Aller au contenu

Poutine et la Russie


Messages recommandés

Un n'importe quoi prévisible et juridiquement déterminé.

 

Entre voir son véhicule immobilisé par des gendarmes disciplinés et une bande de voyous anarchique, le motif d'imprévisibilité me fera toujours pencher en faveur du képi plutôt que de la cagoule. Or les politiciens souverainistes veulent s'affranchir de l'UE pour être maîtres à domicile et faire ce qui leur chante comme des délinquants quadrillant deux ou trois lotissements.

 

facepalm1.jpg

 

Car il est clair que ce que veulent faire les tocards français, les tocards européens ne le veulent pas aussi.

 

L'UE n'a pas soutenu le chyprage, n'a pas une politique monétaire dangereuse, n'a pas parlé d'installer des arrêteurs automatiques sur les bagnoles, non non, du tout.

  • Yea 3
Lien vers le commentaire

Un n'importe quoi prévisible et juridiquement déterminé.

 

Les traités européens interdisent de restreindre les mouvements de capitaux, pourtant un contrôle des capitaux a été rétabli pendant la crise à Chypre. Et quand la Grèce de Tsipras fait la même chose, elle n'est pas exclue de l'UE pour violation des traités. En matière de prévisibilité et d'Etat de droits on repassera, dans les faits les européistes suspendent leurs propres règles toutes les fois où ils estiment qu'elles gênent la pérennité de la "construction européenne".

 

Ensuite ta prétention a être dans la tête du "souverainiste" (réduit pour le coup à un idéaltype général), est assez absurde. Les souverainistes ont des programmes différents selon qu'on les trouve à droite ou à gauche du spectre politique, et du moment qu'ils élaborent des programmes, il est gratuit de dire qu'ils veulent "faire n'importe quoi". Ce sont plutôt les politiciens sans programmes qui méritent la palme de l'imprévisibilité.

Lien vers le commentaire

Les critiques légitimes adressés au référendum truqué de Maastricht ne m'empêchent pas de douter de la sincérité des souverainistes. M'est avis que si la décision du peuple ne va pas dans leur sens, ils se torcheront avec la souveraineté populaire comme n'importe quel autre technocrate européiste.

 

Quel pays respecte mieux cette fameuse souveraineté dans le monde ? Une petite fédération alpine qui fabrique des montres et du chocolat, soit le modèle politique rigoureusement inverse préconisé par Marie-France Gaga.

 

c'est très drôle que tu dises ça alors que la suisse est justement un pays avec une forte tradition souverainiste

Lien vers le commentaire

 

Les traités européens interdisent de restreindre les mouvements de capitaux, pourtant un contrôle des capitaux a été rétabli pendant la crise à Chypre. Et quand la Grèce de Tsipras fait la même chose, elle n'est pas exclue de l'UE pour violation des traités. En matière de prévisibilité et d'Etat de droits on repassera, dans les faits les européistes suspendent leurs propres règles toutes les fois où ils estiment qu'elles gênent la pérennité de la "construction européenne".

 

Ensuite ta prétention a être dans la tête du "souverainiste" (réduit pour le coup à un idéaltype général), est assez absurde. Les souverainistes ont des programmes différents selon qu'on les trouve à droite ou à gauche du spectre politique, et du moment qu'ils élaborent des programmes, il est gratuit de dire qu'ils veulent "faire n'importe quoi". Ce sont plutôt les politiciens sans programmes qui méritent la palme de l'imprévisibilité.

 

Tout me porte à croire qu'il n'existe aucune forme de Graal politique mais des nuances de nocivité. Le diktat de l'UE à la multitude des diktats étatiques me paraît simplement moins nocif.

Lien vers le commentaire

Le diktat de l'UE à la multitude des diktats étatiques me paraît simplement moins nocif.

 

Mieux vaut un seul dictateur concentrant tous les pouvoirs sur une grnde étendue que plusieurs dictateurs concentrant autant de pouvoir sur de plus petites ?

C'est bien logique tout ça

  • Yea 1
Lien vers le commentaire

 

alors que le bon souveranisme, il tire

 

Ce n'est pas ma faute si Marie-France Garaud se contrefout de l'esprit du fédéralisme suisse tout en conchiant le «libéralisme sauvage».

 

Je reste ouvert aux arguments, si composer avec de vieilles branches souverainistes est dans l'intérêt des libéraux, j'accepterai de me rétracter.

Lien vers le commentaire

Le diktat de l'UE à la multitude des diktats étatiques me paraît simplement moins nocif.

 

C'est une opinion, pas un argument. Cela dit, dans les faits, l'UE se greffe aux structures étatiques existantes, donc au lieu d'entretenir une classe politico-administrative plus ou moins parasitaire au niveau national, il faut de surcroît la payer au niveau européen, avec des coûts de traductions et de déplacements assez folkloriques. Je n'arrive pas à comprendre comment on peut y voir un quelconque progrès.

 

Et en matière de séparation des pouvoirs façon Montesquieu, le niveau stato-national est plus libéral (et plus démocratique) que le niveau européen, où la Commission peut faire passer des lois sans l'appui du Parlement, et contrôle la carrière des juges européens, ce qui revient à une quasi-concentration les pouvoirs exécutif, législatif et judiciaire.

Lien vers le commentaire

L'UE, combien de divisions ? L'UE ne dicte pas grand chose. Croire que des fonctionnaires non élus et qui doivent un niveau de vie considérable à l'UE puisse avoir d'autres intérêts que de nous plumer le plus possible est assez osé. Au mieux, l'UE joue contre les États, pas contre l'étatisme.

Lien vers le commentaire

 

Car il est clair que ce que veulent faire les tocards français, les tocards européens ne le veulent pas aussi.

 

L'UE n'a pas soutenu le chyprage, n'a pas une politique monétaire dangereuse, n'a pas parlé d'installer des arrêteurs automatiques sur les bagnoles, non non, du tout.

 

Les maux dont on accuse l'UE prennent racines tant dans la forme particulière prise par l'État moderne que l'assentiment qu'il a généré par l'entremise des société civiles.

 

Comme le rappelait un brillant contributeur de Contrepoints, c’est dans la société civile qu’ont pullulé en premier lieu les institutions disciplinaires bornant la vie des individus. L’État comme force centrifuge n'a fait que capter et transcender des processus disciplinaires préexistants et parfaitement organiques.

 

La démocratie semi-directe suisse nous fournit à son tour des exemples d'immixtion croissante de l'État et de mépris des libertés essentielles consenties et votées en premier lieu par une masse relative d'électeurs.

 

Permettez moi de douter que les français revenus à leur souveraineté politique d'antan se sentent tout d'un coup épris de liberté et de responsabilité et que cela se traduise dans les programmes de leurs partis.

Lien vers le commentaire

Les maux dont on accuse l'UE prennent racines tant dans la forme particulière prise par l'État moderne que l'assentiment qu'il a généré par l'entremise des société civiles.

Comme le rappelait un brillant contributeur de Contrepoints, c’est dans la société civile qu’ont pullulé en premier lieu les institutions disciplinaires bornant la vie des individus. L’État comme force centrifuge n'a fait que capter et transcender des processus disciplinaires préexistants et parfaitement organiques.

La démocratie semi-directe suisse nous fournit à son tour des exemples d'immixtion croissante de l'État et de mépris des libertés essentielles consenties et votées en premier lieu par une masse relative d'électeurs.

Permettez moi de douter que les français revenus à leur souveraineté politique d'antan se sentent tout d'un coup épris de liberté et de responsabilité et que cela se traduise dans les programmes de leurs partis.

Personne n'a dit ça

Quant au reste, Je ne réponds pas au gloubiboulga

Lien vers le commentaire

Permettez moi de douter que les français revenus à leur souveraineté politique d'antan se sentent tout d'un coup épris de liberté et de responsabilité et que cela se traduise dans les programmes de leurs partis.

 

Tout dépend de la force politique qui impulserait ce retour à la souveraineté.

Lien vers le commentaire

Je suis souverainiste français contre l'europe, régionaliste contre la france, je défends ma commune contre la région et mon foyer contre toute ingérence politique.

  • Yea 2
Lien vers le commentaire

La diversité et la déconcentration des formes de pouvoir est incontestablement supérieure à leur confiscation sous une façade uniforme. Mais est-ce bon pour la liberté et le libéralisme dans l'absolu ? Les tyrannies locales comme en Russie peuvent se révéler aussi redoutables dans la prédation voire plus encore que celle de l'autorité centrale dans le contexte post-URSS.

 

Lien vers le commentaire

La diversité et la déconcentration des formes de pouvoir est incontestablement supérieure à leur confiscation sous une façade uniforme. Mais est-ce bon pour la liberté et le libéralisme dans l'absolu ? Les tyrannies locales comme en Russie peuvent se révéler aussi redoutables dans la prédation voire plus encore que celle de l'autorité centrale dans le contexte post-URSS.

 

10072807191729377.gif

Lien vers le commentaire

 

La Russie a décidé ce lundi de bloquer l’accès au site Wikipedia en raison d’un article sur le charas, une forme de cannabis. Le Kremlin reproche à l’encyclopédie en ligne de donner trop de détails sur la fabrication de cette forme de haschich fabriquée à la main.

Charas et champignons hallucinogènes

Le Roskomnadzor, qui est l’organe de censure du Kremlin, avait menacé Wikipedia d’interdire l’accès au site si cette page n’était pas retirée. L’encyclopédie n’ayant pas obtempéré, la Russie a donc rendu impossible à ses citoyens de consulter le site web. Cette censure a été rendue possible par une décision de justice de la Cour du district d’Astrakhan, rendue le 25 juin dernier. La justice russe avait déclaré l’article sur le charas illégal.

Ce n’est pas la première fois que la Russie sévit contre des sites internet : mi-août, le Kremlin avait déjà interdit provisoirement l’accès à Reddit à cause d’un article concernant des champignons hallucinogènes.

http://www.20minutes.fr/monde/russie/1671935-20150825-russie-bloque-acces-wikipedia-cause-article-cannabis

 

:facepalm:

Lien vers le commentaire

 

Autonomie pour l'est de l'Ukraine: violents heurts après le vote du Parlement Le Parlement ukrainien a voté ce lundi en première lecture un projet de loi accordant une plus grande autonomie aux régions séparatistes de l'est du pays.

Des heurts ont éclaté ce lundi devant le parlement, à Kiev, entre la police et des manifestants qui protestent contre le projet de réforme constitutionnelle controversé donnant davantage d'autonomie à l'Est rebelle.

Une dizaine de personnes, notamment des policiers, ont été blessées par une explosion devant le parlement ukrainien, a rapporté un journaliste de l'AFP. Plusieurs personnes ensanglantées, dont des policiers et, selon toute vraisemblance, des journalistes, étaient allongés à même le sol devant le parlement, selon la même source. Des manifestants ont par ailleurs lancé au moins une grenade fumigène qui a propagé un nuage de fumée noire devant le Parlement.

 

Ce lundi, le Parlement ukrainien a adopté en première lecture ce projet de réforme constitutionnelle, exigé par les Occidentaux, qui y voient un moyen d'apaiser le conflit armé ayant fait plus de 6.800 en seize mois. 265 députés, contre un minimum requis de 226, ont voté en faveur de cette décision lors d'une séance houleuse.

Un projet

Avant le vote, des députés ukrainiens du Parti radical avaient bloqué l'accès à la tribune du Parlement pour empêcher le vote de ce texte qu'ils qualifient d'"anti-ukrainien" et de "pro-Poutine". Le parti Samopomitch, membre comme le Parti radical de la coalition soutenant le président Petro Porochenko, s'est également prononcé contre cette réforme.

Ce projet est au coeur de débats acharnés en Ukraine où beaucoup le voient comme une tentative de légaliser de facto le contrôle par les rebelles d'une partie de l'est industriel du pays. Le projet de réforme octroie davantage de pouvoirs aux conseils des élus régionaux et locaux, notamment ceux situés dans la zone actuellement sous contrôle rebelle. Le projet de loi autorise notamment l'organisation d'une "police populaire".

Mais contrairement aux attentes des séparatistes, il ne confirme pas définitivement le statut semi-autonome des territoires sous leur contrôle. Selon le texte, ce statut doit être déterminé par une loi séparée et seulement pour une durée de trois ans.

L'adoption avant la fin 2015 d'une réforme constitutionnelle incluant une "décentralisation" pour l'Est est prévue par les accords de paix de Minsk 2 conclus en février entre le président Petro Porochenko et son homologue russe Vladimir Poutine avec la médiation de leur homologue français François Hollande et de la chancelière allemande Angela Merkel.

 

http://www.lesechos.fr/monde/europe/021292887850-autonomie-pour-lest-de-lukraine-violents-heurts-apres-le-vote-du-parlement-1149242.php

Lien vers le commentaire

10072807191729377.gif

Je suis mort de rire tout seul en regardant ce truc.

 

Ça va dans le bon sens ce projet, ça va être long à accoucher ceci dit. Enfin un signe d'ouverture, on en attend autant des russkovs, c'est sûrement peine perdue. 

Lien vers le commentaire

Les pays baltes m'ont bien fait rire quand même. Sur que les Estoniens rêvent tellement de redevenir Russes, les usines polluantes qui produisent des produit dépassés, c'est trop le kif. Réouvrons les charbonnages.

 

Les canaux d’irrigation en Asie centrale qui ont asséchés la mer d’Aral sont pas mal aussi.

Lien vers le commentaire
  • 4 weeks later...

 

Ces dernières années, le pouvoir russe a fait de nombreux pas pour s'assurer un contrôle accru sur l'Internet, que ce soit en renforçant la régulation des contenus en ligne ou en poussant les entreprises étrangères d'Internet intervenant sur le RuNet, telles Apple et Google, vers une territorialisation de leurs données.

Une nouvelle fuite du mystérieux groupe de hackers Anonymous International (aussi connu sous les noms de Shaltaï Boltaï ou Humpty Dumpty) révèle que le gouvernement russe examine des propositions de mesures beaucoup plus radicales pour isoler l'Internet russe. L'une d'elles fait appel au concept de “plate-forme nationale d'information”, qui créerait effectivement un Internet alternatif à usage exclusivement russe.

Les documents révélés comprennent plusieurs courriels de Dmitry Panyukov (directeur de l’Institut de Démographie, des Migrations et du Développement Régional) et de Garald Bandourine (directeur informatique de RusHydro), ainsi qu'un document du 22 juin 2015 décrivant une proposition de “plate-forme nationale d'information”, qui éliminerait la dépendance de la Russie envers les firmes et la technologie occidentales. Ce document particulier paraît avoir été élaboré conjointement par MM. Bandourine et Sergueï Ganzya de la Banque du Commerce Extérieur, avec plusieurs autres personnes. Les premières phrases du document esquissent les raisons de développer un Internet russe séparé :

 

Dans les intérêts des citoyens de la Fédération de Russie, de la structure étatique russe et du développement de l'économie, des entreprises-clés et des infrastructures, la création d'une plateforme nationale d'information est proposée. La création de cette plateforme se veut une contribution à la fondation d'une base indépendante de technologies de l'information pour le développement socio-économique du pays.

L'idée que la Russie pourrait se détacher de l'Internet mondial pour créer son propre espace virtuel autonome n'a rien de neuf : elle avait déjà lancée dans des propos énigmatiques (Poutine traitant l'Internet de “projet de la CIA”) ou dans des appels de députés russes à se préparer à un cyber-blackout. Les auteurs de la proposition pointent dans leur document les menaces spécifiques à la sécurité nationale résultant de la dépendance russe à la technologie occidentale, et décrivent comment l'assujettissement de la Russie à des compagnies comme Microsoft, Apple et Google a permis aux ramifications politiques des actions russes en Ukraine d'impacter les opérations technologiques nationales.

 

Nous avons ainsi l'exemple récent du blocage des utilisateurs criméens par Apple et Google. De l'avis de Natalia Kasperskaïa, directrice de la société leader russe de TI Infowatch, la probabilité est extrêmement élevée qu'il existe dans Windows, le système d'exploitation le plus répandu, des “signets” spéciaux, capables de bloquer simultanément par une commande extérieure la majorité des ordinateurs et réseaux russes.

Selon les pères du concept de “plate-forme nationale d'information”, le besoin d'un Internet russe indépendant  dépasse les soubresauts éventuels de firmes technologiques occidentales particulières : c'est, croient-ils, une question de sécurité nationale. Les auteurs exposent un scénario où l'Occident “paralyserait” la Russie du fait de sa supposée dépendance technologique.

 

…Il n'existe aujourd'hui pas de garanties objectives que, dans le cas d'une escalade du conflit avec l'Ouest, les services de sécurité de ce dernierne puissent pas paralyser, ou pire encore, prendre le contrôle direct d'éléments d'infrastructures essentielles—noeuds ferroviaires, valves et pompes de pipe-lines, sans parler des infrastructures de télécommunications. Tout cela fonctionne en effet sur des plateformes occidentales.

Outre l'adaptation aux sanctions occidentales contre les capacités technologiques de la Russie, le plan donnerait un stimulant bienvenu au secteur russe des TI, tout comme les sanctions alimentaires de la Russie contre l'Ouest visaient ostensiblement à renforcer l'agriculture russe appelée à se substituer aux importations.

En avril 2015, le Ministère russe des Communications a présenté au Premier Ministre Dmitri Medvedev son plan de substitution aux importations pour l'industrie des TI, qui proposait que, d'ici 2025, la proportion de logiciel étranger sans substitut russe utilisé en Russie tombe à 50 %.

Les auteurs admettent cependant qu'un obstacle initial à franchir pour développer le potentiel russe est la disponibilité de jeunes esprits pour générer un essor technologique en Russie. La mise en oeuvre d'une “plateforme nationale d'information” inverserait, veulent-ils croire, l'actuelle “fuite des cerveaux” parmi la main d'oeuvre qualifiée et les professionnels des TI de la Russie.

 

La perte, la fuite des cadres les plus prometteurs, des meilleurs esprits russes, est peut-être le défi le plus important. Sans ressources humaines avancées, compétentes et compétitives, au niveau des exigences mondiales de demain, la Russie est vouée à être dépendante et à se faire mener.

Si la fuite d'Anonymous International ne précise pas quel niveau de la hiérarchie du Kremlin la proposition a atteint, et si elle a été prise au sérieux, elle n'en donne pas moins un aperçu révélateur des soucis technologiques de l'élite russe. Les courriels et documents fuités ne contiennent aucune allusion aux préoccupations idéologiques ou morales de Roskomnadzor (le chien de garde d'Internet du Kremlin), en revanche ils font état de sérieuses inquiétudes sur les fragilités stratégiques de la Russie au cas où ses relations avec l'Occident continueraient à se détériorer. Alors que la Russie continue à réprimer les libertés Internet, le résultat des courses, tel que révélé dans cette proposition mise au jour, pourrait laisser l'internaute russe dans un système plus proche du Grand firewall de Chine que du sélectivement mais lourdement censuré Internet turc.

https://fr.globalvoices.org/2015/10/03/190861/

 

Lien vers le commentaire

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
×
×
  • Créer...