Sur la simple question de logique, je disconviens respectueusement, si tu supposes que l'infltation doit être impérativement limitée (objectif principal), alors tu la limite par tous les moyens (en particulier par des taux d'intérêt élevés). Mais lorsque l'objectif est atteint (ce qui semble le cas), alors rien n'empêche de poursuivre des objectifs subsidiaires, quitte à baisser les taux (pourvu que l'objectif principal ne soit pas perdue de vue).
Pour l'instant je retiens de la lecture de ce fil qu'il peut être dit que les pensées d'Orléan (et de Lordon) sont éventuellement creuses, non abouties, reposent sur des préceptes erronnés, etc. mais je ne suis pas sûr qu'elles puissent être qualifiées d'incohérentes.