C’est la transmission d’Omicron qui a changé la donne: en contaminant une large proportion de la population, même avec un taux de létalité très abaissé (grâce aux vaccins), le nombre absolu de décès est resté sur les 4ers mois de l’année le même en 2022 par rapport à 2021 et 2020

— Antoine FLAHAULT (@FLAHAULT) April 28, 2022