merdé dans les grandes largeurs et le mec est instable.

 

 

 

Je sors le popcorn là :)

 

Sans préjuger du fond, maintenant le complot s'est donc étendu à des agents du DOJ qui essaient de le faire taire si j'ai bien compris ? Et des sénateurs (c'est ce que dit le tweet) En écoutant la video c'est le discours tenu par le mec de l'audit interne d'USPS en gros, qui dit qu'ils ont de la pression politique sur le dossier si je comprends bien ?

 

P.S : au risque de me répéter, si on peut sortir des sources autres que les officines Trumpistes ou Dems, ça serait bien. Project Veritas, c'est un lobby dont le but est de faire de la réinformation. Je ne dis pas que ce qu'ils écrivent est nécessairement faux, mai on doit pouvoir trouver mieux sourcé

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En gros, vers 0:40 / 1:20 de la vidéo, les interrogateurs expliquent au mec que tout ça c'est monté très haut, qu'il y a des sénateurs, et qu'ils vont le pousser dans ses retranchements pour vérifier ses dires. Avec une apothéose à 1:37 : "I am not scaring you. But I am scaring you."

 

Ca va être rigolo.

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il y a 35 minutes, Bézoukhov a dit :

 

Il est re-revenu sur ça sur Twitter, sachant qu'il avait un mouchard pendant l'entretien, PV diffuse petit à petit les morceaux.

 

 

A minima, les interrogateurs ont merdé dans les grandes largeurs et le mec est instable.

 

 

Je suis 100% en ligne avec ta dernière phrase.  Vus les personnages en présence dans cette histoire, ça va être marrant à suivre ce truc, on est parti pour du rebondissement. Vu à quel point il semble se p***** dessus, un témoignage public devant un comité officiel sera quelque chose à voir

 

Btw (enfin au moins moi j'ai mis du temps à le comprendre vue la présentation faite du sujet), ce ne sont pas des interrogateurs, en tout cas pas des "Feds" ni même la police. Si je suis bien les circonvolutions du machin, c'est en gros la hiérarchie d'USPS qui sent la shitstorm politique lui tomber dessus (à juste titre vu ce que le mec a affirmé avoir entendu) et insiste auprès du mec pour qu'il réfléchisse à deux fois plutôt qu'une à ce qu'il dit.

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il y a 12 minutes, Lexington a dit :

P.S : au risque de me répéter, si on peut sortir des sources autres que les officines Trumpistes ou Dems, ça serait bien. Project Veritas, c'est un lobby dont le but est de faire de la réinformation. Je ne dis pas que ce qu'ils écrivent est nécessairement faux, mai on doit pouvoir trouver mieux sourcé

 

Comme c'est eux qui l'ont câblé et qui l'interviewent, c'est un peu la source primaire hein :) . Ensuite, qui manipule qui, c'est une autre histoire.

 

il y a 1 minute, Lexington a dit :

c'est en gros la hiérarchie d'USPS

 

Oui, j'ai cru comprendre ça. C'est pas du fédéral. Ce qui explique pourquoi les mecs merdent autant dans l'entretien d'ailleurs.

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J'ai vraiment du mal à croire à des fraudes massives. Que quelques militants aient décidés d'utiliser les faiblesses du système pour mettre plus de bulletins Trump ou Biden pourquoi pas mais de façon coordonnée et massive je n'y crois pas. Par contre, la question que je me pose est de savoir dans quelle mesure les défauts techniques du système (tant sur l'envoi/réception des votes courriers, mauvais fonctionnement des machines de votes, etc.) a lui pu avoir un impact,d ans un sens ou dans un autre.

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