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Le Covid autour de moi


Lameador

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Le problème c'est que dans ton discours il n'y a pas de différence entre un sportif pro et un obèse lambda.

Pour moi, la différence est de taille.

 

Quand je vois un gars comme  paul willemse:

Tournoi des Six Nations : le Paul Willemse nouveau est arrivé chez les  Bleus - L'Équipe

 

Je ne vois pas quelqu'un en mauvaise santé alors qu'il a un IMC de 32 qui le classe dans les obèses

 

Et surtout je ne le mettrais pas dans le même panier que les autres obèses avec tout le suivit médical qui l'entoure.

 

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18 minutes ago, Bisounours said:

L'IMC ne fait pas de différence entre la masse graisseuse et la masse musculaire ?

Les médecins n'utilisent pas l'IMC pour les sportifs.

C'est une limite connue pour le coup.

Cela ne marche pas non plus pour les amputés par exemple.

 

L'IMC est utile pour jauger une population, les limites ne changeant pas l'avis global.

Par contre cela n'a quasiment aucun intérêt pour une personne en particulier, enfin disons que cela donne des pistes pour savoir où regarder.

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il y a 31 minutes, Marlenus a dit :

Je ne vois pas quelqu'un en mauvaise santé alors qu'il a un IMC de 32 qui le classe dans les obèses

En écrivant ça tu valides le fait que l'IMC n'est pas un critère suffisant.

Un adulte avec peu de muscles et une graisse abdominale très importante ne peut pas être comparé à un rugbyman, à IMC équivalent.

Mais que veux-tu démontrer en fait ?

 

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7 minutes ago, Bisounours said:

En écrivant ça tu valides le fait que l'IMC n'est pas un critère suffisant.

Un adulte avec peu de muscles et une graisse abdominale très importante ne peut pas être comparé à un rugbyman, à IMC équivalent.

Mais que veux-tu démontrer en fait ?

 

A la base je parlais de Shobushi Kanji qui était mort à 28ans du COVID.

Il m'a été répondu: "Il était obèse donc pas très étonnant, profil à risque".

Et j'ai du mal avec ce raccourci concernant un sportif pro, en tout cas mon idée et que si le sportifs pro obèse sont à risque, énormément de monde est à risque car souvent ils sont en meilleur santé que la population globale.

 

 

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L'IMC est en effet un critere parfois mis en défaut, mais je n'avais pas le perimetre abdominal du sumo.

Le périmetre est en effet un meilleur indicateur car il existe des personnes avec un IMC normal et un PA superieur à 102 cm (la bedaine, l'obésité androide, l'obesité gynoide va sur les culottes de cheval) https://www.revmed.ch/view/558613/4463520/RMS_idPAS_D_ISBN_pu2009-12s_sa04_art04.pdf

Il est des sportifs qui on un IMC en surpoids mais pas d'augmention du PA.

Pour le sumo une simple recherche sur google montre qu'ils ont une esperance de vie diminuée.

Mon point est que l'obésité abdominale est un facteur aggravant d'insuffisance respiratoire surtout en position allongée.

Tu décompenses plus facilement une infection respiratoire avec 50 kg de trop. 

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il y a 9 minutes, Marlenus a dit :

mon idée et que si le sportifs pro obèse sont à risque, énormément de monde est à risque car souvent ils sont en meilleur santé que la population globale.

 

"Si les sportifs pro obèses sont à risque" ça ne changerait rien à l'argument de @GilliB puisqu'ils sont une population marginale. Tout le monde n'est pas à risque. Certaines populations le sont.

Et à part ça, sont-ils à risque ?

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17 hours ago, Marlenus said:

Ce qui était sans doute contre productif, car le faire mourir de la maladie qui n'existe pas c'était spécial.

Mais en tout cas, je pense que cela a marqué dans le sens où, au début, cela a contribué à l'effet que les gens pensent que tout le monde peut en mourir.

 

Sinon tu as des personnes comme lui (28ans):

https://en.wikipedia.org/wiki/Shobushi_Kanji

 

Ou comme elle (26ans):

https://fr.wikipedia.org/wiki/Usama_Riaz

 

Tous les "jeunes" que j'ai vu décéder du COVID et sur ce que j'en trouve sur le net ont fait parti de la première vague.

 

J'ai mis en gras le passage important. Le virus a progressivement muté, devenant plus contagieux et moins léthal.

 

Sinon, concernant l'enculage de mouches sur les obèses, les personnes en surpoids sont UNE population à risque de santé aggravé.

 

Et pour les sportifs, c'est particulier. Certes, pour un amateur, mens sana in corpore sano. Il y a des sports complets et peu traumatisants (le badminton ou la natation, par exemple). Mais dans d'autres sports, l'exigence d'une performance biomécanqiue très supérieure à ce que fournit naturellement l'organisme, ainsi que les contraintes (y compris en terme de fatigue) qu'impose l'entraînement intensif, la musculation régulière, certains compléments pharmaceutiques et la compétition de très haut niveau font que les sportifs pros sont une population avec des risques de santé spécifique, et parfois des fragilités immunitaires. Ils ne sont pas nécessairement en meilleure santé qu'une personne de ving-cinq ans avec une bonne hygiène  de vie qui fait du sport trois fois par semaine, mange bien, dort bien et vit dans un cadre modérément pollué. 

 

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On 5/9/2023 at 3:45 PM, Marlenus said:

A la base je parlais de Shobushi Kanji qui était mort à 28ans du COVID.

Il m'a été répondu: "Il était obèse donc pas très étonnant, profil à risque".

Oui enfin pour ce cas particulier, il était diabétique depuis 2016.

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On 5/9/2023 at 3:57 PM, Lameador said:

 

J'ai mis en gras le passage important. Le virus a progressivement muté, devenant plus contagieux et moins léthal.

 

Sinon, concernant l'enculage de mouches sur les obèses, les personnes en surpoids sont UNE population à risque de santé aggravé.

 

Et pour les sportifs, c'est particulier. Certes, pour un amateur, mens sana in corpore sano. Il y a des sports complets et peu traumatisants (le badminton ou la natation, par exemple). Mais dans d'autres sports, l'exigence d'une performance biomécanqiue très supérieure à ce que fournit naturellement l'organisme, ainsi que les contraintes (y compris en terme de fatigue) qu'impose l'entraînement intensif, la musculation régulière, certains compléments pharmaceutiques et la compétition de très haut niveau font que les sportifs pros sont une population avec des risques de santé spécifique, et parfois des fragilités immunitaires. Ils ne sont pas nécessairement en meilleure santé qu'une personne de ving-cinq ans avec une bonne hygiène  de vie qui fait du sport trois fois par semaine, mange bien, dort bien et vit dans un cadre modérément pollué. 

 

Et ils sont nombreux à se bourrer de glucides même si ça évolue doucement 

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