Je proteste, j'accompagne fort souvent mes légumes de viande.J'aime beaucoup la viande de bébé (porcelet, veau, agneau, cabri...).
Mangez équilibré, mangez du bébé.
Ben selon le contexte ça dépend aussi. Tenir par la main pour amener mademoiselle vers soi sur le thème "viens, reste avec moi", ce peut être tendre comme violent.
C'est rare sans amidon pour la texture. (blé ou patate ou les deux)
Sinon ce sont bien les filets de colin qui sont utilisés pour les surimis un peu qualitif qu'on trouve en France.
Grosse série d'articles et de témoignages d'expériences d'expatriation :
http://m.business.lesechos.fr/directions-ressources-humaines/metier-et-carriere/aux-etats-unis-trouver-sa-valeur-ajoutee-et-sa-legitimite-prend-du-temps-211982.php
Tout l'été, retrouvez la série « Paroles d’expat »
Prochain épisode : « Certaines compétences de l'expatrié régressent »
Déjà parus, dans la même série :
« L'expatriation est une remise en question »
« Le blues est inhérent à l'expatriation »
« L'interculturel ? Un travail de communication »
« Mon boss a demandé mon départ »
« Mes compétences d'expat ne sont pas monnayables en France »
« L’expatriation est un accélérateur de temps »
« Le contrat local ? Un pari d'avenir »
« Internet a transformé l'expatriation »
« L'expatriation offre une seconde patrie »
« Expat en Inde : rien n'est facile au quotidien »
« Le meilleur de l'expatriation ? Le temps retrouvé »
« L’expatriation renforce le patriotisme »
« L’expatriation procure une énergie contagieuse »
« L’expatriation, ultra-rentable pour le business »
« L’expatrié est un expert en organisation »
« L’expatriation perd en valeur »
« L’expatriation est un acte égoïste »
« L’expatriation est potentiellement aliénante »
C'est sûr qu'un brevet de libéralisme judicieusement distribué pourrait marquer bien des esprits.
Par exemple, brevet attribué au roman Germinal pour sa défense de la libre association et du droit des ouvriers à s'organiser en mutuelles.