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  1. Ca dépend, soit je travaille, soit je me repose, tantôt en ville tantôt à la campagne. En fait je fais comme bon me semble.
  2. : Que la ville soit plus calme le dimanche, c'est un constat, pas une obligation (quoique) ou une nécessité. Je constate que c'est plus reposant. En suivant votr raisonnement, Pourquoi alors limiter l'activité économique la nuit ? Pourquoi y'a t-il des limiteurs de décibels dans les salles de concerts parisiennes ? Pourquoi peut-on être accusé de tapage nocturne quand on travaille la nuit ? N'est-il pas restrictif de ne penser la ville qu'à travers son activité économique ? Il est vrai que les pandas sont en dangers dans l'agglomération parisienne.
  3. Tu m'as compris autant que je t'ai compris. Mon opinion sur le travail du dimanche : Que ce soit le dimanche ou un autre jour de la semaine, j'apprécie quand l'activité économique s'arrête pendant une journée car elle est très bruyante et c'est plus reposant. Il font leur business c'est clair. Mais il ne sont pas très influent. Chacun fait son business, ce qui me choque c'est que la loi Mallié est une loi clientèliste qui privilégie certains business dans certains endroits. Ce n'est pas une loi qui libéralise le travail domnical partout en France et pour tout le monde.
  4. Je n'ai pas dit le contraire. On peut jouer au "juste mot" si vous voulez. Sinon vous pouvez donner votre avis sur le sujet.
  5. C'est vrai nottamment dans le Val D'Oise que je connais bien . Syndicats qui venaient distribuer des tracts le dimanche devant les magasins, ce qui est un comble ! Pour l'instant cet argent est bloqué et je ne sais pas si les syndicats vont le récupérer compte tenu de la nouvelle loi. (100 000 euros / par dimanche ouvert, par magasin, ceci durant l'année qui a précédée le vote de la loi).
  6. Le marché n'est pas le bon terme, je parlais des entreprises d'un côté et des consommateurs de l'autre. Ce n'est pas le cas concernant la loi du dimanche. Chacun fait ce qu'il veut, enfin en théorie, et sous certaines conditions. Pour d'autre lois c'est le cas, par exemple la prohibition de la peine de mort, on est contraint d'acccepter cette loi même si l'on est pas d'accord. Au nom donc des normes acceptées par la société à une époque donnée.
  7. …et oui, l'autre "on" est le peuple, ou une partie du peuple… Il y avait une forte demande de législation concernant le dimanche car la précédente était obsolète. Certains demandent l'absence total de contrainte ou de règle concernant le dimanche, mais cette demande n'est pas très populaire en France !
  8. Ceux qui font les lois. Ceux pour qui on a voté et qui sont censés nous représenter (en théorie). Est-ce le cas pour le travail dominical ? Le marché peut-il créer cette demande d'ouverture des magasins le dimanche chez le consommateurs comme une opportunité, une nouvelle information…? L'argument principal des pros-dimanche est simplement qu'il y a une demande, et que l'offre suit. Aussi bien chez les clients que chez les employés. Est-ce si simple ? …et oui, l'autre "on" est en fait le peuple, ou une partie du peuple, ou encore une infime partie du peuple… On a pas tous les même besoins comme il a été dit plus haut : d'où le débat.
  9. Il y a débat parce qu'il y a un loi. Je ne suis pas sûr qu'il y ai un loi concernant le travail dominical à New York. Auparavant il y avait une autre loi qui interdisait le travail le dimanche. Si l'on fait des règles, il est normal qu'elles soient débattus pour qu'elles soient conformes à nos normes sociales et culturelles. Or, concernant ce sujet on est loin de l'unanimité en France, dans la population et au parlement. Si on fait une loi c'est qu'on en a besoin, non ?
  10. Oui, on peut distinguer ce qui est indispensable à la survie, et ce qui ne l'est pas. Le besoin et l'envie. Une envie peut-etre transformée en besoin ?
  11. (Ben c'est le cas !) non, je suis tout à fait d'accord avec toi. Cependant je ne peux m'empêcher d'avoir cette impression quand je pousse mon caddy le samedi. C'est de l'autodérision. Mais on a pas le choix contrairement à ce que j'ai pu lire plus haut !
  12. Exact. Un vendeur doit faire faire naître un désir d'achat aux clients pour un produit x dont il n'ont pas eu besoin jusqu'à présent. Mais l'offre est néée avant la demande, non ? Si c'est le cas, le vendeur ne doit pas mettre cela en avant, certes. Je veux dire par rapport au débat sur le travail dominical : Etes-vous sûr que c'est la demande qui a engendrée l'offre ? Ou est-ce l'inverse ? Et d'autre part, est-ce utile de se poser la question concernant ce débat ? Personnellement, quand je vois tous ces moutons qui vont faire leurs courses le week-end, j'ai l'impression qu'ils sont téléguidés. C'est ce qui me fait douter.
  13. Oui, si on se contente de regarder le résultat. Je voulais effectivement aborder justement les motifs de Sarko qui ne sont pas à mon sens assumés. Je peux comprendre que cela indiffère les gens. Cela m'interesse, je n'affirme pas que les choses sont ainsi, je dis ce qu'elles sont selon moi, et cela est parfaitement discutable.
  14. C'est bien en théorie, dans la pratique très peu de gens décident de leurs jours de congés ou de repos. Car effectivement chacun à une vie différente et des préférences en la matière, mais dans la réalité les besoins de l'entreprise sont à prendre en compte, tu ne fais pas ce que tu veux. Si tout le monde veut partir en vacances au mois d'août la boîte ferme et le patron ne va pas être content. Donc, désolé mais tu ne fais pas ce que tu veux. Tu as toujours le choix d'aller voir ailleurs si ça ne te plait pas, certes. C'est faux, mais très drôle. Je me demande quant à moi dans quel tirroir vous classer. Certes, je n'ai pas dit que c'est systématique (que l'offre engendre la demande). Je trouve interessant de renverser les choses ne serait-ce que pour les voir différemment. Evidemment, si il y a beaucoup d'automobilistes qui veulent une route, on va en construire une. Cela veut-il dire que la demande précède toujours l'offre ? Enfin, quelle est la distinction que vous faites entre "besoins" et "des envies entrainant un acte d'achat" ?
  15. Oui désolé, il s'agit du groupe Mulliez qui est un empire familial. Ils se partagent entre eux la direction des enseignes, et on une organisation très spécifique et secrète (cf: le livre désormais interdit à la vente "le secret des Mulliez"). Je ne crois pas au complot, que Sarko défende les grands patrons ne me choque pas, c'est le fait de ne pas dire les choses, de ne pas les assumer.
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