Un client, la soixantaine bien tassée :

"Je collectionne les films érotiques avec des nazis; si possible dans des camps de concentration. Vous en avez ?"

Parce que oui, ça existe... on appelle ça la "Nazisploitation". pic.twitter.com/69z8S9ESgo

— PoPésie (@GPoPesie) November 9, 2017