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Éric Zemmour, chroniqueur puis politicien


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Il y a 2 heures, Mathieu_D a dit :

Je pense que tu parles d'instruction, pas d'intelligence.

Effectivement les gens qui sont restés dans la même rue toute leur vie sont moins instruits en moyenne que ceux qui ont bougés ou qui ont eu la chance d'avoir l'instruction qui vient à eux. (Et on rencontre aussi ces gens qui restent là où ils sont en ville aussi, quoique moins en métropole.)


Non, je ne parle pas d’instruction. Quelqu’un de très intelligent né en milieu rural en partira en général vers l’adolescence car il sera souvent privé de rencontres stimulantes. Il sera même souvent rejeté par les gens qui l’entourent.

 

Et s’il reste, il régressera probablement intellectuellement.

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4 minutes ago, Johnnieboy said:


Non, je ne parle pas d’instruction. Quelqu’un de très intelligent né en milieu rural en partira en général vers l’adolescence car il sera souvent sevré de rencontres stimulantes. Il sera même souvent rejeté par les gens qui l’entourent.

 

Et s’il reste, il régressera probablement intellectuellement.

 

Je pense qu'il y a deux phénomènes distincts qui vont dans le sens de ce que dit JB:

 

1)Il y a une plus grande diversité des centre d'intérêts potentiels dans les villes, parce qu'il y a plus de monde.

Même si en moyenne il y avait autant de gens instruits dans les campagnes, dans un village de 1000 personne tu auras peut-être un gars calé dans un domaine et rien pour le reste.

En ville, tu veux aller à une soirée histoire médiévale, soirée crypto, soirée on parle espagnol, c'est toi qui choisit, tu es moins limité.

 

2)Il y a beaucoup de métiers intellectuels (au sens large) que tu ne peux exercer qu'à proximité d'un ville grande ou moyenne.

A la campagne, les mecs qui ont fait des études, c'est le médecin, le notaire et un juge. Il n' y a quasiment pas d'ingénieurs, pas de journaliste. Parce que les professions "intellectuels" sont des professions où tu vas "scaler" ( distribuer en VF ?)  ton travail sur une population de client plus large. Alors même si Internet change un peu la donne, tout ne change pas du jour au lendemain

 

Mais tout ça c'est juste une tendance, c'est pas une attaque contre qui que ce soit, ni une affirmation systématique.

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10 minutes ago, Solomos said:

A la campagne, les mecs qui ont fait des études, c'est le médecin, le notaire et un juge.

 

Il faudrait sortir un peu des clichés.  L'agriculture c'est un métier qui exige des qualifications beaucoup plus pointues que l'image d'Epinal du paysan bourru qui exploite la terre de ses ancètres.

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Et à la campagne avec les bagnoles tu as accès a tous les environs facilement. Le mieux ca reste une campagne proche métropole !

 

On comprends rien à ce que veux dire JB en fait, à part que métropole = moins xénophobe.

 

Selon tes objectifs de vie, tu peux trouver ce que tu veux à peu près partout.

 

Après si tu te fais balloter par la vie, c'est pas l'endroit où tu vis le problème principal

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9 minutes ago, fm06 said:

 

Il faudrait sortir un peu des clichés.  L'agriculture c'est un métier qui exige des qualifications beaucoup plus pointues que l'image d'Epinal du paysan bourru qui exploite la terre de ses ancètres.

 

JB devrait peut-être sortir de sa ville et aller à la rencontre des vignerons de Bourgogne ou du Bordelais, par exemple, vérifier s'ils sont si cons et incultes.

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il y a 32 minutes, ttoinou a dit :

 

 

Selon tes objectifs de vie, tu peux trouver ce que tu veux à peu près partout.

 

 


C'est sûr qu'en affirmant cela, ce que je dis doit passer pour complètement incompréhensible. :D

Oui, en fonction de ce que tu veux, tu peux trouver ce que tu veux partout. Mais si tu veux de la stimulation intellectuelle, tu en trouveras peu à la campagne ou en dehors des plus grandes villes. Sauf grâce à internet.

 

Et quand bien même, d'après ce que j'ai pu constater, la situation des milieux ruraux en France semble plus empirer qu'autre chose. Les commerces ferment, les lieux de rencontres, aussi. L'artisanat dépérit, etc.

 

Vous essayez de me faire passer pour le citadin méprisant qui ne connaît rien aux campagnes, mais je pense que c'est un peu l'inverse : vous fantasmez un peu la ruralité française, car vous ne la connaissez pas de première main ou qu'en tant que touriste qui trouve que c'est bien mignon. J'ai vu, de mes yeux, mourir un lieu dans le nord de la France, j'ai vu les plus anciens sombrer, le chômage s'emparer de toute une génération, les mentalités se fermer, l'alcoolisme tuer, les rues se transformer en désert. Dans les milieux ruraux, tous les jours ressemblent à des dimanches déprimants. Évidemment que tous les gens avec un peu de jugeote se sont tiré. À votre avis, pourquoi aucun médecin ne veut plus y mettre les pieds ? Bordel, on est libéraux et on sait la valeur du commerce au sens large ! Vous pensez qu'il arrive quoi à une population qui ne commerce plus ? Qu'elle s'élève intellectuellement ou qu'elle régresse tout à fait ?

 

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30 minutes ago, Solomos said:

 

 

2)Il y a beaucoup de métiers intellectuels (au sens large) que tu ne peux exercer qu'à proximité d'un ville grande ou moyenne.

A la campagne, les mecs qui ont fait des études, c'est le médecin, le notaire et un juge. Il n' y a quasiment pas d'ingénieurs, pas de journaliste.

On ne connait pas la même campagne.

 

Je te rejoins sur le fait qu'il y a des métiers que l'on fait surtout dans les villes (libraire par exemple).

Mais dire que la campagne il n'y a pas de gens qui font des études c'est juste méconnaitre ce milieu ou plutôt avoir une vision zemmouriene de la campagne (i.e.: bloqué à la IIIème république).

 

Je vais me baser sur ce que je connais, mes parents ont tous les 2 été diplômé, mon père est ingénieur agronome et ma mère oenologue. 2 métiers qui pour le coup nécessitent des études et assez poussée et où tu as beaucoup plus d'opportunité à la campagne qu'à la ville.

Mon frère lui, en plus d'être bac+5 est expert agricole (en plus d'être agriculteur). Toujours un métier dur à faire en ville soit dit en passant.

Il élève des vaches et régulièrement fait appel à un vétérinaire. Ca tu peux le faire en ville si tu aimes les chiens et les chats mais on en a besoin à la campagne.

Le directeur commercial qui dirige la cave coopérative a fait ses études de commerce (toujours utile).

Il y a des profs dans les écoles. 

Il y a un tas d'organisme à la c.. parapublic dont on pourrait se passer qui gèrent notre agriculture avec moults diplômés (SAFER, INRA, ODARC (pour la corse), etc.).

Il y a des services publics, des avocats, etc.

Sans compter que la mode actuelle est plutôt de faire des études et après de revenir prendre l'exploitation familiale (très courant) ou tendance se mettre au vert (la caricature du cadre qui fuit Paris pour faire sa chambre d'hôte repose sur une certaine réalité).

 

A partir du moment où presque 80% d'une classe d'âge fait des études post-bac, pas de raison que la campagne n'ait pas de diplômé ou presque.

 

 

 

 

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Il y a 2 heures, Mathieu_D a dit :

Effectivement les gens qui sont restés dans la même rue toute leur vie sont moins instruits en moyenne que ceux qui ont bougés

 

Oui, ce n'est pas la ville qui est intellectuellement attirante mais le fait de bouger et de voyager.

Ceci dit, @Johnnieboyn'a pas tort dans la mesure où ce qui attire les gens jeunes et intelligents c'est le pognon. Et le pognon, on le trouve plus facilement en ville.

Ce n'est pas l'excitation intellectuelle que l'on cherche en ville, c'est le pognon.

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Pour ceux que le sujet Wikipédia intéresse  https://fr.wikipedia.org/wiki/Wikipédia:Bulletin_des_administrateurs/2022/Semaine_7#Cellule_dissimulée_de_promotion_d'Éric_Zemmour_sur_Wikipédia

 

Les journaux montent la sauce là-dessus mais typiquement même ici, c'est une approche qu'on a déjà eue. Et que tous les gros candidats doivent avoir aussi

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1 hour ago, Johnnieboy said:


Vous essayez de me faire passer pour le citadin méprisant qui ne connaît rien aux campagnes, mais je pense que c'est un peu l'inverse : vous fantasmez un peu la ruralité française, car vous ne la connaissez pas de première main ou qu'en tant que touriste qui trouve que c'est bien mignon. J'ai vu, de mes yeux, mourir un lieu dans le nord de la France, j'ai vu les plus anciens sombrer, le chômage s'emparer de toute une génération, les mentalités se fermer, l'alcoolisme tuer, les rues se transformer en désert. Dans les milieux ruraux, tous les jours ressemblent à des dimanches déprimants. Évidemment que tous les gens avec un peu de jugeote se sont tiré. À votre avis, pourquoi aucun médecin ne veut plus y mettre les pieds ? Bordel, on est libéraux et on sait la valeur du commerce au sens large ! Vous pensez qu'il arrive quoi à une population qui ne commerce plus ? Qu'elle s'élève intellectuellement ou qu'elle régresse tout à fait ?

 

 

Ah OK, je comprends mieux. Tu ne parles pas des milieux ruraux, tu parles d'une région sinistrée économiquement.

Il serait facile de trouver des villes sinistrées économiquement en France qui vivent exactement le même phénomène que tu décris et que tu crois spécifique à la campagne.

 

Mais je vais te décrire un contre-exemple rural : mon département, la Haute-Savoie.

Taux de chômage du bassin annecien : 3,5%. Les nombreux "anciens", implantés dans les petits villages, sont de riches retraités (ex CSP+++) qui, loin de sombrer, sont au contraire des sportifs aguerris qui pourraient foutre la honte aux quadras des zones urbaines de l'Île-de-France. Tous les petits villages sont hyper animés l'hiver comme l'été (attractivité touristique de la montagne, nombreux festivals musicaux, d'art ou de littérature, etc.). Il suffit de parcourir la ruralité de la région (montagnes, lacs) pour observer une effervescence d'activités été comme hiver. Les rues se transforment en désert dans le Nord ? On aimerait tellement que ce soit le cas ici ! Malheureusement, sur mes petites routes de campagnes, on doit trop souvent se farcir des bouchons dus aux citadins lyonnais et génevois, qui visiblement se font chier dans leur ville pour venir nous envahir ainsi tous les week-ends. Bordel, oui je suis libéral et je sais reconnaitre la valeur du commerce, et quand je randonne au beau milieu de mes montagnes de Haute-Savoie, je trouve toujours, y compris à 1500-2000m d'altitude, un commerce ouvert pour me restaurer.

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36 minutes ago, Largo Winch said:

et quand je randonne au beau milieu de mes montagnes de Haute-Savoie, je trouve toujours, y compris à 1500-2000m d'altitude, un commerce ouvert pour me restaurer.

 

Exemple : après trois heures de randonnée, au beau milieu de la montagne, bien loin de toute route bitumée, me voici ici à 1700m d'altitude : Lac de Lessy.

 

P1050986.thumb.JPG.689932750ccf49eeaa8c4044b5359e48.JPG

 

P1060001.thumb.JPG.8aa87111cc3c2962bde123943556f4f0.JPG

 

Je crois que là on est bon en termes de "campagne" ou de "ruralité". Eh bien, juste à côté de cet endroit, j'avais le choix entre 4 commerces pour me restaurer. 4 commerces ! Et, en prime, discussion animée et passionnante avec le patron du refuge, qui était loin d'être un con ou un inculte.

 

 

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Il y a 2 heures, Marlenus a dit :

Mais dire que la campagne il n'y a pas de gens qui font des études c'est juste méconnaitre ce milieu ou plutôt avoir une vision zemmouriene de la campagne (i.e.: bloqué à la IIIème république).

ohhhh-squad.gif

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4 hours ago, Johnnieboy said:


Non, je ne parle pas d’instruction. Quelqu’un de très intelligent né en milieu rural en partira en général vers l’adolescence car il sera souvent privé de rencontres stimulantes. Il sera même souvent rejeté par les gens qui l’entourent.

 

Et s’il reste, il régressera probablement intellectuellement.

Hé bien je ne suis pas d'accord. L'amour pour un endroit n'est pas un manque d'intelligence.

Et comme on l'a dit, l'agriculture est devenu un métier très technique, qui nécessite beaucoup d'intelligence. (Même si ça ne gagne pas.)

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il y a 17 minutes, Mathieu_D a dit :

L'amour pour un endroit n'est pas un manque d'intelligence.

This. J'irais même plus loin encore : l'incapacité à s'attacher à un endroit, à se trouver un "chez soi", me semble être un handicap, une déficience, un peu comme quelqu'un qui serait né avec une seule main. Ce n'est pas honteux, ce n'est pas un vice, mais ce n'est pas spécialement un motif de gloire ni quelque chose qui permettrait de donner des leçons aux autres.

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il y a 33 minutes, Mathieu_D a dit :

Hé bien je ne suis pas d'accord. L'amour pour un endroit n'est pas un manque d'intelligence.

Et comme on l'a dit, l'agriculture est devenu un métier très technique, qui nécessite beaucoup d'intelligence. (Même si ça ne gagne pas.)


On n'aime pas un endroit, à moins de ne vraiment pas aimer les hommes. En général, on n'est obnubilé par un paysage que lorsque l'on aime la solitude. Sinon, on préfère se retrouver où l'on trouve ses semblables. Ce qui fait un lieu, c'est avant tout les gens.

 

il y a 11 minutes, Rincevent a dit :

This. J'irais même plus loin encore : l'incapacité à s'attacher à un endroit, à se trouver un "chez soi", me semble être un handicap, une déficience, un peu comme quelqu'un qui serait né avec une seule main. Ce n'est pas honteux, ce n'est pas un vice, mais ce n'est pas spécialement un motif de gloire ni quelque chose qui permettrait de donner des leçons aux autres.


C'est un point de vue très bien étayé auquel il est trop difficile de répondre tant l'argumentation est solide.

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il y a 2 minutes, Johnnieboy a dit :

Qu'aimes-tu dans un endroit à part les êtres humains qui y sont ? Si tu aimes autre chose, c'est bien que ce qui t'intéresse, ce ne sont pas les êtres humains. CQFD

 

il y a 10 minutes, Johnnieboy a dit :

C'est un point de vue très bien étayé auquel il est trop difficile de répondre tant l'argumentation est solide.

...

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25 minutes ago, Johnnieboy said:


On n'aime pas un endroit, à moins de ne vraiment pas aimer les hommes. En général, on n'est obnubilé par un paysage que lorsque l'on aime la solitude. Sinon, on préfère se retrouver où l'on trouve ses semblables. Ce qui fait un lieu, c'est avant tout les gens.

Chacun fonctionne différemment mais les gens qui aiment un lieu ne sont pas rares. C'est souvent lié à une histoire familiale mais l'amour de l'endroit peut rester quand les gens ne sont plus là.

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Il y a des zones très densément peuplées où l'on trouve bien des choses en commun avec la campagne sinistrée : chômage, drogue, pauvreté culturelle, isolement communautariste...

 

Pour moi, ce n'est pas une question de ville ou de campagne, mais plutôt de pôles ou d'espaces marginaux. Bien sûr cela se recoupe assez largement, mais ce n'est pas exactement la même chose même. Il y a des pôles à la campagne et des espaces urbains marginaux.

 

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1 hour ago, Mathieu_D said:

 

Et comme on l'a dit, l'agriculture est devenu un métier très technique, qui nécessite beaucoup d'intelligence. (Même si ça ne gagne pas.)

Cela dépend vraiment pour le "cela gagne pas".


Si tu fais du truc pour bobo, oui cela gagne pas.

 

Mais il y a pas mal d'agriculteurs qui se font des cojones en or.

Et pas uniquement les viticulteurs de vin premium.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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En vrai c'est pas absurde. Ça se place dans la continuité de la réflexion d'Uexküll sur la différence entre espace et Umwelt. La manière dont l'homme constitue son environnement ou plutôt, en langue heideggérienne, la manière dont le Dasein élabore son "lieu" (vous avez bien compris que Dasein != homme au sens biologique et site != environnement, c'est juste une analogie), n'est pas une question vide de sens. Heidegger a raison de faire la différence entre être dans un espace et vivre vraiment chez soi, dans un monde ou dans un lieu. Je crois que j'avais déjà écrit un truc sur le monde chez Heidegger, mais on peut voir ça simplement comme un ensemble de relations perçues depuis un point de vue entre des objets. Ce monde est "bâti". Bâtir ne consiste pas à imposer une structure artificielle sur la nature, à la "provoquer," mais à poursuivre son oeuvre ("C'est le passage du pont qui seul fait ressortir les rives comme rives.") Surtout qu'il y a des gens qui aiment Scruton ici, non? Scruton c'est la philo allemande rendue accessible aux British. On peut certes aussi considérer que ce rapport à la nature est fake et que l'homme ne voit jamais qu'un paysage déjà plus ou moins humanisé au sens artificiel pour le coup (la nature imite l'art and so on and so on), ce qui tend à être de plus en plus vrai, sauf au fond de l'Amazonie, avec une faible chance de survie. C'est d'ailleurs plutôt ce que je pense.

 

En passant, pour lire Être et Temps sans lire Être et Temps il y a ça https://www.amazon.fr/Being-World-Commentary-Heideggers-Paper/dp/0262540568/ Clairement Essais et conférences c'est pas le truc le plus génial mais c'est assez lisible. Le seul truc que je continue à trouver insupportable c'est sa manie caractéristique de l'érudition étymologique + le messianisme inintelligible qui marque ses derniers textes (dont celui-ci vers la fin).

 

On passe aux choses sérieuses: https://openpsychometrics.org/tests/NR-6/

Your score for nature relatedness was 1/5. Higher scores indicate more nature relatedness. The average score for college students reported by Nisbet & Zelenski (2013) is 3.28.

Nature relatedness is correlated with psychological wellbeing. Increasing nature relatedness can results in increases in positive moods.

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Il y a 14 heures, fm06 a dit :

 

Il faudrait sortir un peu des clichés.  L'agriculture c'est un métier qui exige des qualifications beaucoup plus pointues que l'image d'Epinal du paysan bourru qui exploite la terre de ses ancètres.

 

Extrêmement rémunérateur, avec des subventions de dingue, possibilité de vendre au black, possibilité d'embaucher au black, et un exit potentiel à 7 ou 8 chiffres selon la taille des terres quand on raccroche.

 

Je connais quelques agriculteurs, ils sont p.é.t.é.s de thune à un niveau biblique.

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