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Chroniques De La Violence Ordinaire


Chitah

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Quelqu'un a regardé

Six mois d’enquête,deux ans de tournage, quatre films réalisés… à Creil,dans l’Oise. Creil, où tous les indicateurs de la violence clignotent : violence urbaine,sexuelle, conjugale, sociale, délinquances et violences faites aux enfants, dès la naissance.

Unité de lieu, donc, pour suivre dans la durée des personnages qui se débattent.Victimes et prédateurs. Parfois les deux. Et l’envie d’en sortir, de reconstruire ces vies décousues. De la cité-jardin, devenue cité de non-droit, au Tribunal pour enfants, du couple qui se déchire au business des chéquiers volés, les histoires ici racontées ne justifient ni le discours sécuritaire, ni l’angélisme de ceux qui ne vivraient pas là. D’où viennent ces violences ordinaires ? Comment arrêter la spirale enclenchée ?

Tous les acteurs de ces drames quotidiens ont tenu à participer à ces films, de la bande aux juges, des policiers aux travailleurs sociaux, des psychologues aux victimes… Ce ne sont pas des films sur ou à propos d’eux. Ce sont des films faits avec eux. Et c’est pourquoi cette collection est bien à Contre courant .

Je viens de regarder le premier volet, je passe au second.

Le premier concernait les enfants/adolescents en perdition, notamment dans des cas de familles perturbées (divorces, etc….). Disons que ça n'apprend rien de nouveau, si ce n'est sur le suivi de ce genre de cas et les manière de traiter les problèmes familiaux, afin d'apaiser un peu les gamins.

Le second m'a l'air plus prometteur, une phrase que j'entends à l'instant: "nous avons cherché à comprendre comment 10 caïds peuvent prendre le contrôle d'une cité de 1000 personnes".

Plus d'infos plus tard.

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Quelqu'un a regardé

Je viens de regarder le premier volet, je passe au second.

Le premier concernait les enfants/adolescents en perdition, notamment dans des cas de familles perturbées (divorces, etc….). Disons que ça n'apprend rien de nouveau, si ce n'est sur le suivi de ce genre de cas et les manière de traiter les problèmes familiaux, afin d'apaiser un peu les gamins.

Le second m'a l'air plus prometteur, une phrase que j'entends à l'instant: "nous avons cherché à comprendre comment 10 caïds peuvent prendre le contrôle d'une cité de 1000 personnes".

Plus d'infos plus tard.

ouais chita

moi j'ai regardé c'est passé y'a quinze jours environs sur france trois dans un ghetto "la commanderie" je crois.

ça m'a rappelé mon tiéquar. les dealers, les vols, cette frontière invisible quand tu entres dans un quartier. une sorte d'oppression pèse sur tes épaules.

pour revenir à ce reportage je l'ai trouvé convenu, sans réelles constat de l'echec des

différentes politiques et peu de perspectives futures, de solutions.

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ouais chita

moi j'ai regardé c'est passé y'a quinze jours environs sur france trois dans un ghetto "la commanderie" je crois.

ça m'a rappelé mon tiéquar. les dealers, les vols, cette frontière invisible quand tu entres dans un quartier. une sorte d'oppression pèse sur tes épaules.

pour revenir à ce reportage je l'ai trouvé convenu, sans réelles constat de l'echec des 

différentes politiques et peu de perspectives futures, de solutions.

Vu également. Je te trouve bien sévère dans la mesure où il s'agit d'une "chronique" et non pas d'une proposition politique. J'ai trouvé ça intéressant en tous cas. Je suis par contre d'accord, le constat est amer, et les solutions quasi-inexistantes :icon_up:

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Bon, je le regarde quand même!

Le second volet tourne autour d'une histoire de chéquiers volés où deux femmes sont accusées d'avoir écoulé des chéquiers volés par des jeunes du quartier, et dont les appartements servaient par ailleurs de dépôt pour diverses choses volées, du shit, des armes parfois, etc..

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