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p.a

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  1. le déclencheur de faillites dominos le plus probable? Inquiétudes sur le triple A de la dette française Fitch, l’une des trois agences de notation avec Standard & Poor’s et Moody’s, fait officiellement part de ses craintes sur les dettes anglaises et françaises. Le «triple A» (la meilleure note possible) de ces deux pays est menacé par l’ampleur de leurs déficits publics. L’analyste de Fitch annonce clairement la couleur : «Nous avons des craintes au sujet de la France. Nous voyons une détérioration sensible des déficits fiscaux en France, une certaine pression commence à s'y faire sentir». Et une dégradation aurait immédiatement de graves conséquences, comme nous l’avons indiqué dans cette note. Au lieu de nous vendre le stupide «Grand emprunt», le gouvernement ferait mieux de s’attaquer sérieusement au déficit budgétaire ! Le ministre du budget, d’habitude si prompt à endormir Bruxelles sur un «retour à l’équilibre du budget de la France dans les années à venir» reconnait lui-même que la situation est très difficile (Les Echos). Au travail ! http://ladettedelafrance.blogspot.com/2009…e-la-dette.html
  2. Le gouverneur de l'Etat de New York avertit que la faillite aura lieu dans 1 mois mais rien n'y fait, personne ne veut baisser les dépenses http://www.google.com/hostednews/ap/articl…_Cq4pAD9BTBD9G0
  3. un scénario pour le Japon: le danger viendrait de l'impossibilité de continuer à se financer sur le marché intérieur du fait de la baisse structurelle (liée à la démographie) du taux d'épargne. http://www.lexpansion.com/economie/actuali…use_207032.html "Le Japon se trouve au bord d'une spirale dangereuse" Propos recueillis par Danièle Licata - 09/11/2009 13:25:00 Pour Etienne Pourny, P.D.G de Stelphia Asset Management, l'Etat nippon sera bientôt contraint de faire appel à l'étranger pour faire face à l'explosion de sa dette publique. Vers quel niveau de dette publique s'achemine-t-on au Japon ? Le ratio d'endettement japonais se situait à environ 60% en 1980 et est passé à 170% en 2008. Avec la récession de 2009, la barre des 200% sera allègrement franchie et la dette pourrait atteindre 300% du PIB en 2019. Un record ! Comment le Japon en est arrivé là ? C'est simple : une croissance proche de 0% durant 15 ans conjuguée à une augmentation des dépenses de protection sociale. L'arrivée du parti de gauche DPJ (Parti Démocrate Japonais) n'est pas susceptible d'inverser cette tendance. Pourquoi le Japon va-t-il avoir besoin des investisseurs étrangers pour financer sa dette publique ? Actuellement, le Japon finance la quasi totalité de sa dette publique (93,6%) avec de l'épargne domestique. Néanmoins, le moment se rapproche où l'Etat nippon ne pourra plus compter pour financer son déficit sur les Japonais, qui acceptent de placer à long terme à des taux très bas. En effet, le taux d'épargne des ménages diminue régulièrement et devrait se rapprocher de 0% en 2014, du fait du vieillissement de la population. Ainsi, dans cinq ans, le pays risque d'avoir besoin des investisseurs étrangers pour acheter les bons du Trésor. Cependant, ce n'est pas le niveau actuel du yen, ni les taux d'intérêt bas qui les attireront. La banque centrale sera alors contrainte de monétiser la dette publique. Cela aura pour effet de faire baisser le yen et de le rendre plus attractif aux yeux des investisseurs. Néanmoins, ces derniers n'investiront pas sans une hausse des taux d'intérêt obligataires, qui si ils grimpent feront gonfler le service de la dette : une hausse des taux de 2% aujourd'hui, suivie par une stabilisation à ces nouveaux niveaux pendant dix ans absorberait la totalité des recettes fiscales. Quelles sont les solutions ? Face à cette situation, le Japon n'a pas beaucoup de choix : la réduction des dépenses publiques ne semble pas envisageable dans un contexte de croissance quasi-nulle. De même, une hausse de la fiscalité via la TVA déprimerait la consommation qui est déjà faible. En plus, cette option ne fait pas parti des plans du DPJ, arrivé au pouvoir en septembre. Ainsi, la crise de la dette japonaise semble inévitable et les autorités doivent l'anticiper pour qu'elle ne devienne pas totalement ingérable.
  4. Le souci est que les montants et "les pentes" ne sont pas encourageants et qu'on n'entrevoit pas de changement de tendance, au contraire, cf ex. allemand. Au niveau politique, l'effort est maintenant tellement grand qu'il ne sera pas fait, à mon avis. Beaucoup de pays ayant atteint des niveaux de dette très élevés, des accidents de marché relativement mineurs pourraient entrainer des faillites en cascade.
  5. Le chemin du krach selon Natixis: (AOF / Funds) - Natixis pense qu'il y aura un krach obligataire, mais pas avant plusieurs années. L'établissement financier souligne que les taux d'intérêt à long terme sont aujourd'hui à des niveaux anormalement bas malgré des perspectives très défavorables pour les déficits publics et les dettes publiques. Comme déclencheur d'un tel événement, la banque évoque une remontée des taux d'intérêt des banques centrales aux Etats-Unis et en Europe, en particulier si un risque inflationniste réapparaissait. Il pourrait également être provoqué par un changement du régime de change dans les pays émergents et exportateurs de matières premières, qui arrêteraient alors d'accumuler des réserves de change. Le dernier cas de figure évoqué est celui du redémarrage du crédit bancaire, aux Etats-Unis et en Europe, qui ferait cesser les achats d'obligations par les banques. Le krach obligataire sera d'autant plus sévère que d'importants portefeuilles d'obligations à coupon bas auront eu le temps d'être accumulés, prévient la banque. http://www.boursorama.com/opcvm/detail-act…b6634c81bfeb234
  6. en France aussi on annonce des économies: baisse du nombre de fonctionnaires d'Etat je ne suis pas sûr que les économies des autres pays soient plus réelles que les notres
  7. et l'Italie aussi L'Europe maintient le cap de la relance malgré l'explosion des déficits : L'annonce ce week-end par l'Allemagne d'importantes baisses d'impôts, après des projets similaires en Italie ou en Suède, confirme la tendance en Europe: la plupart des pays font fi de l'envolée de leurs déficits et veulent donner la priorité à la relance. "Nous devons accepter un nouvel endettement exceptionnellement élevé" qui ne sera réduit qu'une fois la crise surmontée, a prévenu le nouveau ministre désigné des Finances, le chrétien-démocrate Wolfgang Schäuble. L'Italie fait aussi le pari de la baisse des charges fiscales pour soutenir l'activité, après la pire récession qu'ait connue le continent depuis la Deuxième guerre mondiale. Le chef du gouvernement Silvio Berlusconi a annoncé jeudi, à cinq mois d'élections régionales, que son gouvernement étudiait une diminution, voire même une suppression à terme de la taxe professionnelle, répondant ainsi aux demandes du patronat et d'une partie de sa majorité. Une initiative qui, selon la presse, n'a guère été appréciée par son ministre de l'Economie Giulio Tremonti, partisan de la rigueur budgétaire et qui aurait menacé de démissionner. http://www.boursorama.com/infos/actualites…7f8073537ce7416
  8. idem en Allemagne: la baisse des dépenses publiques remise à plus tard Merkel s'engage à relancer l'économie par des baisses d'impôt Quelques heures après la conclusion d'un accord de gouvernement entre les conservateurs CDU/CSU et les libéraux du FDP, Angela Merkel s'est engagée à relancer l'économie allemande par des baisses d'impôt, tout en restant dans le flou sur leur financement Les experts économiques ont exprimé leur scepticisme quant au financement de la baisse des impôts, alors que le pays est confronté à un déficit budgétaire qui va grandissant. Pressée de questions par les journalistes sur ce sujet, Angela Merkel a répondu que le gouvernement s'attendait, grâce aux mesures prévues, à un redémarrage de l'activité et, par voie de conséquence, à une augmentation des recettes de l'Etat. "Si la coalition veut diminuer la montagne de dettes à partir de 2011, il lui faudra alors, en dehors d'une meilleure croissance, faire des économies, et des économies à grande échelle", estime Andreas Rees, analyste chez Unicredit. Selon certains politologues, Angela Merkel refuse dans l'immédiat d'envisager de fortes baisses des dépenses publiques, car elle redoute que cela ne nuise aux chances de son parti de conserver le land de Rhénanie du Nord-Westphalie à l'occasion de l'élection régionale de mai 2010. http://fr.news.yahoo.com/4/20091024/tts-al…me-ca02f96.html
  9. Climat : et si le réchauffement faisait une pause ? LE MONDE | 20.10.09 | 15h03 • Mis à jour le 21.10.09 | 07h45 C'est une information surprenante, qui circule intensément sur Internet depuis plusieurs mois. Et qui, à l'approche du sommet de Copenhague (Danemark), est de plus en plus fréquemment reprise dans les médias, colportée par certains scientifiques, responsables politiques ou commentateurs. De quoi s'agit-il ? De la fin du réchauffement. Celui-ci se serait… arrêté en 1998 ! L'affirmation - fausse - repose sur l'évolution de la température moyenne globale établie sur les onze dernières années par l'équipe britannique de l'université d'East Anglia et du Centre de recherche climatique de Hadley. Entre 1998 et 2008, il est vrai que la tendance moyenne a été d'une croissance de 0,02 ºC par décennie. Quasiment nulle. Alors ? Selon le climatologue Stefan Rahmstorf (université de Postdam, Allemagne), cette présentation des chiffres est biaisée. Calculer une tendance sur ces onze années (et non dix comme c'est habituellement l'usage en climatologie) intègre dans la même série deux années singulières : 1998 et 2008. La première a été marquée par le plus puissant El Nino jamais mesuré. Ce phénomène de réchauffement d'une portion de l'océan Pacifique sud, qui survient tous les trois à sept ans, est responsable d'une hausse des températures brutale qui s'ajoute à celle liée aux activités humaines. En 2008, on a observé le phénomène inverse, dit La Nina. Commencée par une année surchauffée par un phénomène naturel de grande ampleur et achevée sur une année rafraîchie par le mécanisme antagoniste, la période 1998-2008 présente donc une croissance très faible, mais un peu "artificielle", de la température moyenne globale. la suite: http://www.lemonde.fr/planete/article/2009…tor=AL-32280184
  10. vu que de nombreux pays occidentaux sont "limite" au niveau endettement ce scénario pourrait se réaliser. si l'Italie faisait faillite par ex je pense que le choc serait suffisamment important pour que la hausse des taux longs mette tous les autres à terre.
  11. Dans la série "on est conscient du problème mais on agira plus tard" Les Etats-Unis devront vivre selon leurs moyens une fois que l'économie aura redémarré pour préserver la confiance du monde dans le statut du dollar, estime le secrétaire au Trésor Timothy Geithner. Ces commentaires surviennent alors que l'administration Obama a fait état vendredi d'un déficit budgétaire record de 1.400 milliards de dollars (940 millions d'euros) pour l'exercice fiscal clos fin septembre, triplé par rapport à celui de l'année fiscale précédente. A 10% du produit intérieur but (PIB) il s'agit du plus gros déficit américain depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. http://www.boursorama.com/infos/actualites…0cc54323787faa9
  12. p.a

    Flims du moment

    lequel?
  13. p.a

    Flims du moment

    46 pages sur les flims du moment… mais il faudrait déjà savoir ce qu'est un flim.
  14. j'approuve
  15. dans l'épisode des Experts, ils parlaient de l'arrêt de la Cour Supreme Kelo v City of New London qui permet d'expulser des propriétaires au bénéfice de sociétés privées. ça se finit bien, ils ne sont pas expulsés et les méchants vont en prison…
  16. p.a

    Armageddon économique ?

    non, ils avait stoppé le mouvement en question
  17. p.a

    Armageddon économique ?

    ce sont bien les dirigeants chinois qui décident de la parité dollar/yuan. au vu des énormes réserves de dollars accumulées et des commentaires de ces dirigeants à ce sujet, il y a des chances qu'ils reprennent le mouvement de réévaluation de leur monnaie, dans leur intérêt
  18. c'est l'excuse de nombreux hommes politiques pour ne rien changer. je n'y crois pas à la révolution des banlieues par rapport aux allocs.
  19. p.a

    Armageddon économique ?

    des psychopathes qui ont trouvé un moyen de faire un peu d'argent
  20. p.a

    Armageddon économique ?

    un scénario à la japonaise est il possible en Europe et US? pourquoi pas une déflation prolongée, une chute des taux longs généralisée, une explosion des dettes publiques à 200% du PIB? certains pensent qu'on aura une courte déflation suivie d'un retour de l'inflation… bon tous les scénarii sont possibles mais j'ai l'impression que l'hypothèse inflationniste l'emporte pour beaucoup. j'ai tendance à penser l'inverse mais tout ça est assez confus pour moi
  21. p.a

    Armageddon économique ?

    l'euro est tellement surévalué: à peu près toutes les devises du monde.
  22. p.a

    Armageddon économique ?

    ils peuvent doubler la TVA, on sera toujours en déficit. (135 milliards de recettes)
  23. p.a

    Armageddon économique ?

    ceux qui sont sortis des chantiers ces 18 derniers mois, pas sûr
  24. p.a

    Armageddon économique ?

    ces dernières années les chantiers navals ont produit comme si le commerce maritime allait augmenter de façon exponentielle. ces bateaux peuvent rester là longtemps même si la croissance repart.
  25. j'adore! vivement le suivant!
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